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oliv écrit: Le consommateur serait donc rétif à la capsule mais moins aux bouchages alternatifs ?
Car force est de constater que certains des plus grands domaines à blancs de la région sont passés au Diam depuis quelques années.
Pour les rouges, il serait intéressant d'interroger Laurent Ponsot sur son choix qui ne date pas d'hier et le ressenti de sa clientèle.
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oliv écrit: Le consommateur serait donc rétif à la capsule mais moins aux bouchages alternatifs ?
Car force est de constater que certains des plus grands domaines à blancs de la région sont passés au Diam depuis quelques années.
Pour les rouges, il serait intéressant d'interroger Laurent Ponsot sur son choix qui ne date pas d'hier et le ressenti de sa clientèle.
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Le profil CETIE ( pour citer le plus connu ) est sans doute leur seul point commun.....Régisseur Ardhuy écrit: c'est le peu de collaboration apparente (peut-être le font-ils en secret ?) qui semble exister entre par ex. les bouchonniers et les verriers par ex.
18.5 mm de diamètre en haut, mais 20.5 mm de diamètre 45 mm plus bas dans le goulot.Régisseur Ardhuy écrit: Je peux effectivement témoigner ici que très souvent on me répond que le plan verrier de la bouteille stipule bien un diamètre de col interne de 18,5 ± 0,5 mm. En théorie donc, en mettant de côté la tour de Pise, je vous laisse imaginer ce que cela peut donner comme profil « toléré », le long de la hauteur du col : 19 en haut, puis 18 au milieu, puis 19 en bas, ou l'inverse ?
Grosso modo, il semblerait qu'au niveau mondial moyen, le liège serait le plus associé au vin haut de gamme, pour 70 à 80% des gens. Plus ou moins selon la police ou les syndicats ( les liégeurs ou les alternatifs ). Et pour un consommateur, le liège naturel ou colmaté ou micro aggloméré, .....c'est pareil, c'est du liège. Le synthétique est en coma dépassé, les parts de marché monde ne font que chuter. La capsule progresse, mais sûr que progresser sur un rouge français de garde ( le marché le plus réfractaire ) en partant de zéro c'est plus facile.Régisseur Ardhuy écrit: Ce cliché est-il validé par des études sérieuses ?
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Vaudésir écrit: W.Fevre
Preuses 2008 liège oxydé
Montmains 2008 Diam's Top
CQFD
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Régisseur Ardhuy écrit:
Vaudésir écrit: W.Fevre
Preuses 2008 liège oxydé
Montmains 2008 Diam's Top
CQFD
Aussi décevant cela soit-il pour le consommateur final, et j'imagine le producteur lui-même, il me semble que cette démonstration n'est pas convaincante : les deux cuvées étant issues de raisins provenant de deux parcelles différentes, qui auront suivi un itinéraire technique séparé et différent, on ne peut objectivement rien en conclure. Je comprends votre propos, et je peux entendre que le producteur ait tenté d'appliquer la même trajectoire à ces deux cuvées (essayant ainsi de « révéler le terroir »), et que donc le paramètre prépondérant dans cette différence de qualité finale serait l'obturateur, mais scientifiquement parlant, le biais est ici trop important pour conclure quoique ce soit.
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Patrick Essa écrit:
Régisseur Ardhuy écrit:
jean-luc javaux écrit: D'où l'intérêt probable de s'affranchir de cette variabilité de perméabilité à l'O2 du système "bouteille+bouchon"* en protégeant le vin en cirant les bouteilles
jlj
.....
Salut Vincent........, "puis l’acidification...on a je crois touché le fond du problème en invoquant le climat et son réchauffement qui supposément ferait baisser le niveau d’acidité totale et remonter le pH. Mais qui a inventer cette règle qui consiste à affirmer qu’un vin issu d’une récolte compliquée ayant vu des raisins non mûrs pourraient être mieux équilibrées que de beaux raisins sains récoltés à pleine maturité?
De qui se moque t’on? "
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rkrk écrit: Par contre, par rapport à la liste de Patrick, j'ai bien aimé les 2001 et les 2004 en Bourgogne blanc.
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Cela fera plaisir aux gens du Rhône!rkrk écrit: On parle bien des vins blancs ici ???
J'ai souvent trouvé les 2005 un peu rondelet et les 2003, disons, "rhodanien" - mais je n'ai certainement pas bu un échantillon aussi large que Patrick.
