Bu lors de la Cinquième session de LPV-Baron-Le-Roy

Maison Louis Jadot - Santenay PC Les Gravières 2014


Robe citron pâle

Nez moins intense que le vin précédent, mais plus en finesse : sur la pomme le miel, les fleurs blanches telles que le chèvrefeuille.

En bouche, l’acidité est plus subtile également. Le vin donne une sensation minérale tout en reprenant les arômes du nez dans une belle harmonie. La finale est beurrée et saline (qui a parlé de tartines ?)
Très bon, un vin que l’assemblée a trouvé classe, moi le premier. Surprise à la tombée de l’étiquette : du négoce ? Pas sur une appellation star ? Ces dégustations à l’aveugle sont décidément pleines de surprises...

Louis Jadot - Pernand-Vergelesses "Les Combottes" 2014

Magnifique robe dorée...bon je le note car c'est ce qu'il y aura de plus beau dans le vin
Nez sur le bonbon (notes d'élevages ?), un peu monolithique.
La bouche révèle les mêmes arômes, assez éloignées du fruit absent de ce vin. Pour autant, la longueur est très correcte. C'est rond et un peu chaleureux ce qui me fait dire que ça pourrait être un 2015...surprise à la levée de la chaussette. Bien quand même, notamment pour la persistance en bouche.

Morey St-Denis « Les Sorbes » 1998



Vin en cave depuis 10 ans environ. Une demi caisse bue sans problème, la dernière il y a 3 ans.


Mais sur cette bouteille, à l’ouverture cela ne se présente pas très bien.

Et le bouche le confirme, c’est alcooleux, sans fruits et mort au delà de toute possibilité de réanimation.

Je l’ai laissé s'aérer mais sans résultat.

Je vais ouvrir la suivante ce midi
Denis

Morey St-Denis « Les Sorbes » 1998

Une autre bouteille ouverte, sans carafage et épaulée 1 HR.

C’est beaucoup mieux que la précédente sur la rose, les fruits rouges. La couleur est rouge tuile mais pas trouble.

On sent que le vin est presque en bout de course sur cette bouteille mais n’est pas passé du côté obscur et est largement appréciable.

Je regrette même de n’avoir pas carafe ou attendu car le fond de verre était encore meilleur 3 hr après.
Mais j’ai eu peur que le vin s’effondre comme la dernière fois donc on s’est dépêché à le boire au début.

Le vieux vin, c’est pas toujours facile à déguster

Denis

Maison Louis Jadot, Pernand-Vergelesses blanc, 1er cru, Clos de la Croix de Pierre, 2010

Dégusté étiquette découverte

N : arômes de fruits blancs (poire, pomme), fleurs blanches, brioche, beurre.

B : Corps : Medium, Acidité : Medium +, Longueur : Medium +.
Dernière bouteille d'une caisse qui sera la meilleure des 6, le bois s'est fondu.
Le vin possède un bel équilibre acidité/gras mais surtout une belle mineralité qui me rappelle des quilles de St Aubin / Puligny Montrachet. L'attaque est vive, sur des notes citronnees qui s'estompe et laisse place à une bonne matière pour ce premier cru. Manque un poil de longueur et matière pour en faire un grand vin.



Néanmoins, ce vin m'a réconcilié avec la Maison Jadot que j'appréciais beaucoup au debut et qui m'a fatiguée par la suite avec ses boisés trop appuyés. Je pense que cette négoce faisait des vins aux beaux rapports Qualité / Prix mais il faut bien choisir le moment où les boire en fonction de son allergie au bois.

Je dis faisait car j'achetais leurs vins entre 15 et 20€ il y a 6 ans, maintenant je crois que la gamme a pris 30%. A 30 euros, le RQP ne me paraît plus aussi intéressant.

Alexandre

Maison Louis Jadot - Santenay Clos de Malte 2015 blanc

Bouteille bue en deux jours, sur des crevettes marinées (ail et persil) et des saint-jacques et leur fondue de poireaux.

Le nez est classique sur des notes d'agrumes légères. L'attaque en bouche est tout d'abord assez vive mais une sensation de gras vanillé surgit aussitôt, apportant un côté ample pas désagréable, très côte de beaune et très barrique de chêne. La finale se resserre sur des notes citronnées.

