Champagne Francis Boulard et Fille- les murgiers extra brut
Bu à l'occasion de mon pot de départ, ce champagne a fait l'unanimité auprès des convives malgré une vinosité a laquelle certains n'étaient pas habitués. Sans prise de note particulière vu le contexte, le champagne doté de bulles non omniprésentes s'est avéré minéral, onctueux, et avec une belle finale,
Au plaisir de gouter les autres cuvées du domaine car n'étant pas un grand amateur de champagne en général ce style me plait beaucoup.

Cyrille

Champagne Francis Boulard et Fille- les murgiers extra brut
Champagne dégorgé en octobre 2011. Belle bulle, un peu vineux, très équilbré. Ni mou, ni trop tranchant. Des arômes d'agrumes, de fruits noirs et d'iode. C'est un bon vin à un bon prix.

Cette semaine, je suis allé rendre visite à l'ami Francis en son domaine.

Je souligne l'accueil chaleureux et la longue discussion sympathique qui s'en est suivie, ainsi que, faut-il le rappeler, la haute qualité de toutes ses cuvées.

Mention spéciale à :
Boulard
- les Murgiers, un champagne droit au but, fruité, efficace, sans chichi, parfait pour l'apéro.

- le millésime 2005, d'une ouverture flatteuse, il s'avère chaleureux, avec une touche de vinosité. Un plaisir immédiat, mais il vieillira bien!

- Mailly Grand Cru brut nature, d'une pureté remarquable, belle droiture, un très beau champagne "minéral" (terroir calcaire)

- Les Rachais 2005, complexité, longueur, volume en bouche, finale excellente un champagne complet, promis à un bel avenir!

Nous sommes d'accord sur tout Benoit.

Le Mailly avait allumé une petite étincelle dans un coin de ma tête en aout dernier.
Je vais lui laisser un peu de temps.

julien75 écriva si justement :

Raymond Boulard, Millésime 1986 –(..)...encore pleinement sur le fruit, avec des notes très confites : cassis, myrtilles, prune, mais aussi des zestes d’orange, du cèpe (à peine), de la vanille et une petite touche sucrée. C’est d’un équilibre parfait, avec une belle structure et de l’élégance. Et dire que 1986 n’est pourtant pas un grand millésime. Ce vin est immense et atteint des sommets. 18,5+/20

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Et encore, je ne trouve pas ici la longueur et la touche velourée qui ma tante impressionnée.
Quand je vous dis que c'est le plus grand vin que j'ai bu dans ma courte et insignifiante vie...en plus avec la bouille rigolarde,taquine et modestement malicieuse du producteur en tête, la dernière bue en trône au centre de ma cave, sur le tonneau de déco...

je ne buverai sans doute jamais les 96, mais ne vous en privez pas : si l'une des 2 arrive déjà à l'épaule gauche du 86, ça promet dans 10 ans !

bisous bulleux
frédo

Ça faisait longtemps que je voulais goûter de nouveau cette cuvée.
Champagne Francis Boulard et Fille Les Rachais 2005
J’adore le style de Francis avec un coté minéral et une certaine pureté. Le nez par sur l’amande fraiche, le beurre, la pierre à fusil.

En bouche on retrouve une attaque d’une belle ampleur, suivi d’une tension impressionnante qui étire le vin et fait ressortir la minéralité et la pointe de salinité de ce Rachais. C'est de la haute couture de vigneron !!

On est au plus près du terroir champenois. J’adore le style qui s’exprime au top sur un risotto au cèpes.

TOM

Le blog de mon club

Lors d'un passage au domaine en mars, j'ai eu la chance de rencontrer Môssieur Francis pour une très belle dégustation:

- Les Murgiers, cuvée réserve. Ce blanc de noirs (Meunier, pinot noir) est un vrai champagne « classique », frais et fruité, droit à la bulle fine et élégante. Un beau champagne qui sierra aussi bien à l'apéritif que sur un poisson noble. Existe en version Extra Brut et « Nature », c'est à dire non dosé.

