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joualle écrit: savoir empirique qu'on vous dit ! je n'ai pas les compétences en chimie pour dire en quoi cela peut se transformer, je le suppose. Pourquoi cela serait-il impossible ? Par ailleurs, une partie des traitements s'en va dans l'atmosphère et se disperse ainsi.
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Ah oui ? Depuis quand ? Aux dernières nouvelles, les doses sont les mêmes en bio qu'en intensif, et les bio négocient pour pouvoir utiliser des doses plus élevées.joualle écrit: et que les doses utilisées en bio sont bien moins toxiques que celles employées en "raisonné" ou conventionnel, pareil pour les engrais.
On le peut, mais ça a déjà été fait, et la conclusion est sans appel. Après les pro-bio qui veulent du bio coûte que coûte, même si ça doit flinguer l'environnement, c'est très difficile de leur ouvrir les yeux.Marc C écrit: Après, on peut bien sûr discuter pour savoir si cette accumulation de cuivre est plus dommageable ou non que d'autres traitements.
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Les forum c'est comme les bagnoles ça fait grimper la testostérone, y a un sujet la dessus ?c'est marrant mais pour remplacer les produits de synthèse, j'aurais plutôt penser que le cuivre est plus utilisé en bio...mais comme je n'ai pas de statistiques, bah j'évite d'asséner ma croyance comme une certitude.
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On mélange un peu tout sur ce sujet. Le cuivre pose un problème plus fondamental que les "doses poisons" (poison pour qui d'ailleurs ?) : comme j'ai dit, le cuivre s'accumule et à terme rend le sol stérile. Évidemment, plus les doses sont fortes et plus on y arrivera vite, mais peu importe les doses la situation finale est la même et elle est très mauvaise pour l'environnement.joualle écrit: A part ça la citation est tronquée, je ne parlais pas du cuivre mais de la dose : c'est la dose qui fait le poison et les doses de cuivre admises en bio sont moins toxiques que les doses des traitements anti-mildiou (systémiques ou cuivre) admises en conventionnel.
Les intentions ne sont pas des arguments.joualle écrit: A entendre certains , le bio serait plus toxique que le chimique. Si c'est le cas, le label bio c'est un club sadomaso ?
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joualle écrit: A part ça la citation est tronquée, je ne parlais pas du cuivre mais de la dose : c'est la dose qui fait le poison et les doses de cuivre admises en bio sont moins toxiques que les doses des traitements anti-mildiou (systémiques ou cuivre) admises en conventionnel.
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joualle écrit: je ne parlais pas du cuivre mais de la dose : c'est la dose qui fait le poison et les doses de cuivre admises en bio sont moins toxiques que les doses des traitements anti-mildiou
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A ce petit jeu, aucun produit n'est tout blanc ou tout noir. La zone de gris est bien vaste, et se prête peu aux jugements à l'emporte pièce comme ceux des Bourguignons dans l'article cité plus haut, ou dans tes propos.
c'est la dose qui fait le poison et les doses de cuivre admises en bio sont moins toxiques que les doses des traitements anti-mildiou (systémiques ou cuivre) admises en conventionnel
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Ce n'est pas incompatible mais mon message n'était pas clair. Il faut lire : je crois que les doses utilisées en bio et en conventionnel sont à peu près les mêmes (Agitateur est cependant mieux placé que moi pour en parler je crois donc à confirmer), et les défenseurs du bio voudraient avoir des limites moins limitantes malgré tout.Eric B écrit: Aux dernières nouvelles, les doses sont les mêmes en bio qu'en intensif, et les bio négocient pour pouvoir utiliser des doses plus élevées.
Je ne pense pas, pour la simple raison que les bio sont contrôlés sur les doses utilisées pour obtenir leur label alors que les non-bio ne sont pas contrôlés (car pas de label).
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Je ne connais pas particulièrement le cas de la vigne mais je suppose qu'il existe des fongicides de synthèse non ?joualle écrit: dans une situation où les alternatives sont limitées.
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joualle écrit: Manifestement, ce que je dis est inaudible..
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Et pourquoi donc ?joualle écrit: Je serais effectivement surpris d'apprendre qu'un traitement anti fongique aussi efficace et invasif qu'un produit systémique ait moins d'impact sur l'environnement que le cuivre - mais néanmoins heureux de me coucher moins bête.
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