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Laurent Ponsot a bien commencé ses nouvelles activités. Par contre, j'avoue ne pas comprendre le choix des étiquettes (sans parler du design du site web !)


source Wine Decoded

On dirait un design de geek de l'espace des années 90 ?! Surprenant pour le moins !

Marc

J'ai failli ouvrir le même sujet il y a peu.
Car visiblement, ce design année 80 ne surprend pas que toi !

Laurent Ponsot a un fils qui est graphiste avec des goûts pas vraiment dans le style Bourguignon... j'imagine que c'est lui qui a fait ça car ça ressemble un peu aux horreurs qu'il avait faites au cuvier du Domaine Ponsot (pour ceux qui n'ont jamais eu l'occasion de visiter, l'ascenseur est complètement tapissé d'une reproduction d'intérieur d'un croiseur impérial de Star wars - assez déroutant).

Méfions nous des jugements trop hatifs!
Peut-être est-ce nous qui sommes sclérosés...
Ca ne me parait pas si débile, à l'heure ou mon fils de 14 ans se promène en claquettes avec des chaussettes blanches, en étant très fier (alors qu'à mon époque c'était le summum de la loose, réservé aux vieux allemands au camping).
Si le vin est bon, la clientèle historique restera et les geeks goûteront.
Ce n'est pas le seul domaine où les jeunes ont pris la main sur le design des étiquettes.

Les étiquettes avec un chateau, ou écrites en caractères gothiques, sont peut-être devenues un signe de ringardise. L'avenir nous le dira.
Nous on s'en fout, on boit la moitié du temps à l'aveugle

Bibi

Effectivement la mode est cyclique, mais ce retour au vert fluo des années 90, comment dire, il devrait quand même y avoir des interdits
Ma fille a des claquettes recouvertes de moumoute, je compatis

Un portrait du domaine sur www.winespectator.co...

Comme dirait un célèbre footballeur philosophe, par ailleurs inventeur de la mode des claquettes chaussettes en direct depuis Knysna, "La roue tourne va tourner"

En tout cas si le but était de faire parler d'eux, c'est réussi !

Pour apporter de l'eau au moulin, la pastille verte qui vire au jaune si le vin a été soumis à une température trop élevé c'est du pipeau !
Nous avions dégusté, l'an dernier, le Saint Romain Blanc 2017 qui était d'une qualité très moyenne pour un prix halluciant ceci dit, et avions mis la bouteille au four pendant plus de deux heures. La pastille n'a pas changé de couleur !

bertou écrit: Pour apporter de l'eau au moulin, la pastille verte qui vire au jaune si le vin a été soumis à une température trop élevé c'est du pipeau !
Nous avions dégusté, l'an dernier, le Saint Romain Blanc 2017 qui était d'une qualité très moyenne pour un prix halluciant ceci dit, et avions mis la bouteille au four pendant plus de deux heures. La pastille n'a pas changé de couleur !

En somme ce Saint-Romain a fait un four ?

bibi64 écrit: Peut-être est-ce nous qui sommes sclérosés...
Ca ne me parait pas si débile, à l'heure ou mon fils de 14 ans se promène en claquettes avec des chaussettes blanches, en étant très fier (alors qu'à mon époque c'était le summum de la loose, réservé aux vieux allemands au camping).

Pour avoir vecu voire porte des modes a la con (les frocs avec l'entrejambe au niveau des genoux et/ou porte devant derriere ), j'ai quand meme l'impression a posteriori que les vieux cons de l'epoque etaient quand meme empreints de sagesse.

Oyaji-sama écrit:

bibi64 écrit: Peut-être est-ce nous qui sommes sclérosés...
Ca ne me parait pas si débile, à l'heure ou mon fils de 14 ans se promène en claquettes avec des chaussettes blanches, en étant très fier (alors qu'à mon époque c'était le summum de la loose, réservé aux vieux allemands au camping).

Pour avoir vecu voire porte des modes a la con (les frocs avec l'entrejambe au niveau des genoux et/ou porte devant derriere ), j'ai quand meme l'impression a posteriori que les vieux cons de l'epoque etaient quand meme empreints de sagesse.

Martin, j'en déduis 2 choses:
1- il se trouvait des gens pour acheter les frocs chelous de l'époque, (comme les nouvelles étiquettes aujourd'hui).
2- tu as eu des goûts de ch**** à une époque
et ne le prends pas mal stp

Un autre siècle, un autre millénaire et encore la période de l’argentique, c’est ce qui sauve les « rappeurs » Kriss Kross. Pas certain que les tektonik killers et les amateurs de claquettes/chaussettes s’en sortent aussi bien.

