Les vins
Barolo Cannubi Boschis
Barolo Le Vigne
Nebbiolo d'Alba Valmaggiore
Barbera d'Alba
Dolcetto d'Alba
Langhe Rosso Pe Mol

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Impossible de ne pas avoir une rubrique sur ce producteur.

Bu lors du week-end LPV

Sandrone Le Vigne 1990, Barolo

Attention, chef d’œuvre !

Le nez s’ouvre sur les épices et le noyau de cerise. Viennent ensuite des impressions parfumées, envoutantes qui n’en finissent plus. Après 20 secondes, je suis hyptonisé a un tel point que je commence à comparer ce vin aux plus belles femmes italiennes (je tairais ce débat !).

Après 3 minutes d’extase, je porte ce nectar a mes lèvres et, bon dieu, je me sens bercé dans un autre monde, où les problèmes n’existent plus, où le plaisir est permanent, où tout devient si clair. Paradis artificiel … surement mais je m’en contrefiche.

Je parlais donc de cette bouche à la longueur interminable, au goût savoureux de cerise, avec une fraîcheur digne des plus grands. L’équilibre est majestueux.

Ce vin restera, à ce jour, un de ceux qui m’a le plus marqué, un peu comme quand j’ai bu l’Angelica Zapata 1997 pour la première fois. Merci à mon hôte !!! Un gros, gros coup de cœur.

Merci à mon hôte !!!

Et surtout à François Mauss qui me l'a offerte, se chargeant de mon éducation en vin italiens (il y a du travail...).

j'ai regoûté ce vin le lendemain, j'avoue n'avoir pas été conquis à la hauteur d'Anthony. Certes la structure est belle sur un équilibre plutôt frais, mais il me semble un peu évolué avec quelques traits oxydatifs.
Je n'ai pas été impressionné comme je l'ai été par contre par le pinot gris SGN tangen de Than de Schoffit!!!!!

mais il me semble un peu évolué avec quelques traits oxydatifs

Ils ne les avait pas à l'ouverture. Rappel, c'est un 1990.

Je me suis amusé des "étrangers" avec leur wine preserve toujours a portée de main, mais là, il aurait été bien utile ... Pas trouvé de fournisseur en France.

j'avoue n'avoir pas été conquis à la hauteur d'Anthony

Hé, hé, j'avais choisi mon public: je savais que Claude raffolait des barolos, pour Anthony je le savais moins.

Italie : Barolo – Luciano Sandrone "Cannubi Boschis" 1997. janv 2003 - cr par Pierre Citerne
DS15 – PP14 – PC14 – LG14,5 – JP14 – TK14,5 - Prix : 140 €
Cépage : Nebbiolo
- Aspect dense avec quelques reflets orangés.
- Nez intense mais assez simple : cerise, tabac, pointe viandée (viandox, sauce soja).
- Le fruit apparaît nettement confit, solaire, confinant au caramélisé, avec des saveurs assez prenantes de cachou et de goudron ; la finale semble un peu mince, avec de la chaleur et une acidité volatile marquée.

Note : ce vin a été bien mieux regoûté par IVV en oct 2005 (Barolo - cr par Pierre Citerne) :
9. Italie : Barolo - Luciano Sandrone "Cannubi Boschis " 1997:
DS17 – PC16,5 – MS17 – JP17. Note moyenne : 17 - Prix : 129 €
- Robe dense, brunie, qui paraît évoluée.
- Le nez est plus frais que ne la robe ne le laisse supposer, complexe et fondu, avec une captivante floralité qui monte à l'aération, complétée par des notes épicées et viandées.
- Le fruit est encore plus expressif en bouche qu'au nez ; on ressent beaucoup de fraîcheur malgré sa maturité confiturée. La trame, très suave et élégante, assez souple pour un Barolo, est assez bourguignonne dans l'esprit. Énormément de charme et d'ampleur, mais apparemment moins de typicité dans les arômes et la structure que dans d'autres vins goûtés ce soir, y compris parmi les "modernistes".

