Je viens de regarder mon Brunet, manuel écrit par un grand professeur de restauration paul brunet et il est mentionné en fait qu'il n'y a plus de déclaration sous l'AOC Grand Cru Charlemagne

Je pense pourtant avoir montré que la maison Jadot en produisait sous cette étiquette...
On peut par exemple trouver [size=large]ici[/size] le CR de dégustation d'un 2002.

Luc

Nos amis américains semblent être assez au courant... Voir ici

Domaine Bonneau du Martray, Corton Charlemagne, 2002

Voilà un flacon tel qu'il me ravi! Certes la bouteille n'est pas encore à son apogée mais le nez est très très class, minéral, puissant mais sans aucun débordement, la pêche, le citron, le beurre, une touche pétrolée, de l'amande fraîche, un soupçon de vanille et une belle minéralité forment une magnifique osmose.

Le bouche est volumineuse, suave, presque huileuse et la minéralité signe une magnifique et très longue finale, c'est vraiment très très beau!

Un vin très charmeur qui a tout pour plaire grâce à son juste équilibre entre puissance et fraîcheur (la minéralité est enrobée par la chair), magnifique maîtrise!
18/20

Complétement en accord avec ton expérience avec le C.CH 02 de Bonneau du Martray Ca me donne envie d'y retourner....

Domaine Bonneau du Martray, Corton Charlemagne, 2002

Une petite apréhension au début car de nombreuses personnes m'avait parlé du fort risque d'oxydation sur les BdM 2002.
Eh bien je suis rassuré!

Magnifique vin blanc!
Nez extraordinaire. Explosion beurrée et vanillée de fruit blancs (pêche, légère notes de poire). Intense mais fine.
En bouche = magnifique. Je rejoins complétement Patrick dans sa description même si je n'aurais pas été capable de la retranscrire avec autant de détails. Très bien vu en tout cas la touche huileuse car c'est vraiment ca! On retrouve les fruits blancs et la vanille et cette explosion de saveurs mais toujours bien structuré par une belle minéralité.

Par contre je crois que je vais garder patiemment ma 2eme et derniere bouteille car il y a vraiment dans ce vin la matière pour quelques miracles futurs.

19/20

Cordialement

Raoul

Domaine Bonneau du Martray, Corton Charlemagne, 2003
Bu hier en fin d'après-midi durant la rare période ensoleillée de ce 1er mai.
Au nez on repassera vu qu'on était dehors et qu'il y avait du vent...
En bouche, il a tout pour plaire et à tout le monde (ce qui n'est pas toujours l'apanage de tous les vins blancs) : on ne peut qu'apprécier cette belle fraicheur enrobée de fruits blancs et d'une touche de fût non dérangeante qui se termine par une très belle longueur. L'acidité n'est pas très élevée donc à mon avis il ne tiendra pas "autant" que d'autres millésimes tels 2002 mais c'est du tout bon. Rarement décu d'ailleurs concernant les CC de BDM.

Jean-Philippe

Rarement décu d'ailleurs concernant les CC de BDM.
Moi si, par deux fois sur le seul millésime 1994 : soit il en reste pas grand chose dedans, soit y a tout mais tellement fermé (encore ?) qu'il faut attendre (?)
Mais millésime apprécié par M. de la Morinière, mais c'est aussi son premier à la tête du domaine.
Sinon, 1993 est sublime.
BdM, des vins qu'il faut attendre en tout cas.
Nicolas

Corton Charlemagne 1991

Nez puissant, très typé chardonnay sur des notes d'iodes, minerales. Nous pensons d'abord à un chablis mais le toucher de bouche nous en éloigne. Avec un joli gras, un milieu de bouche un peu faible et une finale dur des beaux amers nous déconcerte quelque peu. En dégustation pure, le CC 91 n'est pas un cador, mais à table il passe très bien. Une raviole de homard dans son jus s'est révélée être un excellent compagnon.

