Est-ce que tout ça ( Champagne et truffe ) n'ont pas été servi bien trop froid !

Un Bollinger, ça se chambre presque !

Jmm

Jean-Loup et Hopla67 vous me rassurez et j'en deviens même impatient...
En gros mon champagne de fond de cave, après en avoir dégusté une 15aine de tout style et cépage est le Bollinger SC -en accord avec les goûts de ma femme je précise ;-)-. Mais je n'ai encore jamais goûté le GA...j'espère sous peu, attendant une possile bonne nouvelle...

Si vous me confortez dans l'idée que Bollinger GA reste dans ce style vineux et immanquable de Bollinger (et donc loin de ce trop fin à mon goût Cuvée Louise de Poemmery), j''en salive encore plus...et je comprends vos messages ci-dessus.

On en arrive à la même conclusion, le problème avec les invités de 27fb, ce n'était pas les mets et vins, mais les invités eux-mêmes...d'ailleurs 27fb, souviens-toi leur pizza maison avec un baron de l'estac rosé, hein, ça aurait dû te mettre la puce à l'oreille! ;-D

Bon en tout cas je vais craquer et enfin faire connaisssance avec Bollinger GA avant la fin du mois...quel qu'en soit le prétexte au fond ;-D

Alex.

Ouais mais le mecs, Pommery quoi!!!- On va pas comparer ça à Bollinger!!

Avant de me coucher... J'ai débarrassé la table du salon... Il restait un fond de verre... (sans commentaire...)
J'ai fait comme lorsque j'avais 5ans et que je finissais les verres d'apéritif...
Au nez un parfum de pain d'épices,mais pas le pain d'épices "fort", une odeur de stollen...
C'est vraiment très beau comme vin, très simple et puissant... Quand je dis simple... l'équilibre est remarquable c'est une seule sensation qui vous envahit le palais.
Je ne sais pas si je m'exprime bien mais, en comparaison, le Chassagne-Montrachet était complètement exhubérant, "bruyant" : ni classe ni distinction ; pour le moment, car, (comme le disaient les profs en parlant de mes enfants) il a un gros potentiel... : tout une éducation à faire....
En face du Bollinger tous les accompagnements répondent parfaitement et je comprends ce qui est souvent dit par les "spécialistes". Par exemple en face du Comté 28 mois il a une certaine tonalité, en face des Oboles de Lucerne au cumin une autre facette s'exprime etc... C'est remarquable, mais il faut y faire attention sinon on passe à côté

Pour Martinez : j'avais pris soin de le servir à 12/14° et nous étions près de la cheminée... La truffe était sur des toasts chauds, le beurre fondait joyeusement... Je pense que la température n'est pas en cause. Je pense plutôt que pour boire ce vin il faut être un peu concentré et se laisser aller... Mais c'est un peu difficile de dire : bonsoir cher ami, je préfèrerai que nous ne parlions pas pendant l'apéritif... D'autant que c'était mon meilleur ami avec qui je partageais cette bouteille...

27fb écrivait:
> Pour Martinez : j'avais pris soin de le servir à
> 12/14° et nous étions près de la cheminée... La
> truffe était sur des toasts chauds, le beurre
> fondait joyeusement... Je pense que la température
> n'est pas en cause.
Voici ce qu'écrit Bollinger, à propos de la température de dégustation :
"Pour mettre en valeur ce grand vin, nous recommandons de le servir à une température de 10° dans une très belle flûte, par exemple le verre créé par Riedel pour Bollinger.”"

2ème lecture, j'avais mal compris le sens du message de Tarkan...

Certes...maais bon il faut bien comparer pour asseoir ses certitudes dirons-nous:)-D

Alex.

Salut à tous,

bu ce jour : Bollinger - Grande Année - 2004 (dégorgement juillet 2012)

Servi à l'apéritif avec du parmesan.