Un vin dégusté en Déc 2003 (chez les amis de M. Noly - cr par Fabrice beaugrand) :
Barbera d’Alba domaine Sandrone 1998
- La robe est grenat / noire.
- Le nez est intense, original, complexe, il libère des arômes de mure, de violette, de moka, ainsi que des notes rappelant un porto vintage, sans que cela s’apparente à de l’oxydation.
- La bouche est suave, dense, elle possède beaucoup de volume, assez souple malgré une trame tannique assez fine, style de vin moderne, dans le bon sens du terme, tout sur le fruit !
- Une découverte, c’est la première fois que je goûtais ce domaine de référence en Italie.

Dans les Barolo de Sandrone, quelqu'un a-t-il déjà eu l'occasion de déguster "Cannubi Boschis" 1996?

Valmaggiore Sandrone
Nebbiolo d’Alba
2004

- Robe rubis, brillante, limpide, moyennement profonde.
- Nez : Cerise, je pense à un pinot noir, des notes cacaotées accompagnent très bien le fruit. L’alcool est présent.
- Bouche : très agréable, les tanins produisent un toucher légèrement astringent offrant de la structure au vin. Le fruit est d’une belle maturité, le tout est bien équilibré et accompagné d’une fraîcheur non négligeable.

Noté 15/20

Cordialement,
JU

JU,

Il vaudrait mieux je pense que tu joignes ce post dans la rubrique du producteur concerné.

J'ai eu la chance de déguster à côté de Luciano Sandrone au GJE. J'espère pouvoir ainsi le visiter à l'occasion et découvrir cette cuvée Valmaggiore.

Azienda Agricola - Luciano Sandrone - Dolcetto d'Alba - 2007

J'ai failli me péter une artère pour extraire le bouchon. C'était lui ou moi et j'ai bien cru un moment qu'il aurait le dessus !
Une fois extrait, rien à dire, il est parfait.
La robe est grenat aux nets reflets violacés.
Le nez est très primaire, sur des notes mi fruits noirs mi lactées qui tendent à s'affiner à l'aération pour passer vers la réglisse.
La bouche est fraiche, tenue par une jolie acidité et une matière assez grasse mais assez peu avenant au niveau aromatique.
L'ensemble est peu complexe, limite écœurant par son côté ultra primaire type yaourt aux fruits des bois.
Le vin finit sur des notes un peu poussiéreuses qui n'appellent pas trop à se resservir.

J'espère qu'un ou deux ans de cave permettront à cette bouteille de trouver un point d'équilibre plus intéressant.

Luciano Sandrone - Valmaggiore Nebbiolo d'Alba - 2007

Première rencontre avec les vins de cette Azienda Agricola réputée.
Robe brillante, d'un beau rubis profond tirant vers le grenat.
Le nez est peu ouvert, je perçois des notes de tabac, de chocolat et de fruits rouges ténus. Plus de précision à l'aération et la complexité, timide, est pourtant là. Approche plutôt austère et noble. Ce n'est pas pour me déplaire.
En bouche, je suis frappé par la grande fraîcheur de ce vin et la douceur des tannins. Est-ce un trait commun des vins du Piemont dans ce millésime ? L'acidité est bien contrebalancée par une matière qui semble mûre. J'aime la finesse des tannins, la qualité de la matière et l'alcool parfaitement intégré. Ce Valmaggiore 2007 s'est amélioré sur plusieurs jours d'ouverture et semble mériter, je crois, une belle garde pour dévoiler tout son potentiel. J'aime beaucoup et je pense laisser mon autre bouteille dormir au moins 4/5 ans.

Phil:)

Sandrone Barolo Le Vigne 2006, carafé 3h

Une pure merveille. Un bouquet intense, raffiné, déjà fort complexe, mariant petits fruits, épices, notes florales et parfumées,
Une bouche dense, sans la moindre aspérité, compacte, au goût fort prononcé et avec une finale qui ne se termine jamais. Impressionant d'équilibre et de raffinement.

