Arbois 09 - Poulsard - Michel Gahier
Un poulsard qui, au-delà d'une réduction terrible à l'ouverture, balance des notes métalliques très puissantes.
Il prend des "allures beaujolaises" puis part sur des flaveurs terreuses, humides et viandées...
L'attaque est joliment acidulée, à la métallique confirmée. Elle vire sur le tabac mais ne se détend pas.
La matière serrée se fait courte, relativement fraîche...
Le lendemain, le nez donne dans le fruit à noyau.
La bouche est viandée, toujours sur le tabac frais, il "gamayterait" presque pour le coup...

***

Cordialement

Le gout métallique perçu, peut être dût à la présence de levures brettanomyces, qui sont en quelques sortes pas vraiment les bienvenues dans un vin.

Salut Cabestan,

Dans le cas ci-dessus, je ne pense pas. Pas de déviance associée à mon humble avis. Je rencontre souvent ce marqueur métallique sur le gamay, parfois sur le pinot, plus rarement sur le poulsard. Une "Terre d'Aigues 09" de chez Richaud, goûtée juste avant, était totalement "brettée" et pas métallique pour autant.

Cordialement

Bonjour à tous,

une rapide concernant le Crémant du Jura de Michel Gahier bu hier soir au restaurant.

Un vrai coup de coeur pour ce crémant aux notes d'abricot, de pâtisserie et de pâte d'amande. La bouche est pleine d'énergie avec une bulle très vivace bien qu'un peu grossière et une très belle finale sur les fruits jaunes. C'est vineux, plein de caractère et d'un rapport qualité / prix exceptionnel (

Crémant du Jura Michel Gahier

Merci Nico de m'avoir inspiré cet achat!

Pas grand chose à ajouter à ton commentaire.
Ce vin a beau caractère.
Grand plaisir sur les deux premières bouteilles bues en différentes occasions.

Content que tu ais aimé !!! Dès que mes finances iront un peu mieux j'en rentrerai quelques unes aussi en cave car à ce prix là c'est une petite bombe...-D

Michel Gahier 2008 Arbois [Trousseau] "Grands Vergers"

J'avais cette bouteille à deux reprises. Le premier, bu au cours d'un dîner à Ma Peche, à New York. J'ai été frappé par la structure incisive et linéaire - très précis et très propre, avec la cerise et des notes de fruits rouges accompagnés d'une note gibier, ou du renard, comme il est écrit sur ce forum. J'ai été impressionné par la façon dont le vin a ouvert au cours de la soirée. Et, il vient bien avec un plat d'agneau, mais - encore plus remarquable - aussi avec deux crudo différents.

J'ai eu une deuxième bouteille sur quatre jours la semaine dernière. La structure et le profil aromatique sont les mêmes. Ce qui m'a impressionné le plus était de savoir comment ce vin a complété au cours des quatre jours. Il est devenu plus riche, mais pas mou - il ne perdu rien de sa précision, en prenant sur un éclat brillant. Et, comme il a ouvert, il y a d'autres facettes, des notes de la forêt, quelques notes de viande, une qualité subtil fumé. Ceci est mon premier vin de ce domaine - je suis impatient de tenter davantage, comme je suis très friand de ce vin.

Crémant du Jura Michel Gahier.

Ouvert pour l'apéritif il appelle immédiatement la table : très sec, et un peu austère à ce stade, sur des arômes de fruits du verger en automne (y’a d’la pomme) il passe à table.
Et là c’est un pur bonheur !
Il passe sans encombre les rillettes de Vouvray de la maison Hardouin, surfe sur la purée de brocolis associée à du jambon de Rostello.
L’épreuve finale le voit opposé à du Sainte-Maure-de-Touraine qu’il accompagne sans barguigner puis, dernière difficulté, un fromage de Herve, un fromage belge de Wallonie (un « puant »). Bon sur ce dernier accord, il est bien chahuté ce beau crémant mais il sort vivant et termine gentiment en accompagnement d’un kiwi.
A deux, en fin de repas, la bouteille est vide signe qu’il était en accord avec les mets.

