Franck PASCAL écrivait:

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reflet de qui
> tu es et non de qui je suis.
> C'est pourquoi il est important de ne point
> juger...

Il est important de juger le résultat. J'ai vu par chance que le caviste local (Vinothèque de la charrière) distribue le champagne de Franck Pascal.
Est-ce que ça va faire comme les vins de JM Stefan ? Vin déviant ou ça va me procurer du plaisir.

Mon expérience en vin sans soufre est mitigé. Si ça s'est avéré très positif avec Jean David (Séguret), ça a été nettement moins bon avec JM Stefan.
Une connaissance a aussi fait l'expérience avec les vins sans soufre de Gerard Bertrand. Ca a tenu plus de 24h à l'aération.

Ca ne t'intéresse pas Enzo de connaître les dessous des vinifs sans soufre ?

bah pour l'instant à part du buzz et de l'esotérique, je n'ai rien lu....
mais tous les adeptes de nicolas joly espèrent depuis 5 pages -D

enzo d'aviolo écrivait:

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> mais tous les adeptes de nicolas joly espèrent
> depuis 5 pages -D

Heu...on a dépassé N joly. A ce stade, c'est au minimum raelien.

Finalement, on est en train, si j'ai bien compris, d'inventer un nouveau concept (ou religion, selon le stade de croyance de chacun...): Le Plocher-Audouzianisme!!!!-

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Bonjour à tous,

En ce mercredi 23 juillet 2014, Le Bon Franck Pascal qui a réussi à s’échapper du piège LPVien avec ses derniers messages, prend ses quartiers à la vip room de son forum favori et exige avec humilité et respect une discussion de saison, agrémenté de « nouveaux » concepts d'élaboration de vins natures. A 20h30, il est entouré de Luc J., Ptipthilou., Philippe B., agitateur et moi-même (P-A Benoit).

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Apéritif : Comment faire l'annonce sur LPV d'une nouvelle technique eonologique et attirer le plus de monde possible + Cuvée des sceptiques 2014 + Domaine des "rares lecteurs qui tombent encore dans mes pièges" 2013
La fabuleuse annonce faite par notre Grand Franck Pascal, viticulto-cosmologo-expérimento-propheto-thérapeute attire le chaland de manière discrète mais remarquée.
La "Cuvée des sceptiques 2014" se montre d'abord aimable, courtoise et discrète. A la fois intriguée mais douteuse de cette annonce.
Le temps s’est arrêté et nous constatons que le Domaine des "rares lecteurs qui tombent encore dans mes pièges" 2013 semble bien pâle face à la cuvée des sceptiques.

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Before : risotto aux explications fumeuses + VdP "J'essaie de vendre mes cuvées en toute discrétion 2010" + Château "des lecteurs qui en ont marre"
On attaque directement avec le risotto aux explications fumeuses. La saveur est distinguée bien que quelque peu grossière.
Avec le plat, de le VdP "J'essaie de vendre mes cuvées en toute discrétion 2010" est taclée assez rapidement. Alors que notre Bon Francky croyait discretement pouvoir placer dans ses messages une invitation à acheter ses bouteilles à prix épicé pour trouver l'explication tant espérée, certains qui ne sont pas dupes le lui rappelle.
On se remet les papilles en place avec le Château "des lecteurs qui en ont marre": pure, frais, élégant et savoureux. Un très beau flacon témoin de la grandeur de son appellation !

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Main course : Accélération des particules sauce aux explications qui n'arrivent pas...................

Ooops! Il semble que je me sois trompé de fil de discussion!
Je voulais faire mon prochain CR mais visiblement ce n'est pas le bon lieu....
Tant pis!

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Pour le plaisir du roman-photo, lire le texte dans son intégralité et pour tout connaître sur les moeurs raffinées de notre Bon Tyran Franck Pascal, y'a qu'une seule solution, cliquez www.franckypascalnot...
C'est gratuit à tous les sens du terme (enfin presque...)
Bonne semaine dans l'humilité & le respect.
PAB

Regardez, c'est un oiseau !

Mais non, c'est un avion !

...

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Franck PASCAL écrivait:

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> De but en blanc, non. Je l'ai expliqué juste
> avant.
>
> Si je te dis que le but est permettre à la matière
> d'être "alimenté" par une "substance" qui la
> maintien en état afin qu'elle ne dégrade pas, tu
> vas dire que je reste évasif, non ?
> C'est le serpent qui se mord la queue… et ce n'est
> que l'une des conditions… d'où ma difficulté à
> être précis/exhaustif

Franck, si ta "substance" de nature "quantique" pour toi, il y a des chances non nulles pour que je comprenne si tu lèves un peu le voile, mais bon, tu fais comme tu le sens. C'est de nature ondulatoire ? dualité onde-corpuscule ? un champ quantique type "matière noire" qu'on ne parvient pas encore à déceler...? On viole les inégalités de Bell mais y'a des variables Einstein-Rosen cachées qu seraient mises en évidence (je m'égare, certes). What else ? Sincèrement, ça m'intéresse car je suis curieux de tout, même si c'est plutôt un loisir pour moi.