Le lendemain hélas, l'élevage prend nettement le pas et le vin devient lourd et même un poil écoeurant. Tout ce bois gâche à mon palais un vin qui par ailleurs semble avoir un réel potentiel.

ClémentQ écrit:

Louis Jadot Domaine Gagey - Bouzeron (2016) :

Un vin qui m'avait séduit lors du salon de la RVF, j'en avais donc acheté 6 bouteilles. Nez boisé. En bouche c'est beurré, fruité, une acidité parfaitement contrôlée. Un vin qui a conquis tout le monde, pour 11 euros je ne regrette pas mon achat.

Louis Jadot Domaine Gagey - Bouzeron (2016)

Ma troisième en peu de temps, j’apprécie toujours autant ce nez boisé et cette bouche ronde, grasse et fruitée

Louis Jadot Domaine Gagey - Bouzeron (2016) :

La 4ème/6 a été vidée il y a peu, toujours bien mais une légère amertume m'a un peu dérangé cette fois.

5/6 :

Louis Jadot Domaine Gagey - Bouzeron (2016) :

Ouverte pour un repas avec des amis qui n'y connaissent rien en vin, je m'étais dit que cette bouteille facilement accessible leur plairait. Ca n'a manqué. A moi, elle me plait toujours également, servi bien frais c'est croquant et puissant, pas d'une extrême délicatesse mais j'aime Pour aller avec ceci j'avais fait un oeuf mollet frit dans une crème de fanes de radis, ça fonctionne.

Lors du VDEWS 2019

Louis Jadot, Bonnes Mares, 2012



Robe profonde, sur un grenat bleuté tout jeune.
Beau nez plein et jeune, où une expression boisée épicée, presque résineuse prend en l'état le pas sur un beau fruit net, sur les fruits noirs, la prune.
Bouche là encore d'une grande jeunesse, sur une concentration perceptible avec de la puissance et une forme de droiture posée par une acidité vertébrale bien présente.
Les goûts sont en pleine phase avec le nez, compromis de fruits noirs épicés, avec un boisé encore à fondre. Le réchauffement dans le verre à la deuxième passe me semblera plus détendu, avec une note de gelée de framboise.Finale pleine et carrée, avec des tanins présents qui doivent se fondre.
Belle matière première mais attente impérative.

Lors du VDEWS 2019

Louis Jadot, Bonnes Mares, 2000



Robe avec de la profondeur mais sur une nette évolution brique sur l'ensemble.
Nez sur le tertiaire, trop à mon goût pour un vin de pinot que j'aime quand il a conservé du fruit, sur l'humus, le champignon séché, des notes épicées, l'aération dans le verre ramenant un peu de fruits rouges.
Très belle attaque de bouche toutefois, avec du jus et de la puissance, sur des tanins structurants bien présents et un équilibre matière acidité réussi.
L'expression aromatique reste un peu trop évoluée à mon goût, notamment en séquence mais rien à dire, la présence tactile est celle d'un vin bien vivant.
Je trouve néanmoins que les tanins prennent le pas sur la matière du vin en l'asséchant d'une présence excessive.
Les goûts très épicés sur la finale me laissent à penser que le vin n'avait peut-être pas la carrure pour encaisser son élevage.
Bien.

Lors du VDEWS 2019

Louis Jadot, Bâtard-Montrachet, 2014



Robe jaune vert très claire.
Nez totalement vampirisé par une réduction redoutable, sur un grillé lierre qui ne permet à aucune autre senteur d'exister.
Bouche à l'attaque d'une immédiate tension, sur une propulsion acide importante et qui lance de son tranchant une matière là aussi très impactante.
L'élevage très dissociée pèse sur l'équilibre du vin en apportant des goûts de bois blanc et des amers qui écrasent tout début de déroulé.
En l'état, on a l'impression d'être face à une maquette qui exprime les plans du projet d'un véhicule dotée d'un moteur puissant mais dont la carrosserie n'est pas encore positionnée, ne permettant qu'une lecture mécanique du vin.
La finale est évidemment puissante mais il va falloir du temps pour harmoniser tout ça, en espérant que l'élevage s'intègre.
A revoir car pas de plaisir possible en l'état.