Oliv,

Cela me rappelle notre étonnement lorsque nous avions découvert ensemble les « nouvelles » étiquettes du domaine DUGAT-PY avec Madame Dugat, fière de sa réalisation maison ...
(En attendant le Santa en rade sur l’autoroute )

Laurent Ponsot - Griotte Chambertin Cuvée du Saule 2016
Nez intense et très précis, jeune avec un fruit mûr, très mûr sur la cerise burlat, fruits des bois, fraise, notes florales, terre fraîchement retournée. Touche de sous-bois. Le fruit est un peu confituré et compoté et souligne vraiment une grosse maturité. Très légère touche de volatile et de vieux trognon de pomme, mais très largement en dessous de mon seuil de tolérance. Beaucoup autour de la table n'ont rien détecté. Pas de bois.
Bouche puissante avec une matière dense. Il y a de la mâche, c'est concentré et énergique. Le vin reste épuré et il y a de la finesse et une certaine verticalité. Les tanins sont gras et d'un grain très fin. Grosse intensité aromatique, touche saline et longueur impressionnante. Au réchauffement, le vin chauffe et fatigue un peu le palais. Il titre quand même 15 %.
Excellent. C'est dans le style du domaine Ponsot.

Laurent Ponsot, Gevrey-Chambertin Cuvée de l'Aulne, 2016

Pas encore complètement fou, je n'avais pas mis le cap au sud sans un pinot dans le sac de voyage ! On n'est jamais trop prudent surtout sur les rouges...

L'aromatique est très jolie sur la mûre presque en confiture et la groseille et de végétal pour donner un ensemble très fruité mais pas saturant. Comme Bertrand il m'a semblé percevoir un peu de volatile surtout au 2e jour d'ouverture mais rien de dérangeant.
Bouche dynamique, sur une matière plus légère et délicate que ne le laissait penser le fruit marqué du nez. Tannins parfaitement lisses qui renforcent cette sensation de délicatesse.
Finale d'un bonne persistance.

Un bon village mais je n'ai pas été assez retourné pour repayer un ticket à 58,5€ (le Beaune de Gaunoux m'a bien plus marqué pour un prix bien inférieur).

Marc

Soirée chez Thien

Laurent Ponsot, Vosne-Romanée 2018

c'est l'archétype du beau pinot noir bourguignon, tout est naturel, délicatement parfumé, vin de taffetas, qui tapisse le nez et la bouche, un délice. Waouh ! Mais trop jeune. Étonnant bouchon en silicone. Pourquoi pas. Quel parfum de cassis, de framboise, de rose fraîche, vraiment une merveille.

Portrait
Après une longue première vie professionnelle comme vigneron au sein de l’illustre domaine familial de Morey-Saint-Denis, Laurent Ponsot a décidé en 2017 d’écrire une toute nouvelle page, entouré notamment par son fils et son ancienne équipe. Faire de grands vins de Bourgogne, toujours, mais différemment. Rencontre.

www.terredevins.com/...

LPV Beaune #37 : on aère la Grange

 Laurent Ponsot Chambolle-Musigny Cuvée de la Violette 2016

VVIGNE
Aromatique discrète sur les fruits rouges, quelques notes d'évolutions aussi sur le champignon.
Matière en 1/2 corps au toucher dur dur...
Finale peu confortable, acide et courte.
Bref, un Chambolle bien trop stricte pour apporter du plaisir... Effet millésime ou plus simplement un domaine peu recommandable ?
Pas de plaisir...
A attendre au cas ou...

KRABB
Robe grenat, nez de pinot, fruits rouges.
Je rejoins Maxime pour le reste, une acidité XXL m'emmenant sur un Nebbiolo mal travaillé.
Finale peu confortable, acide et courte.
Je n'ai pas aimé du tout, je dirais même, et c'est rare, une très mauvaise bouteille.
 

Pépites vs valeurs sûres: LPV BFC refait le match


Domaine Laurent Ponsot, Vosne-Romanée 2019

Vyat : Au nez, des fruits rouges et ensuite de la vanille.En bouche, j'ai l'impression de manger une crème aux œufs à la vanille. Terminé 48h plus tard, pas d'amélioration. Déception à la levée de la chaussette. AB+/B-

Garfield :Nez qui initialement me plait bien, on voit qu’on est à la maison, avec un beau volume en bouche mais par contre rapidement on a une vague de vanille qui vient submerger le nez et aussi la rétro. Quand on apprend que c’est un vin de Laurent Ponsot qui n’utilise apparemment pas de bois neuf, on ne comprend pas…un vin qui a un beau potentiel vu la qualité de sa structure et son intensité, les tanins sont fins, mais cette vanille…va falloir qu’elle fonde… Bien +

Vésale : Nez sucré, sur la fraise, la myrtille, mais surtout une vanille qui va devenir de plus en plus présente au fur et à mesure de l'aération, Bouche avec super toucher de bouche, c'est mûr mais élancé, très belle longueur, mais trop de vanille... A attendre que l'élevage se fonde, Bien+ (mais potentiel bien mieux!)

Oups