oliv écrit:

Palmarès
Le letton Raimonds Tomsons est le Meilleur Sommelier du Monde !

www.terredevins.com/...


 

Un letton en or alors

Quel est le lien YouTube pour revoir les demi-finales et la finale? 
merci
frederic 

Ici : Meilleur sommelier  

Edit : battu sur le fil d'1sec par le meilleur LPVien du Monde

Un grand merci! 
f

oliv écrit:

Palmarès
Le letton Raimonds Tomsons est le Meilleur Sommelier du Monde !
www.terredevins.com/...
 

Ce qui est rassurant pour nous autres quand nous goûtons les vins à l'aveugle, c'est que même le meilleur sommelier du monde mis dans les mêmes conditions peut se tromper. Sur la série de 4 vins blancs à décrire et dont il faut trouver l'origine, il s'est trompé les 4 fois.

Il y avait 2 Riesling (n°1 = Allemagne et n°2 = Autriche) et 2 Sémillon (n°3 = Afrique du Sud et n°4 = Argentine) et tous les 4 du millésime 2021.

Le nouveau best sommelier a indiqué ceci.

n°1 = Grüner Veltliner d'Autriche 2020
n°2 = un moschofilero 2021, vin grec du Péloponèse, région de Mantinia
n°3 = un chardonnay Premier Cru 2018 de la Côte de Beaune
n°4 = un Chablis 2020

Ceci dit, quand on rapproche les cépages proposés par rapport aux vins qu'il mentionne et qu'il décrit, on peut comprendre son cheminement et pourquoi il est parti ailleurs. L'acidité du riesling peut faire voyager (vin n°1), son côté musqué parfois peut aussi balader le dégustateur (vin n°2). La richesse et le gras naturels du sémillon peut diriger vers un chardonnay d'un millésime solaire. Etc, etc... Nous avons tous expérimenté ce genre de divagation et les explications qu'on a donné après avaient toutes du sens 

En tous les cas l'épreuve est très intéressante à visionner dans sa totalité.

Un regret pour notre française Pascaline Lepeltier qui finit quatrième et qui de ce fait n'a pas pas participé à la finale à trois. C'est pas pire que la candidate danoise qui finit deuxième, comme lors de la précédente édition de 2019. Le Letton, lui, qui gagne le concours cette année avait terminé troisième en 2019.

Jean

Entretien
Pascaline Lepeltier, quatrième au concours de meilleur sommelier du monde 2023, revient sur son parcours et l'erreur qui lui a coûté sa place en finale.

www.larvf.com/pascal...

Podcast

A découvrir dans le podcast Le Bon Grain de l'Ivresse, les coulisses de la préparation de Pascaline Lepeltier pour le concours de Meilleur Sommelier du Monde. Avec des épisodes immersifs pendant ses entraînements, des interviews et un compte-rendu du concours --> Episode 1 lors de son premier entraînement à Paris

Entretien très intéressant sur les tendances post Covid à New York, les vins allemands, les prix etc…

www.wineandspiritsma...

Portrait
Guide Michelin 2023 : Gaby Benicio, sommelière d'Äponem, reçoit le prix de la sommellerie 2023.

avis-vin.lefigaro.fr...

Qui est prêt à payer plus de 200 euros pour une bouteille d'eau? 
Plate, l'eau? Pour une poignée de sommeliers passionnés, elle se déguste comme le vin et mériterait une place de choix dans les restaurants, au vu de ses richesses gustatives mais aussi en tant qu'alternative à l'alcool.


Extraits choisis:
Aurélien Farrouil, chef sommelier qui a fait de l'eau sa spécialité, conseille de la boire «entre les plats, et à une température de 10 degrés». Son restaurant doublement étoilé, La Grand'Vigne à Martillac, est un des rares en France à proposer une carte des eaux à part entière, avec une petite vingtaine de références. 

«Souvent c'est un choix binaire entre une plate et une effervescente», constate également Philippe Faure-Brac, président de l'Union de la sommellerie française, selon lequel «ça fait partie des questions qu'on peut se poser, d'autant que la consommation de vin, notamment à déjeuner, diminue».
S'il admet que «les clients posent moins de questions sur l'eau que sur le vin», il rappelle aussi qu'un sommelier doit pouvoir conseiller l'un comme l'autre «car selon la définition de son métier, il est le responsable de toutes les boissons». 

