Cote Rôtie Brune et Blonde Guigal 2008

Ouverte 1h avant,
Je sais que 2008 ne fût pas un grand millésime,mais le cote rotie à su être à la hauteur.

Accord avec un rôtie de porc du petit boucher du coin ! Et gratin de pomme de terre maison avec quelque cèpes.

Au nez, du fruit et un boisé noble.

En bouche: du fruit. De la matière, et du soyeux.. Le boisé est assez bien intégré!

Belle bouteille mes convives étaient ravis!

Ce vin bu sur 5 jours( ouvert et commenté vendredi 13 novembre ), ce vin a mal fini sur le plan aromatique : grosse lourdeur sur un caramel prépondérant avec derrière des notes d'agrumes. Sur le plan de la structure : toujours très bien.

Jmm

J'ai rarement vu des rouges qui finissaient bien au delà de 4 jours d'ouverture...

C'est vrai que 5 jours c'est une éternité (sauf avec le matériel adéquat de chambrage type SoWine ou autre)
Je vais me programmer une BB 2009 prochainement pour me faire un avis du coup
Laurent

Je suis désolé mais des bouteilles qui tiennent 4 jours, c'est fréquent à la condition bien sûr qu'il ne reste pas quelques cL au fond de la bouteille dès le 1er jour.

Pour être plus précis : Bouteille dégusté le 1er jour ( autour de 2 verres, puis laissée au frigo, puis à partir du 3ème jour, laissée à température ambiante et dégusté peu à peu.

Et je peux vous dire que des Languedocs qui ont subi ce traitement chez moi et qui sont restés corrects, y en a un paquet, cela permet justement de voir une évolution dans ce contexte.

Après, je raconte ce vécu, il vaut ce qu'il vaut, on est bien d'accord et je sais bien qu'un vin n'est pas construit pour être bu sur 5 jours à petite dose et encore moins être jugé sur les dernières gorgés dans ces conditions.

Jmm

A vrai dire, mon vécu sur ce sujet est assez limité. Une bouteille qui me plait, ne dépasse généralement pas le 2e jour.

D'ailleurs 2 jours, je trouve que c'est amplement suffisant pour voir l'évolution d'un vin (j'entends que la bouteille ait été ouverte et goûtée 2 jours de suite, ou avec un jour de frigo entre les deux).

Je n'ai aucun exemple de vin qui ait gagné à être resté ouvert plus que cela. Dans le meilleur des cas le vin n'a pas bougé, mais la plupart du temps, le résultat n'est pas terrible...

Attention, je ne défends rien, je raconte juste le vécu de cette bouteille martyrisée.

Jmm

Bouteille ouverte il y a 4 jours, mais un hermitage delas domaine des tourtes 2009 est venu le rendre obsolète, donc bouteille rebouchée et laissée (enfin plutôt oubliée) en cave 4 jours, au moins les 3/4 plein.

Je suis étonné de la qualité de ce vin, qui s'est très nettement amélioré en 4 jours!

Le nez qui était un peu lardé, confituré s'est changé en bouquet de cerise et violette.
En bouche c'était un peu serré, et bien c'est aujourd'hui plus doux et délicat. Une sensation "poudrée" très agréable (peut être pourrez vous m'aider a préciser cette sensation??)
Une finale legerement mentholé, et tout est bien équilibré.
J'en suis surpris, c'est la première fois que je prend autant de plaisir avec un cdr guigal... B+

Et dire que mouton cadet est vendu plus cher....!!!

Essaie un CDR guigal de 10 ans d'âge. Tu seras surpris!

Poudreux cela peut être le bon terme. Sur le 2011, pas encore bu donc je ne peux pas te dire.

Sylvain

Je n'en doute plus!
A l'aveugle parmi des crus je suis presque sur que ça se défend... ( ça me donne des idées)

Bouteille ouverte lors de ce week end

CR:E. Guigal, Côte-Rotie "Brune et Blonde" 2007

[/img]Épaulé 3h et servi à 17°
Nez explosif d'épices, de fruits noirs, de cuir - c'est sauvage!
La bouche est tellement classe et soyeuse tout en restant puissante: Du fruit, des épices, un côté lardé appuyé que j'adore.
La longueur est fabuleuse, Mais que c'est bon!!!
Madame me confirme que ça sera la bouteille du weekend end! Très bien ++

Laurent

Condrieu – Guigal – La Doriane – 2008

Bue lors d'une belle dégustation éclectique relatée ICI.

