mgtusi écrit: '' Les vins du maconnais sont à boire jeune. ''

Pas sûr que jm guffens soit d'accord avec ça!

Effectivement Guffens m'est venu en contre-exemple du message de Michel. Peut-être est-ce le seul domaine dans ce cas ? Autre contre-exemple, ceux de Desjourney, un 2014 bu récemment était loin d'être fatigué.

Marc

Honnêtement je ne vois pas pourquoi il faudrait boire les maconnais plus jeunes que les autres chardonnay bourguignons, ca me semble nier la qualité intrinsèque de cette région ! les pouilly fuissé vieillissent souvent a merveille (exemple d'un thibert 2008 bu l'année dernière, qui a scotché les convives). Donc non un vin pataud sur un millésime 2017 ça ne me semble pas normal pour la région, mais pas du tout ! les amateurs de F Chagnoleau pourront témoigner de la fringante jeunesse de ses cuvées sur ce millésime si on les ouvre actuellement !

Félicitations au domaine pour sa seconde étoile.
Si la RVF estime que la qualité des vins du domaine mérite cette distinction, qui suis-je pour m'offusquer de cela.

J'ai croisé deux fois les vins du domaine, une fois au salon AVBS et une autre fois chez un ami. Les deux fois j'ai trouvé le vin moyen pour être poli.

Pour ce qui est des vins riches, je vous conseille d'essayer, sur le même terroir de Quintaine, les vins du domaine de la Bongran. J'ai dernièrement goûté les 11, 12 et 14, c'est tout simplement merveilleux et j'ai du mal à trouver un RQP identique en Bourgogne, notamment pour la cuvée EJ Thévenet.

Pour ce qui est du vieillissement des vins du maconnais, il est identique à tous les autres chardos de Bourgogne. Quand c'est bien fait, c'est bon 10, 15 voir 20 ans. Le maconnais souffre, à l'instar du beaujolais, d'être une région avec une soit disant faiblesse qualitative, mais c'est loin d'être le cas. Si Leflaive et Lafon ont investi dans le secteur, ce n'est pas pour vendre de la pisse à l'export.

Garfield écrit: '' Honnêtement je ne vois pas pourquoi il faudrait boire les maconnais plus jeunes que les autres chardonnay bourguignons, ca me semble nier la qualité intrinsèque de cette région ! les pouilly fuissé vieillissent souvent a merveille (exemple d'un thibert 2008 bu l'année dernière, qui a scotché les convives). Donc non un vin pataud sur un millésime 2017 ça ne me semble pas normal pour la région, mais pas du tout ! les amateurs de F Chagnoleau pourront témoigner de la fringante jeunesse de ses cuvées sur ce millésime si on les ouvre actuellement ! ''

Effectivement pour avoir goûté Chagnoleau sur 2017 rien à voir. Pour ce qui est du domaine de la Bongran et pour répondre à Vyat, c’est trop riche et assez indigeste pour mon goût, ça ne me plaît pas, pas plus que Guffens d’ailleurs sauf sur quelques rares bouteilles de plus de 20 ans ...

Garfield écrit: '' Honnêtement je ne vois pas pourquoi il faudrait boire les maconnais plus jeunes que les autres chardonnay bourguignons, ca me semble nier la qualité intrinsèque de cette région ! les pouilly fuissé vieillissent souvent a merveille (exemple d'un thibert 2008 bu l'année dernière, qui a scotché les convives). Donc non un vin pataud sur un millésime 2017 ça ne me semble pas normal pour la région, mais pas du tout ! les amateurs de F Chagnoleau pourront témoigner de la fringante jeunesse de ses cuvées sur ce millésime si on les ouvre actuellement ! ''

Le fait de ne pas bien vieillir n’a rien à voir avec la qualité.

Et bien sûr qu’on trouvera toujours des contre-exemples.