  Lessentiel.lu

bulgalsa écrit:

Qui est prêt à payer plus de 200 euros pour une bouteille d'eau? 
Plate, l'eau? Pour une poignée de sommeliers passionnés, elle se déguste comme le vin et mériterait une place de choix dans les restaurants, au vu de ses richesses gustatives mais aussi en tant qu'alternative à l'alcool.


Extraits choisis:
Aurélien Farrouil, chef sommelier qui a fait de l'eau sa spécialité, conseille de la boire «entre les plats, et à une température de 10 degrés». Son restaurant doublement étoilé, La Grand'Vigne à Martillac, est un des rares en France à proposer une carte des eaux à part entière, avec une petite vingtaine de références. 

«Souvent c'est un choix binaire entre une plate et une effervescente», constate également Philippe Faure-Brac, président de l'Union de la sommellerie française, selon lequel «ça fait partie des questions qu'on peut se poser, d'autant que la consommation de vin, notamment à déjeuner, diminue».
S'il admet que «les clients posent moins de questions sur l'eau que sur le vin», il rappelle aussi qu'un sommelier doit pouvoir conseiller l'un comme l'autre «car selon la définition de son métier, il est le responsable de toutes les boissons». 

  Lessentiel.lu
 

Pfffffff.......

oliv écrit:

Entretien très intéressant sur les tendances post Covid à New York, les vins allemands, les prix etc…

www.wineandspiritsma...
 

Autre entretien intéressant avec Aldo Sohm, sommelier à NY (Le Bernardin).

www.wineandspiritsma...

bulgalsa écrit:

Qui est prêt à payer plus de 200 euros pour une bouteille d'eau? 
Plate, l'eau? Pour une poignée de sommeliers passionnés, elle se déguste comme le vin et mériterait une place de choix dans les restaurants, au vu de ses richesses gustatives mais aussi en tant qu'alternative à l'alcool.


Extraits choisis:
Aurélien Farrouil, chef sommelier qui a fait de l'eau sa spécialité, conseille de la boire «entre les plats, et à une température de 10 degrés». Son restaurant doublement étoilé, La Grand'Vigne à Martillac, est un des rares en France à proposer une carte des eaux à part entière, avec une petite vingtaine de références. 

«Souvent c'est un choix binaire entre une plate et une effervescente», constate également Philippe Faure-Brac, président de l'Union de la sommellerie française, selon lequel «ça fait partie des questions qu'on peut se poser, d'autant que la consommation de vin, notamment à déjeuner, diminue».
S'il admet que «les clients posent moins de questions sur l'eau que sur le vin», il rappelle aussi qu'un sommelier doit pouvoir conseiller l'un comme l'autre «car selon la définition de son métier, il est le responsable de toutes les boissons». 

  Lessentiel.lu

Un article nettement plus mesuré sur le même sujet : www.20minutes.fr/foo...

Nomination
Union de la Sommellerie Française : Fabrice Sommier succède à Philippe Faure-Brac.

www.larvf.com/union-...
 

Entretien
"Le vin est devenu de l'or liquide", regrette le nouveau président des sommeliers de France, Fabrice Sommier.

france3-regions.fran...

Entretien 
"Un sommelier n’est pas un œnologue. Certains ont tendance à l’oublier".

Agitateur va apprécier ! ✊

www.vitisphere.com/a...

Etoilés
Les goûts de la clientèle des hôtels de luxe parisiens évoluent. Et en termes de vins, les cuvées de Bourgogne sont très demandées. Le bio et nature ne fait pas recette. Tour de piste.

avis-vin.lefigaro.fr...

oliv écrit:

Etoilés
Les goûts de la clientèle des hôtels de luxe parisiens évoluent. Et en termes de vins, les cuvées de Bourgogne sont très demandées. Le bio et nature ne fait pas recette. Tour de piste.

avis-vin.lefigaro.fr...

Le point principal de l'article me semble plutôt être l'engouement pour les accords mets-vins et le fait que les clients semblent être plus à l'écoute des sommeliers afin de retirer le maximum de "l'expérience". C'est un changement de paradigme notable dans une culture assez nombriliste et verticale (le client est roi, le client veut et l'intendance suivra). 

L'article note également une baisse de la consommation de vin en volume, et Eric Beaumard du Georges V y reconnaît l'effet de la forte inflation comme facteur contributif.