- Les « Vieilles Vignes » est un champagne plus typé qui représente un excellent rapport prix/plaisir à 29,00. Plus beurré, et plus charnu, c'est un vin également plus complexe que le précédent. Également plus gastronomique à mon sens.

- Petraea XCVII-MMVII est un assemblage de tous les millésimes entre 1997 et 2007 (pour ceux qui lisent les chiffres romains, c'est le nom de la cuvée). Chaque année une partie est prélevée, puis compensée par le nouveau millésime. La bulle est fine, le nez splendide, la bouche ciselée. Un grand Champagne complexe et doté d'une belle longueur en bouche. Un superbe vin.

- Les Rachais 2006. Le GRAND VIN de Francis Boulard. Un phénomène ! Un vin qui transmet la force des crayères, avec ces arômes et cette bouche si caractéristique de la Champagne. Puissant, complexe, extraordinairement long et droit, j'ai personnellement adoré ce vin qui s'éloigne tellement des cuvées standardisées des grandes maisons... à moins de 50 euros. Une claque pour Louise lors de la visite des crayeres de Pommery...

Boulard Grand Cru Mailly 2007 Extra Brut (dégorgé le 20/05/2011):

Ca faisait un moment que je cherchais une occasion pour ouvrir une bouteille de Francis Boulard dont j'avais lu le plus grand bien.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que je n'ai pas été déçu...
Les premières gorgées bues juste après l'ouverture de la bouteille étaient agréables mais me semblaient un peu courtes.
Après un peu de patience, le vin a trouvé sa juste mesure et là, c'était vraiment très bon et très persistant en bouche.

Simplement, ma meilleure bouteille de champagne à ce jour.
J'ai hâte d'ouvrir les Rachais et Petraea qui attendent sagement à la cave.

Merci beaucoup,
Olivier

A l'occasion du salon Terres et Vins de Champagne :

Vins clairs 2011 :

Massif Saint-Thierry – Veilles Vignes du Murtet – Sols siliceux calcaire
100% CH élevé en fûts
Nez sur la pierre à fusil, bouche en accord.

Massif Saint-Thierry – Veilles Vignes du Rachais – Sols siliceux calcaire
100% CH élevé en fûts
Nez plus riche, plus épanoui. Ne paraît pas aussi jeune qu’il n’est.

Petraea – base 2010-2011
50% CH et 50% PN élevé en fûts
Superbe nez de fleur, complexe, avec de doux arômes de beurre.

Champagnes :

Francis Boulard et Fille - Vieilles Vignes - Le Murtet
100% CH de 2009
Gagne en richesse au nez par rapport à son jeune frère de 2011. On trouve un petit coté patissier.

Francis Boulard et Fille - Rachais 2006
100% CH - Non dosé
Nez de vrai vin, finement boisé. Belle trame, ne demande qu’à s’exprimer et à s’épanouir dans le verre (et en cave !).

Francis Boulard et Fille - Petraea
Solera de 1997 à 2007
Jolie robe dorée, nez puissant, des arômes de fruits confits et de fruits secs. Une jolie matière bien structurée et une belle finale toute en fraicheur. Le coup de coeur !

Francis Boulard millésime 1997

Ah l'ami Francis, qui, avec son sourire en coin lorsqu'il m'a vendu le couple de comète me disait "tu verras, tu m'en redemanderas, c'est excellent!" Ah oui?
Robe or paille, bulles très fines. Nez explosif sur la noix et les fruits à coques. L'attaque est une vive caresse, ça fait palpiter la langue, avec très bon équilibre, l'amande douce envahit le palais, la finale est d'une fraîcheur exquise... C'est excellent, un champagne d'auteur! Il a tenu la corde sans jamais faiblir par rapport à son "concurrent" ( Krug 1990) jouant dans un registre fort différent.