Jean-Loup
Ouverte deux heures et carafée une heure auparavant.

La robe présente un or très ambré.
Puissant mais doté d’une certaine finesse, le nez est doté d’une aromatique dominée par l’abricot, agrémenté de touches florales et boisées.
En bouche, on passe de l’autre côté du miroir : grasse, presque huileuse, très opulente, mais le manque d’élégance qui pointait dans le nez la rend presque écœurante, d’autant que l’amertume sur la finale n’est pas suffisamment fine.
Bien + seul, Bien ++ / Très bien sur un saumon grillé sauce maltaise qui le dynamise quelque peu. Le reste de la bouteille terminée le soir paraît un peu moins lourd et plus buvable. Pour ceux qui en ont en cave, il semble donc important de carafer longuement.
C’était tellement mieux il y a trois ans et demi avec la première bouteille !

Julien
Robe très dorée.
Nez puissant, fumé, thé noir, fruits murs, un peu d'alcool.
Bouche large, puissante, assez sèche je trouve malgré la puissance, seulement un léger gras.
Par contre finale qui tombe vite sur un équilibre alcooleux et amer et surtout boisé.
Vraiment pas le style de vin qui me plait.

Eric
Le vin suivant a une robe dorée intense. Le nez est assez envoûtant sur l'abricot, la mangue, la crème brûlée, le pain grillé, la vanille et d'autres épices. La bouche est ronde tendance joufflue, avec une matière dense, riche, limite huileuse. Ce vin peut séduire certainement un public amateur de vins baroques/expressionnistes, mais peut également vite lasser ceux qui aspirent à une certaine sobriété. C'est le cas de toute l'assistance présente ce jour, qui le trouve fatiguant. La finale épicée/beurrée/grillée, encore bien marquée par la barrique neuve agrave encore son cas. Personne n'est surpris d'apprendre que c'est le Condrieu la Doriane 2008 de Guigal (le 2010 de cette cuvée m'avait déjà déçu cet été).

A noter que le vin gagne en sobriété lorsqu'on le déguste avec le saumon, sauce à l'orange maltaise et piment d'Espelette.

Florent
Le nez dégage un coté boisé/bois précieux, des arômes fumés ainsi que des fruits jaunes et de l’abricot.
La bouche est large, grasse et assez riche, avec un coté presque huileux. Le coté boisé/bois précieux est lui aussi bien présent. L’acidité est plutôt basse et l’équilibre du vin assez moyen, avec une certaine amertume en finale qui ne pas vraiment dérangée mais qui n’apporte rien de positif non plus.
Bien ++
Comme le dit Jean-Loup je pense que c’est le genre de vin qu’il est préférable de boire assez jeune, mais qui de toute façon divise les dégustateurs qui sont autour de la table. Comme ce fut le cas avec un 2009 bu il y a 2 ans et demi, que certains avaient beaucoup aimé et d’autres pas du tout.

Jean-Loup

Guigal - La Turque 1988

Bouteille ouverte et carafée 3h avant dégustation
La robe est tuilée mais "concentrée"
Le nez est sur les épices, sous-bois et un fond de fruits noirs.
La matière en bouche est présente, c'est fondu et soyeux, belle finale sur des notes "terciaires"
Très beau moment avec ce vin qui accompagne sans problème l'agneau de sept heures

Guigal - Côte du Rhone 2005

www.zupimages.net/up...

Nez sur la myrtille, en bouche c'est ample avec une belle matière. Servi un poil trop frais, le vin se livre encore un peu plus sur la fin. Finale assez longue. Je ne pensais pas trouver tant de peps, je suis donc agréablement surpris d'autant qu'il me reste 2 bouteilles.

Côte Rôtie « La Mouline », Guigal 2000

Bouteille aérée 2 heures, bue étiquette découverte.



