William Deutz 1999

Environ 70 % de pinot noir et 30 % de chardonnay.
La robe est d’une couleur paille à peine plus intense.
Le nez se délivre peu à peu et révèle une grande complexité : fruits blancs, torréfaction, tabac, fruits secs …
La bouche est à la fois riche et élégante, avec une grande finesse de bulles, une complexité telle que les arômes se fondent, une jeunesse éclatante et une longueur phénoménale.

Un très grand vin, qui peut être encore attendu au moins 5 ans, quasiment au niveau du fabuleux 1996 : 18 / 20.

Jean-Loup

Bu mardi soir Amour de Deutz 1999.

Un très bon Blanc de Blanc avec une belle bouteille et une capsule qui rend heureuse l'amie à qui je l'offre.

Couleur jaune paille, bulles très fine mais très présentes.

Au nez, arômes florals et une pointe d'agrumes ; j'ai pu voir une grosse différence au nez entre une flûte et un verre à dégustation plus évasé ou le nez était beaucoup plus expressif.

En bouche les bulles sont très présentes, avec une bonne structure grasse, mais je pense quand même qu 'il est encore un peu sur la retenue ; à revoir d'ici deux trois an.

Salutations
Julien

Deutz Brut Classic

Bu ce jour en magnum.
La robe est jaune paille est le nez très fin sur les fleurs blanches. Les bulles sont fines et bien présentes.
En bouche, le vin est subtil et fin, on pourrait presque croire à un demi-sec à l'aveugle. Un vin avec une belle structure qui est pour moi une belle découverte!
Un champagne comme je les aime et comme on en trouve que trop peu souvent à mon sens.

Krabb,

ayant bu une bouteille de ce champagne ce w-e j'apprécie votre commentaire, même si je n'ai pas eu le meme ressenti sur le caractère demi-sec.
Ce qui m'a plu dans ce vin c'est sa nette amélioration avec l'aération.

Armand

Deutz brut classic
Robe assés claires, paille mais avec des reflet vert il me semble.
Nez agréable avec de belles notes briochées, qui s'ouvrent progressivement avec des notes plus florales.
La bulle est fine, la bouche est fraiche, très agréable.
Un beau champagne d'Apéritif.

Rodolphe, j'ai également (re)bu ce Champagne hier au restaurant.
Rien à rajouter à ton commentaire, très proche du mien (27 mars 2011) et de mes sensations d'hier.

Jean-Loup

Deutz Amour de Deuz 1999

Robe un peu évoluée, bulle rare et fine.

Une nez très porté sur l'agrume, avec l'aération, il va dévier vers des arômes plus floraux.

La bouche est bâtie sur un modèle d'une grande finesse. De plus, son évolution au fil de la dégustation fut intéressante: vif et fruité, il se révèle ensuite plus délicat, avec des saveurs pâtissières. Belle matière, la trame est une douceur en elle même. Coté soyeux, comme un pétale de rose que l'on dépose sur la langue. Acidité et bulle donne vie à ce "concert". Dommage que la finale fut un peu courte à mon goût.

Un bon champagne, que je qualifierai de tendre...

Deutz 2005 Brut

Nez vineux, sur le pain grillé, beaucoup de présence. La bulle n'est pas en reste, elle est énergique également.

La même vinosité se retrouve en bouche (pas étonnant vu l'assemblage) avec un fruité agréable. Pas énormément de tension mais sa présence se fait sentir par sa rondeur, néanmoins, j'en attendais légèrement plus. Belle finale expressive sur des notes salines qui se démarque par sa longueur.

Un bon champagne, mais qui m'a laissé un peu sur ma faim. Certainement ouvert trop jeune.

Le Champagne Cuvée William Deutz 1988 est superbe, magique, et, lui, est totalement intégré. Il a tout pour lui, avec un équilibre parfait. Il est jeune et dans un état de grâce.