D'une belle robe or, bulles fines, le nez est délicat d'abord sur des arômes floraux, acacia, puis apparaissent des fruits, plutôt exotiques, pas exubérants, ensuite des petites notes grillées / toastées du plus bel effet, beau nez fin et délicat.
La bouche est fidèle au nez où s'ajoutent petit à petit des épices douces. Belle longueur fraîche et tout en finesse. La bulle est discrète. L'ensemble présente une structure équilibrée, on sent qu'il y a de la puissance dans le côté vineux mais une puissance maîtrisée et contenue. Je pense un gros potentiel.
Remarquable d'élégance pour mon goût, j'ai beaucoup aimé !

Champagne Bollinger, BSA, spécial cuvée

Bouteille bue hier soir chez des amis à l'apéritif, sans prendre de notes.

Le nez est toujours aussi fin et complexe. C'est la bouche qui m'a surpris, et pas forcément en mal pour l'apéritif : je lui ai trouvé moins de vinosité que d'habitude et plus de minéralité. Sans doute une base de 2008, que d'autres ont appelé acidité deux ou trois pages plus haut.

En tout cas, toujours au top dans les BSA pour moi : 16,5 / 20.

Jean-Loup

eh bien, je crois que j'apprécierai le Bollinger la Grande Année 2004 ! le commentaire sur cette page fait part d'un bel éloge sur ce vin.
Il ne serait pas intéressant de le garder quelques années (3-6 ans) avant de le déguster?
Peut etre que c'est inutile?
j'aimerais avoir des précisions a ce sujet

Merci d'avance

eh bien, je crois que j'apprécierai le Bollinger la Grande Année 2004 ! le commentaire sur cette page fait part d'un bel éloge sur ce vin.
Il ne serait pas intéressant de le garder quelques années (3-6 ans) avant de le déguster?
Peut etre que c'est inutile?
j'aimerais avoir des précisions a ce sujet

Merci d'avance

Pour réequilibrer, une GA 2002 ouverte récement a donné beaucoup de plaisir a failli convertir une amatrice de rosé, de mon coté première GA 2002 ouverte et je dois admettre que ce millésime est une très belle surprise à ce stade. Je plussois donc sur les CR positifs.

Philippe C.

Pour réequilibrer, une GA 2002 ouverte récement a donné beaucoup de plaisir a failli convertir une amatrice de rosé, de mon coté première GA 2002 ouverte et je dois admettre que ce millésime est une très belle surprise à ce stade. Je plussois donc sur les CR positifs.

Philippe C.

Bollinger spécial cuvée dégorgée début 09 face au Rachais 04.

Vous allez vous moquer mais c' est mon bollinger "le plus ancien"! Vraiment superbe, sur la fleur séchée, avec un côté vineux mais arrondi,
avec du miel et un équilibre des plus agréable. Long et puissant. TRES BIEN+
Les rachais 04 dans un autre registre, bien jeune. Bulle des plus fines. Là aussi un équilibre superbe, et la pomme fraîche qui pousse à la consommation! Une sensation
de minéralité incroyable et en même temps, le vin est crémeux. EXCELLENT (mon plus grand, honnêtement)

Mes crs des derniers temps sont de tête et çà date un peu mais les deux champagnes ci-dessus m' ont botté avec un gros plus pour les rachais,
peut-être plus dans mes goûts, ma mère ayant préferé le bollinger.

Bollinger Grande Année 2002;

Nez épicé et fleuri. Pointe de vanille et fruits secs.
La bouche est large, profonde. La bulle, non mousseuse, soutient bien la matière volumineuse du vin. Vineux à souhait, dosé, bien dans le style maison, le Champagne n'en demeure pas moins fin et élégant. Sensation persistante de caramel en fin de bouche.
Aux antipodes du style "eau gazeuse" à la mode chez beaucoup, ce Champagne est un vrai, beau, compagnon de table. J'aime le style. Excellent.

Blackmania,

Cette impression de caramel me dérange car les Grande Année 2002 ne se présentent pas bien aujourd'hui pour moi et ce depuis cet été, j'ai eu l'occasion d'en ouvrir 3 ou 4 et le "dosage" me dérange actuellement, la vinosité est là mais ça finit un peu mollasson, trop dosé alors que lors de mon réveillon 2011/2012 il était fantastique, tout à fait ce que je recherchais d'un GA d'un si extraordinaire millésime.