Merci de tes commentaires Benoît.
( Pour préciser ,
Sourire en coin, parce qu'il me manque des dents. Vraiment.
Depuis 6 mois, le dentiste est en réfection de ma dentition + quinquagénaire. Authentique.
)

Achetés chez monsieur Bécu (cave de la crosse) quelques flacons de Murgiers brut nature (zéro dosage) envoyé chez un ami Irlandais...
Je donne mon avis une semaine après l'avoir bu....
Si je me rappelle bien les raisins sont majoritairement de 2007. Daniel Bécu m'a indiqué qu'il avait gardé ces bouteilles en cave au moins 18 mois...
À la dégustation : c''est plus que du champagne, c'est un grand vin : grande vinosité donc, puissance, équilibre... Les convives étaient étonnés, mois aussi.
Conclusion : faire vieillir les BSA de monsieur Boulard, même les zéros dosages. Il faut être patient....

Bouteille bue lors de la dégustation LPV Loire

Vin 2
Robe jaune paille, très claire, très nombreuses bulles vivaces
Nez très frais de fruits secs
Bouche très tendue, on retrouve les arômes de fruits secs, beaucoup de longueur, de tension !
Il s’agit de :
Francis Boulard – Champagne Grand Cru Mailly-Champagne 90% Pinot Noir, 10% Chardonnay, récolte 2007 + réserve 2005+2006

Une vrai fusée ce Champagne !

Hier soir passage à l'improviste chez un ami qui me dit qu'il as mis une petite bouteille au frais.
Il me dit l'avoir trouvé il y a quelques années chez un caviste Lillois, étonnant car je connais ce caviste et on peux dire que son offre n'est pas des meilleures ni des plus intéressantes, bref..

La surprise quand il arrive avec une Boulard Comète 86, j'en avais lu le plus grand bien ici même grâce à Julien Zika et on peu dire que je n' ai pas été déçu, j'aimais beaucoup Dom Ruinart 86 et Krug Clos du Mesnil 86 et bien on peux dire que cette Comète est très largement au niveau du CDM

Une belle robe or vieillie, un fin cordon de bulles qui tourbillonne dans le verre, parfait.
Un nez d'une grande complexité sur des notes de fruit jaunes, de banane et de sucre roux. Ces impressions font rire mon ami qui me signale qu'on boit un Champagne et pas un jus de fruit
La bouche est également très complexe, puissante, très riche sur les fruits jaunes toujours et une finale sur le sous bois très agréable.

Un Champagne magnifique qui me donne furieusement envie de rendre une petite visite à sieur Francis.

Julien

Cela me fait plaisir qu'on soit d'accord sur la très grande qualité de ce champagne, qui fait partie de mes plus belles émotions de dégustation ! Je suis content qu'il m'en reste une en cave. Si jamais tu trouves un CDM 1986, on pourra les ouvrir ensemble !

Il y a peu, j'ai bu lors de la même soirée Krug 90 et Comète 97. Le moins que l'on puisse dire c'est ce dernier n'avait rien à envier au Krug!

Effectivement on ne peux qu'être d'accord si elles sont toutes de ce niveau.
J'ai hâte d'en goûter d'autres !!

Julien trouve une Comète 79 et on se lance

Amitiés
Julien

Julien trouve une Comète 79 et on se lance

Je n'ai pas mémoire du passage d'une comète en 1979 ... ? ? ?
Hormis Halley en 1986, Hyakutake en 1996 et Hale-Bopp en 1997 ...

Si vous avez des infos sur une comète de l'année 1979, je suis preneur

Bien amicalement,

En 1979 Haley est passé tout près. -

Bonjour Francis,

Juste une petite boutade avec Julien Z. sur sa proposition de dégustation Comète versus Krug car je viens de récupérer Krug Clos du Mesnil 1979

Jean Bernard, bien vu

Amitiés
Julien

En 1979, il y a eu apparemment la comète Wilson-Harrington qui fut considéré pour un astéroïde jusqu'en 1992.

voici le lien wiki qui en parle : fr.wikipedia.org/wik...