Franck.

Je vais souvent essayer un jeune vin du Jura sur une période d'une semaine, pour voir comment il évolue, ce qui je pense peut donner un aperçu de l'avenir du vin.
Gahier
Aussi, j'ai tendance à croire que beaucoup des vins du Jura, surtout quand il est jeune, montrer le meilleur après quelques jours d'air. Pour un dîner au cours duquel je vais servir un jeune vin du Jura, il est mon habitude de l'ouvrir 24-48 heures avant de servir.

Une bouteille récente de Gahier 2008 Arbois Trousseau "Grands Vergers" a été très intéressante, d'autant qu'il a ouvert sur plusieurs jours. A la fin de la bouteille, il a conservé la structure tendue du millésime 2008, mais a pris du poids un peu plus et d'autres facettes paru dans le vin comme il a évolué. (Voir la note ci-dessus.)

Plus récemment, j'ai eu le Gahier 2009 Arbois Trousseau "Grands Vergers." Ce vin a été une expérience très différente. Le premier jour, il avait le «électricité», l'intensité nerveuse, de le 2008, mais le fruit est tout à fait solide et sombre, different du caractère plus léger du 2008. Il a également été disjointe de la première journée, les acides fourré, les tanins sont un peu rude - il n'est pas venu très bien dans un ensemble. Sur une période de cinq jours, le vin a en fait se réunir. Les acides et les tanins lissés, et le vin a pris une plus grande présence sphérique sur le palais. Il goûte comme un vin de grande extraire et d'intensité que le 2008, mais, au moins à ce stade de leur évolution, je suis plus friand de 2008.

J'ai aussi eu la chance de boire un Gahier 2006 Arbois Savagnin sur une période de cinq jours. J'ai trouvé ce vin un peu «maladroit» le premier jour. Mais, la fin de la bouteille, ce fut assez montrant magnifiquement. Il avait une texture de peau de chamois, que j'ai trouvé très attrayante. Il a été construite modérément, avec une bonne acidité à lui. Et, il avait très doux, mais persistante, des notes aromatiques de l': miel, fruits jaunes, de cire d'abeille, un soupçon de chèvrefeuille, une touche d'oseille, même.

Bonjour,

Visite chez Michel Gahier lundi 14 novembre. Petit compte-rendu à partir des notes succintes prises au débotté. Michel toujours aussi accueillant et enthousiaste me fait goûter les vins en vente et certains en élevage.

Savannah 2010 : savagnin ouillé, vif, aromatique.

Chardonnay Les Folasses 2009 : Pur, précis, droit, minéral. Zéro sulfites.

Chardonnay Les Crêts 2007 : plus souple, plus tendre.

Chardonnay Les Folasses 2010 (sur fût) : déjà ouvert, le nez est un peu confus, sur la réduction, mais la bouche est nette.

Chardonnay La Fauquette 2007 : Un poil de volatile, à attendre.

Chardonnay La Fauquette 2005 : Volatile assez prononçée au nez, sensible même en bouche, mais grand potentiel, gros volume, très long, belle acidité. A attendre longtemps. Si la volatile se fond, (ce dont Michel est persuadé) ce sera une très belle bouteille.

Chardonnay La Fauquette 2008 (sur fût): Une Fauquette moins oxydative, plus fruitée, légère. 2005 semble pour l’instant lourd à côté. Un vin de voile assez aérien, il est très bon actuellement à tel point que Michel se demande s’il ne va pas le mettre en bouteille. Si tel est le cas, il sera inutile de l’attendre pour la boire.

Chardonnay Clos Maire 2008 (sur fût): On revient sur un chardonnay moins claquant que les Folasses bues auparavant. J’aime moins.

