>J'ai remercié Catherine pour la bouteille offerte et je garderai un très bon souvenir de cette dégustation en compagnie d'une vigneronne passionnée et chaleureuse.

C'est d'autant plus remarquable que le domaine n'a pas besoin de courir après les clients.

Mais manu après la dégustation de ce pinot VT et vu que beaucoup de vin alsacien soit disant sec se trouve assez moelleux, est ce que tu es prêt à revenir sur ta doctrine : "Je n'aime pas les blancs secs," ?

Oui, si ce n'est pas écrit VT sur l'étiquette mais que le vin est suffisamment sucré pour mon goût je veux bien.
Mais comme j'ai écrit dans le post Tariquet, j'ai déjà goûté quelques Bourgognes tels que Meursault ou Chablis de bons producteurs mais je n'ai jamais vraiment apprécié. Même les Condrieus plus gras et un peu moins minéraux ne me conviennent pas. Par contre dans la rubrique Cave vinicole de Hunawihr, je décris un Gewurztraminer GC Froehn 2003 que j'ai beaucoup aimé car il n'était pas VT mais contenait une sucrosité suffisante à mon goût. En fait, je dois dire que je déteste moins les blancs secs alsaciens que bordelais, bourguignons ou rhodaniens mais il me faut tout de même un minimum de sucre pour apprécier car je trouve le blanc sec trop minéral et acide.
Peut-être que si quelqu'un me fait goûter un Montrachet DRC, je changerai d'avis. Sinon, je le cracherai.

Manu

Ces deux vins bus la semaine dernière me donnent vraiment envie de poursuivre la découverte de ce domaine !

Le Clos des capucins "réserve particulière" 2007, bu pour lui même en apéritif avec mon frère, m'a vraiment impressionné pour une "entrée de gamme". Une belle robe jaune citron, Le nez présente un superbe mélange de notes citronées, de thé, de fenouil. En bouche, on attaque sur une franche acidité pour terminer sur une délicate pointe de sucrosité, j'adore cette sensation.

J'ai goûté en dégustation à la Vignery le pinot gris "Altenbourg" 2008. J'ai trouvé ce vin tout bonnement magnifique (dans mon humble référentiel, je ne suis pas expert des vins d'alsace, moin de là...). N'ayant pas pris de notes, je ne saurais le décrire avec précision. Des équilibres sucre / acidité époustoufflant, une belle complexité, du grand art ! Il n'y en avait plus qu'une que j'ai prise. Rendez-vous dans quelques années pour, à n'en pas douter, un grand moment !

Cordialement.

Philippe

Ces vins sont sur une gamme de prix stratosphérique, pas toujours justifié. Mais c'est l'apanage des maisons de grande réputation et pas seulement en Alsace.

Domaine Weinbach Riesling Grand Cru Schlossberg 2008
Mes impressions :
Robe : jaune pale brillant à reflets verts
Nez : un nez racé et fin : une palette aromatique pas très large, mais très des arômes très nets d’agrumes (oranges), acacia
Bouche : une attaque nerveuse et une bouche pleine et très concentrée. L’alliance improbable et très réussie de la rondeur et du caractère sec grâce à une acidité affirmée avec un très grand soupçon de minéralité. Légère amertume en fin de bouche.
Très beau vin.

Domaine Weinbach Gewurztraminer Grand Cru Furstentum 2008
Mes impressions :
Robe : jaune pâle à reflets verts
Nez : un nez d’intensité forte composé fleur de sureau, pamplemousse, coing et lichi. Un nez à la fois élégant par sa netteté et puissant.
Bouche : excellente balance sucre-acidité ; une tension relative, mais un vin bien solide. Très grande finale

Luc

Wahou, ce serait pas un peu jeune pour ouvrir de telle bouteille.........

[size=x-small]PS: J'ai mis un peu pour pas dire beaucoup trop[/size]

Certes, mais cela ne les a pas empêchés d'être déjà excellents en tous points.

Luc

Certes, millésime oblige, mais tout de même.
Enfin, chacun voit midi a sa porte; au moins, ca te donne déjà une idée de ce que ça sera dans 10 ans........