Lors du VDEWS 2019

Louis Jadot, Bâtard-Montrachet, 1999



Robe bouton d'or avec un léger vert fluo.
Nez complexe, sur une réduction légèrement pétaradante mais pas vulgaire et qui laisse s'exprimer des notes légères de croute de fromage, de chanterelle, de tisane de menthe.
Bouche impeccable, posée, avec le gras qu'on attend d'un Bâtard mais une superbe trame acide qui propulse et relance cette belle matière en évitant tout effet de lourdeur.
Les goûts sont assez évolués, sur les champignons séchées, le minéral mais sans aucune impression de vieillesse pour autant.
Superbe allonge en finale, avec une persistance à la fois riche et fraîche très agréable.
Très beau vin de gastronomie en vue qui me déclenche une furieuse envie de passer à table !

Maison Louis Jadot - Chorey les Beaune 2012
100% Pinot Noir.
Bonjour,
Toujours une petite pointe d'inquiétude quand on voit ces bouteilles de grand négociant en repas de famille, peur d'une acidité ou d'une dilution excessive... Mais non, le vin est là, très sur le fruit rouge et la fraîcheur sans évolution excessive. Ça se boit bien et on ne lui en demande pas plus.
Bonne surprise mais je n'en achèterais pas.

Manu

Maison Louis Jadot - Moulin à vent "Clos de Rochegrès" 2009

Celui là je l'avais ouvert pour les accrocs au rouge sur le fromage, je l'ai donc à peine goûté (lui préférant Ben Rye 2014 sur la fourme de Montbrison et les chèvres locaux).
Le nez est très boisé sur le graphite. La bouche est polie de chez polie, si polie que ça en devient chiant. A oublier en cave.

Louis Jadot - Rully blanc 2014

Nez sur le grillé, le beurré, avec des notes d'écorces d'agrumes.

En bouche, l'amertume des agrumes est d'abord portée assez loin par une bonne acidité. C'est davantage tendu que gras.
Mais rapidement et avec un peu de réchauffement, le vin se réduit à l'expression de copeaux de MDF si j'ose être péjoratif.

Hélas une bouteille qui ne m'a procuré aucun plaisir.

Louis Jadot - Chassagne Montrachet 1er Cru 2001



La robe est dorée, intense, aux reflets paille.

Le nez est très riche, puissant, sur le beurre, la brioche et le pain grillés, la noisette. L'aération prolongée révèle des notes vanillées et de champignons (girolles).

Le vin présente un gros volume en bouche, avec du gras qui tapisse le palais. C'est là aussi très riche, avec un élevage trop appuyé à mon goût. Heureusement une légère acidité en finale, associée à une toute petite oxydation qui apporte une délicieuse touche de noisette (que je recherchais justement dans ce vin), sauve le vin de la lourdeur. Mais ça se joue à pas grand chose. Là, ça bascule du bon côté. Pas de notes fruitées perçues, ni au nez, ni en bouche.

Commentaire général: Très bon. C'est sûr, c'est bon, mais un peu "too much" pour moi. Ca manque un peu de tension et ça pourrait rapidement m'écœurer. La petite note de noisette est ce qui fait tout l'intérêt de ce vin et qui permet une réussite de l'accord avec les huîtres pochées. Tout le monde était parti sur le Jura, mais je n'ai pas souvenir pour ma part d'avoir déjà rencontré un chardonnay aussi riche et beurré en France Comté.


Noté 15/20


Pour ma recette des huîtres pochées en gelée de verveine:
artdeboire.blogspot....

Bonjour,
On vient de m’offrir un Nuit Saint Georges 2015 de Louis Jadot.
Quand boire cette bouteille ? Sachant qu’elle sera en armoire électrique. Et d’autres conseils de dégustation ?

Tomo7114 écrit: Bonjour,
On vient de m’offrir un Nuit Saint Georges 2015 de Louis Jadot.
Quand boire cette bouteille ? Sachant qu’elle sera en armoire électrique. Et d’autres conseils de dégustation ?