Le Champagne Cuvée William Deutz 1985 a un nez très élégant. Il est charmant, féminin, avec une autre forme de perfection, marquée de beurre et de toast. Le 1988 et le 1985 forment un couple masculin - féminin, de grand raffinement. Mon cœur balance en faveur du 1985.

Amour de Deuz 2003 :

Bonjour ,

Bouteille ouverte en ce premier jour de 2012 , bulles vives , robe dorée , je l'ai trouvé plus doux que le 2002 dégusté il y'a quelque temps ...
A mon gout, il demande d'être oublié en cave pour en tirer la quintessence.

Très bonne année à tous !!!
Cordialement ,

David B.

Deutz cuvée William Deutz 1999
Le vin est au départ net, droit et agréable, il devient ensuite au réchauffement et avec le temps beaucoup plus gourmand et complexe.

Au nez, on est sur les fruits blancs : poire, pêche blanche, raisin. Des notes de cake.

En bouche l'attaque est fraiche, assez vive, avec une jolie bulle. Mêmes notes qu'au nez avec une finale hyper saline qui lui donne un côté salivant et d'une belle fraicheur.

Avec un caviar osciètre l'accord se fait, sans être extraordinaire. Le champagne reste surtout sur les notes minérales mais le fruit ne ressort pas.

Sur de la pata negra, là c'est l'accord parfait : les deux se répondent en prenant des notes fruitées et gourmandes.

Sur de l'etivaz, l'accord se fait relativement bien et avec un langres, c'est plus difficile, notamment avec la peau orangée qui accentue l'amertume ou plutôt rend le champagne amer.

Moralité, ouvrez cette quille sur du jambon.

Deutz Brut Classic - Version Extra Brut :

Cette maison avait diffusé à l'automne dernier (période FAV) pour Monoprix une version Extra Brut de son Brut Classic.

La robe est d'un doré léger. Le nez est complexe (fleurs blanches,fruits blancs, amande, mais surtout et principalement sur la craie). Le vin attaque en bouche avec beaucoup de nervosité, c'est brut de décoffrage pour le coup. Le volume se fait bien présent, c'est plus en largeur qu'en longueur, le vin tapisse le palais. La finale finement citronnée et crayeuse apporte de la fraîcheur. Il s'est bien accordé à du Pata Negra.

En l'état c'est tout de même assez voire très strict, et de même que pour le Special Cuvée de Bollinger évoqué récemment, je pense qu'un vieillisement en cave ne peut que lui être bénéfique.

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Champagne Deutz Brut Classic :

Robe pâle, nez sur des nôtes florales. En bouche, ce champagne est vif, bulle fine, arômes de pomme verte, légère acidité et salinité en finale.
A parfaitement accompagné l'apéritif d'hier soir. Un champagne simple et frais.

Deutz - Amour de Deutz 2000
100% CH

La couleur est plus intense dans le verre qu'elle ne l'était dans la bouteille.
La robe est d'un beau jaune paille, vif et brillant, avec quelques reflets dorés.
Une belle mousse apparaît en surface.

Au nez ce Champagne offre un superbe bouquet d'arômes, riches et délicats.
Des notes de fruits secs (noisette, amande), de grillé très léger se dégagent.

En bouche ce n'est pas moins plaisant.
C'est léger et complexe à la fois, les belles saveurs qui se percevaient au nez sont bien là.
L'équilibre est bon, et la tension bien maitrisée.

Je trouvais habituellement la gamme Deutz un peu trop sur le beurre, ici je n'en ai pas trouvé, cette cuvée m'a réconcilié avec cette maison. Mais à quelle prix... !

Je classe cette bouteille comme étant le meilleur millésime 2000 qu'il m'ait été donné de goûter à ce jour.

