Tout est une question de revenus par rapport à l'effort fourni.
Je précise pour les lecteurs qui n'auraient pas compris.
L'effort ici n'est pas en litre de sueur, il est financier en ROI.
Je laisse de côté les marchés de niches ( genre le maraicher en AMAP ).
Si on se porte vers les produits plus mondialisable ( ou le prix transport est absorbable, ou le côté périssable est contenu ou maitrisable, etc...), donc vers les produits dits banalisés, alors:
- sur une prod fortement mécanisée ( type céréales ), le delta de coût versus un pays discount sera réduit au foncier, au litre de rouge ( le gazole non routier ) et aux revenus / salaires chargés sur le boss et les quelques maigres salariés. Le même tracteur va pas coûter 2 fois moins cher en Ukraine qu'en France, voir même il y a qq année la semence y était même plus chère.
- inversement, avec bcp de MO ( bcp de passages de tractoristes, main d'oeuvre manuelle abondante, etc...) alors là c'est effectivement bcp plus compliqué en franconie.