Vin jaune 2004 (sur fût) : Superbe. Les épices, les notes oxydatives mais encore de la fraîcheur, de la jeunesse, du fruit. Allie à la fois une grande douceur et rondeur et beaucoup de vivacité. Bel équilibre entre la matière, les arômes, l’acidité, un vin avec une âme. C’est le 2002 qui est actuellement à la vente, il n’y a pas de 2003 pour cause de manque d’acidité du millésime, le 2004 devrait être mis en bouteille prochainement.

Zipounette 2011 : Nouveau venu dans la gamme, pas encore en vente, un pet’nat ¾ trousseau de saignée, peu d’alcool (7 ou 8°), friand, léger, de la bonne bulle conviviale et rigolote pour se désaltérer.

Trousseau Barougers 2011 (sur fût) : c’est sous cette dénomination que sera vendu le vin de la parcelle des Bérangers. Du renard, de la matière, et très fruité.

Trousseau La Vigne de Louis 2011 (sur fût) : du fruit, de la vivacité, encore un peu dur (parcelle des Messagelins)

Trousseau Grands Vergers 2011 (sur fût) : Grosse matière, un trousseau dense, tannique, et en même temps friand et fruité. Le niveau au-dessus en terme de structure et matière.

Deux heures viennent de passer, pas le temps d’aller plus loin et notamment de goûter les rouges en bouteille. Retour au bercail, et le soir sur un risotto au ploussard et à la saucisse de Morteau, je débouche l’une des mes acquisitions du jour :

Ploussard 2010 : le petit jésus en culotte de velours… Pas un poil de réduction, du fruit, rien que du fruit, qui coule tout seul. Très réussi.

Tophe,
quid du bilan sur le millésime 2011 ?

Julien

Michel Gahier Arbois Trousseau "Grands Vergers" 2007

Ouvert le matin dur réveillon de Noël, sans rien en prélever, le vin est à point le soir.

D'une robe cerise claire (qui évoque plus le Poulsard), le nez est envoûtant : fraise des bois, ronce, épices, une grande fraîcheur est perceptible.
La bouche est bien en place : un fruité de fruits des bois (fraise des bois bien sûr), d'épices, une allonge construite tant sur la matière que l'acidité, finale sur le fruit.

Un vin déjà très bon !

Julien

Arbois Chardonnay " Les Crêts " 2001 :

Le vin présente des particules en suspension ; je lui administre un filtrage/carafage artisanal pour le remettre en bouteille 2h plus tard.

Robe ambrée, nez sur les agrumes confits, puis la pierre mouillée et enfin des notes beurrées discrètes. En bouche on retrouve les éléments perceptibles au nez : c'est ouvert sans être explosif. Un vin assez strict, mais tout de même plaisant pour les aficionados.

Vin acheté lors d'une très récente visite chez Michel Gahier, homme très sympathique au demeurant.
Michel Gahier- Trousseau Clousot 2010
De la série des 3 trousseaux goutés, il est sans conteste le plus léger.

La robe est assez claire, pas trop extraite. Le nez est frais, noyauteusement fruité, avec le petit point de fumé qui fait vibrer. En bouche, la chose qui marque est cette sensation de jus très agréable. La structure est assez légère, la longueur est belle et surtout l'aromatique très ouverte du vin.

Le plus dramatique est que ce sera encore meilleur dans une paire d'années.

(Pour info, nous avons pu gouter un Trousseau (Grands Verges selon ma mémoire) 1995 juste ouvert, c'était d'une jeunesse et d'une complexité folle. J'en serais devenu fou

Bonsoir
por rebondir sur ce post, souvenir d'un blanc la fauquette 2004 absolument enthousiasmant offert par Michel G et goûté chez un de ses copains vigneron à Rotalier, le vin m'avait laissé sans voix, d'un niveau superlatif. Je n'étais pas le seul à avoir eu le bec cloué!
A leur meilleur les vins de Gahier font très très mal, on ne le sait pas assez et je devrais me taire:D
R

HERBEY 99 écrivait:

---

> A leur meilleur les vins de Gahier font très très
> mal, on ne le sait pas assez et je devrais me
> taire:D
> R

