Maison Louis Latour - Meursault 1er cru Blagny "Château de Blagny" 2007

Belle robe légèrement dorée.
Nez assez discret, très minéral, avec un côté pierre à fusil.
Bouche vive, belle attaque, avec une acidité maîtrisée.
Finale longue avec un côté métallique qui ne m'a pas dérangé.
J'ai bien aimé cette bouteille.
Assez impatient de la goûter à nouveau, c'est ce que j'ai goûté de meilleur chez Latour et de loin.

Maison Louis Latour - Corton grand cru 2006

Bonsoir,

bouteille dégustée il y a 2 semaines, aérée et épaulée 3h avant le déjeuner.

Je n'ai pas pris de note mais de mémoire le nez est plutôt discret, en bouche c'est serré, limite austère. On sent un potentiel sur le fruit mais la structure est encore trop présente et les tannins trop durs.

Difficile de se faire une idée claire, m'a fait penser à un vin en train de se refermer - à revoir d'ici 3 ou 4 ans peut-être

Xavier

Maison Louis Latour - Meursault 1er cru Blagny "Château de Blagny" 2007

Regouté pour le réveillon suite à l'agréable surprise d'il y a quelques jours, je confirme tout le bien que je pense de ce vin.
Il s'est présenté de la même façon que précédemment.
Un très joli vin.

bu lors des fêtes, en guise d'apéritif pour accompagner un superbe Parmegiano Reggiano et un bon vieux culatello di Zibello.

Je suis toujours un peu circonspect avec ce millésime en côte de Beaune en blanc, que je trouve souvent lourd, contrairement aux magnifiques 2008 et 2010 qui l'encadrent...

Peut être du à l'altitude (les vignes de Blagny de Latour sont à 400 m d'altitude);
Ou bien aussi et à la particularité de ce terroir à cheval entre Meursault et Puligny-Montrachet;
toujours est il que nous avons là un 2009 superbe, d'une très grande minéralité!
Du gras, de la puisance, de l'équilibre...
Des fleurs blanches, de la poire W, bref que du tout bon pour un vin que je n'attendais pas à un tel niveau.
Très bon vin!

Fraternellement,

Emmanuel

Bu lors des fêtes, pour accompagner une pintade rotie aux patates douces, dehors sous un chaud soleil Tarnais du 25 décembre!

La robe est d'un très beau rubis profond.
le nez exalte la cerise poivrée.
La bouche est ample, dense, reglissée, du cassis. Belle structure et une complexité honorable pour le pedigree.
Plutôt une bonne surprise.

Fraternellement,

Emmanuel

nouveau flacon de Louis Latour, Bu à l'apéro, avec rillettes maison, et caviar d'aubergines.
10 mois d'élevage en fûts (15% neufs), chauffe moyenne typique de LL; Malo faites...

La robe est d'un jaune d'or plutôt pâle.
Le nez est superbe, avec les traditionnelles fleurs blanches, les fruits jaunes (Pêche, abricots), le tout soutenu par des noisettes grillées...miam!
La bouche est plus en dedans, moins exaltante, avec une finale sèveuse et végétale; grasse et ample tout de même...
A boire à mon sens, un beau vin qui me confirme que le millésime 2007 délivre aujourd'hui de très jolis breuvages en blanc sur la côte de Beaune.

Fraternellement,

Emmanuel

Domaine Latour - Chassagne-Montrachet rouge 1er Cru « Morgeot » 2004

Robe assez claire, brune
Nez moyennement engageant sur les fruits cuits, la terre, le pruneau.
La bouche a une belle structure, volume demi-corps, tanins soyeux et bon équilibre. Comme au nez, on retrouve des arômes de fruits compotés, cuits, de pruneaux dans une finale de longueur moyenne. Encore quelques qualités mais aurait dû être bu il y’a un bail
Moyen

Louis Latour - Santenay 2013

Robe grenat
Joli nez fin et expressif de pinot, exhalant principalement la mûre, puis la framboise à plein nez !
En bouche, la matière est à la fois pleine et souple, avec une acidité sensible et des tannins poncés.
Un santenay frais et très agréable, à l'opposé de la réputation de rusticité (aujourd’hui obsolète ?) de cette appellation du sud de la Côte de Beaune.