C'est certes un très grand Champagne mais loin de ce qu'il a donné et pourra donner, à mon humble avis

Eh ben dis-donc Fabien, 5 GA 2002 ouverts en un an, j'espère qu'il t'en reste une palette, ce serait dommage d'avoir bu si vite une si belle année de garde...!

Fabien écrivait:

---

> Blackmania,
>
> Cette impression de caramel me dérange car les
> Grande Année 2002 ne se présentent pas bien
> aujourd'hui pour moi et ce depuis cet été, j'ai eu
> l'occasion d'en ouvrir 3 ou 4 et le "dosage" me
> dérange actuellement, la vinosité est là mais ça
> finit un peu mollasson, trop dosé alors que lors
> de mon réveillon 2011/2012 il était fantastique,
> tout à fait ce que je recherchais d'un GA d'un si
> extraordinaire millésime.
>
> C'est certes un très grand Champagne mais loin de
> ce qu'il a donné et pourra donner, à mon humble
> avis

Tu as sans doute raison. C'est marrant mais cette sensation de caramel m'a entêté toute la dégustation. ça ne m'a pas trop dérangé mais je peux comprendre que des amateurs de Champagne plus minéraux et moins sucrés puissent ne pas y trouver leur compte...aujourd'hui.

Fred B. écrivait:

---

Eh ben dis-donc Fabien, 5 GA 2002 ouverts en un an, j'espère qu'il t'en reste une palette, ce serait dommage d'avoir bu si vite une si belle année de garde...!

2 bues à la maison et 3 goûtées dans mon cadre pro.

Il est vrai que je bois aussi pas mal de Champagne, la 1ère m'avait enthousiasmé, je voulais reprendre du plaisir cet été et patatras, les autres ouvertes mais pas pour moi en soulignant toutefois le caractère "un poil dosé" à mes clients, 2 ravis, 1 mécontent...

2002 rejoint (mais comme au réveillon) dans mon Panthéon GA & RD les 85, 88, 96.

2000 se présentait très bien en revanche lors du dernier réveillon.

Bollinger Grande Année 2002 Dégorgé Septembre 2011.

Robe or un peu vieilli qui me fait craindre l'oxydation. Ouf, le nez est propre, assez discret, un peu vanillé, un peu d'épices.
La bouche est magistrale, tout en équilibre et cohérence. Ma femme est aussi sous le charme et se demande bien pourquoi ce vin est si exceptionnel (on a la chance d'assez bien connaitre les Grandes Années). Je pense que c'est la structure qui fait tout, équilibre de l'attaque vive mais pas du tout agressive, un milieu de bouche, pas exubérant aromatiquement mais dense et mais sans lourdeur. Une fin de bouche elle aussi sur cet équilibre magistral entre une acidité qui laisse le palais net et une sucrosité/gras qui donne un petit goût de revenez-y irrésistible.
Face à divers amuses-bouches (foie gras, truffe, tête de moine, etc...), la densité de la GA répond toujours présente, cette bouteille est un sacré compagnon de table.

Boris

Bu l'an dernier Bollinger Grande Année rosé 2002 pour la première fois, j'en attendais beaucoup plus.... J'ai été déçu par ce premier contact, manque de puissance, de vinosité mais une belle acidité cependant et une bulle agréable.
Je ne suis pas presse d'ouvrir les bouteilles qui me restent mais comme j'aime les champagnes anciens....

Mon champagne favori reste Larmandier Bernier Rosé de Saignée et c'est a lui que je comparais inconsciemment le Bollinger rosé GA 2002.

Bouteille bue lors d'un sympatique diner.
Bollinger GA 2000
Nez fin. En bouche on retrouve une bulle très fine. Belle complexité en bouche avec une très bonne longueur. Un vin assez classique et sur la finesse. J'ai bien aimé sans être transporté. A sa déchargé sa paire du jour était beaucoup plus expressive et limite entêtante. Dur de revenir sur le Bollinger après.