A leur meilleur, je suis d'accord mais il faut goûter, la qualité n'est pas homogène. Goûté il y a 1 mois et demi, la Fauquette 2007 montrait une volatile comme je n'en avais encore jamais vu, aussi bien en bouche qu'au nez, à tel point que, 2 jours après l'ouverture, comme rien n'y faisait, la bouteille a fini à l'évier. La cuvée des Amoureuses 2005 (un vin de paille non AOC il me semble) révélait une forte sucrosité mais sans le peps qui aurait permis de ne pas le rendre lassant. Je connais assez peu de producteurs dans le Jura capables, d'un côté de produire de véritables pépites et d'un autre, des cuvées plus communes (follasses 2010) voire avec de véritables défauts.

Stéphane

Stéphane
je confirme en partie la volatile sur les deux bouteilles de 2007. Je l'avais ressentie sur des 2004 goûtés assez tôt. J'espère retrouver dans quelques années la magie rencontrée un soir à Rotalier, sinon je devrais me résoudre à l'irrégularité du domaine.
bonne soirée
R

Michel Gahier- fauquette 2007
C'est puissant race, un petit peu boisé, mais surpassé par un coté vineux, oxidatif très bien maîtrisé. Super longueur. Une point d'acidité un peu trop marquée à mon goût. A revoir après quelques années en cave.
Très Bien !

C'est quoi le coté volatile que vous avez ressenti ? un peu vinaigré?

Pierre-Yves

PY écrivait:

---

> C'est quoi le coté volatile que vous avez ressenti
> ? un peu vinaigré?
>
> Pierre-Yves

je suis assez sensible à la volatile mais elle ne me gêne pas quand elle n'est qu'une pointe rafraîchissante, ce qui peut être le cas dans les vins de Léon Barral. Sur Fauquette 2007, c'était plus qu'une pointe et je ne crois pas avoir déjà tant senti le vinaigre... dans quelque chose qui n'en porte pas le nom ! Pour moi, le vin était, et est resté après 48 h d'ouverture, imbuvable. Mais on est d'accord qu'il y a de grands vins chez Gahier; le jaune 2004 est ainsi magnifique: concentré, intense, très long et surtout d'une élégance, tant aromatique que de toucher de bouche, que je croyais jusque là propre à Chateau Chalon.

Stéphane

Un passage au domaine par P. Rapiteau !

pipette.canalblog.co...

Bonsoir,

Je plussoie malheureusement le côté "piqué" de la fauquette 2007 et 2004, ouvertes récemment. Et d'autres cuvées malheureusement... Je mets ça sur le compte de conditions de garde pas optimales, sans être mauvaises, et même assez bonnes pour les 2007. Michel Gahier m'avait indiqué que ses vins nécessitent de bonnes conditions, je ne pensais pas que c'était vrai à ce point là.

les miennes étaient encore dans les caves du domaine il y a 3 mois...

Stéphane

Je n'ai personnellement pas pu gouter les blancs, ou si peu, donc je n'ai pas vraiment d'avis. Je confirme cependant des rouges absolument magnifiques.

Michel Gahier crémant du jura
une belle bulle !
le nez est marqué par des notes de noisettes fraiches, de fruits blancs et je pense de volatile
la bouche est très agréable même après dissipation des bulles, fraiche, assez ample même si simple et pas profonde
vraiment sympa à l'apéro !
bien- et beau rapport qualité-prix

Bonjour à tous,

même avis que Fred concernant ce crémant du jura de Michel Gahier, bu ce soir.

Un nez franc sur la poire et le jus de pomme, la mie de brioche, une touche "cendrée" qui évoluera sur une étonnante confiture de framboise et les fruits rouges (groseille, fraise). En bouche le vin est direct, plein d'énergie avec une bulle vivace mais "aérienne" et une certaine forme de classe. C'est parfaitement équilibré et d'une grande fraicheur.