Domaine Weinbach Riesling GC Schlossberg 1999

Bue au cours de la dégustation suivante de dimanche dernier :

Champagne Bollinger Grande Année 2002, avec boudin blanc aux morilles : 17,5 / 20
Riesling GC Schlossberg Weinbach 1999, avec un cake à la choucroute : 17,5 / 20
Coteaux du Languedoc blanc Prieuré Saint Jean de Bébian 2005, avec des filets de rouget marinés : 17 / 20
Sancerre rouge Gérard Boulay 2000, avec une panna cotta aux girolles : 16 / 20
Côtes du Rhône Domaine de Gramenon La Sagesse 2005, avec une terrine de porc aux herbes fines : 15 à 16
Clos de la Roche Vincent Girardin 2001, avec une terrine de porc aux herbes fines : 17,5 / 20
Pessac Léognan La Tour Haut Brion 2000, avec des noisettes de filet d'agneau : 17 / 20
Pauillac Lynch Bages 1990, avec des brochettes de magrets : 17 / 20
Pedro Ximenez Montilla Moriles 1979, avec du stilton et du roquefort : 16 / 20
Maury Mas Amiel Charles Dupuy 2004, avec une tarte au chocolat fondant : 17,5 / 20

La robe est très belle et d'un or dense.
Le nez est puissant, sur les hydrocarbures et les fruits blancs (prunes), d'une très grande finesse.
La bouche se montre plus fruitée (fruits blancs avec une pointe citronnée) et d'une belle ampleur, avec un peu de gras et quasiment sans SR. La finale est superbe, la minéralité ressort, sans aller jusqu'aux notes pétrolées. Un vin de classe : 17,5 / 20.
Bel accord avec un cake à la choucroute.

Jean-Loup

Bonjour Jean Loup
Toujours de belles dégustations éclectiques.
Ca rassure sur certaines bouteilles en cave.
J'aimerais bien connaitre STP la recette du cake à la choucroute et celle de la panna cotta aux girolles.(Pas évident au départ avec un Sancerre rouge)

Domaine Weinbach, Clos des Capucins, Pinot Gris Altenbourg Cuvée Laurence 2003
Demi bouteille.

Il y a du sucre mais le tout est beaucoup mieux intégré qu'il y a un an. Un peu de petrolé, du miel, un peu de fruits exotiques, la bouche garde de la fraicheur, le tout est gourmand mais pas très expressif, belle accord sur un fois gras.

francois999 écrivait:

---

> >J'ai remercié Catherine pour la bouteille offerte
> et je garderai un très bon souvenir de cette
> dégustation en compagnie d'une vigneronne
> passionnée et chaleureuse.
>
> C'est d'autant plus remarquable que le domaine n'a
> pas besoin de courir après les clients.
>
> Mais manu après la dégustation de ce pinot VT et
> vu que beaucoup de vin alsacien soit disant sec se
> trouve assez moelleux, est ce que tu es prêt à
> revenir sur ta doctrine : "Je n'aime pas les
> blancs secs," ?
Cela a été bien vrai et on le ressentait. Maintenant apparemment, cela l'est moins ?

Riesling Domaine Weinbach cuvée theo 2007

nouvelle bouteille bue 2 ans après la première.
Cette fois le vin apparaît beaucoup plus sec et minéral, avec beaucoup moins de gras. Les arômes sont dominés par des notes citronnées très nettes, avec des fleurs blanches. C'est très minéral, assez long, mais je trouve que le vin manque de complexité par rapport à mon souvenir.
S'agit-il d'une mauvaise période, ou d'un tournant évolutif du vin ?

cordialement

eric

Domaine Weinbach Riesling GC Schlossberg 2009

Bue mercredi en dégustation, mais j'ai perdu mes notes ...
De mémoire, j'ai été étonné par les notes pétrolées déjà présentes au nez. En bouche c'est également le cas, avec pourtant un manque de tension qui viendra peut-être au vieillissement.

Jean-Loup

Domaine Weinbach Clos des Capucins, Riesling SGN 1997

Vin bu il y a 1 mois et 1/2 à l'occasion d'une réjouissante rencontre du ZWTG.