La robe ne montre pas de signe manifeste d’évolution, elle est d’un rouge intense et profond.
Le nez est assez fermé, avec de fines notes de fruits noirs et une touche d’eucalyptus qui amène de la fraîcheur. En bouche la texture est élégante, avec un toucher de bouche très fin et un boisé parfaitement intégré. En revanche, le vin est sur la réserve arômatiquement, un peu d’épices, de cassis, mais c’est surtout la fraicheur en bouche qui domine avec un côté mentholé très agréable, un bel équilibre. Néanmoins, on reste un peu sur notre faim au regard de l’étiquette, notamment au regard de la puissance en bouche et de la longueur qui sont juste correctes. Très Bien -

Bu dimanche chez un ami, un Hermitage blanc Guigal 2011

Le nez est sur les fruits jaunes et les fleurs, il n'est pas très puissant.
La bouche est assez grasse mais elle garde de la fraîcheur, elle est ample et savoureuse, sur les fruits jaunes, elle offre quelques délicats amers en finale.

Un bon vin qui ne m'a pas séduit... Il passait parmi de belles bouteilles.

Guigal - Crozes Hermitage blanc - 2012

Pas pris de notes sur ce vin bu cette semaine, mais pas de regrets.

Je garde le souvenir (est-ce vraiment un souvenir ?) d'un vin sans défaut mais au nez et à la bouche très discrets, avec peu d'arômes, de consistance et de personnalité.

Assez Bien -

Jean-Loup

Invité chez un beau-frère, il nous sort cette bouteille de derrière les fagots.
Elle m'a fait penser à un Bordeaux à maturité.
Un nez sur le cassis et la boite à cigares.
En bouche les tannins sont soyeux avec un retour sur les fruits noirs confits et le sous-bois.
Cette bouteille a gardé beaucoup de fraicheur avec une belle finale en longueur.

Cela me donne envie de laisser dormir mes côte-rôtie encore bien jeunes

[size=x-small] Bue en novembre par LPV Lyon 2 lors d’une soirée Condrieu et Côte-rôtie [/size]

[size=large] Guigal, Côte-Rôtie, Château d'Ampuis, 2007 [/size]

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Nico co
Le nez est complexe et fin, légèrement lacté, épicé et lardé. Le touché de bouche est très soyeux. On retrouve les épices du nez et de la finesse qui lui donne une grande buvabilité. C’est très bon et le rouge de la soirée pour moi !

Zonos
Robe Grenat à reflets acajou. Les arômes qui se dégagent du vin sont multiples et soutenus : Violette, cèdre, truffe avec une petite note poivrée. Le vin a un peu de volatile. En bouche, la violette est présente et s’accorde avec une belle truffe. Les tanins sont soyeux et sont complétés par la finesse des arômes épicés. Le vin a une très grande persistance sur le poivre. Très beau vin

Couleur grenat aux reflets rubis. Premier nez sur le lard fumé, puis viennent de la violette, du caramel et de jolis fruits rouges et noirs, sans perdre ce côté fumé. En bouche la matière a une belle finesse. Il y a une belle complexité avec pas mal de poivre, de l’orange sanguine, de la girofle avec une finale qui tire au tabac caramélisé. A la fois de la légèreté et de la puissance. Très bien

Bonjour à tous,

Bue pendant les fêtes :



Hermitage Guigal 1996 : Un nez classe, a maturité, de fruit noir, cassis, note de vieux cuir classe, puis d'épice, d'encre sur un fond fumé bacon grillé. La bouche est charpentée, droite, belle structure bâtie sur la fraicheur mais bien enrobée de tanins soyeux, fins, sur le cassis, les note de cuir, de bacon grillé, pointe épice fond fumé. La finale est fraiche, fine, tonique, puis belle persistance de fruit noir, cassis, note cuir marqué, fond fumé bacon grillé. Les Syrah d'âge mûr comme j'aime. Excellent 92 (17)

Amicalement, Matthieu

c'est pour le réveillon de Noël :

J’ai ouvert trois vins de Guigal pour que nous nous amusions à les comparer. Le risotto à la truffe est délicieux. Il eût appelé un vin blanc aussi attendons-nous le porcelet pour profiter des vins. La Côte Rôtie La Mouline Guigal 1986 est d’une rare complexité et d’une belle sérénité. Elle a une mâche accomplie de première grandeur.