J'adore !

je tombe sur cette rubrique ouverte par Anthony en 2006 par un

que je partage entièrement. Le souvenir de cette bt bue bue chez Bertrand m'a fait faire des folies par la suite ... j'achète le Vigne ainsi que le Cannubi Boschis depuis qqs millésimes et ceci malgré son prix (trop) élevé ...

je suis heureux et ... surpris de lire que Le Vigne 2006 se boit déjà si bien

un producteur intéressant aussi pour ses vins moins haut de gamme

16 juin 2011 : Barbera d’Alba 2007 Luciano Sandrone

A l’ouverture, rien ou à peine plus !!!
Austère, fermé mais aristocratiquement charpenté ! L’air de rien (c’est le cas de le dire !), c’est timide, réservé et pourtant déjà à ce stade, on en redemande. Comme tout salaire se mérite, attendons, (wait and see, comme disent nos amis en glais !)

Un certain temps plus tard, de timides arômes de fruits et de chocolat commencent à se libérer. C’est ténu mais divinement raffiné, discret, plein de promesse et finalement loin d’une Barbera classique ! (Surtout des quelques 2009 dernièrement dégustées)

Plus tard (c'est-à-dire une demie bouteille plus loin, mais nous ne sommes pas pressés), les fruits rouges et noirs, les épices et le chocolat réapparaissent. La bouche se gonfle, les nuances se précisent, la finale s’allonge et l’émotion arrive.

Dire qu’au premier coup de nez, je me suis demandé si je dégustais bien une Barbera !!! !

Résumé : De la classe, encore de la classe, attendre impérativement 3 à 5 ans de plus ! Oui, cela sera difficile, mais vous en serez récompensé !

10Djé

P.S. : A l’écriture, je me retrouve dans les commentaires de P’titPhilou du 10 mars dernier. Merci.

claudius écrivait:

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> je tombe sur cette rubrique ouverte par Anthony en
> 2006 par un
>
>
> Sandrone Le Vigne 1990, Barolo
>
> Attention, chef d’œuvre !

L'an dernier Thomas nous avait amené Un Cannubi Boschis de 1990 et la même impression m'avait sauté à la figure tellement c'était évident. Ce vin était intense, complexe, un volume phénoménal, un touché de bouche hallucinant entre finesse, puissance toute contenue, qualité des tannins à tomber. Longueur ébouriffante.
Le genre de vin qui ne demande aucune concentration tant sa classe est évidente.

Un monument. Ma référence en Barolo à l'heure actuelle. Lors de cette soirée on avait débouchonné Cascina Francia 1994, 1997, 1999, 2001 de Giacomo Conterno et Cannubi Boschis avait complètement dominé les débats avec une aisance déconcertante.

J''achète du Cannubi Boschis quand je peux le trouver même si ce n'est pas donné (un peu moins de 100€ la quille). Le 2004 m'ai passé sous le nez (snif !)

Luciano Sandrone "Barbera" 2008
Robe pourpre. Nez sur des notes de kirsch et de confiture de framboise, puis senteurs de sous-étage, de bois (vanille) et traces chocolatées. Bouche ronde, soyeuse, gourmande, d’une belle fraîcheur, aux tannins polis, qui se laisse boire avec facilité. Un barbera sans arrière pensées. (26/30). Bu avec du gigot d'agneau "sambucano"
Mauri
mon BLOG

""L'an dernier Thomas nous avait amené Un Cannubi Boschis de 1990 et la même impression m'avait sauté à la figure tellement c'était évident. Ce vin était intense, complexe, un volume phénoménal, un touché de bouche hallucinant entre finesse, puissance toute contenue, qualité des tannins à tomber. Longueur ébouriffante.
Le genre de vin qui ne demande aucune concentration tant sa classe est évidente.""