Christophe M.

Bollinger GA 2002
Superbe champagne, très jeune et d'un dynamisme remarquable.
Il est plus en longueur qu'en largeur. Très incisif, vif mais sans jamais agressé. Il est de ces blancs qui possèdent force et doigté.
Les bulles sont très, très fines. L'équilibre magistral et surtout question pureté, c'est un sommet. Il possède la légéreté de l'eau tout en donnant ce que donne un superbe vin blanc: arômes francs, nets et intenses ( aucune trace d'oxydation, citron, agrumes, fruits rouges, floral aussi.. ), harmonie, cohérence, longueur.
Il ne lui manque qu'un peu plus de compléxité pour devenir grand.

Jmm

Bollinger Grande Année 1999

Le nez n’est pas très expressif : brioche, note toasté
La bulle est très fine.
La bouche est équilibré, assez large avec une belle fraîcheur en finale.
La longueur est bonne mais sans plus.
J’attendais plus de cette bouteille

Eric

Bollinger Rosé

Bue ce weekend, à l'occasion d'un anniversaire, une belle bouteille de Bolly Rosé.
N'étant pas spécialement fan de champagnes rosés, j'ai apprécié le très bel équilibre de ce champagne, malgré une longueur moyenne.
J'ai regretté de ne pas retrouver le goût toasté, si caractéristique de la maison.
Une jolie bouteille malgré tout!

Bollinger Spécial Cuvée Brut
[size=small](en magnum)[/size]

Lors d'une réunion familiale, je décide d'ouvrir le magnum.
Sur conseil de Benoît (tarkan), le vin est servi à température de cave (12°C),
La bulle est fine et monte lentement dans le verre traversant une robe dorée.
Le nez est très fin, sur des notes de fruits blancs, de citron et une note d'épice.
La bouche délivre de beaux arômes de fruits gourmands mais le vin se caractérise avant tout par sa densité, son élégance et son équilibre magistral.
La structure est aérienne, caressante et le final, vif, est rehaussé par une grande fraîcheur.
Longueur impressionnante.
C'est mon premier essai avec ce vin et clairement pas le dernier.
Un Brut Sans Année, au sommet de ce que j'ai pu dégusté jusqu'à présent.
Respect.

Olivier

Champagne
Le chef de caves de la maison Bollinger, Mathieu Kauffmann vient de quitter la maison Bollinger à Aÿ !

champagne.blogs.luni...

Mon caviste me disait le mois dernier que la famille avait placé à la tête du domaine un
ancien cadre de chez Coca? Des infos? Est-ce vraiment le boss ou "juste" côté marketing?
Il est vrai que quand je vois la GC 2002 style 007, çà me fait un peu mal. Enfin, ce ne sont pas les
premiers ni les derniers mais ce n' est pas ce que "nous" aimons dans le vin il me semble.

www.larvf.com/,vinex...

Mais le raccourci me semble un peu facile...

Oliv

Ah bon tu trouves? Le plus honnêtement possible, je ne vois pas comment on ne peut pas faire de corrélation. J' ai
enfin pu goûter au 2002, génialissime, mais j' irai plus facilement désormais vers les maisons au regard plus simple (sens noble)
tout en gardant un sens aigu de la qualité. Question de philosophie, on ne parle que de vin, donc rien de grave, mais JE
trouve dommage que Bollinger tombe dans ce genre de marketing. Ce n' est QUE ma vision, je n' agresse personne!

Sinon merci pour la confirmation Olivier.

Si l'on part dans ce genre de raisonnement au faciès, La Pousse d'Or fait des vins techniques à la précision chirurgicale, Frédéric Mugnier des vins aériens, Sylvain Pitiot ou C. Mocci ne vivent que pour tracer des courbes de niveau de leurs terroirs, Thierry Hazard ne pense qu'à ses bilans comptables etc etc...

Soyons sérieux, le vin, sa fabrication comme sa commercialisation, ça s'apprend !
C'est donc un peu plus compliqué que les raccourcis faciles issus d'un CV...

Oliv