Loupé de ma part, ça m'apprendra à mieux lire (merci Gildas!)

Cordialement,
Pierre

Merci pour ces quelques informations complémentaires, document photographique à l'appui! Et estimation rapide du nombre de bouteilles produites (chaque année ?) : Merci!

Néanmoins, la question "philosophique" de base reste posée : pourquoi les deux nouvelles cuvées (mais surtout celle de chardonnay ouillé, semble-t-il) ne sont-elles pas automatiquement proposées en dégustation et à la vente, lors d'une visite de courtoisie au domaine ?

Oliv avait donné une piste de réponse, il y a quelque temps, mais qui n'a pas été confirmée par la suite... Je le cite : "Au passage, si jamais tu souhaites goûter la version ouillée de cette cuvée, adresse toi à son créateur, Laurent Macle, plutôt qu'à ses parents pour qui ce vin n'est pas jurassien dans l'âme.


Doit-on interpréter cela comme une divergence de vue entre les deux générations "Macle" (étiquette différente, par ailleurs) ? Je serai prochainement reçu par Madame Macle, manifestement... Dois-je discrètement grimper par la sortie de secours pour atteindre la chambre du fiston (pendant que les enfants font "diversion" - pour ça, ils sont assez doués...) afin de lui acheter, à la sauvette, quelques bouteilles du chardonnay ouillé, "excommunié" par le reste du clan familial ( cela dit avec humour, bien entendu )?

Ou bien une demande verbale, avant d'attaquer les vins classiques du domaine, suffira-t-elle ? Sinon, j'aimais bien l'idée d'une cave secrète, gérée uniquement par Laurent, dans le rocher de Château-Chalon... Mais cela ne semble pas le cas, à la vue de l'illustration ci-dessus : dommage!

Bonne journée à vous. Cordialement, Mouvin.

Tophe parle de Macvin 2006 un peu plus haut.
Sur mes bouteilles récupérées dernièrement pas d'indication de millésime.
Comment savoir de quelle année sont mes bouteilles?
Autre question, comment vieillit le Macvin?Et combien de temps?

Concernant le macvin cité plus haut, le millésime du jus avait été indiqué oralement à la dégustation, il n'est pas millésimé sur l'étiquette. Parfois un n° de lot, peut donner une indication, cela dépends des vignerons, je ne sais pas si c'est le cas chez Macle.
Sinon le macvin vieillit généralement très bien, j'en ai bu de 20 ou 30 ans qui étaient excellents.

Cordialement,

Tophe

En tout petit,[size=small]petit[/size],[size=x-small]petit[/size],c'est écrit L06 en bas à droite.

Merci Tophe

Merci, Tophe et Didier, pour cette information. J'ai une bouteille ouverte de Macle Macvin dans ma cave, et j'ai trouvé un très petit L05 juste où Didier indiqué.

Reste à savoir si c'est le millésime du jus ou l'année de mise en bouteille... Faudrait demander au domaine...

Tophe

Macle Macvin 2006
Puisque c'est écrit L06 sur l’étiquette disons que c'est du 2006.
Après lecture des commentaires précédents,j'avais très envie de le gouter.
Je n'ai pas été déçu
La robe est vieil or.
Le nez puissant,est très fin et des effluves floraux et anisés s'échappent du verre.
La bouche est fine et droite sur des arômes complexes miellés .
Très persistant en bouche,ce vin est un régal.
Bel accord avec un roquefort pas trop vieux.
Pour une première c'est superbe.

Comme Tophe a écrit, la seule façon de décoder le chiffre est de demander au Domaine. Cela dit, dans au moins un domaine en Champagne qui utilise un code similaire (L, suivant par l'an), la date est toujours la date d'embouteillage. De même, à Jerez, le code de date est la date d'embouteillage.

Domaine Macle - Côtes du Jura - Chardonnay Ouillé - 2007

Le bouchon, non étampé ni millésimé, est en parfait état.
La robe est sur un très léger doré.
Le nez attaque sur des notes beurrées assez marquées puis s'ouvre sur la pomme verte et des senteurs épicées, un peu résinées.
La bouche est construite sur une belle acidité mais manque d'ampleur et de complexité.
L'ensemble se laisse boire sans difficulté mais sans réel plaisir non plus.

Un vin simple, trop selon moi.

