Mince Oliv. est battu sur la qualité du CR !!!!
C'est Robert qui l'a detroné.
Magnifiquement écrit.

www.academiedugout.f...

Bocuse avait accompagné ce plat d'un Montrachet...
al

gare aux contrefaçons
al

Même si c'est pas si facile de s'endormir quand on a encore des étoiles plein les yeux, la nuit a été douce, tendre et bercée de rêves oenorotiques aux capacités érectiles à en faire passer la couette pour une tente de camping ! ()

Pour une fois que la maison du bonheur n'est pas assaillie par la meute des Alamis dès le petit matin, je laisse mon esprit vagabonder dans un petit moment d'introspection et pèse à son juste poids, celui de l'amitié et de la chaleur humaine, la chance incroyable qui est mienne depuis ce jour de 2007 où j'ai pris mon courage à deux mains pour oser passer de l'autre côté du morne écran d'ordinateur et faire la connaissance de mon petit père Herbin lors d'un voyage glacial vers les terres de Champagne. C'était parti !

Peu de temps après, toujours grâce à mon Châ, je rencontrais Alain lors d'un mémorable pique-nique sur le muret du Montrachet.
Puis vinrent Pélusse et l'Enzo, leur générosité sudiste en bandoulière, Robert et son esprit magique à la plume fabuleuse pour enrichir tout ça. Nos épouses qui nous supportent, les enfants nés depuis, tous ces liens tissés au fil des rencontres, des voyages, des grands moments de la vie comme de ses coups en vache, des rigolades et de quelques engueulades....
Des tranches de vie à la Sautet, des instants qui vous accompagnent et qui vous changent la vie. Ceux que j'essaie de raconter dans ce post en hommage à ce que je leur dois.

Quand j'y repense, j'ai l'impression que ça fait une éternité tout ça, que je les ai toujours connus, comme si celui que je suis devenu, je leur en étais un peu redevable, à chacun et à tous.

Les copains, pour tout ça et tout ce qui reste à venir.
Parce que ça va toujours mieux en le disant et que ce genre de chose, on ne l'exprime peut être jamais assez :

Je vous aime !

Bon, c'est pas tout ça mais les bilans émotionnels et autres psychanalyses matinales, c'est bien gentil mais ça creuse ! -
Et c'est pas le salivant fumet qui passe sous la porte de la cuisine qui va arranger mon cas...

A table !

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Château Guinand, Château Chalon, 1982

Ce vin est celui prévu pour la sauce mais je souhaite quand même vérifier un peu avant si une plus glorieuse destinée ne lui serait pas salutaire.
Le bouchon est en bon état.
La robe est sur le vieil or.
Senteurs classiques au premier nez, un peu faiblardes toutefois, sur le curry, le caramel, quelques senteurs de vieux bois.
L'attaque est discrète, sans grand impact, d'une matière douce mais sans grand volume ni présence.
L'aromatique reste élégante, sur une fine oxydation qui ouvre une finale souple et fondue.
Honnête, sans plus.
Le poulet de Bresse devrait lui compter fleurette quelques temps avec plus de bénéfice que nos palais.







Château Haut Brion blanc, 2012

Du déjeuner d'hier, curieusement, y'avait pas d'autre rab' que cette bouteille ! A croire que les burgondophiles sont d'une ouverture de palais limitée...
Le vin n'a quasi pas bougé depuis hier, toujours aussi beau, précis, ouvert et fin au nez, sur un exotisme parfaitement maitrisé mais un peu trop replet et lent en bouche à mon goût.
Me suis déjà fait reprendre par la ligue de protection des becs à Châ toujours au courant de tout, même les Alpes passées : parait que c'est mûr et donc pas pour moi !
Vous vous rendez compte de ce que je subis avec ces machins là, quand même ? Faudra pas s'étonner si on lance la mode de ces sessions privées entre gens de bon goût !







