Sans conteste un chef ( encore un Japonais ! )qui "monte" à Lyon .
Ancien de Le Bec à ses débuts à la cour des Loges : on le retrouve dans ce qu'il avait de meilleur .

Voici l'excellent menu à 28€ (midi seulement ) que nous avons pris :

Amuse bouche
Cèpes, Coulemelles de Lozère , crumble de noisette au jus de volaille
Dos de cabillaud à la vapeur, coco de Paimpol et girolles clou crème de Homard
Figues noires de Sollies au Porto calisson d'Aix au zeste d'agrumes
Mignardises

Le portions sont plutôt petites mais tout était raffiné , recherché , original et très bon .
La carte des vins est courte mais intéressante .Nous avons bu un Bourgogne blanc 2011 de Roulot à 30€ sur table qui, après ouverture dans le verre s'est révélé superbe de fruit et de tension "contenue".

Le cadre est moderne élégant ( peu de couverts : prudent de réserver )

De quoi passer un très bon moment et avoir envie d'essayer les menus du soir à 45 et 75€

Takao Takano a eu droit à un article élogieux de François Simon dans le Figaro du samedi 5 octobre 2013 .

Takao Takano à Lyon

C'est bien Takao Takano et non Takao Tanako comme je l'avais écrit dans mon premier message d'octobre 2013 qu'on ne peut apparemment plus modifier

Quelle que soit l'écriture c'est bien le type de cuisine qui manquait à Lyon largement pourvue en bistrots, bouchons et cuisine bourgeoise traditionnelle . Je la situe au dessus de l'autre excellent restaurant " Le 14 février "

Aujourd'hui à midi j'ai pris le menu intermédiaire à 48€ : amuse bouche , coquilles St Jacques , cabillaud , pigeon , assiette de fromage , tarte au chocolat glace à la fève de Tonka
(si j'arrive à mette la main sur le menu exact je l'éditerai )

Tout était très bon , complexe sans qu'on perde de vue ce qu'on mange , avec 2 grands plats : le pigeon à la cuisson parfaite , et la tarte au chocolat sublime ( encore meilleure que celle du Taillevent ) .
Belle carte des vins avec quelques pépites .
Hier plus de Bourgogne blanc Roulot 2011 mais avantageusement remplacé par un Savigny blanc 2008 de Simon Bize de toute beauté .

LA table lyonnaise à na pas manquer tant que le rapport Q/P reste à ce niveau .
Mais la petite salle est souvent complète .

Allez, encore un petit effort, c'est Takao Takano
Très belle table en effet, la carte des vins réserve de très belles surprises...
Gand moment autour d'un Chambertin 2010 de Rousseau partagé en fin d'année dernière avec des amis chers !
Voyons ce que le guide rouge va nous annoncer demain...

Guillaume

Merci de la correction Guillaume . Voilà ce que c'est de se fier à un lien internet ( corrigé lui même depuis ! ) au lieu d'aller chercher à la source .

Ca n'empêche pas que Takao Takano vient d'obtenir sa première étoile Michelin , récompense amplement méritée !
Hélas , les prix ( et les délais pour obtenir une table ) risquent de s'en ressentir .

Voici le menu à 48€ que je me suis fait envoyer :

Amuse bouche

Coquille St Jacques des côtes normandes dorées, racines d'hiver au bouillon de boeuf légèrement coagulé, acidulé d'oseille

Dos de cabillaud vapeur, sommités de brocolis et côtes de laitue, jus iodé à la bergamote

Pigeonneau cuit sur l'os, choux vert , oignons grelot confits, jus à la Royale

Selection de 3 fromages de saison : vache, chèvre, brebis

Tarte au chocolat noir toute simple confiture de lait fumé à la fève de Tonka

Mignardises

Je confirme, sur la base du menu cité par Raymond, le très bon niveau de la cuisine chez Takao Takano. L'altenberg de Bergheim 2008 de Deiss, à un tarif qui m'a semblé tout à fait raisonnable, s'est avéré excellent pour accompagner les deux premiers plats (malgré mes craintes concernant les sucres résiduels dont la perception était plus marquée en dégustation pure). Le Verre de No Wine's Land de Matthieu Barret, sur le pigeonneau, m'a semblé ensuite assez gourmand mais bien trop simple pour ne pas être relativement décevant après la bouteille de Deiss.