[size=x-small]Merci Pierrot, j'aurais réessayé ![/size] smileys.sur-la-toile...

Ce vin impose le recueillement des dégustateurs. Le nez étant extraordinaire de puissance et de classe : noix, amande, curry, morille, poire, quinquina. En bouche le vin est interminable, terminant sur une note crémeuse faisant penser à une sauce crémée aux morilles. L’accord avec le comté est juste magique.

18/20

Domaine Jean Macle - Château Chalon - 2003

Bouteille ouverte et dégagée aux épaules 6h avant dégustation

Nez un peu monolithique, pomme verte, quelques épices
La bouche est puissante mais équilibrée portée par une belle acidité
La finale est merveilleuse à la fois intense et d'une durée incroyable.
Ce temps est mis à profit pour livrer une incroyable palette de saveurs: morille, fruits blancs, épices, fruits à coques

J'ai adoré (surtout pour la finale pour rester honnête)

Ce vin a été l'occasion de discussions sur le vieillissement des vins de voile, en tout cas en l'état on peut se faire plus que plaisir :)o

Marc

Domaine J. Macle,Château Chalon 2000
Il est vrai que personne ne parle jamais du CC 2000 de Macle. Comme toi, j'en ai débouchée une, ce soir; Avec un plat, concocté par ma dulcinée, indien. Le nez, puissant et fin à la fois-Une bouche, voluptueuse et longue et presque crémeuse comme tu le dis. Un pur moment de bonheur. Comment évoluera t-il? Certainement au mieux.

Le Château-Chalon de 2000 chez Macle est un grand vin avec beaucoup de finesse. C'est un choc que personne n'a écrit sur ce vin. Je l'ai eu un fois--il y'a deux ans--je buvais pendant trois semaines. Je me souviens l'impression que ce vin avait une structure, une élégance, et un tableau de notes finement détaillé. Il était comme le Macle était une cathédrale gothique, en comparaison des vins jaunes d'autres qui me semblait comme des cathédrales romanesque. Il était le plus grand vin jaune jeune j'ai jamais goûté. Il était ouvert pendant trois semaines, et il ne s'est encore amélioré. Je pense que cela va durer un siècle.

Dégustation du Macle château chalon 2000 - après avoir dégusté 6 vins et sans avoir beaucoup craché :

malgré l'abus d'alcool nuit gravement à la bonne réception du chalon...

OEIL : je vois plus rien mais il semblerait ni bleu ni rouge

NEZ : alors faut s'imaginer au resto indien un plat de curry sous le nez, vous abaissez votre tarin quand soudain l'idien farceur passe derrière vous et vous placarde la tête dans l'assiette. Résultat, le curry vous ressentez. Et soudain devant vous, le nez poudré de curry, ya candy qui passe avec un panier emplie d'olive verte avec une légèreté rafraîchissante.

BOUCHE : le nez est dans la bouche, amande et curry, grande profondeur et longueur. Force aromatique et finesse de texture avec une fraîcheur cassant le gras du vieux comté de 4 ans. MAGNIFIQUE !

....la qualité du vin et de l'accord m'ont remis à l'endroit !

greg a senti du quinquina ( def : Le quinquina (Cinchona officinalis) est un arbuste ou un petit arbre sempervirent de la famille des Rubiacées, originaire de l'Équateur. Il est exploité pour son écorce dont on tire la quinine, fébrifuge et antipaludéen naturel.), pourtant je pensais qu'il tenait mieux l'alcool que moi.()

seb

Le quinquina ce n'est pas pour me la jouer, c'est une écorce utilisée dans le schweppes Indian tonic. J'ai retrouvé ces notes, mais je trouve que quinquina ça fait plus classe ;-)

Ah mais attends !! c'est une belle marque d'ouverture sur le monde. Les arômes ne sont pas chauvins, nationalistes, ils aiment la mixité. Parce que le chalon il pourrait très bien sentir le sapin de noel! ba non, lui il va chercher le quinquina d'équateur et sans passer par la douane ni cramer du kérosène. Génial ces arômes. le gewurtz sent le litchi de la réunion, le chassagne le beurre de normandie et le bordeaux sent pas bon.

seb

Sur place, j'ai été reçu, il y a quelques jours, par Madame Macle et par sa fille (qui s'occupait manifestement de la mise en bouteille du dernier "Côtes du Jura" ). Laurent était dans l'exploitation, semble-t-il, mais il n'a pas l'habitude de s'occuper des dégustations au domaine pour les particuliers (= les citoyens lambdas comme moi!).