Louis Latour, Corton Grand Cru, Clos de la Vigne au Saint, 2006

Bue ici avec LPV 75

o_g:
Le nez est agréable mais ne passe pas le turbo. La bouche est plate, sans défaut mais quelconque. Ce mortel ennui ...

Frisette:
Dernier rouge, servi pour lui seul, plus dur sera la chute... La robe est rubis. Le nez est fumé, sur le tabac, puis vient la framboise. La bouche est simple et souple, un peu trop fluide, même si celà reste bien construit. La finale est fraîche et l'ensemble est gourmand, mais manque de matière et de complexité. C'est Bien (15/20) mais ne tient pas son rang, la différence avec le vin précédent (Gevrey Chambertin 1er Cru, Clos Saint Jacques 2006, Domaine Bruno Clair) est flagrante.

Louis Latour, Corton Grand Cru, 2004

Pas mieux sur ce 2004, bon pinot noir ok mais pas digne d'un grand cru.

Bourgogne
Louis Latour, Président de la maison qui porte son nom de 1958 à 1998, est décédé d'une crise cardiaque. Il avait 83 ans.

images.winespectator...
www.winespectator.co...

Louis Latour - Château Corton Grancey 2006

Assemblage Bressandes, Perrières, Grèves, Clos du Roi et Chaumes. Un pinot droit dans ses bottes qui joue plus dans le registre de la finesse que celui de la puissance. C'est bon, certainement, passablement racé (épices et parfum haut de gamme, on flirte avec le grand cru à ce niveau-là), mais le manque d'amplitude (assez dans le style de la maison, il faut quand même bien le dire) se fait cruellement sentir (pour info, un Chassagne Clos St Jean Château de la Maltroye 2008 bu précédemment était presque au niveau). Pour un vin qui se négocie aux alentours de 70 euros (la bouteille, pas le fût), je suis désolé de dire que ça laisse singulièrement sur sa soif, mais si ça se boit bien évidemment sans grande difficulté.

Louis Latour - Pouilly-Vinzelles 2012

Bue au restaurant, une bouteille de Pouilly-Vinzelles qui me semblait intéressante sur des poissons (notamment un trio en vapeur)... mais qui s'est avérée fort décevante. Le nez n'est pas expressif, et en bouche, un boisé que j'ai trouvé grossier, pas du tout intégré, domine de bout en bout. Pas folichon... je n'ai rien trouvé à dire de plus sur ce breuvage...

Antoine.

Louis Latour, Morey St Denis premier cru Clos des ormes 2003
Ce vin s'est mieux présenté que la bouteille précédente. Le bouchon est imbibé sur une petite moitié.
Robe avec un léger tuilé.
Le nez est complexe et complet, avec de la cerise bien mure, cuir, notes terreuses, betterave, sang, cerise à l'alcool, l'attaque est agréable, mure, avec des tanins fondus, et ce malgré un déficit de fraîcheur et d'amplitude. Finale sur les fruits à l'alcool et les tanins pour un bref retour, mais longueur quand même un peu en deçà du niveau premier cru attendu.
La bouche manque un peu de charme mais c'est un bon vin.
JD

Ouvert hier sur un magret de canard, un Corton Grand Cru 2004 Louis Latour.

Sans être exubérant, le nez est joli, marqué par le cuir, la cerise, le pruneau et le tabac blond. La bouche est ample, fruitée (toujours cerise, pruneau), fluide mais reste simple (j’en attendais un peu plus). L’acidité est sans excès et la finale est gourmande.