Deutz cuvée William Deutz rosé 1999

là, on tape dans de l'effervescence généreuse. Le nez est fruité, la bouche aussi mais cette bulle trop envahissante masque un peu la matière, on sent du fruit, une belle acidité, mais ça ne s'impose pas. Deutz n'est pas trop mon style je crois. Un vin qui a fait débat. Pour moi l'ensemble n'est pas harmonieux

Deutz - Blanc de Blancs 1993
Nez fin de moyenne intensité sur le pain grillé, biscuit, caramel, beurre, pomme jaune, touche d'humus et de truffe. Belle complexité mais le vin semble en bout de course.
Vin plutôt délicat, avec une colonne acide qui suit toute la dégustation. Volume et intensité moyenne. Texture légèrement crémeuse. Longueur moyenne + avec un léger côté minéral.
Très bien -. Un brin fatigué.

Deutz - William Deutz Brut 1990
Nez fin et délicat sur la truffe, champignon. Touche oxydative avec pomme au four et noix. Pointe de grillé, caramel. Touche terreuse. Belle complexité mais il lui manque un peu de pimpant.
En bouche, le vin est rond, soyeux. La bulle est presque absente. En finesse. Bonne intensité aromatique avec un côté terreux plus important. Très long.
Très bien +. Un peu fatigué aussi

Deutz cuvée Brut Rosé

Nez moyennement expressif, sur les fruits rouges
En bouche, les bulles sont fines, c'est ample et suave
La finale est de longueur moyenne, sur une légère amertume.

Pour conclure, nous sommes face à un Champagne de bonne facture, relativement agréable, mais au rapport qualité/prix peu favorable, car il n'y a franchement pas de quoi tomber par terre...

Salut à tous,

bue ce midi une bouteille de : Champagne Deutz brut classic

La robe est assez claire, les bulles sont fines. Au nez des arômes de fruits blancs, briochés, et des notes florales. Beau nez expressif.
En bouche le vin est vif et équilibré, doté d'une grande fraîcheur et avec de beaux amers sur les agrumes.
Un beau champagne d'apéritif qui a ravi la table.

Je l'ai encore bu il y a une dizaine de jours et c'est à chaque fois le même plaisir.
Pour le commentaire, pas de problème, j'aurais pu écrire celui de Cédric !

Jean-Loup

Pour le commentaire, pas de problème, j'aurais pu écrire celui de Cédric !

Je prends ça pour un compliment Jean-Loup...

Tu peux, Cédric !

Jean-Loup

Champagne Deutz cuvée « William Deutz » 1999

Bue lors d'une dégustation relatée ICI .

Il s’agit d’un assemblage 55 % PN, 35 % C et 10 % PM.

Vivien
La robe est d’un très bel or. Le nez est sur la paille mouillée, le miel. Les bulles sont très légères et fines. Le vin est aérien, légèrement mentholé tout en étant également vineux. Une belle tension, des agrumes, de la finesse, une très belle longueur. Un superbe équilibre et une pointe de fruits blancs en fin de bouche.
Délicieux 17+/20

Jean-Loup
La robe est paille soutenue mais difficile de juger les bulles qui n’apparaissent pas dans les verres Spiegelau, trop bien lavés sans doute, pourtant pas au lave-vaisselle !
Le nez est très intense et complexe : le miel est très présent, ainsi que la pomme, mais on note également du grillé et des notes minérales.
En bouche aussi les bulles sont à peine perceptibles : ont-elles disparu ? Non, elles sont tout simplement d’une finesse extrême. La charpente et la vinosité sont là, mais l’élégance aussi. C’est sans doute ce qui a partagé les dégustateurs, partagés entre le pinot noir et le chardonnay …
En tout cas un très beau Champagne de classe : 17,5 / 20.

Amitiés oenophiles,
Jean-Loup

bu lors d'une dégustation relatée ici :


Champagne Brut Deutz « Cuvée William Deutz » 1999

Enzo:
Nez intense de brioche, de beurre, de fruits jaunes, de noisette avec un fin oxydatif qui complexifie l’ensemble. Très beau nez.
La bouche possède une bulle ultra fine, délicate malgré une belle effervescence. C’est peu corsé mais de beau volume, gourmand avec une belle rondeur et beaucoup de finesse. Bonne persistance finale. Superbe champagne. Très Bien +.