Domaine Coche Dury, Puligny Montrachet, Les Enseignères, 2005

Robe à peine dorée.
Nez un peu brouillon, compromis de notes de lait d'amande, de fleurs blanches et d'un petit quelque chose, sur le huileux, qui parasite un peu l'ensemble et pourrait laisser à penser à un début d'évolution. Le fond de bouteille terminée le lendemain avait gagné en précision et en droiture, je penche donc pour une petite réduction.
La bouche est en revanche très agréable, sans le volume remarquable du Rougeots de la veille toutefois, très élancée, à la fois droite et nerveuse mais sans déséquilibre ni morsure acide. La matière est glissante comme de l'eau de roche, d'une jolie constitution quoique peut être un peu linéaire.
Les goûts sont francs, très sur l'amande et les fleurs blanches.
La finale est salivante à souhait et appelle à se resservir sans fatigue ni saturation.
Très bon.







Domaine Stéphane Tissot, Arbois, Vin Jaune, 1997

Robe vieil or, presque bronze.
Nez ultra puissant, franc, sur le cuir, la noix torréfiée, de très nettes et complexes senteurs épicées. L'ensemble semble présenter un début d'apaisement mais rien à dire, ça cause. Je demande d'ailleurs rapido à Alain d'en glisser une larmichette dans la sauce juste avant le service afin de donner un coup de fouet au Château Chalon plus faiblard. Ah, c'était prévu ? Le papoose n'apprend pas au grand sachem à faire la cuisine...
Confirmation de la puissance en bouche où l'attaque est frappante par une presque douceur, une matière suave et glycérinée qui tapisse immédiatement le palais. L'acidité vient trancher cette masse importante pour tenter de la mobiliser. Force est d'avouer qu'en dégustation seule, c'est du costaud et l'ensemble est assez saturant, sur une aromatique très puissante, sur les fruits secs et surtout les épices et d'une impressionnante persistance.
Ça, c'est l'avis de dégustation, le petit doigt levé et le stylo en main. Mais sortez les fourchettes, le plat arrive et la magie que tous les juraddicts recherchent opère alors à plein !
Aaaaaaaaaaaah ! Poïe poïe poïe, ce que c'est booooooon, ce machin là !
Le vin qui tapageait un peu quelques secondes auparavant, se présentant en version ado rustaud, poils au menton et pieds sur la table se transmute alors en convive idéal d'une conversation parfaite, courtois avec papa, charmeur avec belle maman, le bon mot aux lèvres !
L'aromatique jusque là pogotante version brutale joue dorénavant la valse ton sur ton avec la sauce crémée aux morilles et la chair fondante (mais si, mais si, Monique !) du Bresse absorbant avec génie la puissance structurelle du vin pour provoquer alors un accord absolument monumental d'équilibre, de persistance et de plaisir tout simplement gourmand.
De la crème, des morilles du Bresse, du Jaune... et du rab' ?
A ce stade, faut pas commettre l'erreur de laisser le plat et la bouteille sur la table car, à mon corps défendant, je passe en mode Obelix !
Je vous dis pas l'héroïque effort ascétique que j'ai dû faire pour en laisser "un peu" à Alain pour sa gamelle de la semaine...


Un accord absolument magique !
Mémorable !

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Aïe aïe aïe aïe !!
Heureusement que le train du retour avait méchamment du retard car je crois que le goût de ce repas jaune truffé m'aurait accompagné jusqu'à Paris!

Quel nouveau week end exceptionnel !! Alain, Robert, Monique(s), encore une fois, comme à chaque fois, que vous dire d'autre qu'un énorme merci !
Et finalement, je les aime deux fois, mes Châs, quand ils sont là avec leurs tronches en biais et quand je reviens pour rattraper ce qu'on aurait dû boire s'ils avaient bon goût.
Merci les copains, je gagne sur tous les tableaux !


Vivement le printemps qu'on remette ça !
Courage à ceux qui luttent pour prolonger cette magie.