Domaine Guillemot-Michel - Viré-Clessé Quintaine 2017

Un vin bu au restaurant étoilé "Côté Jardin" à Gien avant le confinement.
Un restaurant exceptionnel, tant par l'accueil que par la cuisine...
La bouteille a suivi un Aligoté 2015 de Coche-Dury.

Robe plus dorée que l'Aligoté.
Le nez est également plus mûr, sur la poire, les fruits jaune, l'amande et la noisette.
La bouche reste fraiche tout en étant assez sphérique et ronde, la matière est enveloppante mais garde ce qu'il faut de relance pour donner de la longueur!
Très très bon!

Julien

Cela fait très plaisir de retrouver tes CRs en nombre sur LPV, Julien !

Il faut cependant que tu modifies ton titre car l'appellation est Viré-Clessé et non Macon.

Et tu me rassures par rapport aux CRs précédents sur ce même vin, pour le moins mitigés...
C'est intéressé, j'en ai une en cave !

Jean-Loup

Jean-Loup Guerrin écrit: '' Cela fait très plaisir de retrouver tes CRs en nombre sur LPV, Julien !
Il faut cependant que tu modifies ton titre car l'appellation est Viré-Clessé et non Macon.
Et tu me rassures par rapport aux CRs précédents sur ce même vin, pour le moins mitigés...
C'est intéressé, j'en ai une en cave !
Jean-Loup ''

Je vais modifier ça!
Une seule solution... ouvre là

Visiblement des bouteilles qui évoluent plus vite que d'autres?

A très vite
julien

Marc C écrit: '' Effectivement Guffens m'est venu en contre-exemple du message de Michel. Peut-être est-ce le seul domaine dans ce cas ? Autre contre-exemple, ceux de Desjourney, un 2014 bu récemment était loin d'être fatigué.
Marc ''

Pareil pour moi ce WE...

Bonjour à tous, on me fait signe de venir faire un tour par ici, et effectivement, je pense qu'il y a des choses à dire.
Je vais donc essayer de répondre de façon informative et factuelle en évitant tout ce qui pourrait être assimilé à de la promotion, si soucis avec la charte, merci de me le signaler.

Tout d'abord merci pour les messages de félicitations, et LPViens depuis... houla ca nous rajeunit pas... je suis aussi sensible à un beau commentaire de dégustation sur LPV que sur la RVF.

Laurent: 2016 est un millésime très frais climatiquement (vendanges terminées le 12 Octobre, un mois plus tard que 2017), en revanche c'est un millésime humide et donc botrytisé! C'est une caractéristique de Quintaine, on a du grain noble les années humide, il nous est arrivé de faire des SGN mais on a arrêté et aujourd'hui les années comme 2016 il y a du grain noble dans notre cuvée "Quintaine". Le profil des millésimes à Botrytis est très particulier, on pense parfois à l'aveugle au Chenin car c'est un des rares cépages sur lequel on est habitué à ce genre de perception. 2017 n'est clairement pas un millésime frais, début de vendanges en aout. En revanche acidité équivalente à 2016 (AT et pH identiques à 0,01 près : 4,2 et 3,2).

2017 : Pour ce qui est des perceptions mitigés sur 2017, à titre personnel je trouve qu'il se referme depuis quelques mois. C'est un millésime de grande garde pour moi, proche du 2015, et je n'en suis pas surpris, le timing est également normal. Si on cherche un vin sur la jeunesse, le 2018 en revanche se goute au top en ce moment (attention millésime riche, un vrai de vrai, personnellement je le préfère en ce moment mais sur les dégustation au domaine c'est +/- 50/50 selon les préférences personnelles) et si on cherche quelque chose de plus posé il faut aller sur 2016 (si on aime le botrytis), 2014 (millésime vraiment frais pour le coup) ou antérieur (oui je garde mes 15 pour plus tard).
En revanche, clairement, le vin ne devrait pas être oxydé, j'en ouvre toutes les semaines donc si c'est le cas c'est un problème de bouchon. Ramenez la bouteille au domaine (avec son bouchon svp!), je vous l'échange (même x mois après ouverture) et si je n'ai plus le millésime identique, contre le millésime en cours.