Malheureusement , ce vin est passé derrière Rayas 90 ...il n'a pas existé !! C'était ma seule bouteille , achetée à prix d'or en Italie ...et encore , on m'a imposé d'acheter d'autres bouteilles pour l'obtenir . Bertrand , comme toi , je lui reste fidèle .....depuis le millésime 97 . Nous dégusterons certainement un 2001 ( mais également Monfortino 01 ) en Novembre chez l'ami Raymond ..maintenant que notre ami Charles accepte de découvrir les grands vins du Piémont !!

2004 ..nous en reparlerons dans 20 ans !!

Flûte alors,
si tu me dis, Jean Luc, que Cannubi Boschis 90 était inexistant après un Rayas 90.
Quelle doit être la dimension du Rayas ?
La réponse est simple : magique, indescriptible, il faut le goûter par soi même pour s'en rendre compte...
Bon, il ne me reste qu'à essayer de dégoter une bouteille.
Cela ne va pas être facile et à quel prix ?
Bah, je ne vais pas chercher à corps perdu une telle bouteille mais si l'occasion se présente, on verra...

Je vous souhaite tout le plaisir pour le Cannubi Boschis 2001 et Monfortino 2001 (le 2002 était sensationnel). J'ai hâte de savoir comment vous trouvez les 2001. Quelques dizaines de bouteilles avaient été ouvertes il y a quelques mois et je les avaient trouvé dans une phase difficile : Pas tout à fait en place au niveau des structures, aromatique réservée. C’était au début de l'année et cela a pu évoluer.

L'ami Jean Luc exagère !
Le Cannubi Boschis 90 était magnifique a quand même eu le temps de prouver sa grande qualité ....et sa jeunesse !
Il a eu c'est vrai la malchance d'être servi en même temps qu'un fantastique Rayas 90 et un non moins fantastique Richebourg DRC 1978 !

Luciano Sandrone «Valmaggiore Nebbiolo» 2008
Robe déchargée. Nez discret sur des arômes de amarena, de poivre blanc, de fleurs séchées. Puis, touche cacaotée. Bouche souple, veloutée, avec un retour de tannins au milieu de bouche, avec moins de matière et d’intensité que le 2007 mais avec une belle persistance, et une finesse qui fait penser par moments à un pinot noir. (26/30) Bu avec du gigot d’agneau à la sauce de poivrons rouges, miel, herbes, nebbiolo et stoemp aux épinards
Mauri
mon BLOG

S'il y a bien un domaine dont je ne comprends pas les vins, c'est bien ce dernier. Après une dégustation, cette année, très décevante, je tente à nouveau, sur un vin plus "mûr".

Barolo Le Vigne 2000 Azienda agricola Luciano Sandrone
Nez puissant (alcool). Cuir, fruit mûr. En bouche, c'est dense, on retrouve le cuir, le kirsch. La sensation d'alcool est quand même forte. Ce vin fait l'unanimité contre lui (8 personnes sur 9 ne l'aiment vraiment pas). Il a vraiment de la structure et quelque chose qui me retient. Un peu comme une salle dans la pénombre. C'est quand même bien décevant. 82/100 et confirme largement mes dernières impressions sur 2006 et 2007.

Je n'ai jamais bu de 2000 mais voilà bien un vin qui ne m'a jamais déçu, du sublime 1990 au magnifique 2006.

Bonsoir,

Luciano Sandrone Barbera d'Alba 2010
Robe sombre presque noire évoquant un Cornas, le vin est très puissant avec des notes rappelant la syrah. L'élevage est présent mais bien intégré. Les tanins sont encore saillants mais se marient admirablement avec une côte de boeuf en croute de poivre.

Très beau vin encore très jeune mais avec beaucoup de potentiel !