EDIT : Voici un lien ou sont répertoriées toutes les comètes connues à ce jour : www.astrosurf.com/co...

L'histoire est belle et mérite d'être contée.

D'avance, je demande pardon au lecteur de ce qui peut relever de la simple anecdote, mais le geste m'a tellement touché que je ne peux m'empêcher de la partager.

J'ai failli la poster dans le sujet "LPV, c'est aussi ça", mais je pense qu'elle a toute sa place dans la rubrique consacrée à ce - n'ayons pas peu des mots - grand Monsieur.

Il se trouve que je travaille depuis plusieurs année au sein d'une collectivité locale qui a permis le rachat du Marité, dernier terre-neuvier français en bois. Lancé à Fécamp en 1923, ce trois-mâts barque de 47 mètres est connu pour avoir servi de plateau à l'émission Thalassa pendant un an. Pour nos amis Belges et Suisses, l'émission est regardée en France par les amoureux de la mer ou tous ceux qui, privés de copines (avec un S à copines ) le vendredi soir, n'ont rien d'autre à faire que de comater gentiment devant les plages paradisiaques ou les mérous filmés en gros plan.

Après 6 ans de travaux, le Marité a enfin retrouvé la mer samedi 30 juin 2012 sous les hourras d'une foule joyeuse et bigarrée. Enfant du pays, l'acteur Jacques GAMBLIN a accepté avec une joie non dissimulée d'être le parrain du navire et de partager un peu de son temps en notre compagnie.
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Pour lancer un tel joyau, il fallait un champagne de vigneron. Je ne voulais surtout pas qu'une bouteille de piètre qualité vienne se fracasser sur la proue du navire même si... Mais n'anticipons pas.

Après avoir reçu l'assentiment des modérateurs, j'ai contacté Francis, ignorant absolument qu'il était amoureux de vieux gréements et... d'huîtres de Saint Vaast. Nous n'avons pas vraiment eu le temps de faire connaissance - cela viendra - mais j'ai tout de suite perçu que l'homme connait bien la Normandie et le Marité.

Je lui ai présenté mon projet de "baptème" du navire avec son champagne. Francis m'a répondu très gentiment en m'expliquant qu'il était énormément sollicité pour ce genre de chose et qu'habituellement il ne leur envoyait qu'une fin de non-recevoir. Une réponse négative aurait été tout à fait compréhensible mais, finalement, il m'écrivit qu'il était très honoré d'être associé à cette fête et que trois magnums de Murgiers seraient envoyés à Granville :
- "Un pour le bateau et deux pour l'association" me glissa-t-il, de façon toute naturelle.

J'appelle Gildas pour lui faire part de ce geste. Il m'indique qu'il est au courant et m'envoie une capture d'écran où je découvre que Francis à lui-même conçu la contre-étiquette commémorative de l'événement !:
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Samedi midi. Après 3 heures de route depuis Rouen, une arrivée 10 mn avant le début des festivités, de trop longs discours et une cérémonie religieuse traditionnelle, l'heure est venue de fracasser le magnum de Murgiers sur la proue du navire. Télé, radios, presse écrite, bloggers, services com' de tous poils, public : le quai est noir de monde.

J'abandonne le bateau et les personnalités afin de monter sur le quai pour immortaliser l'événement. A ce moment, j'exulte, pensant au lien qui unira à jamais le Marité à Francis.

Et c'est la catastrophe... La catastrophe catastrophique. L'équipage, pensant bien faire, à préparé une bouteille de merde au cas où Jacques GAMBLIN aurait raté son coup. Les marins ont eu peur que le magnum ne rebondisse sur la coque ce qui, dans un milieu aussi superstitieux que celui-ci, n'est jamais bon signe. Sur l'échelle des trucs à ne pas faire, pas voir, pas dire sur un navire, la bouteille qui rebondit est classée tout en haut, au même rang que le rongeur à grandes oreilles dont on ne doit pas prononcer le nom.