Karim (bis):
Servi un peu chaud, bulles fines, épicé, très chardonnay, pas de note car je ne suis pas trop champagne mais j'ai bien aimé.

Arnaud (aquablue):
Le nez est sur des notes de brioche, de raisins de corinthe et un petit coté fumé
La bulle est d'une très grande finesse, on a un fin oxydatif, des notes noisetées et une jolie acidité en fin de bouche.. Vraiment un beau champagne. Très bien

Nico: (arboussas):
Un champagne assez élégant, complet, vif et structuré, avec une bulle assez fine et une belle palette aromatique. Mais servi bien trop chaud à mon gout, ce qui a eu pour effet de renforcer l’impression de sucrosité en finale et de dissocier acidité et gras dans l’équilibre global du vin. Bonne allonge néanmoins, délicatement oxydative. Il lui aurait fallu trois à quatre degrés de moins pour peut-être être au top.

Sympa ces deux belles dégustations à deux semaines d'intervalle (datées du 14 et du 27 octobre), toutes deux ouvertes par ce très beau Champagne !

Jean-Loup

en effet jean-loup, pour nous il ouvrait notre dégustation, ça commençait fort

Pour nous il ouvrait notre dégustation, ça commençait fort
Et pour nous aussi, Laurent !!!!!!!!!

Jean-Loup

Dégusté samedi dernier au Grand Tasting.

Champagne, Cuvée William Deutz 1999, blanc 60% Pinot Noir, 30% Chardonnay, 10% Pinot Meunier
Au premier nez des arômes de moka, et presque de feu de bois. Le deuxième nez est très beau, brioché, avec des arômes pâtissiers. La bouche est très belle, pleine de charme, de fruits (type pomme). Ce Champagne est superbe !

Cuvée William Deutz 1999

Style légèrement oxydatif au nez, arômes très intenses sur la brioche, la noisette avec un petit côté beurré. C'est à la fois puissant et d'une très grande élégance.
Belle amplitude en bouche sans que cela soit extravagant, on reste dans le registre de l'élégance et de la finesse. Bonne longueur, sans plus, mais cela reste un excellent champagne à placer en apéritif ou en début de repas. Un des coups de coeur de ces fêtes.

Christophe

Bonsoir !
Amour de Deutz 2000
C'était vendredi dernier l'anniversaire de mon épouse et je l'ai donc emmenée au restaurant "Chez les Anges" qui se situe avenue de la Tour-Maubourg dans le septième arrondissement de Paris, établissement qui permet d'apporter son vin contre un droit de bouchon de 20€ par bouteille. J'ai donc réservé pour nous deux, et j'ai apporté l'Amour de Deutz 2000 en question ainsi qu'un Léoville Las Cases 1999 qui est commenté dans la rubrique idoine. J'ai choisi ces deux vins car j'avais envie de les boire, pour faire plaisir à mon épouse, bien sûr, et aussi pur accompagner le menu que j'avais choisi qui est "le choix des Anges", un menu dégustation surprise mais dont on m'avait dévoilé quelques composantes afin d'aiguiller mon choix de vin. Ces commentaires sont retranscrits de mémoire, n'ayant pas pris de notes le soir même.

Nous arrivons donc le soir, les bouteilles sont déjà là depuis 14h, elles ont été ouvertes et goûtées par moi et le sommelier pour vérifier que tout allait bien, et ce fût le cas !
On nous installe à une petite table dans la veranda, il y fait bon mais pas trop chaud, il y a de l'espace entre nous et la table voisine, nous sommes bien. Arrivent de belles olives charnues, des petits radis et des bâtons de carotte crue, c'est "l'apéritif" alors que le champagne fait son chemin jusqu'à nous. Cet apéritif est en fait servi à chaque table, quelque soit la commande, d'où le peu de cohérence avec l'Amour de Deutz, mais passons. On se concentre alors sur le champagne qui arrive, et qu'on nous sert judicieusement en des verres et non des flûtes.