Un Corton bien fait, honnête, qui se boit vite et donnant du plaisir à table mais qui ne me semble pas au niveau d’un grand cru. Je rejoins donc complètement le commentaire de JB.

Amicalement,

Romain

Comme nous goûtons à l'aveugle dans cette soirée sur le thème "Grands crus de la Côte de Nuits contre grandes syrah", il ne m'était donc pas possible de savoir précisément ce que l'on avait dans le verre. Toutefois, la robe était plutôt rouge brique que rouge sang. C'était un signe révélateur mais guère plus.

Au premier nez, c'est immédiatement le café qui me vient. Ca en est tellement surprenant que j'écarte le verre. En y revenant, ce n'est finalement pas le café mais le cacao. Oui, ce sont des effluves de cacao que le vin dégage ; un vrai bol de chocolat chaud. Cela évoque alors la volupté, un soir d'hiver enroulé dans une couverture à côté de la cheminée.

Quand je porte le vin à ma bouche, c'est le même registre aromatique qui s'exprime. On sait que l'on boit du vin. Mais si nous étions totalement à l'aveugle, sans même connaître la nature de ce qui est bu, opterais-je pour du vin ? Il y a du grain, il y a de la mâche, il y a du corps qui donnent de la personnalité au vin mais la personnalité d'un ancien qui serait devenu sage.

Alors un vieux vin qui peut encore donner à ce point-là, je dis Chambertin. L'apporteur confirme. Un vieux chambertin d'un bon millésime, je propose 1978. Joël, qui est le donateur, répond qu'il s'agit d'un grand millésime plus ancien. Je dis alors, sans trop y croire, 1961. Finalement, c'est 1949.

Magnifique donc ce chambertin 1949, par ailleurs émouvant puisque c'est l'année de naissance de mon père.

Maxime,
Merci de ce témoignage.
Normalement les Chambertin 1949 ne doivent pas avoir ces évocations de café ou de cacao.
Il me semble que cela doit correspondre à un petit coup de chaud en cave qui torréfie un peu le goût.

J'ai bu plusieurs Chambertin 1949 dont un Leroy assez faible et un Faiveley tasteviné absolument exceptionnel.

Bravo pour avoir pensé à Chambertin car ce n'était pas évident.

Bu après une heure de carafe, sur un tian de légumes et de la lotte rôti au lard.

La robe est d'un vert soutenue, brillante.
Le nez est subtile, assez puissant, sur de la badiane, mais aussi du beurre, du roquefort..
En bouche, une très belle trame soutenue par une acidité remarquable pour le millésime. Des fruits jaunes type poire et abricot, la suavité est là...ensuite, de la frangipane, de la crème pâtissière et enfin de la pêche rôtie.

Une belle complexité en phase ( pour une fois chez LL!) avec le pedigree.
Très jolie bouteille...

Fraternellement,

Emmanuel

Cette bouteille à été remontée , malheureusement juste avant pour le diner ( mon beau frère est néophyte ) . Je crains malheureusement que les conditions idéales, ne se présentent pas forcement bien , pour la dégustation
:Louis Latour Meursault 1er cru Gouttes d or 2002
Oeil jaune paille ( pour la robe tout va bien )
Nez discret à l ouverture , puis au bout de quelques minutes , ça commence à s ouvrir , quelque chose me fait dire que ça va être très complexe sur le coté aromatique . Je perçoit au début des atomes désagréables (?, ) puis après quelques minutes, celle d une tisane que l on aurais laisser refroidir , un coté boisé commence à se dévoiler , une heure après pendant le repas je ressent le vin pour voir comment il à évolué , en effet , le boisé est présent , des notes automnales apparaissent
Bouche les convives autour de la table ont du mal à apprécier ce vin , en effet c est très boisé , avec un peu de vanille très discrète , le lendemain la bouteille à pris quand meme en harmonie , le vin est plus agréable en bouche , le coté boisé c est appaisé , je pense que ce vin demandait , vraiment une préparation de quelques heures avant la dégustation , pour l aérer au maximum
Conclusion un vin qui n était pas vraiment , dans les meilleurs conditions de dégustation , il fallait être amateur de vieux Meursault pour l apprécier , le lendemain je l ais plus apprécié . Il était temp de l ouvrir Bien ++