Bien cordialement.

Lionel

Nouveau passage au déjeuner chez Takao Takano en passe de devenir ma table préférée à Lyon
D'autant plus que les prix n'ont pas changé depuis l'étoile obtenue cette année .

Si bien que le premier menu à 29€ ( midi seulement ) est probablement un des meilleurs rapport qualité prix non seulement de Lyon mais dans toute la France tant la qualité est au rendez vous .

Nous avions :

-Amuse bouche : Mousseron-shitake-maquereau fumé
-Gambas de Palamos et asperges grillées Salicorne au thym sauvage
-Travers de cochon de la ferme"Clavisy" pommes de terre Ratte à l'huile de persil
-Cerises des monts du Lyonnais, crème de calisson au lait de brebis
-Mignardises

Il y a de la recherche dans tous les produits et les préparations étaient de très haut niveau notamment les formidables Gambas de Palamos en direct de la Costa Brava (à ne pas manquer ) et le succulent travers de porc cuit à très basse température plus de 8 heures et fondant comme rarement j'en ai mangé .

J'ai accompagné le repas d'un formidable Clos Rougeard 2009 . Un vrai régal de fraicheur et d'équilibre .

A Raymond,
Je suis du même avis que toi, c'est vraiment d'un excellent rapport Q/P, notamment pour le service du midi à 29€.
Tout a été parfait, justesse des saveurs et des cuissons et le service est précis.
Un seul bémol....... Le prix des vins, mais cela est un autre sujet.
Philippe

Ça manque de "premiers prix " intéressants mais il y a quand même quelques bonnes "pioches" .
Moins qu'aux débuts .

Un Clos Rougeard 2009 à 65€ ou un Gevrey de Rousseau 2010 à 90€ : ce ne sont pas des coef scandaleux en comparaison des prix cavistes

Mais d'autres prix sont excessifs notamment en Rhône : les Cornas et Côte Rôtie surtout sont très chers comme trop souvent .

Confirmation aujourd'hui au déjeuner du rapport Q/P assez exceptionnel du menu à 29€ .
Pour moi désormais ma table préférée pour un déjeuner à Lyon .
Tous les plats très raffinés , inventifs, très bons et qui changent à chaque passage . Une cuisine 2 étoiles sans hésiter

Seul le cadre correct mais un peu froid m'empêche d'en dire autant pour le diner .

Question vins , hélas plus de Clos Rougeard ni de Gevrey de Rousseau à la carte
En revanche belle découverte avec un superbe Maranges 1er cru 2011 "Clos de la Boutière" de Bachelet-Monnot

Passage cette semaine chez Takao Takano.
Très bon repas avec de jolis plats très harmonieux, notamment une superbe Fera du Léman aux petits pois et un pigeonneau sauce betterave / cerise qui a su sublimer le Volay 1er Cru en Caillerets de la Pousse d'Or 2007. Vin qui a attendu patiemment ce plat mais l'attente a été longue.
Seul bémol, la chaleur étouffante de cette soirée (qui a réchauffé le vin).
Je pense qu'on y retournera !

Nouveau passage hier au déjeuner chez Takao Takano .

La cuisine est toujours aussi raffinée , inventive et gouteuse .
Les prix ont un peu augmenté ( 1er menu à 33€ au lieu de 29€ ! ) . C'était prévisible avec l'étoile obtenue cette année . Mais ça reste un bon rapport Q/P

En revanche le gros gros bémol est le prix moyen des vins qui augmente à chacun de mes passages avec en plus la disparition quasi totale des meilleures pioches en Bourgogne surtout ( quand je pense que j'ai eu un Gevrey de Rousseau les premiers temps ! )

Déjeuner chez Takao Takano dont nous avions lu le plus grand bien sur le forum (merci Raymond!). Nous choisissons le menu Essence (3 plats à 53€) dont je n'ai malheureusement pas gardé le descriptif exact.