Il présente une jolie robe dorée pâle, la bulle est fine mais la mousse chante. C'est une invitation à humer l'effervescence iodée du breuvage où le beurre frais se marie aux fruits blancs et à la fleur, fleur que je situerais quelque part entre l'acacia et le chèvrefeuille. Moins envoûtant mais aussi frais que le chèvrefeuille. Bref, le nez est fin, frais, fringuant ! La bouche, que je m'attendais à trouver toutefois assez ronde tant le côté beurré m'avait sauté aux narines, est elle aussi fraîche et fringante, elle est vive même. La salinité est en accord avec l'acidité qui portent le fruit frais longtemps dans la bouche. La mousse est onctueuse et peu envahissante, le vin est vineux, mais pas dans le sens de l'élevage comme parfois. C'est vraiment plus un comportement.

Nous le découvrons ensuite sur la mise en bouche qui est une terrine de lapin aux herbes et cela révèle encore le côté salin du vin, titillant même son côté très aromatique. L'accord n'est pas mauvais, mais est un peu en force. Le champagne, par sa mousse, couvre la terrine, puis celle-ci développe son côté parfumé aux herbes, puis le champagne redouble de salinité. C'est un peu trop combatif et manque de cohérence.

L'Amour 2000 trouvera nettement plus sa place et sa raison d'être avec un peu moins de fraîcheur et surtout des langoustines vivantes juste poêlées au beurre. Là, on découvre un grand accord évident, certes, mais qui magnifie le chardonnay, révélant le brioché qu'il retenait encore timidement il y a peu, tempérant son iodé. L'onctuosité redouble sans aucune lourdeur, la simplicité fait foi et marque ce moment du sceau d'un plaisir naturel et courtois. Courtois ? Oui ! Car chaque élément va rendre à l'autre sa part de grandeur en lui empruntant tout ce qui lui manque pour rentrer dans un jeu de complémentarité exemplaire.

Puis, sans aucunement s'ennuyer de ce doux breuvage, nous le terminons (eh oui ! à deux, la bouteille paraît même petite) sur le poisson, une ballottine de lotte légèrement épicée accompagné d'une tombée d'épinards et d'une salade dont j'ignore le nom et qui se situe gustativement entre les chicons et la romaine. Elle est elle aussi un peu cuite et apporte la touche d'amertume qu'il faut sans être trop croquante au regard de la chair du poisson qui doit rester la texture la plus marquante. L'accord est intéressant mais n'égale pas l'efficacité du précédant, c'est un peu dommage. Les épinards sont très bons, goûteux, et plaisent au champagne, mais les épices, notamment le cumin et le paprika qui sont saupoudrés sur la lotte le malmènent un peu. J'essaye, pour l'expérience, avec le Léoville Las Cases 1999 que j'ai prévu pour la suite et c'est nettement plus amusant, sans être non plus au top.

Après le poisson, il nous reste un fond de verre chacun qui patientera car nous avons envie de rouge !

Que dire, donc, de cet Amour de Deutz 2000 ? C'est qu'actuellement, il est très élégant et assez aérien, qu'il lui faut des choses simples et fraîches, évidentes. Si les langoustines ont été un compagnon idéal ce soir, je ne doute pas que d'autres fruits de mer fins (certaines huîtres, des noix de Saint Jacques, un homard) lui soient aimables tant qu'ils seront cuisinés simplement. En effet, c'est un vin fin et délicat, il ne faut pas le brusquer mais le porter. Il est vraiment bon, voire très bon !

La suite s'est bien déroulée aussi, l'agneau était l'ami naturel du Saint Julien, et les desserts ont été dégustés pour eux, car à deux, nous avons bu sept quarts de bouteille !

Bonne soirée,

Nathanaël, pas déçu !