2020-2025 parait être une bonne fenêtre de tir.

Louis Jadot, Domaine Gagey - Beaune 1er Cru "Bressandes" blanc 2010 :

Robe jaune un peu dorée.
Le nez...... bon pour faire court on va dire que c'est un mélange de champignons (plutôt frais) et de bois. On sens un vin assez évolué (d'ou les champignons) et beaucoup de bois.
En bouche on retrouve ce côté champignon et bois. La matière parait pas énorme à côté du bois. A noter qu'il y a une belle acidité, mais qui malheureusement ne suffit pas pour rendre ce vin agréable.
A la limite quitte à boire un bon "jus de planche" je les préfère quand ils sont jeunes.
Sinon à coté de ça c'est une bouteille qui paraissait un peu au bout de son apogée ce qui m'a un peu surpris.
Moyen

Louis Jadot, Bonnes-Mares Grand Cru 1999

Le bouchon casse au premier passage, émietté il sera impossible de le sortir, la bouteille sera filtrée et décantée une heure avant dégustation.

Robe rubis très soutenue, le vin pleure à chaudes larmes.

Au nez, c'est un magnifique cuir qui nous accueille, accompagné de fruits plus noirs que rouge j'ai trouvé, légèrement kirsch, poivre, le vin semble puissant et en pleine possession de ses moyens.

La bouche d'ailleurs ne nous dira pas le contraire, massif, puissant, riche, concentré, ce bonne-mares se montre extrêmement onctueux et presque chocolaté, sur une superbe finale puissante mais légère à la fois.
Le végétal sera légèrement présent en fond de verre accompagné d'un boisé noble.

C'est excellent. Mon premier 99, j'ai trouvé ça tellement différent de ce que je connaissais jusque lors en bourgogne.

Bu lors de cette dégustation.

Domaine Louis Jadot - Gevrey-Chambertin 1er Cru Clos Saint Jacques 2002
Bonne intensité, évolué sur les fruits secs, un peu de torréfaction, des fruits rouges compotés, framboise, cerise. C'est plutôt complexe, mais il manque de netteté, la profondeur est moyenne. Bref, c'est un peu brouillon.
Moyennement puissant avec une belle harmonie et un très bon équilibre. Les tanins sont fins, mais un peu séchants et ils manquent un peu d'intégration. Cela reste un joli vin avec un beau fruit compoté, framboise et il y a une très bonne longueur.
C'est très bon, mais il manque à ce vin de la précision et surtout un peu de magie.

Louis Jadot - Clos Saint-Denis 1999

Un beau nez très complexe avec des notes florales (pot-pourri évoluant vers la rose poivrée) et fruitées (fruits noirs en confiture).

Belle richesse en bouche avec du fruit sucré mais aussi quelques notes de thé. Texture suave et pleine mais une acidité assez forte.

Bonne longueur sur les fruits, les fleurs, le thé. EXC

Ralf

Louis Jadot - coteaux bourguignons 2015 blanc

Bue il y a trois ans, cette cuvée était décevante, insipide. Aujourd'hui c'est beaucoup mieux : le nez est expressif sur un bouquet de fleurs blanches, notes délicatement lactées, et la bouche à l'avenant avec un léger enrobage très bienvenu et maîtrisé, pas du tout outrancier. Il y a un véritable plaisir à la dégustation.

Cuvée délicate qui ne surjoue pas du tout, vin d'été réussi : un chardonnay bien frais, mais qui ne renie pas ses origines. B+

Et prix très doux en FAV Monoprix en 2017...

Antoine

Louis Jadot - coteaux bourguignons 2015 rouge

Un vin fruité agréable et facile d'accès, qui se paye même le luxe d'offrir une certaine complexité au nez avec, à l'aération, de beaux arômes profonds de cerise à l'eau de vie qui se développent. B+
Joli compagnon d'une soirée d'été.
Comme le blanc du même millésime, une cuvée bien faite et pas prétentieuse, joliment expressive. Pour le prix, on ne peut demander mieux en Bourgogne (FAV Monoprix 2017).