Une belle bulle, pleine de franchise et un rapport qualité prix redoutable (9,50 €) !! 14,5/20

Bonjour à tous,

Bu dans la série lapassionduvin.com/p... un Crémant du Jura de Michel Gahier.

Jean Bernard :

En attendant que tout le monde arrive Nico nous ouvre une bulle.
La bouche ample et crémeuse, presque sucrée mais sans lourdeur, désaltérante.
Les arômes rappellent la pomme granny, l’amande.
A mi- verre la bulle a presque disparu mais ça reste très bon. Agréable mise en bouche donc, c’est un :
Crémant du Jura de Michel Gahier.

Cédric42120 :

Nez s’ouvrant sur un léger beurré, du pamplemousse, de la menthe blanche…puis évoluant sur la pomme légèrement épicée (curry ?), et l’abricot confit.
En bouche, c’est vif sous une mitraille de bulles fines, C’est frais sur les fruit blancs ...puis la pomme verte se dévoile tendant sur des notes de thé vert. Le final est salivant et semble persister par une pointe minérale.
Belle découverte

Julien Dubertret :

j'étais ravi de goûter ce vin, le bulle est fine, l'attaque crémeuse, une belle acidité, de la chair un coté pomme verte, thé vert. C'est un poil dosé mais la finale un poil verte fait la tension. Et en plus c'est bio ! Une belle bulle dans le club de résistance à la champagne ! 15+

Michel Gahier - Savagnin 2003 :

Pas d'info sur la nature de cette cuvée, mais je pense que c'est un vin ouillé.

Belle robe éclatante, nez très mûr mais sous-tendu par une belle acidité, nez explosif et gourmand sur l'orange, le curry, les épices douces.
En bouche la richesse du vin est très perceptible, mais la trame acide garde l'ensemble droit. Il semble indestructible et évoluera très lentement.
Très bien sur trois petites verrines de foie gras au sel de Guérande, au confit de figue et au piment d'Espelette.

Deuxième expérience sur ce vin, et deuxième essai concluant.

Michel Gahier - Savagnin 2003 :

Pas d'info sur la nature de cette cuvée, mais je pense que c'est un vin ouillé.

Belle robe éclatante, nez très mûr mais sous-tendu par une belle acidité, nez explosif et gourmand sur l'orange, le curry, les épices douces.
En bouche la richesse du vin est très perceptible, mais la trame acide garde l'ensemble droit. Il semble indestructible et évoluera très lentement.
Très bien sur trois petites verrines de foie gras au sel de Guérande, au confit de figue et au piment d'Espelette.

Deuxième expérience sur ce vin, et deuxième essai concluant.

Bonsoir
j'ai dit (sur le fil Maxime Magnon) que ma tolérance à quelque déviance était plus nette qu'auparavant, je dois dire que sur cette Fauquette 2007 je fais une marche arrière violente!! Le vin présente une volatile redoutable qui rend le breuvage impossible à boire pour moi, Barral est un tout petit joueur sur ce coup.
Bien dommage le 2004 bu à Rotalier, offert par Gahier était une bouteille fantastique, au top de ce que j'ai pu boire dans ce secteur et probablement au delà

R

Michel Gahier - Trousseau Grands Vergers 2008

Nous avons pris ce vin pour accompagner tout notre déjeuner dans un restaurant d'Arbois, principalement pour son amplitude d'accords possibles. La robe est assez légère, fluide, rubis clair. Au nez, avant tout c'est net, fruité rouge, poivre blanc et légèrement fumé. Ce dernier caractère prendra d'ailleurs un peu d'ampleur au fur et à mesure du repas. En bouche, je retrouve tout ce que j'aime dans le trousseau, vin qui est construit sur les tanins bien présents, sans agressivité. La longueur est d'une bonne moyenne et de plus en plus présente également.

Magnifique bouteille à un prix très raisonnable.

Sinon, d'après mes connaissances, Gahier est un vrai spécialiste des Trousseau avant tout, plus que des blancs ouillés à vrai dire.