J'ai beaucoup aimé (à table). Il en encore sous la pédale.

Domaine Bonneau du Martray, Corton Charlemagne, 1993

Comme d'habitude = très beau
Nez complexe et assez puissant malgré ses 16 années.... toujours ces touches de beurre et de poire.
En bouche = une très belle tension. Note de fruits blancs et d'amande. Légère amertume en fin de bouche qui met un terme à une belle longueur. Je l'ai trouvé plus mineral, plus fin et moins opulent que le 2002. J'ai neanmoins souvenir d'une plus grande complexité sur le 2002 avec une bouche foisonante d'une multitude de saveurs. Celui-ci est plus "monocorde" je trouve.
Mais cela reste une très belle bouteille, très agréable en ce moment mais qui semble pouvoir se garder encore quelques années.

17,5/20

Cordialement

Raoul

Bonjour a tous,

Certains ont-ils bu le 1996 ? Des commentaires ?

Merci d'avance.

Jonathan Sydney écrivait:

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> Bonjour a tous,
>
> Certains ont-ils bu le 1996 ? Des commentaires ?
>
> Merci d'avance.

Je l'ai dégusté oxydé il y a peu mais à priori d'autres bouteilles ouvertes étaient parfaites .....j'ai le sentiment que ce n'est quand même pas une valeur sûre !

Une bouteille oxydée malheureusement ouverte avec Arnaud...

Une autre bue quelques mois plus tard en parfait état !

Il me reste une bouteille.

Je l'ouvrirai en compagnie d'Arnaud... Je ne suis pas superstitieux !

Domaine Bonneau du Martray, Corton Charlemagne, 1996

J'ai goutté le 1996 pour la dernière fois il y a un peu plus d'un an.
Le vin était encore assez vif malgré ses 12 ans, j'ai noté une grosse présence en bouche
et une grande longueur sur la pierre à fusil.
J'ai prévu de sortir la suivante courant 2010, si tu en ouvres une, laisse un petit message.

+
PP.

Merci pour vos reponses, j'en ai une en effet, je savais que c'etait un millesime un peu difficile, j'espere que j'ai fait une bonne pioche !!

Servis hier à Normalesup'Oeno pour une soirée thématique avec Antoine Pétrus :

Corton-Charlemagne Grand Cru 2003, Bonneau du Martray

J. pâle
N. 1er nez beurré. Ensuite beurre patissier, sortie de four. Amande. Tilleul.
B. Beurré, notes d'élevage avec un gras important. Bonne fraîcheur mais assez intégrée.
F. Amertume légère de structure, relevée par une pointe d'acidité. Traces d'élevage, très gourmand.

Corton-Charlemagne Grand Cru 2000, Bonneau du Martray

J. pâle
N. 1er nez raisin. Ensuite fruit blanc et début d'évolution tertiaire. Relativement discret ensuite.
B. Beaucoup de fraîcheur, rondeur et de fruit.
F. Belle tension, peu d'amertume. Déjà des notes d'évolution. Beau millésime froid.

Corton-Charlemagne Grand Cru 1995, Bonneau du Martray

J. moyen
N. 1er nez évolution tertiaire (champignon). Ensuite sous-bois, fruit blanc un peu confit, léger.
B. Attaque puissante. Gras et vivacité importants mais pas de lourdeur.
F. Grand tranchant avec une très belle structure. Splendide d'équilibre et de densité.

Globalement très impressionnants, le 2003 et le 1995 se répondent assez bien et j'étais assez tenté de faire un rapprochement sur leurs devenirs.

Bu cet été deux bouteilles de Corton-Charlemagne 1998 d'une bonne cave.
L'une très bonne, vin puissant, tannique. L'autre très oxydée-madérisée. Curieux quand même.
(Je ne pense pas qu'un vin oxydé puisse se "désoxyder", sauf peut-être un Musar!)