Antoine

Domaine Louis Jadot - Côtes de Nuits Villages Le Vaucrain 2015

Le dernier millésime que j'ai bu de ce vin était le 2005, donc dix ans plus tôt (dûment chroniqué dans cette rubrique d'ailleurs). Ce 2015, bu en demi-bouteille, me semble moins intéressant que son illustre prédécesseur même s'il s'est révélé plaisant à boire, sans les excès boisés qui m'ont gêné ces dernières années avec les vins de Jadot.

Robe rubis classique, nez assez discret de fruits rouges, bouche à l'avenant, un peu sur la réserve avec néanmoins un beau volume et une réelle finesse. Le vin manque néanmoins un peu de complexité et d'allonge et reste dans un entre-deux entre plaisir et neutralité.

Je vous donne rendez-vous dans dix ans pour le CR du 2025 !

oliv écrit: Maison Louis Jadot, Morgon, Roche Noire, 2005

Bouchon imbibé à moitié mais bien adhérent.
Robe bleutée, profonde et d'une grande jeunesse.
Le nez est sévère, sur un boisé assez prégnant, épicé et très légèrement caramel et qui masque des notes de fruits noirs.
La bouche est dense, sur une matière assez large, avec une très haute acidité et des tanins encore assez rêches. L'aromatique est vampirisée par le boisé épicé.
L'ensemble tient la route mais se révèle quand même d'une austérité certaine.
La finale évite la dureté tout en restant assez aride.

Un Bordeaujolais dont je ne serais pas étonné qu'il fasse une grande bouteille dans quelques... décennies ?
Mais en l'état, le plaisir est assez limité.

Il m'en reste une qui attendra les décennies afin d'assumer mes propos de mme Irma d'il y a 6 ans...

Mais c'est pas avec la bouteille sénile au tertiaire désespérant et la structure toujours aussi austère ouverte hier que j'ai l'espoir de ne pas manger mon chapeau...

Louis Jadot - Morey-Saint-Denis, 2010

Bouteille repérée chez mon boucher (sans rire...) pour un tarif...très raisonnable. Bouchon impeccable, nez plein et rond, sur le fruit mûr. En bouche c'est rond, c'est ample, nous ne sommes pas encore sur des seconds arômes, fruits omniprésents, tanins fondus et une belle longueur. Sacrée surprise que cette bouteille qui n'a pas fait un pli avec une côte de boeuf.
Très bien.

Xavier

Maison Louis Jadot – Chablis – 2018



Bue au restaurant Le Neo à Bourges

La robe est dorée mais d’un or pas trop prononcé.
Le nez s’ouvre bien sur des fruits blancs et se teinte d’accents iodés ainsi que d’une touche anisée.
L’attaque est plutôt ronde et d’un beau fruité, puis une tension vivifiante lui procure une certaine allonge sur de très légers amers.
Un Chablis classique de bonne facture pour une maison de négoce.
Bien +(+)

Jean-Loup

Mon pauvre Jean-Loup, il eut fallut que la carte des vins soit bien tristounette pour choisir ce vin

Si la bouteille de la Folie Lucé sur la carte des vins avait été en blanc je n'aurais pas hésité.
Mais ce Chablis a été plutôt correct par rapport à ce que je pouvais attendre.
Il est vrai que je suis d'un naturel très positif !

Jean-Loup

Maison Louis Jadot – Chablis 1er cru Beauroy 2017 :

Robe grasse sur un doré léger.
Nez beurré, sur une fine réduction (croûte de fromage) puis on a des fruits blancs (poire) et un aspect floral un peu entêtant faisant ressortir l'élevage.
La bouche offre une matière importante où l'élevage là aussi se fait ressentir, donnant de la richesse. Toutefois, le vin reste équilibré car une belle acidité garde le vin droit.
La longueur est bonne sans plus.

J'imagine qu'à l'aveugle il est impossible de reconnaître un chablis. En attente de livraison de mes prochains blancs , je me suis laissé tenter par ce chablis (payé une vingtaine d'euros en promotion) mais je dois dire que pour le moins je ne suis pas enthousiasmé.