didier

Meursault Genevrières 2001 Maison Louis Latour

Bu avant (et en parallèle à) un Gevrey village 2011 Harmand Geoffroy et un Vosne Romanée 2004 Domaine Thibaut.
Bouteille bue sur l'entrée (millefeuille aubergine et feta), puis sur le fromage pour ceux qui le désiraient.
Bouchon légèrement imbibé. Servi à environ 8-10 degrés. Bouteille conservée au frais durant le repas.

Robe: Or jaune. Éclatante. Très belle.
Nez: végétal au début. Puis ça s'ouvre sur des arômes secondaires (brioche). Il lui faut un peu de temps pour mettre tout ça en place
Bouche: amertume ressentie d'entrée à l'ouverture de la bouteille. Puis le vin s'est mis en place. Toujours une légère amertume en début de bouche. Puis, une belle amplitude avec le mélange d'un côté lacté (gras) et le peps de cette amer (côté végétal). Une belle longueur qui, au final, permet une belle harmonie d'ensemble.

Pas un vin simple, et surtout un vin qui demande un accompagnement plus subtil que quelques crudités d'apéro. Il s'est d'ailleurs très bien marié avec l'entrée et surtout les fromages (notamment vieux comté et vieux gouda).
J'ai beaucoup aimé. Toute la tablée également, même ceux qui pouvaient être circonspects au départ.

Maison Louis Latour - Chablis - 2016

Bue au restaurant.

Robe paille bien brillante.
Nez avenant alliant fruits jaunes, arômes floraux et brioche.
La bouche est équilibrée, combinant un léger gras, des saveurs bien fruitées, une fine acidité, et une longueur correcte. Aucun boisé ressenti, pas de minéralité non plus.
Un vin agréable qui a fait le job : Bien +(+)

Jean-Loup

Maison Louis Latour - Meursault 1er cru Blagny "Château de Blagny" 2003

Bu il y a quelques jours. Pas de prise de note mais souvenir d'un très bon vin, sur un apéro fait de fromages et crudités.
Bouchon ok.
Robe: Profonde, joliment doré. Pas de signe d'évolution trop importante.
Nez: Expressif dès le premier nez.
Bouche: Belle amplitude et bonne longueur. Un vin bien équilibré entre les arômes floraux et un côté amande, légèrement boisé. C'est subtil sans être lourd. J'ai beaucoup aimé.

Louis Latour, Meursault Perrières 1er cru, 2012
Niveau et bouchon sans problème.
Jolie robe or clair.
A l'ouverture nez marqué par un boisé dominant, après aération on devine un nez subtil, toujours vanillé.
En bouche le vin apparaît distingué, avec son bel équilibre, sa finesse , son élégance mais hélas à ce stade le boisé reste trop dominant en fin de bouche... et c'est dommage.
Une jolie bouteille à attendre en espérant que l'élevage soit digéré..
Cordialement.

Maison Louis Latour - Meursault 1er cru Blagny "Château de Blagny" 2001

bu après et en parallèle à un joli Chablis 1er cru Beauregard 2003 de chez Brocard, ce Meursault a été très bien goûté.
Bouchon imbibé au tiers. Bouteille sortie de cave et ouverte une heure avant le repas composé de saumon sauvage fumé en entrée, d'une cazuela de fruits de mer accompagné d'un risotto, et d'un plateau de fromages.
Robe: Viel or. Encore plus évoluée que celle du Chablis. Intensité remarquable. Nette.
Nez: Côté vanille et amande. Plus intense au deuxième nez. Belle évolution tout au long du repas.
Bouche: Ample, avant de se tendre en milieu de bouche, puis de donner toute son expression en fin de bouche. Fin de bouche salivante après une très belle longueur. Arômes d'amandes et de fleurs blanches. Très beau vin, au mariage parfait avec la cazuela et le fromage. Tip top ce 2001.