Corton-Charlemagne Grand Cru 2000, Bonneau du Martray

Le nez est nettement plus joyeux et expressif que ce que j'attendais.
Un très grand vin au fruit puissant, emplissant la bouche de mille saveurs.
Très précis, bien dessiné, c'est un grand vin blanc.
Meilleur que ce que j'attendais de cette année.

François,

2000 a la réputation d'être une année moyenne en Bourgogne. Ceci dit, tous les commentaires lus sur LPV sur des Bourgogne 2000 blancs ou rouges laissent à penser que c'est bien plutôt le contraire. 2000 serait une très bonne année.

Très bonne année je ne sais pas, mais toujours est-il que ça se boit très bien en ce moment. Personnellement je préfère 2001.

Lorsque j'ai vu sur la carte des vins ce 2000, j'ai demandé au sommelier : vous n'avez pas une autre année ?
Et il m'a dit : "vous verrez, c'est bien".
Et c'est vrai que ça se boit bien.

Bouteille bue lors de la dégustation suivante (tous vins servis à l'aveugle, sauf pour moi ) :

Champagne Henriot 2000 : 16,5 / 20 – Galettes de pommes de terre
Vin de Pays des Bouches du Rhône Domaine Révelette "Le Grand Blanc" 2005 : 16,5 / 20 – Navarin de lotte au safran
Corton Charlemagne Domaine Bonneau du Martray 2000 : 17,5 / 20 – Boudin blanc
Côtes de Provence rouge "La Courtade" 1999 : 16 / 20 – Pressé de cèpes au confit de canard
Côtes du Roussillon Villages Domaine Gauby « La Muntada » : 15 / 20 – Toasts aux magrets séchés
Côtes du Roussillon Domaine Sarda-Malet « Terroir Mailloles » 2001 : 17,5 / 20 – Terrine de canard aux noix
Latricières Chambertin Domaine Rossignol Trapet 2000 : 18 / 20 – Terrine de canard aux noix
Coteaux du Languedoc Domaine Peyre Rose "Clos des Cistes" 2003 : 17,5 / 20 – Safiha
Saint Emilion Château Beauséjour Bécot 1989 : 17 / 20 – Comté vieille réserve, vieille mimolette, Ossau Iraty
Barsac Château Coutet 1990 : 18 / 20 – Flanc amandine à la poire

Corton-Charlemagne 2000

Carafée une bonne heure.

La robe est d'un très bel or.
Le nez est puissant et d'un convive s'exclame "c'est du caramel", impossible d'éviter cet arôme si marqué. Certes, on affine, "caramel au beurre salé", puis brioché, crémé, un peu de pêche ?
En bouche, il y a un très bel équilibre entre le gras et l'acidulé car le caramel est toujours là et la minéralité est bien présente (pierre à fusil).

Comme de bien entendu, c'est long,long, long et l'accord est bon, bon, bon.

Le soir, je sers le fond de bouteille à un ami qui n'avait pu être là à midi : il n'a pas bougé d'un iota.

Grand vin : 17,5 / 20.

Jean-Loup

Bonjour à tous,

toujours dans la série de mardi soir à Marseille

Domaine Bonneau du Martray, Corton-Charlemagne, 2003
carafé une demie heure.

Les joies de la dégustations à l'aveugle : certains diront Chenin, d'autres hermitage, moi Chateauneuf boisé.... pas mal pour un Corton

Faut dire le nez est lourd, réglissé, boisé avec à l'aération des notes d'amandes amères. La bouche est marquée par l'alcool et l'élévage qui pour moi masque à peu près tout. Le vin se développe sur une amertume prégnante à mon gout avec une finale sur le zan avec une sensation de sécheresse.

C'est lourd, pataud... 2003 a encore frappé avec en plus un élevage bien trop imposant pour être à mon goût : 12/20

Apporteur de cette bouteille, je n'iapu à mon regret que constater pareillement à Nicola faiblesse de cette bouteille.
C'est de loin la moins réussie que j'ai pu boire chez ce très bon Vigneron qui à produit des 2000,2001,2002,2004 pour parler des recents de très belle qualité.

