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Les trois publications d’Isabelle Perraud sur le compte Instagram Paie Ton Pinard au sujet du vigneron Sébastien Riffault sont "constitutives d’une diffamation" pour le tribunal judiciaire de Bourges. La première se dit "dépitée" et ne se prononce pas sur un appel, le second satisfait et envisage d'autres suites.Affaire Riffault-Perraud
"Le but n’est pas un lynchage contre Sébastien Riffault, mais que la parole des femmes se libère" dans la filière vin.
www.vitisphere.com/a...
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Affaire Riffault-Perraud
"Le but n’est pas un lynchage contre Sébastien Riffault, mais que la parole des femmes se libère" dans la filière vin.
www.vitisphere.com/a...
Les trois publications d’Isabelle Perraud sur le compte Instagram Paie Ton Pinard au sujet du vigneron Sébastien Riffault sont "constitutives d’une diffamation" pour le tribunal judiciaire de Bourges. La première se dit "dépitée" et ne se prononce pas sur un appel, le second satisfait et envisage d'autres suites.
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Parce qu'on est sur la passion du Vin peut-être ?pourquoi caractériser l'homme par autre chose ( sa profession par exemple ? ). Ca m'échappe.
On ne lit pas l'inverse, par exemple "une commerciale porte plainte contre un homme".
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Puisque tu vises l'homme dans sa masculinité, sans H majuscule donc, j'aurais plutôt écrit "C'est là qu'on se rend compte que certains hommes sont de dangereux prédateurs".Depuis le début de l'ère #metoo, on ne peut que constater qu'aucune profession n'est épargnée. C'est là qu'on se rend compte que l'homme (dans sa version masculine) est un dangereux prédateur.
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Pou mettre tout le monde d'accord, et aller dans le sens de l'éducation et de la culture, je propose l'installation de bar à vin dans les cours d'école. Admettons, à partir du collège.Quand on constate qu'il y a des stéréotypes de genre cultivés dès la crèche (% de jouets plutôt destinés aux garçons qu'aux filles), qui se poursuivent à l'école (quelle place pour le terrain de foot/handball et quelle place accordée aux filles dans la cour de récréation), peut être qu'on pourrait faire mieux non?
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Non, bien sûr, pas tous les hommes. Mais depuis que la parole des femmes se libère, c'est tout de même hallucinant de voir à quel point notre société est gangrenée par des harceleurs / violeurs en tous genres. 81 % des femmes disent avoir été victimes de harcèlement sexuel dans les lieux publics. Pour arriver à ce chiffre, il faut tout de même un paquet d'hommes qui se comportent mal...
Puisque tu vises l'homme dans sa masculinité, sans H majuscule donc, j'aurais plutôt écrit "C'est là qu'on se rend compte que certains hommes sont de dangereux prédateurs".Depuis le début de l'ère #metoo, on ne peut que constater qu'aucune profession n'est épargnée. C'est là qu'on se rend compte que l'homme (dans sa version masculine) est un dangereux prédateur.
Je ne suis pas un prédateur et je connais une flopée d'hommes qui n'en sont pas.
Comme mon message n'a absolument rien à voir avec le vin, c'est le seul message que j'écrirai à ce sujet, quels que soient les réponses et les rebonds qui pourraient y être donnés.
Luc
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Non, bien sûr, pas tous les hommes. Mais depuis que la parole des femmes se libère, c'est tout de même hallucinant de voir à quel point notre société est gangrenée par des harceleurs / violeurs en tous genres. 81 % des femmes disent avoir été victimes de harcèlement sexuel dans les lieux publics. Pour arriver à ce chiffre, il faut tout de même un paquet d'hommes qui se comportent mal...
Puisque tu vises l'homme dans sa masculinité, sans H majuscule donc, j'aurais plutôt écrit "C'est là qu'on se rend compte que certains hommes sont de dangereux prédateurs".Depuis le début de l'ère #metoo, on ne peut que constater qu'aucune profession n'est épargnée. C'est là qu'on se rend compte que l'homme (dans sa version masculine) est un dangereux prédateur.
Je ne suis pas un prédateur et je connais une flopée d'hommes qui n'en sont pas.
Comme mon message n'a absolument rien à voir avec le vin, c'est le seul message que j'écrirai à ce sujet, quels que soient les réponses et les rebonds qui pourraient y être donnés.
Luc
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En 2023, le harcèlement de rue se banalise comme en témoigne l'actualité récente en Seine St Denis, c'est un fait.81 % des femmes disent avoir été victimes de harcèlement sexuel dans les lieux publics. Pour arriver à ce chiffre, il faut tout de même un paquet d'hommes qui se comportent mal...
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Le fameux "not all men".
Je sais que je tire souvent dans l'eau ici sur ce sujet et en fait je m'en fiche un peu car je pense que c'est nécessaire. Ce qui peut être enrichissant pour ceux qui souhaitent faire l'effort c'est d'essayer d'écouter dans une attitude d'ouverture et d'apaisement les messages d'associations comme noustoutes.org. Si vous avez des filles, c'est même indispensable.
www.noustoutes.org/c...
Evidemment que tous les hommes ne sont pas des violeurs ou des agresseurs sexuels mais la réalité c'est que les agresseurs sont quasi exclusivement des hommes et c'est ça le message que les neo-feministes veulent faire passer par du "men are trash" etc... pas grand chose ne bouge et que certaines tendances s'aggravent.
Perso je vis très bien ma vie d'homme cisgenre, je n'ai pas besoin de défendre une quelconque masculinité face à une menace que je ne perçois pas.
Ce que je trouve hallucinant, c'est de voir des hommes se sentir en danger face à un soit disant diktat féministe/#metoo qui les empêcherait de vivre.
Personne ne m'a jamais empêché de faire ce que je veux, je n'ai jamais eu une Sandrine Rousseau me faire jeter un gigot d'agneau en sortant de chez le boucher ou une Caroline de Haas me baffer parce que j'ai sorti une blague douteuse (mais très drôle, on était mort de rire) à mon frère.
Par contre, je fais attention à ne pas avoir des comportements sexistes envers mes collaboratrices, les femmes de ma famille, mes amies et toutes les autres femmes que je croise. C'est ce que cela m'a appris.
Une des choses que les militant.e.s veulent, c'est une société plus égalitaire où l'on réfléchit à la place qu'on donne aux filles est la même que celle qu'on donne aux garçons mais aussi aux intersexes, trans et non binaires.
Quand on constate qu'il y a des stéréotypes de genre cultivés dès la crèche (% de jouets plutôt destinés aux garçons qu'aux filles), qui se poursuivent à l'école (quelle place pour le terrain de foot/handball et quelle place accordée aux filles dans la cour de récréation), peut être qu'on pourrait faire mieux non?
Grosse étude disponible ici: www.igas.gouv.fr/IMG...
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