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Le vigneron français, une espèce en voie de disparition ?

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Les utilisateur(s) suivant ont remercié: Moriendi
24 Mai 2023 09:07 #1
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Est-ce que cela ne suis pas la même courbe que la baisse des exploitations agricoles ? Et n'est-ce pas aussi logique, vu la baisse de la consommation de vin ?

Olivier
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24 Mai 2023 10:48 #2

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Est-ce que cela ne suis pas la même courbe que la baisse des exploitations agricoles ?
Olivier


 

Très juste !

"En 2016, la France métropolitaine compte 437 400 exploitations agricoles.
Leur nombre a baissé de plus de la moitié en 30 ans. Depuis 2010, le nombre de fermes recule en moyenne de près de 2 % par an."
www.insee.fr/fr/stat...

En 2020, le total était de 416054 exploitations.
chambres-agriculture...
 
24 Mai 2023 12:28 #3

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La figure 6 de l'Insee est très révélatrice avec des reculs dans tous les secteurs sauf pour les fermes céréalières qui voient leur nombre augmenter fortement.
Tout est une question de revenus par rapport à l'effort fourni.

Sylvain
24 Mai 2023 15:23 #4

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Tout est une question de revenus par rapport à l'effort fourni.

Je précise pour les lecteurs qui n'auraient pas compris.
L'effort ici n'est pas en litre de sueur, il est financier en ROI.

Je laisse de côté les marchés de niches ( genre le maraicher en AMAP ).

Si on se porte vers les produits plus mondialisable ( ou le prix transport est absorbable, ou le côté périssable est contenu ou maitrisable, etc...), donc vers les produits dits banalisés, alors:
- sur une prod fortement mécanisée ( type céréales ), le delta de coût versus un pays discount sera réduit au foncier, au litre de rouge ( le gazole non routier ) et aux revenus / salaires chargés sur le boss et les quelques maigres salariés. Le même tracteur va pas coûter 2 fois moins cher en Ukraine qu'en France, voir même il y a qq année la semence y était même plus chère. 
- inversement,  avec bcp de MO ( bcp de passages de tractoristes, main d'oeuvre manuelle abondante, etc...) alors là c'est effectivement bcp plus compliqué en franconie.
24 Mai 2023 19:21 #5

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