Mâconnais et garde: Question de préférence personnelle mais on peut garder des vins du Mâconnais, comme tous les vins. Si le COVID le permet nous organiserons les 30 ans de Biodynamie du domaine l'an prochain et nous ouvrons tous les millésimes comme nous l'avions déjà fait en 2015 (30ans du domaine). Les LPViens sont bien entendu les bienvenus. J'ajoute que mon épouse est de 1988 et que nous ouvrons régulièrement des magnums de son année de naissance.

Merci Gautier pour ces précisions.

As tu un avis sur la(es) raison(s) de la prémox que l'on croise très (trop) souvent sur beaucoup de vins blancs (et c'est plus douloureux lorsqu'il s'agit d'un vin à 50 € et plus) ?
Personnellement, c'est la crainte de l'oxydation prématurée qui me pousse à ne pas attendre les bourgognes blancs.

Concernant la garde, il y avait tout de même au salon d'Hurigny de 2018 une belle série de maconnais oxydés (pas chez toi), des 2013 de mémoire.

Bonjour Gautier,

Merci également pour ces précisions.

Pour le 2016, j’ai compris, c’est le botrytis qui ne me plaît pas et je ne peux pas y faire grand chose...

2017, je comprends aussi, pas sûr que je trouve un intérêt à les garder, de toute façon je n’en ai plus.

2014 avait vraiment un profil que j’affectionne, mais je n’en ai plus non plus et je ne pense pas que ce soit facile à trouver.
J’ai une cuvée Retour à la Terre 2018 et je pense que je ne vais pas tarder à l’ouvrir.

Saône-et-Loire : ils aspergent leur vigne de tisane pour la protéger du gel

Boubzou écrit: Domaine Guillemot Michel - Viré Clessé - Quintaine - 2014

Bonjour,

Cette belle promotion du domaine me fait sortir d'une réserve de plusieurs années, pour commenter ce vin que j'ai pu goûter hier.
Epaulé 3h à l'avance.

Au nez, le vin montre une belle complexité : dans un premier temps des fruits jaunes (je pense à de la mirabelle, de la pêche jaune) s'associent à un coté beurré, rendant le tout très gourmand. Viennent ensuite des notes mentholées, florales. Avec le réchauffement, les fruits tendent vers des fruits exotiques.
La bouche est superbe : un très joli gras, une matière imposante mais associés à une acidité qui donne énormément d'énergie au vin. On y retrouve les fruits jaunes, puis en finale un coté plus minéral je trouve.

Un vin magnifique, pour un prix que je trouve très correct (payé autour de 23 € cette année chez un caviste).

Santé!

Alex

Quelques mois plus tard, pas grand chose à ajouter : un peu moins de perception de gras, mais toujours cette matière imposante, et une empreinte minérale plus ressentie. Je garderai un peu ma dernière pour la science, même si en l'état j'ai du mal à voir ce que ce vin peut gagner...

 Domaine Guillemot Michel - Viré Clessé - Retour à la terre - 2018

La robe est dorée, brillante.
Le nez se présente sur les fruits jaunes, sans le côté exotique qu'on trouve souvent sur le Quintaine, un fond végétal / herbacé que j'ai du mal à définir, je vais même me demander pendant toute la dégustation si j'aime ça, pour arriver à la conclusion que oui. Je pense que le vin était un peu réduit à l'ouverture, après une bonne aération le fond de verre était très joli.

Sur le difficile millésime 2018, le vin s'en sort avec les honneurs, une matière riche assumée mais jamais rébarbative, même au réchauffement. Un bel équilibre avec un vin qui tapisse le palais, un petit grain difficile à décrire qui lui donne du caractère et de la fraîcheur. Je ne retrouve pas le gras et la sensation de SR parfois perçus sur le Quintaine, ce qui n'est pas pour me déplaire. C'est long, et relativement frais et digeste. 