Dégusté hier midi pour accompagner l'agneau Pascale un Aloxe Corton Les Chaillots de la maison Louis Latour.

Je sais pas pourquoi mais je n'attendais pas grand chose de cette bouteille qui trainait au fond de ma cave depuis quelques années déjà...grand bien m'a pris de la laisser trainer durant ce temps car le vin s'est montré exquis, tout en douceur et finesse.

Le nez était assez muet à l'ouverture de la bouteille puis s'ouvrait au fur et à mesure sur des arômes de pétales de rose fanée, encens, noyau d'olive et fruits rouges.

En bouche c'était fin comme du velours et l'on retrouvait ces notes de pétales de rose, d'épices douces et de fruits rouges.

Une belle longueur vient compléter le tout.

Très bien +
Nicolas

Meursault 1C Blagny Château de Blagny 2003 Louis Latour
Bouchon légèrement imbibé. Bouteille ouverte une heure avant, servie à température idoine sur des fruits de mer grillées, puis sur le fromage



Robe: jaune paille net. Pas de signe d'évolution excessive.
Nez: Amande grillée. Un peu brioché
Bouche: Attaque ample. Le léger gras du milieu de bouche et la fine acidité de la fin de bouche sont bien maîtrisés et harmonieux. C'est une bien belle bouteille. Et d'une belle longueur. Nous avons beaucoup apprécié. Évolution à suivre sur les trois ans max à venir quand même...

Maison Louis Latour - Gevrey Chambertin - 2008

Pas que j'en attendais énormément compte tenu du millésime et du producteur, mais c'est encore une déception pour moi sur ce domaine.
Vin pas très causant au nez, quasi mutique, bouche dilué, acqueuse, fruit en retrait.
Pas encore eu de coup de coeur sur ce négociant.

Antoine

Bu à cette occasion.

Meursault 1er cru 2007 château de Blagny, maison Louis Latour
Cuvée issue de chardonnay.
La robe est jaune verdâtre.
Le nez est assez discret, sur les fleurs blanches et un peu d’amande séchée.
L’attaque est ample et suave. Il y a une très jolie matière : toucher soyeux, amplitude, bel équilibre avec trame minérale. La retro est sur le miel, les fleurs blanches et le citron. Des notes de champignons (dont la truffe) apparaissent en finale. Au réchauffement les notes miellées s’intensifient.
Conclusion : c’est très bon ; les notes tertiaires n’arrivent qu’en finale, ce vin est encore jeune.
Note : 4/5

Maison Louis Latour : Chambolle Musigny 1er cru les Chatelots 2008

Robe: Rouge clair, légèrement tuilée.

Nez: Très Chambolle, avec beaucoup de fruits rouges : cerise, cassis, framboise, groseille malgré l'âge.

Bouche: En bouche, on retrouve un très fort parfum de fruits rouges avec un début de notes terreuses.

C'est très équilibré, bien fondu avec une belle trame acide. Un vrai délice, a enchanté tous les convives.

Bu sur un rôti de bœuf accompagné d'une purée de pommes de terre et butternut.

Excellent 17/20

Meursault-Blagny 1C Château de Blagny 2003 Louis Latour
Bouchon très fortement imbibé sur un tiers.
Robe: Or paille, doré. Limpide. Pas de signe d'évolution marquée
Nez: Dès le premier nez, c'est très beau. Sur la poire et la fleur blanche.
Bouche: attaque franche et cela s'arrondit très vite sur une très belle amplitude et une belle longueur. Sensation de poire et brioche.
J'adore malgré un petit manque de vivacité, qui lui serait préjudiciable à l'apéro. Mais qui ne l'est pas sur le repas.