Robe : brillante, lumineuse.

Nez : miel, pierre, abricot. On ne trouve pas par évidence une typicité, ni de note pétrolée, Mais les effluves attirent indubitablement.

Bouche : De la personnalité, mais pas une typicité là encore. En tout cas, à l'aveugle tout le monde est quelque peu perdu.
Sapide, onctueux dès l'entrée en bouche.
Jolie acidité citronnée, qui anime des saveurs de coing, de verveine, de miel, du botrytis. Un retour sur l'abricot senti au nez.
C'est long, c'est bon, c'est léger en bouche malgré une richesse évidente, mais très équilibré et frais.
Un vin vibrant qui a ponctué très joliment

Cordialement,
dfried

Domaine Weinbach Clos des Capucins, Riesling Quintessence de Grains Nobles Cuvée d'Or, 2000 demi-bouteille

A l'abordage donc, le bouchon est absolument parfait, imbibé sur 2 mm environ et sent divinement bon. A ce moment je jubile, je ne tiens plus en place, je saute tellement haut que j'égale les 6m03 de Renaud Lavillenie...mais sans perche! >

Bues lors d'une dégustation sur l'Alsace.

Weinbach Riesling GC Schlossberg Sainte Catherine 2008
Robe paille.
Nez assez intense où la minéralité (pierre) montre le bout du nez (c'est vrai j'abuse de celle-là !).
A ce stade l'acidité en bouche domine la minéralité.
A attendre impérativement de nombreuses années pour que la prépondérance s'inverse entre acidité et minéralité. 15,5 / 20 maintenant; beaucoup plus sans doute dans 10 ans.

Weinbach Riesling GC Schlossberg Sainte Catherine 2007
Robe paille soutenue.
Nez sur les fruits blancs et la prune.
En bouche, un peu de minéralité, une belle acidité, un peu de SR, mais quelques notes moins agréables (pointe d'oxydation ?). 15 / 20.

Weinbach Pinot Gris Altenbourg 2009
Robe paille.
Nez assez intense, d'une grande finesse, sur les fruits blancs avec une pointe fumée.
La bouche est ronde et grasse, presque riche (25 g/l de SR !), équilibrée par une très belle acidité, sur des arômes lardés, avec une magnifique longueur.
Pour ceux qui aiment ce type d'équilibre orienté vers la richesse (je n'étais pas le seul ce soir-là), un superbe Pinot Gris : 17 / 20.

Weinbach Pinot Gris Altenbourg 2008
Robe paille légèrement plus soutenue que le 2009.
Nez ouvert sur les fruits exotiques, avec une pointe d'acidité volatile.
Attaque ample et riche, avec plus d'acidité que sur le 2009, et même un peu trop car cela déséquilibre la finale. Comme pour le Riesling de la même année, à attendre impérativement.
15,5 / 20 à ce stade.

Weinbach Gewurztraminer SGN GC Mambourg 2006
Robe d'un bel or.
Nez très intense, sur les fruits confits.
Bouche d'une grande richesse, au sucre très présent, à la texture presque huileuse, avec heureusement une belle fraîcheur en finale apportée par l'acidité.
Sans doute à attendre pour que tout cela se fonde et s'harmonise (je pense à l'acidité qui devrait intervenir plus tôt dans la séquence). Il me semble tout de même manquer un peu de fruit pour faire de cette bouteille prestigieuse un grand vin. 16,5 / 20.

Jean-Loup

Je me retrouve tout à fait dans le commentaire de Jean Loup pour ce vin bu hier soir. Mise à part que le côté ressortait plus qu'il y a un an. Une énorme acidité et une très bonne longueur
Très bien

Bonjour à tous,
Dégusté sur une belle sole grillé, ce vin m'a transporté !