A mon goût, je ne sais pas si il a un intérêt à être attendu, après une bonne aération c'est déjà très bon sur une aromatique complexe et fine.

Voilà, voilà j'ai bien aimé, madame Blog elle n'a pas goûté, elle n'aime pas le blanc , surtout quand une bouteille de rouge ou de bulles se trouve à portée de verre.

 

Une superbe verticale du domaine s'annonce !

 
 

Domaine Guillemot-Michel Quintaine 2018

Bouteille ouverte ce soir, quelle bonne idée !

Superbe nez citronné, jolie matière en bouche, la tension est suffisante, le vin est clairement du côté minéral, c'est excellent !

oliv post= écrit: Une superbe verticale du domaine s'annonce !

 

 

Mâconnais : le domaine Guillemot-Michel fête 30 ans de biodynamie

www.terredevins.com/...
 

écrit:

oliv post= écrit: Une superbe verticale du domaine s'annonce !

 

 

Mâconnais : le domaine Guillemot-Michel fête 30 ans de biodynamie

www.terredevins.com/...

 

J'ai failli y aller...

Bu à l'Episode à Meursault


Domaine Guillemot-Michel,Viré-Clessé, Quintaine, 2015



Belle robe jaune dorée.
Nez précis, élégant, sur les fruits jaunes, la rhubarbe, une pointe minérale type pierre frottée.
Bouche facile, confortable par une forme de tendreté en attaque mais parfaitement propulsée par une très belle acidité.
Finale au déroulé long et franc, sur de délicieux goûts de fruits jaunes.
Très bien.

Domaine Guillemot-Michel,Viré-Clessé, Quintaine, 2008

Robe presque vieil or.
Nez magnifique de complexité, sur des notes presque truffées, avec du fruit très légèrement exotique et un côté qui tire sur le pétrole.
Bouche agréable, posée, sur une acidité salivante et une vinosité qui déroule des goûts aussi passionnants que les senteurs du nez.
Finale généreuse, longue et sans langueurs.
Très bien.
 

Domaine Guillemot-Michel – Viré-Clessé – Quintaine – 2014
 

Bue lors d'une  dégustation de vins de chardonnay

Le domaine est en biodynamie.
Terroir de calcaires et de limons, exposition Est, âge moyen des vignes 60 à 65 ans, vinification en cuves béton.

La bouteille a été épaulée environ deux heures et demie avant service.

La robe se présente sous un or moyen.
Le nez bien intense est fin et classieux : arômes exotiques, citron, coing, il explore bien la gamme fruitée !
La bouche brille par son équilibre d’école entre chair fruitée de grande maturité et fraicheur, mais elle est magnifiée par un volume énorme.
La très grande allonge nous permet d’en profiter plus longtemps, jusque dans une finale tendue et sapide.
Très Bien +(+)
Il lui manque un peu de complexité pour m’emmener plus haut mais il a été le vin de la soirée pour pas mal de mes compagnons de dégustation.

Jean-Loup

Merci de ton CR, Jean-Loup. 
J'ai goûté ce vin pour la dernière fois il y a une semaine, dans un contexte qui ne portait pas franchement à la prise de note. Le vin m'a vraiment paru être à pleine maturité, comme tout en haut de la vague, juste avant qu'elle ne s'écrase ; si j'en avais encore, j'ouvrirais dans les prochains mois.
Est-ce que tu penses que ça peut encore s'améliorer?