Je vis néanmoins cet instant comme une trahison, totalement désemparé et désespéré. Tout ceci n'aurait donc servi à rien ?
La bouteille vient se briser sur l'ancre, libérant une mousse abondante qui file vers l'eau salée. A cet instant, je me remémore la devise des sauveteurs en mer : "Pour que l'eau salée n'ait jamais le goût des larmes". Pas le goût des larmes, mais un goût amer...

Finalement, je décide qu'on ne volera pas Francis. Je retrouve le magnum qui avait été mis au frais et demande au Président des Amis du Marité de l'offrir au parrain.
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Jacques GAMBLIN est d'autant plus touché que je lui raconte les circonstances dans lesquelles cette bouteille est arrivée à Granville. Peu de temps avant, l'enfant du marais avait loué le Marité qui, selon ses propres mots "rapproche les hommes". Jacques GAMBLIN s'inquiéte toutefois que ce soit une publicité déguisée. Je lui répond que la notoriété des champagnes BOULARD est acquise et que le vigneron n'attend pas ce cliché pour asseoir sa réputation. L'acteur se fait alors un plaisir de poser avec le précieux flacon.

19 heures. Marité est amarré quai d'Orléans. Après une sortie en mer accompagnée par de très nombreux navires, les tensions accumulées dans la journée sont évacuées. Pour fêter cette première sortie, nous savourons à notre tour ces Murgiers. Le soleil enveloppe Marité de ses derniers rayons, la douceur s'installe et la lumière de cette fin de journée enflamme les acajous du pont. Les bulles dansent dans les verres, nos yeux pétillent et nous nous abandonnons à la sensualité de ce champagne.
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Le silence se fait et chacun d'entre-nous trempe ses lèvres dans sa flûte. Nous oublions le tumulte du quai, nous nous adressons des oeillades complices et décidons que, finalement, il aurait été dommage que les poissons profitent d'un si beau vin. En définitive, ce sont les coeurs des hommes qui ont reconstruit ce navire, les coeurs de ceux qui, désormais le feront naviguer, qui ont été baptisés. Cette bouteille restera à jamais le témoin d'un moment de partage, ancré dans nos mémoires comme une évidence.

A Francis et sa fille qui, désormais, sont intimement liés à la vie et l'histoire du Marité.
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Et un grand merci à Gildas pour les photos.

Quelle histoire, quelle plume

Longue deuxième vie au Marité -D

Pour une fois,j'ai lu un texte LPVien sur Facebook avant de le lire ici.. Qu'importe vincent, tu écris toujours aussi bien mais aussi beaucoup trop rarement à mon goût..

Et un grand bravo à Francis et sa fille !! Et courage à eux pour cette année de merde au niveau climatique, si j'ai bien compris..

Arnaud

Ce récit est à la fois touchant et savoureux.

Merci Vincent.

Merci Vincent pour ce récit tout en délicatesse.

jlj

Belle histoire !
La motivation que l'on met à faire les choses produit beaucoup d'émotion et des moments qui sont des souvenirs éternels.
Bravo.

Je viens d'ajouter quelques photos que vous retrouverez - ou avez déjà retrouvé - sur la page FaceBook de Francis.
Amicalement,

Jolie anecdote Vincent, des histoires autour du vin et des hommes de la terre comme on les aime...

Au plaisir,
Julien

CR:Francis Boulard comète 1996

Un vin aussi rare que délicieux. La bulle est suggérée, le nez est sur les fruits secs l'attaque est soyeuse, mais on retrouve en milieu de bouche cette vivacité si "1996". Très belle matière, avec des saveurs de noisettes une touche bien vineuse (60% chardonnay, 20% PN 20% PM). Voilà du grand art, tout droit sorti de chez l'ami Francis. Une force tranquille, une caresse dynamique sur les papilles, moins évolué que le 97 bu il y a quelques temps.

Excellent! Parfait avec le pata negra