Riesling Schlossberg Domaine Weinbach Cuve Ste Catherine 2010 : Un nez fin, élégant, un peu fermé certes, mais quelle distinction, avec déjà de la complexité, agrume, pamplemousse, citron, note silex, pierre chaude, pointe fleurie, fond presque tourbée, et léger pétrole. La bouche est magistrale, puissance et équilibre, matière ample et soyeuse enrobant une trame vive, de la profondeur, de la précision, c'est cristallin, agrume mûr, pointe fleurie églantine, aubépine, note silex , pierre chaude, pointe pétrole. La finale est puissante, dense, longue, pointe de gras pour adoucir, agrume mûr, citron, silex, pierre, fond tourbée, pétrole et grande persistance. Magnifique. Excellent + 95-98 (18-19)
Amicalement, Matthieu

Matthieu a écrit : Ce vin m'a transporté !

Bonne pioche, car je n'aurai jamais osé l'ouvrir si jeune ...

Amitiés oenophiles,

Jean-Loup

Bonjour Jean Loup,
j'ai un peu hésité car je n'en ai pas beaucoup ! Mais quitte à les ouvrir jeune, il faut le faire très jeune, et j'aime bien découvrir les vins quand ils sont très jeunes. Une autre forme de plaisir. Un effort pour les comprendre, pour évaluer et un plaisir plus immédiat. En tout cas ce Schlossberg vous le rend bien. Encore un peu stricte, certes, on ressent quand même la très grande quille, on sent la complexité, la finesse, la richesse... En tout cas beaucoup de plaisir !
Amicalement, Matthieu

Bouteille ouverte juste avant le repas, prévue en accompagnement d'asperges.
Bouteille servie un peu trop fraîche, ce qui aura son importance ...
Robe verte translucide.
Nez absent, inexpressif.
A ce stade, je suis très inquiet, mes convives essaient de trouver ce qui se cache sous la chaussette ... je suis entre "stupeur et tremblements" ...
L'attaque est comme le reste, insipide ... Les invités trouvent la région, le cépage sera vite démasqué mais le GC est encore loin !
1/2 heure plus tard et 2-3° de plus, le vin livre enfin l'expression de son terroir, la matière se découvre, les fruits également, d'aucuns lui trouvent des accents de fruits blancs, d'autres d'agrumes mais ce qui l'emporte c'est définitivement une longueur citronnée d'une intensité rarement rencontrée !
La température et l'aération auront vraiment emportés le vin vers des sommets !
BRAVO, c'est très bon, on a adoré !

Cordialement,
Guillaume.

Guillaume,
Ca allait bien sur les asperges??

Oui Eric, l'accord avec les asperges a fonctionné à merveille ...
Surtout parce que ces dernières étaient accompagnées d'une mayonnaise légère et non d'une vinaigrette !
Sincèrement je recommande. Nous, on s'est régalé, c'est bien là l'essentiel.

Cordialement,
Guillaume.

Bonsoir à tous,

Grande dégustation mercredi dernier entre amis autour d'un dîner. Chaque convive est venu avec 1 ou 2 bouteilles. Au final, 9 vins de grande facture étaient proposés parmi lesquels Vougeot blanc 1C 2009 du Domaine de la Vougeraie, Puligny-Montrachet 1C 2007 de Louis Carillon, Cornas 1998 de Th. Allemand, CDP 1992 d'Henri Bonneau...

Mais, il y avait également un match entre 2 poids lourds : Riesling Clos St Hune 2004 du Domaine Trimbach vs Riesling Schlossberg cuvée Ste Catherine 2004 du Domaine Weinbach.

Autant vous dire tout de suite que les vins étaient magnifiques mais chacun dans son registre

Déjà, la robe du Clos St Hune est plus claire que celle du Schlossberg : jaune pâle contre jaune doré. Le nez et la bouche du Clos St Hune sont sur le fruit (nez retenu tout de même), là où le Schlossberg est sur le fruit et propose également des notes florales. Le premier est sur la fraîcheur et la salinité, là où le second est sur la rondeur, la sucrosité (légère). Le Clos St Hune est costaud en bouche, masculin, il est là pour dominer alors que le Schlossberg joue tout sur la finesse : j'ai l'impression que le milieu de bouche est "soyeux", que la gorgée finit "tout en dentelle". En boxe, on dirait que l'on a un "puncher" face à un esthète, Marvin "Marvellous" HAGLER face à Ray "Sugar" LEONARD !! Et que dire de leur interminable longueur respective : est-ce que cela vous est déjà arrivé lors d'une dégustation comparative de vouloir passer à l'autre verre en pensant que le vin précédemment dégusté avait tout donné mais que finalement non, il vous en donne encore et encore et encore ? Eh bien, moi c'était la première fois. Quelle sensation. Et c'est arrivé dans les 2 sens. Superbe.