Viré Clessé Quintaine 2013 en magnum 

Apporté pour l’Anniversaire de mon filleul,  le vin a accompagné à la fois l’apéritif pour ceux qui ne souhaitaient pas de champagne et une belle terrine de poisson ( provenant de l’activité traiteur de Guy lassausaie) avec une sauce homardine tiède 

Je m’attendais à un vin plus large et joufflu comme on peut en trouver sur le secteur,  et j’ai trouvé le vin d’un fruité (fruits blanc,  poire,  pêche,  mois exotique que je ne l’imaginais) parfaitement dosé,  très sapide, belle tension, de l’eau de roche, une gorgée appelant la suivante et les verres se vident rapidement,  le magnum, s’est littéralement évaporé,  bref du très bon , cueilli au bon moment selon mon goût personnel avec un petite note fumée au nez comme en bouche du plus bel effet 

Du plaisir  ( après un coup de chaud quand j’ai vu le bouchon casser à l’extraction,  la faute au bouchon , mais aussi à un matériel défaillant) 

Cordialement 
Laurent 


 

Boubzou a écrit :

J'ai goûté ce vin pour la dernière fois il y a une semaine, dans un contexte qui ne portait pas franchement à la prise de note. Le vin m'a vraiment paru être à pleine maturité, comme tout en haut de la vague, juste avant qu'elle ne s'écrase ; si j'en avais encore, j'ouvrirais dans les prochains mois.
Est-ce que tu penses que ça peut encore s'améliorer ?

Alexandre, je suis d'accord avec toi, ce vin est en pleine maturité et ce qui m'a frappé est son équilibre. Alors, certes, son acidité encore bien  présente lui permettra d'aller plus loin, mais peut-il s'améliorer ? Si tu apprécies les arômes tertiaires qu'il n'a pas encore, il pourrait acquérir cette forme de complexité qui lui manque pour en faire un grand vin, mais ce n'est pas sûr...
En tout cas je n'en ai pas d'autre et ne pourrai donc ni confirmer ni infirmer.

Jean-Loup

 Domaine Guillemot Michel - Viré Clessé - Retour à la terre - 2019

Un opus que j’ai trouvé plus riche et moins intéressant que le 2018, une aromatique confite que j’apprécie moyennement mais on reste dans l’acceptable, des notes exotiques.. La texture est aussi plus riche, il y’a une petite rondeur en milieu de bouche, c’est néanmoins une bonne surprise comparé au nez, le vin reste tendu et minéral, je lui trouve aussi plus de complexité qu’au nez, et au final je le trouve plus que sympathique. Je me demande juste si il y a un intérêt à l’attendre, en toute logique je dirais que oui, mais de manière plus intuitive je n’en suis pas si sûr, j’aurais peur que le côté confit se développe.

 

Bonjour Laurent,
N'hésite pas à garder un fond de retour à la terre dans le frigo durant plusieurs jours, avec juste un bouchon classique, cela te donnera une idée de l’évolution probable. Sa tenue à l'air est assez dingue (servi samedi 15/10 un tiers de bouteille entamé le 9/9...).
Intéressé par ton ressenti 18 vs. 19, car à priori 19 devrait être plus tendu que 18, c'est peut-être une phase (nous sommes sur les 20 en ce moment donc pas gouté 19 depuis presque un an).

Bonjour Gautier,
Il faudra que je regoûte à l’occasion, je n’ai pas vraiment aéré le vin, je l’avais ouvert au Coravin.
Ma comparaison avec le 2018 est évidemment très subjective, deux bouteilles goûtées à un an d’intervalle…
Cest surtout l’aromatique qui m’a semblé un peu confite et monolithique, mais peut être que ça va évoluer et que le 2018 était tout simplement plus prêt et avenant le jour de la dégustation.

 Domaine Guillemot-Michel - Viré-Clessé Quintaine 2019

Vin qui a été bu sur 3 jours,  le premier , je trouve le vin un peu plat sans relief particulier, pas d'élevage outrancier , c'est assez rond mais passe-partout. 

Le lendemain, le vin a gagné en complexité , c'est bon, fini note oxydative , c'est assez large. 

Jour 3, le vin s'est écrasé , complétement passe-partout. 

Pas convaincu sur cet essai vu le prix caviste

 pas d'élevage outrancier

Ce serait surprenant. Il est vinfiié et élevé en cuves béton.