Oliv

Je crois, décidément, que notre Oliv est un hédoniste de plus belle espèce ! Heureux qui comme Ulysse .........

Quand on croit que c'est fini et ninini ça recommence ... et qu'est-ce qu'on est content !

Superbe Oliv, tu es au niveau de Robert, surtout sur la longueur !

Jean-Loup

Ca ne manquait pas d'un peu de truffes ce petit week-end ?

Ca ne manquait pas d'un peu de truffes ce petit week-end ?

Tant que Coche est au rendez-vous, on ne va pas s'inquiéter...

jlj

Merci Oliv pour ces compte-rendus (mot mal adapté car bien trop technique, tu vas bien au-delà) qui rayonnent littéralement sur les lecteurs.
Ca met l'eau à la bouche bien sûr, mais cela permet aussi de déguster un peu à distance (rien qu'à te lire, j'ai pris 3 kg !!)
Bref, un partage qui dépasse le virtuel !!
Benji

C'est grâce à ce genre de CR que je prend mon pied à lire presque quotidiennement LPV!!!

Un grand MERCI!!!!

Salutations vineuses,
Patrice.

oliv écrit: des rigolades et de quelques engueulades.... Des tranches de vie à la Sautet

Ah là tu nous prends par les sentiments ...

Damned! J'ai une sacrée faim après ce compte rendu!

Jean-Loup Guerrin écrivait:

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> Superbe Oliv, tu es au niveau de Robert, surtout sur la longueur !

Ouaip Jean-Loup, sur la longueur, et c'est confirmé par Oliv : []rêves oenorotiques aux capacités érectiles à en faire passer la couette pour une tente de camping.


Merci Oliv, encore des moments et un CR exceptionnels, qu'est ce que ça fait du bien avant de se remettre au boulot pour un long après-midi...
Oliv on t'aime ! ><

Yann

Pffff vivement que l'on se revoie, tous ces moments me manquent! X(

Magnifique à tout point de vue, une fois encore - merci pour ces belles lectures oliv.

[size=x-small]My goodness, quelle andouille... C'est une œuvre d'art![/size]

Mathieu

Parce que j'en ai les fesses bleuies à force de me taper le cul par terre à chaque fois que je croise ce petit bijou !
Bien plus que la Rolex, moi je dis que c'est celui qui n'a pas croisé ça à son demi siècle qui a raté quelque chose.

Mouahaha!!!
Dis oliv, on aurait droit à la recette par hasard? Je suis très curieux d'essayer ça chez moi!
Sinon encore une fois, quel magnifique CR!

Amicalement,

Thibault

Sacré Oliv, c'est qu'il nous en glisse de ces perles !!!

Dis oliv, on aurait droit à la recette par hasard? Je suis très curieux d'essayer ça chez moi!

C'est tout simple : une andouille (enfin L'Andouille) pochée dans le vin blanc.
Des échalotes fondues dans le beurre, réduction de vin blanc à sec et monter à la crème.
Si repas prout prout, vous filtrez, si repas canaille vous servez.

PS: bien vérifier les tire-fond du lustre dans le salon avant le repas car gros risque que les invités s'y accrochent !

Bon, les amis, c'est pas de tout mais il me tarde de vous lire...

Et moi donc ! ()

Mince!! Vous m'avez fait espérer un nouveau CR en remontant le fil!! Quelle déception!

Bon oliv, faut boire là!!!

Amicalement,

Thibault

Mince!! Vous m'avez fait espérer un nouveau CR en remontant le fil!! Quelle déception!

Bon oliv, faut boire là!!! grinning smiley

Amicalement,

+1 &#128526;&#128526;

J'y ai cru également

Le temps a couru vite depuis mon dernier passage déjà bien lointain à la cabane.
Al' est déjà arrivé et je filoche récupérer les clés à mon hôtel, de ces délicieux établissements de province où les couvertures sont encore en pilou et où la confiance d'un appel suffit à la réservation. Je pourrai ainsi rentrer ce soir tard dans la nuit sans ennuyer personne que le matou qui erre dans le petit jardinet face à ma chambrette.