Nous avons malheureusement oublié de photographier la mise en bouche qui était fantastique, avec des saveurs japonaises bien marquées. C'était une sorte de Chawanmushi revisité avec sashimi de maquereau, shiitake et ciboulette. Divin tout bonnement et voyage garanti

Pour accompagner les plats de poisson nous avons pris un Riesling Grand Cru Steinert 2012 de chez Rieflé. Ce domaine m'était inconnu et j'avoue que cela n'a pas été une révélation. L'aromatique est classique discrète et légèrement pétrolante. Bouche tendue légère surcrosité mais contenue. Finale honnête et en conclusion un vin direct mais un peu trop simple (m'a fait moins bonne impression qu'Element 2012 de Bott-Geyl bu il y a peu)


Le thon rouge est moelleux et savoureux mais peut être un peu dominé par les accompagnements et notamment par une superbe sauce rappelant la soupe de poisson.


Le fleur de courgette farcie est très bonne, le rouget est parfaitement cuit mais manque d'un peu de puissance par rapport aux meilleurs souvenirs de ce poisson (idem pour le poulpe). Le plat n'en reste pas moins très bon


L'onglet de Black Angus est très savoureux. L'association artichaut/purée de poivron fumé fonctionne bien et accompagne très bien la viande. Pour accompagner ce plat j'ai pris un verre de Crozes Hermitage 2009 de chez Philippe et Vincent Jaboulet qui m'a semblé un rien limité avec notamment une aromatique marquée par le côté solaire du millésime et une tendance à la sécheresse en fin de bouche. Honnête mais pas plus pour ce vin.

L'assiette de fromage n'a pas été photographiée mais était bien présente.


Dessert à la fraise et sauce rhubarbe qui termine le repas sur une note de fraîcheur.

Un très bon moment, nous y retournerons!

Marc

Salut Marc,

Merci pour ton commentaire et pour les photos

Tu peux me confirmer que l'ensemble des plats en photos + fromage & dessert sont dans le menu à 53€??

Amicalement,

Guillaume

Salut Guillaume,

Oui cela correspond bien au menu à 53€. Le menu dégustation à 83€ de mémoire était bien tentant également. Ce sera pour une prochaine Il faudra que je réfléchisse au vin d'ailleurs ce riesling n'ayant pas si bien marché sur les plats de poisson.

Marc

Le premier menu à 33€ à midi et en semaine (2 plats + dessert ) est déjà remarquable .

Attention toutefois au prix des vins qui sans être exhorbitant pour ce niveau d'établissement fait nettement monter l'addition .

Je rebondis sur la déception de Marc que je n'avais pas vue sur les vins choisis.

C'est bien là un des problèmes : les restaurateurs qui avaient une jolie petite cave à tarif modéré n'ont plus les moyens de racheter les mêmes vins aux prix ou ils sont .
Lors de mes multiples passages chez Takao Takano , j'ai eu la chance de boire notamment :

-Bourgogne blanc Roulot
-Savigny blanc. Simon Bize
-Clos Rougeard 2009
-Gevrey Chambertin Rousseau

et quelques autres . Tous très abordables , le plus cher étant le GC Rousseau à 90€!!

Lors de mes derniers passages j'avais du mal à trouver une bouteille intéressante à prix raisonnable .

RaymondM écrivait:

---

> Je rebondis sur la déception de Marc que je
> n'avais pas vue sur les vins choisis.
>
> Lors de mes derniers passages j'avais du mal à
> trouver une bouteille intéressante à prix
> raisonnable .

J'avais bien envie de tester un midi ce restaurant mais face aux commentaires de Marc et Raymond sur les vins, je suis dubitatif ...
Doit on multiplier l'addition par 3 pour boire "correctement" ?

A midi c'est la bonne solution pour tester . D'autant plus que le cadre se prête plus au déjeuner qu'au dîner .

Je ne me rappelle plus de tous les prix . Il doit y avoir quelques bouteilles à moins de 40€ .

Reste le vin au verre : la dernière fois un Ladoix 2006 , excellent, à 14€ !!

De passage au déjeuner : c'est toujours aussi remarquable avec des produits de grande qualité. Je ne savais pas qu'on élève d'aussi bons agneaux près de Chablis;)
Pour le reste , à signaler une délicieuse entrée aux champignons des bois (cèpes, girolles, sparassis notamment ) .