La Côte Rôtie La Turque Guigal 1992 est vive comme un coup d’épée. C’est elle qui avait le nez le plus conquérant à l’ouverture. Les parfums des deux autres ont rejoint la finesse des fragrances de ce vin.

La Côte Rôtie La Landonne Guigal 2001 est la plus moderne, ce qui est lié à son âge. Elle est plus consensuelle.

Pour ma fille cadette il ne fait pas de doute, c’est la Mouline la plus grande. Pour ma fille aînée, c’est la Landonne, mais je sais qu’elle aime les vins plus modernes. En ce qui me concerne, je suis fasciné par un phénomène qui me ravit quand il se produit : à chaque gorgée, c’est le vin que je bois que je trouve le meilleur. J’adore quand les vins jouent avec moi à qui me séduira le plus. Quand j’ai ouvert les vins en cave, j’aurais parié sur la Turque. Quand je bois La Mouline, sa sérénité et l’accomplissement de sa palette de saveurs emportent mes faveurs. Quand je bois La Turque, c’est la vivacité de son message tranchant qui me pousse à le préférer et quand La Landonne, plus calme, plus féminine et plus dans le fruit me parle, je l’écoute plus que les autres.

Je me suis laissé emporter par cette douce torpeur qui empêche de choisir, mais si, in fine, je dois décider, je classerai : 1 – Mouline 86, 2 – Landonne 01, 3 – Turque 92.

Bien sûr chacun des vins mérite mes amours.

Le meilleur enseignement pour moi de cette comparaison est de me montrer qu'un 1986 tient encore la route avec richesse et élégance.
J'avais l'impression que ces Côtes Rôties riches donnent plus dans leur jeunesse. Or la Mouline tient sacrément bien la route.

Dégusté lors de la 100e du CRD-LPV Belgique :

Guigal - La Mouline - Côte-Rôtie 2006


Robe intense aux reflets rubis. Nez boisé, lardé, avec de la réglisse, des fruits noirs bien mûrs et des épices. On peut être gêné par l'élevage affectivement assez prégnant au nez, ou on peut considérer que le vin est encore très jeune et s'intéresser de plus près à ses qualités gustatives. Car en bouche, pas de doute, on est en face d'un grand, et sans doute même d'un futur très grand. L’attaque est fraîche, le milieu de bouche est ample et rond, puissant et fin à la fois, la finale est très longue et possède le soyeux de texture habituel des grandes cuvées produites dans cette maison. Une bouteille qui mérite assurément quelques années de garde supplémentaires pour digérer son élevage, mais qui offre déjà un immense plaisir aujourd'hui. Excellent

Luc

Guigal - La Mouline - Côte-Rôtie 1995

Bouteille bue au restaurant avec notamment un canard laqué...
Je l'avais offerte à un ami qui a eu l'excellente idée de la sortir en ma présence quelques années plus tard.

Vin classieux, structuré, dans lequel l'élevage est plutôt fondu mais néanmoins encore perceptible
L'ensemble est très agréable. Très bien.

Bouteille bue sur un spaghetti bolognaise / bolognèse ? Les 2 semblent corrects

Au nez : Le premier nez est assez fermé et porté sur l'alcool. Après une petite aération, le nez s'améliore, les fruits noirs et les épices se révèlent alors. Je décide donc le mettre en carafe pendant trois heures.

A l'œil : La robe est rouge rubis et on peut y apercevoir les prémices d'une évolution.

En bouche : Je l'avais gouté l'année passée sans le carafer et j'avais été très déçu. On ne ressentait que la chaleur de l'alcool. Cette bouteille carafée s'est avérée être un excellent compagnon du plat. Les fruits noirs, cassis, mures se dégagent d'abord suivis des épices, surtout le poivre. L'acidité, toujours présente, permet au vin de bien se comporter et de ne pas s'éteindre trop vite.
Il me reste 2 bouteilles que je regouterai plus tard pour suivre l'évolution.

Un très bon rapport qualité / prix.

