Une nième version de ce texte magnifique de Bernard Dimey, " Si tu me payes un verre" extrait du dernier album de Renaud.
Pour les fans de l'artiste ...
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Je vous propose de découvrir un morceau plutôt obscur et anecdotique du grand Roy Orbison qui date de 1972, une époque où il était au creux de la vague et enregistrait un peu n'importe quoi. Ca ne veut pas dire que ce morceau est du n'importe quoi ! Quoique... En tous cas niveau paroles, ça l'est certainement. Life could be sweet, sweet Beaujolais
Beautiful dream on a beautiful day
Are you what you seem, sweet Beaujolais
A un moment Roy chante en Français, bonne chance pour comprendre ce qu'il raconte. Je déchiffre ça (mais je ne garantis rien) : Très bon Chablis, ca sent du nez
Ma fleur de lys, je t'aime Beaujolais
Je vous avais prévenu hein, c'est pas son chef d'oeuvre et je ne préfère pas savoir ce qu'il avait bu avant d'enregistrer. I love Beaujolais too Roy !
“N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi.” - Cioran // Serge
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Je vous propose de découvrir un morceau plutôt obscur et anecdotique du grand Roy Orbison qui date de 1972, une époque où il était au creux de la vague et enregistrait un peu n'importe quoi. Ca ne veut pas dire que ce morceau est du n'importe quoi ! Quoique... En tous cas niveau paroles, ça l'est certainement.
Je vous avais prévenu hein, c'est pas son chef d'oeuvre et je ne préfère pas savoir ce qu'il avait bu avant d'enregistrer.
La voix est magnifique, comme toujours!
A noter que l'intro musicale rappelle furieusement celle de What a Feeling chanté par Irene Cara dans le film Flashdance mais dans une tonalité différente. Beaujolais a été composé en 1972 et What a Feeling en 1983. Le célèbre Giorgio Moroder, compositeur de What a Feeling, se serait-il inspiré de l'intro du grand Roy Orbison?
...Buvons, buvons
Toutes les nuits, jusqu’à l’oubli
À nos amis, nos ennemis
Jusqu’à la lie
À nos emmerdes, à nos beaux jours
À la jeunesse sans retour
À nos amours
Buvons ...
Charles Aznavour - "Buvons"
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Trio anglais de pop baroque, cabaret, chanson et autres déviances musicales, les Tiger Lillies sont à la chanson bien coiffée ce qu'une murge est à une dégustation érudite, un bal popu à un concert de charité présidé par Charles III ou une exploration nocturne du Père Lachaise sur les traces des mânes de Jim Morrison à une visite du Louvres.
Pour le centenaire de la naissance de la môme Piaf, les Tigres ont rugi un album en son honneur, d'où j'extrais ce morceau à vocation soûlographique, comme d'ailleurs une bonne partie de leur oeuvre qui fréquente volontiers les bars miteux, les caniveaux et les hospices d'aliénés.
“N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi.” - Cioran // Serge
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En hommage à François Hadji-Lazaro qui vient de nous quitter, un incunable de la scène indé de la fin des années 80 : Du Beaujolais (pour oublier la nuit où est partie Marie). Sur l'air de "No Milk Today" de Herman's Hermits.
“N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi.” - Cioran // Serge
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Nous sommes en 1966. Eric Clapton, en rupture de ban, fonde un trio qui est aussi le premier "super groupe" de l'histoire du rock. Et il s'interroge* : Who wants the worry, the hurry of city life?
Money, nothing funny, wasting the best of our life.
Thème hippie récurrent, le retour à la nature imprègne le rock et le psychédélisme de l'époque. Le remède à la vie harassante de la grande ville ? La douceur du vin. Qui sur LPV lui donnera tort ?
*Techniquement c'est Ginger Baker, le batteur et co-auteur du morceau, qui s'interroge. On me pardonnera la licence poétique.
“N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi.” - Cioran // Serge
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