Après quelques virages, les couleurs chaudes et rassurantes de la cabane chérie aimante au loin mon regard et déclenche le souvenir de tant de beaux moments vécus en ces lieux avec Alain.
L'étang se réveille des froideurs hivernales, comme si la nature s'ébrouait en étirant des couleurs délicates et des sons apaisants.
Quelques canards en escadrille viennent faire halte ici et amerrissent avec une maladresse qui confine au comique.
Décochée de nulle part, un martin pêcheur rase la surface de l'eau telle une flèche d'un somptueux bleu topaze pendant que le héron réfugie sa grande carcasse au fond de l'étang, comme toisant de sa hauteur ces visiteurs qu'il juge intempestifs.

Une mauvaise surprise constatée par l'intendant des lieux nous attend toutefois : la cabane a été visitée par un margoulin qui a eu la mauvaise idée d'en fracturer la porte.
Pensait-il trouver là un attirail de carpiste hors de prix ou est-ce le prix à payer de ces lignes face à un indélicat s'imaginant mettre la main sur quelques cuvées fameuses parfois consommées en ce lieu ?
La mâtinée de demain sera donc constituée d'un atelier serrurerie-menuiserie afin de redonner à la Hytte son lustre d'avant fric-frac.

Bon, c'est pas tout ça mais même si la route depuis Paris a filé comme on rêverait de la parcourir en semaine, tous ces kilomètres avalés, ça creuse.
Nous avons réussi à arracher notre ami Laurent Lab à l'aridité de ces études en espérant l'hydrater quelques heures au bonheur de ces moments simples.
Le chef s'affaire déjà à nous sortir des assiettes étoilées dans un environnement minimaliste.
Ça doit être ça, le vrai talent : savoir être en phase avec la simplicité du moment.

C'est prêt ?
A taaaaable !

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Domaine Coche Dury, Meursault 1er Cru Genévrières, 2006

Robe sur un doré léger.
Le nez va nécessiter du temps pour se libérer, apparaissant comme comprimé, sur des notes minérales un peu ternes.
Changement de registre au bout d'une heure où des beaux aromes de fleurs des champs et de fruits jaunes émanent du verre.
La bouche est agréable, d'une certaine largeur, avec un gras imposant. L'aromatique est très agréable, posée, sur les agrumes, la pêche, de délicates notes de crème praliné.
L'ensemble reste toutefois un peu statique, marqué d'un léger côté alangui, sans le tranchant que j'affectionne.
La finale est néanmoins longue et d'une grande présence.
Bon à très bon. Et sûrement à point.







Domaine Henri Germain, Meursault, Clos des Mouches, 2006

Robe sur un grenat clair un peu évolué, légèrement tuilé.
Le nez est magnifique de délicatesse et de gourmandise, sur des notes de fraise au sucre, de rose et d'épices (poivre, épices douces). Beaucoup de finesse et de douceur émanent du verre.
La bouche confirme ce très beau fruit, déroulant un ensemble d'une remarquable qualité aromatique, sur la grenadine, la menthe poivrée, la soupe de fraise, le thé plus que de constitution. Le vin joue en effet sur une matière fine et délicate, sans gros corps ni réserve de puissance mais déroule un jus charmeur et frais d'une délicate souplesse jusque dans une finale salivante et aérienne à la buvabilité assez irrésistible.
Un vin à boire et qui vous fait hurler "encore" !
Un vrai délice de pdf !





Le temps passe vite autour d'une table bien garnie...
Notre ami Laurent doit retourner à la dernière ligne droite de prenantes études et que nous lui souhaitons fructueuses. J'espère que ces quelques heures passées dans l'environnement paisible et champêtre de la cabane lui auront permis de lever un temps le nez d'un guidon pas facile.