Petite remarque au passage: je suis admiratif du travail réalisé par Jean Foillard, par exemple : je n'ai encore jamais vraiment rencontré de déviances : comment fait ce domaine pour parvenir à un tel résultat ? Mais est-on pour autant plus fidèle à la notion de terroir par ce biais ?
Autrement dit : peut-on , par ailleurs, produire du vin "sans soufre" qui respecte intégralement et mieux encore le terroir et l'identité de la gueule de l'endroit où naît le vin, que ne le fait un autre process plus classique (id est, bio ou bio-d, mais avec un peu de sulfite) ?

Bonne soirée.
Phil

Si je te dis que le but est permettre à la matière d'être "alimenté" par une "substance" qui la maintien en état afin qu'elle ne dégrade pas, tu vas dire que je reste évasif, non ?

Quelle substance et alimenté(e) comment ?
Tu réponds à la question, tout le monde rentre chez soi et on n'en parle plus. Tu peux le dire si tu mets de la poudre de quartz ou de la fiente de poulet bioionique dans tes cuves, on ne t'en voudras pas.

Par exemple du soufre dynamisé pour booster la production de SO2 par les levures indigènes

Là rien à dire, c'est beau comme du Plocher.

EDIT: @ philou et son dernier paragraphe.

Encore faut il que la gueule de l'endroit soit plus forte que la gueule de la "patte" du géniteur du vin ( qu'il soit bioD ou tartiné généreusement aux intrants ).
Je crois qu'on en a déjà pas mal parlé.....

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Oui oui, Agitateur, mais j'essaie de recadrer un peu les échanges : produire un vin sans soufre correct, il me semble que beaucoup savent faire désormais, le hic étant qu'ils se ressemblent souvent un peu beaucoup...
Donc, un vin comme celui créé par Franck, selon sa méthodologie, devrait permettre de mieux faire ressortir son identité, sans intrant et sans filtre ou prisme "déformateur". Oui, mais comment ? hum ?

Crois bien que dans n'importe quel domaine scientifique ou technique que tu voudra aborder, il y aura parmi les LPViens réguliers au moins une personne qui pourra te mettre minable. Une belle branlée.

C'est bien là le problème. Quel que soit la justification pseudo-scientifique apportée, il se trouvera bien un gus sur LPV capable de la démonter. Je comprends que dans ces conditions notre ami n'aie pas envie de se mouiller d'un orteil. Alors on en reste au teasing, à l'intangible, parce que ça, justement, c'est pas démontable.

O.

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Comment "marche-t-elle" selon toi ?

Eh ben sur ses jambes, pardi ! C'est du cours de CM2 en matière noire ... Je sens qu'on est mal barrés.

O.

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allez Franck, t'as tes cuves qui t'attendent, faut pas rester jouer ici, tu y perds ton temps.

Attention, Franck va bientôt nous expliquer que ses vins guérissent les malades, on y est presque, encore un peu de patience...

Luc

Bonjour à tous,

je me pose un questoin en tant qu'amateur.

On parle (et c'est le titre du sujet) de vins SANS soufre.

Mais plusieurs fois, les intervenants ont abordé la question des quantités de soufre présentes dans le vin et, bien qu'elles soient proche de zéro, elle n'en sont pas pour autant absentes.

D'où mon interrogation, quand parle t on d'un vin sans soufre ?

D'avance merci pour vos lumières.

On ne peut marquer "vin sans soufre" sur l'étiquette s'il y en a moins de 10 mg/l. C'est assez rare, car même si on en ajoute pas, il s'en produit naturellement. Mais ça existe

La mention "contient sulfites" sur une étiquette est obligatoire au-dessus de 10 mg/l de soufre total.
Il est vrai qu'avec les vins liquoreux, soufre peut dans ce cas s'écrire avec deux "f"
Je me demande d'ailleurs pourquoi les jus de fruits n'ont pas cette contrainte (certains étant généreusement sulfités)

Et j'ajouterais que pour moi, la fonction du vin n'est pas uniquement d'exprimer le terroir.
C'est un aliment

En Belgique, on a un vieux dicton : "une bière = 2 tartines" , un verre de vin ça vaut combien de tartines?

Franchement, comme aliment, il y a tout de même mieux que le vin...

Luc

Luc écrit: Franchement, comme aliment, il y a tout de même mieux que le vin...

Oui, pour les vins normaux!
Mais avec les vins de Franck, on se nourrit en même temps...
C'est la boisson du futur!

Julien

Merci pour vos réponses.

Du coup, y a-t-il une différence entre un vin qui contient des sulfites naturellement présents (mais sans ajout), ou bien un vin qui a été sulfité mais dont la teneur en soufre finale correspond à moins de 10 mg/l de soufre total ?

D'où mon interrogation, quand parle t on d'un vin sans souffre ?

un seul "f". il faudrait plutôt parler de sans soufre ajouté et en ce cas c'est moins de 10 mg/l, car on peut avoir un vin sans soufre ajouté avec 20 mg/l de total.

à 10 mg/l le palais humain n'est pas capable de le percevoir le soufre ajouté.

Merci Enzo,

mais qu'en est il de la mention "vin naturel" ?

Sans soufre ajouté ? ou inférieur au seuil de 10 mg/l de soufre total ? ou les deux ?