Hermitage Guigal 1994 rouge

Bue pendant les fêtes, Ouvert 1h30 avant

Un nez très classe, a maturité, fruits cassis, note de vieux cuir classe.
La bouche est charpentée, et droite, belle structure de tanins soyeux, sur le cassis, les notes de cuir, et une pointe épice.
La finale est fine, tonique, puis belle persistance de fruit noir, cassis, note cuir marqué.
Un excellent Syrah ! 93 (17-18)

Il me reste un Hermitage Guigal 1999 rouge en cave mais je suis confiant

Guigal - Châteauneuf du Pape - 2007

Je ne connaissais pas cette appellation chez cette grande maison. Dans ce grand millésime, c'est une réussite !

La robe est moyennement sombre, ni jeune ni déjà évoluée.
Le nez est d'entrée très intense, présentant beaucoup de fruits, dont la mûre très prégnante, mais aussi de beaux arômes torréfiés et des notes de cuir.
La bouche est charpentée, sur des fruits compotés très agréables, avec une bonne acidité et des tanins légérements saillants qui se fondent complètement sur un confit de canard. L'allonge est de bonne facture, et la finale sait conserver une chair dense.

Très Bien +

Jean-Loup

LA déception des bouteilles que j'avais ouverte pour le repas de la saint sylvestre.
Un vin alliant une puissance assez réservée, un fruité discret et une longueur moyenne. Plaisir limité. Déception pour les convives. J'ai pris plus de plaisir à déguster un CDR 2011 du même domaine il y a peu de temps même si ce dernier est peut être moins fin et plus puissant.
Moyen
12 12,5 /20

Maxime

Bonjour à tous,

Bu ce Guigal - Hermitage 1999 (rouge) à l'aveugle avec des amis.

Le disque présente quelques notes légères d'évolution tuilées mais la robe est rouge.
Au nez, on a du fumé, de la saucisse au barbecue, du cassis, du poivre noir. En bouche, les tannins ne sont pas encore complètement fondus. Aucune trace de boisé, l'élevage est bien fondu. L'attaque est sur le fruit et quelques notes champignonnées. Le milieu de bouche sans avoir de creux n'offre pas grand chose de plus. La finale en revanche est superbe, mentholée, sur les épices, le bacon, le cassis et la cerise noire. Elle est également longue! Très bien

En résumé une belle bouteille mais qui ne m'a pas non plus renversé. Elle ne paraissait pas son âge et peut encore se garder un bon moment selon moi. Mes amis à l'aveugle se retrouvent rapidement en Rhône Nord. C'est effectivement une belle expression de la Syrah!

Bien cordialement,

Thibault

Bonjour

Ouvert ce 31 une bouteille Château Ampuis 2006 de chez Guigal.

Oeil : sombre dans les grenats.
Nez : joli nez sur le cassis, les fruits rouges de type framboise relevées d'épices et d'une note vanillee.
Bouche : toucher extraordinaire un poil concentré et peut-être encore marqué par l'élevage. Les tanins sont d'un soyeux redoutable. Néanmoins, encore un poil austère malgré un joli fruité cacaoté. Le vin mérite encore un peu de répit en cave. Très belle finale fraîche et épicée.

A revoir dans 3-4 ans.

Cordialement

Sylvain

Tiré de cette dégustation

Côte Rôtie Domaine Guigal "La Mouline" 2009

enzo d'aviolo écrit: Nez assez élevé sur les épices, le bois frais, balsamique, les fruits noirs.
La bouche est riche, mûre, dense, très syrah, salivante et développe une certaine gourmandise mais aussi manque de caractère et de pureté. Il y a clairement du vin mais c'est monolithique, dans un esprit international avec une finale assez courte à ce stade. Un vin surement fermé mais vinifié à l'opposé des syrahs que j'aime. Bien +(+).

E.L. écrit: Robe foncée noire
Nez Yahourt aux fruits, très typé syrha
En bouche c’est élevé boissé mais bien fait j’aime
Ample élégant il y a du vin
Belle finale longue longue longue

icna écrit: Le nez est sur les fruits noirs avec un joli élevage.
La bouche est sur les fruits noirs, le bacon, c'est un peu beurré, il y a un peu de poivre et de la violette. C'est soyeux avec une grosse gourmandise et une belle fraicheur. Belle longueur, c'est assez facile à boire mais il ne faut pas être allergique au bois, je ne l'aurais quand même pas mis sur une aussi grosse cuvée.
Très Bien