Bon, c'est pas tout ça mais depuis le temps, vous connaissez la loi chez Raboliot : si tu bosses pas, tu manges pas !

Donc c'est le moment de lancer quelques bouchons à l'eau afin d'espérer assurer le repas de ce soir....



Après une petite demie heure à regarder désespérément mon bouchon flotter sur l'eau et à laisser mon esprit se lover dans le calme lent et reposant d'un environnement protégé des artifices de la vie moderne, voilà que ça se met à mordre !
Le patron ayant mis le quota de remontée de la bourriche à 20 occupants, va pas falloir trop mégoter quand même au vu du ciel rougeoyant qui descend au loin sur la ligne des arbres qui encerclent l'étang...

Ouf, une dernière ligne droite salutaire pendant que Raboliot préparait les 14 précédents et l'honneur est sauf !
On peut passer à table sans risque de manquer, on aura nos dix chacun ! ()





Domaine Michel Bouzereau, Meursault Le Limozin, 2007

Bouchon parfait.
Robe jaune paille peu teintée.
Nez quasi muet à l'ouverture. L'aération révèle quelques notes de citron vert et un peu florales mais rien de bien évident.
L'attaque en bouche est marquée d'une acidité citrique tranchante qui, si elle répond parfaitement à la friture comme au gras de l'andouillette, manque tout de même sacrément de volume pour porter le vin vers de plus amples horizons.
L'aromatique assez terne, sur le minéral et le citron vert participe à ce sentiment d'austérité.
Et la finale très resserrée, à la limite de l'étriqué n'apporte pas un plaisir infini.
Assez décevant.
Et rien à voir avec la jolie bouteille ouverte il y a un an ! Des mystères du vin.






Les Héritiers du Comte Lafon, Mâcon-Bussières, Le Monsard, 2012
Salade de crabe dormeur (qu'il continue...)

Robe sur un léger doré.
Très joli nez ouvert et bien mûr, sur les fleurs blanches et les fruits jaunes, avec de la richesse mais sans excès.
La bouche est à l'avenant, immédiate, facile et d'un impeccable équilibre entre une jolie matière souple et une belle acidité.
Le vin propose une structure généreuse mais nerveuse à la fois et sa précision de fruit le rend d'une aisance et gourmandise parfaites.
La finale n'est pas très longue mais claque sur le palais et laisse de beaux goûts de fruits à noyaux en bouche.
Très bon !

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Quitter l'étang est toujours pour moi un moment de triloulou, quand l'émotion des instants que l'on sait rares et précieux se mêlent au choc du retour aux bruits du quotidien et aux exigences chronocides du monde moderne.

Mais comme les plongeurs ont besoin de palliers de décompression, un petit passage par la Côte puis par Chablis constituera le meilleur chasse spleen possible avant de rentrer chargé de beaux souvenirs vécus avec les copains et de quelques bouteilles afin d'en préparer d'autres.

En route pour plus au nord !

A suivre...

Oliv

Merci beaucoup à Al et à Oliv pour ces grands moments d'amitié et les délicieux mets et vins (double remerciement à Al)...()

Le Meursault a en effet mis un peu de temps à sortir de sa torpeur mais il était ensuite excellent (en particulier avec les fromages).
Le Beaune était excellent dès le début, sur de beaux arômes de cerise. A un moment, je me suis demandé s'll n'y avait pas la patte d'Emmanuel Reynaud mais le vin, bien que très mûr, n'était pas "sudiste"...

Je potasse et je souf(f)re...

Amicalement,

Laurent Lab

Rassurez moi, les "bloches" c est pour les poissons ??

Rassurez moi, les "bloches" c est pour les poissons ??

La version fromagère ne m'ayant pas convaincu, je confirme !

Grrrrrh !
::
[size=x-small]J'comprends pourquoi les poissons mettent souvent du temps a se décider ..[/size]