Je misais sur lui en 2003 tant ces vins peuvent etre tendus et pleins en même temps pour passer l'écueil du millésime mais il s'est lui aussi cassé les dents dessus.

Je l'ai trouvé un peu meilleur après aération mais bon la trame est restée la même.
Je conseillerai de miser sur 2002 qui lui est splendide.

Pascal

Domaine Bonneau du Martray, Corton-Charlemagne, 1988

Dimanche 30 Janvier 16:45. France Danemark

Après un excellent échauffement entre 13 et 15 hrs, ( Chassagne Montrachet Les Macherolles 2002, puis Bon Pasteur 95), les choses sérieuses ont bien débuter à 17:00 hr. Le Corton Charlemagne Bonneau du Martray a été ouvert vers 16:00 hr

17:15, premier verre , une belle couleur limpide d'un or brillant comme les tirs d'un certain Nicola K; le vin est racé , comme l'immense travail d'un Bertand G Le nez un mélange de fleurs blanches, un léger gout de noisettes. Ah que c'est bon.
La bouche est limpide, un peu de retenue, mais une belle fraicheur dans la puissance pour un vin de 1988,un peu comme ces jeunes pousses Xavier B et William A; En arrière bouche , quel plaisir, de la puissance, il y en a sous le pied . Quelle défense

17:45 le vin c'est un peu reposé , un délice. Le vin va s'arrondir pour ce second verre. Toujours de la puissance , de la force a la manière de Didier D.
Le doux breuvage coule doucement, trop doucement.

18:20 C'est toujours aussi bon, mais tiendra t'il jusqu'au bout. Le vin se rebelle, sort son va tout, al manière de Jérome F, capital n'en laissons pas en route, le corton charlemagne nous marque et se faufile dans nos sens a la maniere de Joel G. Ah cette intensité voluptueuse comme cet arret de Thierry O

18:35 Une émotion contenue , mais que c'est bon . La final est vive ....Ce vin est fantastique, a nous faire couler des larmes de plaisir Quelle maitrise . Ouarff !!

J'en veux encore et encore. De l'humilité , et un plaisir jamais terminé

Merci , Merci à cette grande bouteille qui a accompagné cette finale France Danemark. Chapeau à tous

Claude

domaine Bonneau du martray 1998 corton charlemagne grand cru

je suis resté dubitatif, sans voix...

je restais sur un superbe souvenir de ce vin en 1999, ce flacon m'a clairement laissé sur ma soif

le nez est très marqué par des notes de grillé, mais aussi minérale (salin) le fruit jaune donne l'impression de tourner au bletts et le nez manque à la fois d'envergure et de profondeur, ce qui est dérangeant (gouté à l'aveugle mais à voir la tête de notre hôte la déception est un petit mot), l'impression d'un vin en fin de vie avec un manque de fraicheur et de peps assez criants...

la bouche est malheureusement à l'avenant mais avec à l'attaque une petite fraicheur qui fait illusion un certain temps

le milieu de bouche manque à la fois de tension, de caractère, malgré un gras encore assez présent, ùmais le vin semble sec et manque à la fois d'énergie, de profondeur et... de jus

la finale part pas trop mal mais s'arrête subitement comme une voiture que l'on attend et qui rentre dans un mur

j'ose espérer qu'il s'agit d'un problème de flacon, mais plusieurs des autres personnes autour de la table l'ont déja gouté de cette manière

assez bien sans plus, à revoir...