Ralf
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Régisseur Ardhuy écrit: Plus spécifiquement concernant la question de l'obturateur dans cette perspective de la stabilité oxydative des vins la publication suivante est incontournable :
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magobei écrit: Bonjour,
pour éviter les paillettes de cire partout dans le goulot, le mieux je trouve c'est de percer la cire au tire bouchon, commencer à tirer le liège sur 1 ou 2 cm, enlever la cire à la main aussi sauvagement qu'on le désire (aucun risque qu'elle touche le liquide vu que le bouchon est encore à moitié dedans) puis de faire le "PLOP" final.
Bonne journée
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agitateur écrit:
Régisseur Ardhuy écrit: Plus spécifiquement concernant la question de l'obturateur dans cette perspective de la stabilité oxydative des vins la publication suivante est incontournable :
Je n'irai pas jusque là, c'est mon esprit contradicteur sans doute.......
Repérer du prémox à la couleur, à travers la bouteille, on se doute bien qu'il y a un problème grave. Dans le cas présent, on est sans doute à la limite de la couleuse périphérique, donc forcément ça passe fort à l'interface verre / obturateur.
Sur des bouteilles qui sont déjà anciennes par rapport à l'étude, j'aurai aimé en complément:
- une estimation du taux de retour prémox estimé par la clientèle sur ces lots
- et en // le taux de déviantes visibles à travers le verre.
Il y a tout un tas de raisons ponctuelles qui peuvent avoir engendré celà, sans pour autant être responsable de la dérive prémox généralisée.
A trop faire des focus sur les autres, l'extérieur, la bouteille, le bouchon, etc....sans doute la Brg perd un peu de temps.
4 bouteilles testées, quand même........un peu léger non ?
Aucune répétition par définition, 4 modalités uniques.....
Qu'ils prennent 100 bouteilles d'une même lot. Même pas besoin de dégustation, les mesures de bases dont la teinte suffiront. Et mettre en // avec les perméabiltés O2.
Ca aura un peu plus de gueule. Enfin, ce sera moins impressionnant, mais beaucoup plus robuste.
Là, on a plein de mesures, pour montrer qu'on sait faire plein de trucs, mais au fond c'est pas exploitable. Youppie ! Car quand même, que l'interface soit en jeu, ce n'est pas tout à fait nouveau.....
2 ou 3 trucs qui m'ont fait me marrer:
- le bouchon le plus "beau" en surface a engendré la quille la plus foireuse ( même si c'est peut être pas sa faute ...).
- c'est aussi le moins dense, ce que certains labo externes mettent en avant comme défaut....mais critère refusé par les liégeurs. D'ailleurs, le oxydé 2006 l'illustre bien. Il a une densité apparente en valeur haute, mais au delà du paquet de petites lenticelles je flaire un boisé sous jacent ( qui peut contribuer à faire une presque couleuse périphérique )
- one devrait surtout pas se faire une idée d'un lot de bouchon avec 2 unités ( au niveau visuel ). Mais si on le fait, on peut noter que le viti sur son 2006 a tombé son choix d'une ou 2 catégories versus le 2005. Et moins cher, donc.
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Régisseur Ardhuy écrit: Diriez-vous (je pose des questions honnêtes, sans arrière pensée) que la qualité visuelle d'un bouchon n'est que très peu corrélée à ses caractéristiques et qualités en tant qu'obturateur (élasticité, transfert de gaz, neutralité aromatique,etc....
Un bout miroir est en bonne partie un coup de bol. Si on tranche 3 mm plus bas ou plus haut, un miroir ne le serait plus assez régulièrement.Régisseur Ardhuy écrit: Il me semble par ex. que dans certains cas les têtes (bouts) dits « miroirs » affichés fièrement par certains domaines viticoles.
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Mon petit doigt me dit que certains « bouchonniers » pratiqueraient la technique dite de l'« enrobage » pour maquiller visuellement leurs bouchons. Je ne parle pas ici du « traitement de surface » mais bien de cosmétique. On viendrait en gros colmater les trous et rendre un aspect plus lisse, visuellement plus attractif, au bouchon.agitateur écrit: (...) Le "beau" peut être intrinsèque, ou un bien un maquillage avec certains traitements de surface.
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Régisseur Ardhuy écrit: Et pan sur le bec
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