2 vins au verre :
-Moulin à Vent 2012 de Bernard Santé assez bon
-Pinot noir domaine Mouscaillo 2011 honnête dans plus mais beaucoup trop cher à 10€ le verre !!!

Quelques temps que je n'étais pas allé dans un de mes restaurants lyonnais préférés .
Toujours aussi raffiné et très savoureux . Le menu essence actuellement à 55€ (amuse bouche , 3 plats , fromage , dessert ) reste un excellent rapport Q/P .

Nous avons bu un superbe Clos Rougeard Le Clos 2010 : la fraicheur et le fruit explosif d'un très beau Bourgogne soutenus par une trame de cabernet souple ! Un vrai régal quasi équivalent au 2009 que j'avais bu il y a 2 ans au même endroit . Avis aux amateurs il n'y en aura probablement pas pendant longtemps

Je me permet de créer un fil au nom de ce superbe restaurant, doublement étoilé depuis le printemps 2018. Takao Takano est un cuisinier japonais, formé en France, chez Nicolas Le Bec.

Les différents avis largement positifs, lus sur LPV ou ailleurs, ainsi que les chaudes recommandations de plusieurs connaissances m'ont incité à emmener mon épouse à Takao Takano pour célébrer nos noces de Bois (5 ans). Bien m'en a pris. Le cadre est très sobre, épuré. Le restaurant est petit, environ une vingtaine de couverts. Les menus paraissent alléchants (80 et 120 euros), et la carte des vins, relativement concise (et qui mériterait de s'étoffer peut être un peu), propose quelques valeurs sûres à des coefficients d'environ 2. Nous avons beaucoup aimé la justesse des cuissons, la précision et la puissance aromatique des différents plats. Seuls le dessert, peut être un peu simple et pas parfaitement équilibré entre l'acidulé et l'onctuosité de la glace, me semble un peu en dessous, ainsi que les mignardises de fin de repas (une simple madeleine et un cookie). Il n'en reste pas moins que le contenu est de haut vol, avec un service impeccable et au niveau de standing attendu. La sommelière, Sophie Rader, est également très sympathique, et nous aurons eu l'occasion de bien converser au cours du repas.

Nous avons pris le menu "Essence" (80 euros). L'amuse bouche (non photographiée) est une sorte de flan façon crème brûlée, avec des champignons shiitaké et 3 "sashimis" de maquereau. La puissance fumée et iodée est impressionnante, la texture légèrement crémeuse s'oppose avec délicatesse au croquant des champignons, le maquereau apportant une touche fumée/saline. Superbe entrée en matière.

Puis:

On a ici une entrée croquante (les légumes sont très peu cuits), le poulpe est d'une très belle mâche sans aucun ressenti caoutchouteux. Les fleurs de courgettes sont remplies d'une sorte d'aioli. Les arômes évoluent au fil du plat, puisqu'on part sur des saveurs anisées au départ, pour se recentrer sur de l'acidité à la fin. Surprenant et bluffant.


Ce plat est parfaitement maîtrisé. La cuisson des très beaux filets de Rougets est parfaite. Des coques agrémentes le plat. Les aubergines sont hyperfondantes, les cocos apportent un peu de matière. Le bouillon est bien relevé et puissant, sur une alliance citronnelle/gingembre. Egalement superbe de précision, et surtout, de puissance aromatique.


Les beignets façon tempura sont croustillants et goûteux. L'agneau, rosé, est cuit encore une fois à la perfection. Moi qui ne suis pas un grand fan de cette viande, j'ai eu l'impression de manger un filet de boeuf, tellement la viande était tendre...Le jus est puissant et savoureux, l'ensemble est justement poivré. La aussi, la persistance en bouche est superbe. Accord étonnant et relativement réussi avec le Muenchberg d'Ostertag, qui fait ressortir un côté poivre blanc au vin. Nouvelle réussite.

Puis vient un très beau chariot de fromages, avec une non moins excellente confiture de clémentines. (Non pris en photo)

Enfin, le dessert:

Comme marqué un peu plus haut, c'est un bon dessert, mais un ton en dessous du reste du repas. Le carpaccio est très acidulé (ce qui ne me dérange pas en soi) mais n'est pas totalement équilibré par le crémeux de la glace à la lavande. Mais c'est pour être un peu pointilleux.