Je pense comme vous. J'estime personnellement la qualité générale de ce millésime pour les bourgognes blancs à 8/10. Mais la maison Bonneau du Martray a réussi à produire un vin supérieur à la qualité du millésime. J'ai dégusté le millésime Corton-Charlemagne 2000 lors d'un petit réveillon familial, la veille de Noël . Voici mes notes de dégustation:

Couleur jaune dorée moyenne; on sent immédiatement la race au nez grâce à des senteurs intriguantes de champignons; on perçoit une légère acidité en attaque de bouche, laquelle devient rapidement grasse mais non sans fraîcheur pour ensuite se déployer longuement et finement avec une finale légèrement caramélisée. Ce vin s'avéra idéal pour l'entrée de saumon fumée parfumé à l'huile de truffe blanche accompagné d'un peu de foie gras.

Ce vin fut suivi pour le plat principal (faisan à la normande) d'un Musigny 1ier cru, vieilles vignes, du Domaine du Comte Georges de Vogüé, 1992; On peut voir ci-dessous, les deux bouteilles en question. Ce fut une belle soirée remplie d'émotions.

clubdgv.blogspot.com...

Domaine Bonneau du Martray - Corton Charlemagne 2007

Le vin est ouvert avec un fruit mûr sur le citron jaune, le beurre, calcaire, une touche florale et de noix. Belle complexité et beaucoup de précision.
Le vin est riche avec du gras mais tout en délicatesse et retenue grâce à une acidité qui balance le tout. L'élevage se fait sentir et demande à s'intégrer surtout sur la finale marquée par le caramel. J'aime le fond de verre sur les fleurs et les herbes séchées.
Un excellent vin qui demande à patienter.

Bonjour a tous.

Le 3 Juillet 2011, j’ai dégusté en famille un Corton Charlemagne 2000 du domaine Bonneau du Martray (Merci à Rémi pour cette bouteille qu’il m’a cédé)

Bouteille ouverte 1h avant, amenée sur la table à 10°C car compte tenu de la chaleur ambiante (pas loin de 30°C dehors…) s’est très vite réchauffée. Dégustée vers 12/13°C.

Étonné par la robe : je m’attendais à une robe d’or et je trouve une robe paille claire ! on pourrait presque y voir un sancerre !!
Au nez, ouf… plus de doute, on est bien sur un chardonnay… et un grand !
Ouvert, complexe, grande fraîcheur. Nez minéral, noisette, amande, agrumes. Contrairement à ce que j’ai pu lire ici ou là, pas de note de caramel (ou alors infime).

En bouche, c’est pas énormément concentré. C’est plus gras que ce qu’on pouvait penser à voir la robe. L’équilibre est parfait. On retrouve les arômes du nez avec un peu plus de pamplemousse et un peu de thé.

La persistance est excellente, près de 40 secondes.

BEAU vin. Très bonne note 17,5/20

Seule réserve : le rapport Q/P. Bouteille achetée dans le 80/90 euros. J’ai à plusieurs reprises dégusté du CC du domaine Rapet (environ 50 euros) et j’ai pris autant de plaisir, pour une note identique. Mais chut…. Il ne faut pas que ce domaine devienne trop connu…

Zoliv,

j'ai mis la même note que toi (voir mon post de novembre 2010), mais le vieillissement en bouteille a dû être très différent car la robe était bien dorée et effectivement il y avait beaucoup de caramel.
Cela montre qu'il peut y avoir de grosses différences entre bouteilles, à la base ou lors du vieillisement.

Jean-Loup

Zoliv
Seule réserve : le rapport Q/P. Bouteille achetée dans le 80/90 euros. J’ai à plusieurs reprises dégusté du CC du domaine Rapet (environ 50 euros) et j’ai pris autant de plaisir, pour une note identique. Mais chut…. Il ne faut pas que ce domaine devienne trop connu

Sur le dégustation du CC 2000, de chez Rapet , je ne classerai pas ces deux vins dans la meme catégorie.
Le CC bu en magnum, ne nous a pas laissé un énorme souvenir (voir la rubrique adéquate), en tout cas pas un des grands CC pouvant etre dégustés au domaine Rapet

Claude