Au final, même si j'ai regretté la défaite d'HAGLER (mon favori) contre LEONARD lors de leur combat historique de 1987, j'avoue cette fois-ci ma préférence pour la finesse et la rondeur de ce Schlossberg.

BRAVO aux 2 vignerons.

Bonne soirée.

Aimé

Ce Weinbach riesling Schlossberg cuvée Sainte-Catherine 2002 est pour moi l'archétype du grand riesling. Un nez d'hydrocarbure certes mais sans ostentation, équilibré, raffiné , dans l'épure. Une bouche tout en structure où l'acidité étire et étire encore le vin jusqu'à la finale teintée d'une amertume noble.

Un grand riesling mais qui ne conviendra pas à tout le monde. Mon compagnon de table, moins amateur que moi de l'Alsace, n'a pas apprécié. Je pense que c'est un vin qui demande donc un peu de culture alsacienne pour être apprécié.

Salut Maxime,

ton post m'incite à rendre compte d'une dégustation de trois vins de Weinbach dégustés chez un caviste mercredi, en commençant par ce

Riesling Schlossberg cuvée Sainte-Catherine 2009 Weinbach

La robe est paille, aux reflets très verts.
Le nez puissant explose sur les arômes d'hydrocarbure (j'ai entendu pétrole, vieux pneu, caoutchouc ...). Après aération une pointe citronnée apparaît.
La bouche est également marquée par ces arômes d'ydrocarbures mais montre plus de complexité, avec un peu de gras à l'attaque, une belle acidité et de la persistance.
Difficile de noter un tel vin selon que l'on est réfractaire ou que l'on adore ce type de vin. Pour ma part, qui suis entre les deux, je trouve que ces arômes typés auraient dû apparaître plus tard, avec le vieillissement, pour apporter de la complexité et non tout dominer. Donc 15,5 / 20 pour moi mais les notes des partoicipants, si on leur avait demandé, devait aller de 8 à 17 / 20 !

Jean-Loup

Pinot gris Altenbourg 2010 Domaine Weinbach

La robe est dorée avec des reflets verdatres.
Le nez est puissant, exotique (mangue, litchi) et miellé, presque envoutant (notes de colle blanche, on a l'impression de sniffer ! ).
Après une attaque perlante sur le bout de la langue, la rondeur est apportée par le SR (32 g, c'est beaucoup ...), mais il y a du fruit et de la vivacité, toutefois insuffisante pour effacer cette impression de liqueur trop présente.

Un vin pas encore en place, à revoir dans deux ou trois ans. 15 / 20 mais peut évoluer vers 17 / 20 quand les sucres se seront fondus et que tout sera bien calé.

Jean-Loup

Gewurztraminer 2009 Domaine Weinbach

Robe or clair.
Nez très intense et typé : rose et litchi.
En bouche, du gras, beaucoup de fruit et un peu de SR (que j'estime à 15-20 g), avec comme il se doit pour les bons gewurtz une belle amertume en finale. Bien que n'étant pas un grand fan des gewurzt, j'ai bien apprécié celui-ci : 16 / 20.

Jean-Loup

Weinbach Riesling Schlossberg 2004 13,5%

Très beau nez très pur sur le citron sicilien mur avec un coté marin évoquant avec de la finesse l’huitre. La bouche propose de la concentration, de la puissance en milieu, une belle acidité bien intégrée et un poil de rondeur et/ou sucrosité mais sans aucune lourdeur, c’est pour moi un très bel équilibre entre le tranchant et la rondeur qui permet de se régaler aussi bien pour lui-même qu’en gastronomie. La finale plutôt longue consolide l’impression d’un très bon vin. Très belle bouteille.

Att.

Fabien.