Coteaux Champenois, pur meunier, mais d'où ?
Bon, c'est pas fréquent..mais un ami m'amène un jour une bouteille de Coteaux Champenois, et je me souviens bien qu'il s'agit d'un pur Meunier, sans doute 2012. L'habillage est en papier léger. et comme une andouille, je laisse cette bouteille au sol sur les graviers, à l'endroit le plus humide de la cave...Bref, plus d'étiquette, rien sur le bouchon....ça c'est à l'aveugle, hein !
Nez oscillant entre les fragrances bourguignonnes habituelles...et de la fraise compotée, version Reynaud en plus léger, annonçant une possible bouche doucereuse type rosé d'un jour ..qui n'est pas là, bien entendu. Un petiot fumé surprenant envahi les papilles et damned, c'est bon. Sans doute tout juste 12° à mon pifomètre alcoolique mais c'est addictif. une vraie surprise...
Si l'ami reconnait son apport, qu'il me pardonne mais en ramène une , c'est très bon.