Nous avons accompagné ce repas par:

JM Sélèque, Champagne, Solessence, 7 Villages, Extra Brut, NM
Champagne à la robe jaune claire à reflets grisâtres, à la bulle fine. Le nez est un peu timide, sur des notes toastées, citronnées et de raisin. La bouche est assez puissante, droite. La bulle est fine mais impactante. C'est assez dense et direct, avec une aromatique un peu sur la réserve, timidement austère. La finale est correcte, portée par des amers grillés assez puissants. Il fait le job à l'apéritif, mais il a du caractère, c'est assez vineux, et ça devrait plutôt mieux fonctionner à table. C'est Très Bon à Excellent (16,5/20), et plutôt bonne première rencontre avec ce vigneron. Typiquement une bulle que mes potes foréziens apprécieraient (en particulier Nico, JB et Cédric). Très bon accord avec la mise en bouche, dont le côté fumé permet un pont aromatique intéressant.

Domaine Ostertag, Alsace Grand Cru, Muenchberg, 2016
J'avais pu me procurer la carte des vins quelques jours auparavant, et j'hésitais entre cette cuvée et 2 vins de Jacky Blot (Hauts de Husseau et Venise 2016). Malgré les avis de mes camarades foréziens, et d'un expert-ès-Blot me conseillant le chenin, j'ai pris cet alsace, car je n'avais jamais goûté ce vigneron. Je ne le regrette pas, et je prendrai un Blot la prochaine fois, promis!

Ouverture 1 heure avant notre arrivée au restaurant.
La robe est jaune claire, à reflets finement verts. Le nez est légèrement exotique, sur un très beau citron vert, l'aération révèle de très fines notes d'hydrocarbures. La bouche est puissante, droite, bien assise. L'aromatique est mûre, toujours sur le citron vert, un peu de fruits exotiques, et un côté épicé (poivre blanc). Il est très long et très digeste, malgré une certaine richesse de corps, laissant croire à la présence de quelques sucres résiduels (4g/L). La finale est longue, saline et portée par de fins amers de zests de citron vert. J'aime beaucoup cet Excellent vin (17/20), bien qu'un peu jeune. L'accord avec le poulpe et les rougets est d'une banale évidence, en particulier avec le bouillon thaï du poisson. Assez surprenant, il fonctionne relativement bien avec la tendreté de l'agneau et le côté poivré du plat.


En conclusion, un excellent moment passé dans ce restaurant au cadre assez épuré et intimiste et dont les tarifs ne sont pas astronomiques. Le service est soigné et à l'écoute, l’enchaînement des plats rend le menu très rythmé. Les portions sont largement suffisantes, et je me répète, la cuisson et les assaisonnements sont parfaits. Bref, un essai transformé haut la main, nous y reviendrons avec plaisir.

Je m'inscris en faux la madeleine n'est pas simple, elle est excellente

Content que vous ayez passé un bon moment !

Marc

Ca me faut penser qu’il faut que je retourne dejeuner dans cet excellent restaurant que j’ai connu à ses débuts .
C'était alors ma cantine favorite tant en mets qu’en vins . Les chefs japonais sont presque toujours raffinés et inventifs mais très peu arrivent à être constamment savoureux comme Takao Takano quels que soient leurs mélanges ( Yoshi du Petit Verdot était comme ça ) .
En plus à l’époque il y avait les vins à des tarifs angéliques . J’en ai bien profité et
J’ai connu des amis qui sont allés spécialement pour boire, avec menu adapté, le dernier Yquem à 220€ sur table !
Mais de ce côté helas les choses se sont normalisées.
Reste un très bon restaurant

Pour des noces de bois, tu aurais pu prendre une Doriane ou un pinot de chez Bruno Clair

La Doriane, je l'ai bu quelques jours auparavant. Et le bois, c'est pas ce qui caractérise le plus les vins de Bruno Clair, Sylvain...

J'avais lu que tu avais goûté c'est d'ailleurs pour ça que j'ai pris ces 2 exemples que je connais peu mais qui m'ont laissé un souvenir mitigé. C'était également pour prendre des exemples hors bordelais

Flo, l'an prochain, tu peux demander un petit cadeau à François Audouze !