Je rajouterais également comme hypothèse complémentaire qu'avec la volonté actuelle des consommateurs de se rapprocher des producteurs, les personnes qui sont intéressés par les grosses étiquettes préfèrent opter pour des allocations plutôt que d'aller au restaurant de luxe à proximité pour y avoir accès. Le restaurant offrant une expérience sensorielle plus complète et moins reproductible qu'en contexte domestique alors qu'une grosse étiquette, des amis et une belle viande sont nettement plus faciles à réunir à la maison.

Quant aux vins naturels, il me semble que la transition est enclenchée et que leur part augmentera à l'avenir (à moins que les volumes ne puissent suivre).

Sinon je suis ravi d'apprendre que Lavinia a une liste de 1000 allocations et qu'ils ne m'en ont pas fait part alors que je suis référencé et bon client chez eux (sur de l'étranger pointu et uniquement en période de braderie certes  ).

 et Cédric Beaumard du Georges V y reconnaît l'effet de la forte inflation comme facteur contributif.

Pourquoi lui changer son prénom alors qu'il a le plus beau du monde ? Eric 

Eric B post= écrit:  et Cédric Beaumard du Georges V y reconnaît l'effet de la forte inflation comme facteur contributif.

Pourquoi lui changer son prénom alors qu'il a le plus beau du monde ? Eric 

Pour être raccord avec la coquille (même pas huître) sur le Chablis de Alice et Olivier De Mooren

Alsace
Antoine Pétrus M.O.F en sommellerie signe la carte des vins de Julien Binz.

nouvellesgastronomiq...

Attention, ça vient de sortir…….

Le sobrelier !

avis-vin.lefigaro.fr...

Je pensais qu'il en avait déjà été question sur LPV. Voici une vidéo qui explique sa démarche. Elle a déjà suscité des moqueries sur les réseaux sociaux. Mais personnellement, ses "cocktails" me donnent envie de les goûter.

La démarche n'est pas inintéressante, et moi aussi ça me donne envie de goûter !

M. 

Cet été j'ai eu le plaisir d'aller au restaurant Anema de l'hôtel St Julien à Biarritz. C'ets un restaurant éphémère qui sert jusqu'au 30 septembre.
Le barman s'appelle Jérémy Lauilhé, MOF 2023. Et bien je peux vous dire que sa carte des cocktails sans alcool est bluffante avec des jeux subtils sur les amers, les acides, les textures. Il y a un super travail sur les longueurs en bouche, la gourmandise. On a vraiment l'impression de retrouver la diversité des cocktails habituels mais sans l'alcool. Et ça se boit au même rythme qu'un cocktail classique. Une excellente expérience.

Sommellerie
Comment les cartes des vins s'adaptent à la récession.

www.wineenthusiast.c...

j'ai arrêté la lecture a 10%  de l'article, quand celui mentionne les grêves de travailleurs français ( cause retraite ) comme pb dans la supply. Partant de là, l'article ne peut pas être chose que du bidon journalistique.
Il est vrai ( d'un point de vue Uesse ) que suite à des émeutes facon Nahel, la France est moins fréquentable qu'Islamabad ou Kaboul aux heures sombres. Alors qu'aux States tout va bien, ils n'ont pas besoin d'émeutes pour avoir plus de morts pour 1XX XXX habitants que chez nous. Bref. 

Mais je vois bien l'excuse, j'en ai entendu parlé bien plus d'une fois. L'importateur US te tourne autour depuis 6 mois, 9 mois.....mais pendant ce temps il ne se passe rien. Quand il se décide, le vin est en cuve, et il veut que tout soit chargé dans le bateau qui part dans 2 semaines. Ben voyons. Donc le client pipeaute pour excuser son retard logique, il faudra attendre le prochain bateau.... les strickes seront un motif comme un autre. Tant mieux si l'importateur gobe ( pas sûr qu'il gobe mais il est conscient des limites si c'est un vrai pro ). Et ensuite le journaliste de service gobe la soupe servie, rien de neuf sous le soleil, ça ne vaudra pas un prix Albert Londres (quoi qu il y ait eu des escrocs primés, je pense à une....)

 

Sommellerie
Lucie Roussel décroche le Trophée Châteauneuf du pape des Jeunes Sommeliers.

www.terredevins.com/...

Entretien
Florent Martin : "Un bon sommelier doit avoir ses propres convictions, sa personnalité et les assumer".

www.lhotellerie-rest...