Cordialement,

Jean-Philipppe

Bu lors du VDEWS 2013

Azienda Sandrone, Nebbiolo d'Alba, 2010



Robe violacée.
Nez assez serré, sur les fruits noirs et des notes de résine.
Bouche ample, un peu statique qui déroule un ensemble plein et agréable, aux jolis tanins.
Finale simple et fraiche, sur de jolis goûts fruités.
Un bon vin, agréable.

Luciano Sandrone « Valmaggiore » Nebbiolo d’Alba 1999
La robe trahit l’age du vin à mes yeux même si mes collègues n’y voient que du feu
Evidemment quand on sait ce qu’on boit c’est toujours plus facile…
Le nez est très agréable et s’améliore au fil du temps
En bouche, c’est très beau,avec des notes de tabac,de goudron.
Par contre la finale est plutôt courte.
On sent que le vin est à point mais qu’il tiendra encore quelques années
Belle bouteille
14.5/20

Bu lors de cette dgustation : Piémont : nouvelle balade

Luciano Sandrone - Dolcetto d'Alba 2012

Bouchon "agglo". Parfait.
Robe violet foncé, légèrement trouble.
Au nez c'est une pure gourmandise, c'est frais, sur la fraise et la groseille.
En bouche, le vin est beaucoup plus puissant que le nez le laissait penser.
Les tanins se font extrêmement présents, c'est puissant sans être lourd, généreux sans être massif.
La bouche, très structurée, est accompagnée par une belle amertume.
Un vin bien fait avec en plus une belle longueur, bon quoi!
Je découvrais et franchement pour 10 euros il n'y a vraiment rien à dire!
Un excellent rapport Q/P (Pour vivre en Bourgogne, quand je vois que c'est le prix d'un régional pas toujours très avenant, cela me laisse songeur...)

De toute façon même quand on monte dans les crus, un grand Barolo se trouve dans les 70€ (certes, plus pour les ultra références) c'est quand même bien loin des sommets de la Bourgogne.

Bu Ici

Domaine Luciano Sandrone - Dolcetto D'Alba 2012

Bouteille aérée 12h suite à une ouverture de ce week end ou je me suis aperçu que le vin se goutait encore mieux avec une bonne aération.
Robe violet foncé, léger trouble.
Nez sur le poivre blanc (à l'aveugle certains pensent à un Gamay), pointe de thym.
La bouche est elle très dense, avec une belle mâche. Les tanins sont présents, sans lourdeur, ce vin est d'un équilibre redoutable qui a suscité à tous la réflexion qu'il devait être redoutable en accompagnement d'un bon repas.
Je confirme!

Bu lors du VDEWS 2014

Luciano Sandrone, Nebbiolo d'Alba, Valmaggiore, 2011



Robe très claire, presque rubis rosé.
Joli nez à la modestie franche extrêmement agréable, sur la grenade, les petits fruits rouges et une petite pointe d'élevage lactée qui partira à l'aération.
Bouche d'une délicatesse réussie, sur une matière douce et fine et une jolie acidité qui me plait beaucoup, par sa légèreté comme par ses petits goûts croquants, totalement sur le fruit.
L'acidité élevée participe de cette impression guillerette et franche jusque dans une finale toute en buvabilité à la présence tannique très agréable car légère et sans aucune sécheresse.
Un très joli vin infusé et pas prétentieux et que j'ai bu avec beaucoup de plaisir !

un retour sur la verticale des vins de Luciano Sandrine au Cavesa le 20 novembre ?

merci

claudius écrivait:

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> un retour sur la verticale des vins de Luciano
> Sandrine au Cavesa le 20 novembre ?
>
> merci

J'y étais ! Yep ! Mais j'ai pas vu Sandrine ;-)

Il me faudra quelques jours pour un CR. J'ai souvenir de très beaux vins (verticale de "le Vigne") mais à l'arrivée, je me sentais le palais un peu fatigué par la puissance tannique, plus par exemple que la verticale de Bussia de Parusso l'an passé . Je dois relire mes notes pour essayer de comprendre