Comme conseillé par d'autres sur ce même forum, précédemment, j'ai assez rapidement demandé, dans la conversation et de manière courtoise, s'il était possible de déguster et/ou d'acheter les deux nouvelles cuvées à base de Chardonnay du domaine... La réponse fut plutôt étrange : "non, ce n'est pas possible... Ces deux cuvées n'existent pas vraiment... Il s'agit simplement d'essais effectués par notre fils, mais cela ne fait pas partie des vins proposés à la vente... Vous savez, ce sont des vins décris sur certains blogs (!) par des journalistes, mais ils ne font pas partie de la gamme du domaine!"

Je lui fait poliment remarquer que ces vins "fantômes" sont néanmoins cités et appréciés dans le Bettane 2011... Mais, là, elle coupe court à cette conversation dérangeante, en me présentant la bouteille de Côtes du Jura 2008, qui vient d'être embouteillée... Je n'insiste pas, mais je ressens manifestement un certain malaise... Le sujet serait-il "tabou" ? Il aurait été bien plus simple et facile, pour elle, de me dire : "oui, oui, effectivement, ces cuvées existent bel et bien, mais la production est tellement dérisoire et nous n'avons plus rien à vendre en ce moment..." Y aurait-il, sur ce sujet, un conflit de génération en gestation ? La question, pour moi, reste bien posée...

La dégustation commence :

1. Côtes du Jura 2008 : le vin ne semble pas encore vraiment en place; la noix verte domine clairement; des notes florales accompagnent le nez; la bouche est tendue mais la matière est belle; un beau potentiel pour un vin "en devenir". (12 euros au domaine)

2. Côtes du Jura 2007 : le vin est plus ouvert; le nez est caractéristique et typé (curry doux, champignons des bois, amande grillée, pommes et poires acidulées, notes miellées); la bouche est tendre et charnue avec une belle longueur en rétro. Joli vin dans un style classique "jurassien". (12 euros au domaine)

3. Château-Chalon 2004 (1ère mise) : vin ample et puissant; ici aussi, on a l'impression que le bouquet n'est pas encore totalement en place, mais ce nez envoutant de fruits secs et de fumée, précède une bouche acidulée avec de la profondeur : gros potentiel, mais, pour l'instant, il est dominé par le 2003 sur une dégustation comparative... (37 euros au domaine)

4. Château-Chalon 2003 (2ème mise - donc, plus de 7 années de voile, en réalité...) : vin jaune très équilibré; belle matière civilisée, ample et puissante avec une complexité stupéfiante, au niveau des arômes de bouche (notes florales, cire d'abeilles, fruits exotiques, noix et noisettes, épices douces, goût de jaune mesuré...) Moins vif que le 2004, il domine cette dégustation par sa longueur en fin de bouche. Un très grand vin au sommet du rocher! (38 euros au domaine)

5. Macvin (2006) : un vin de liqueur pour terminer cette dégustation en douceur, mais sans excès... L'alcool ne domine jamais les débats. On est ici attiré par ces jolies notes de figues séchées qui donnent un certain charme à ce style de boisson, qui n'est, en général, pas trop ma "tasse de thé". (j'ai oublié le prix!)

Voilà! Une belle rencontre avec les vins "classiques" du domaine, proposés à la vente pour l'instant.
Cordialement, Mouvin.

Bonjour,

Bu ce weekend une bouteille de Macle, Côtes du Jura 2006.

La robe est est jaune dorée. Le nez est relativement discret. On est sur des notes pétrolées, de noix fraîches et de pomme. La bouche est avenante, avec un joli volume, une bonne acidité et du curry. Longueur moyenne.

Un vin que j'ai trouvé un peu sur la retenue par rapport à mon souvenir de la dernière bouteille.

Serge

Domaine Macle, Côtes du Jura 2004
Mon premier Macle, bu sur quelques jours.

A l'ouverture, le nez est déjà bien présent mais me déçoit un peu par rapport au Château d'Arlay 2005 bu récemment. Je le trouve manquant de complexité.
Il n'évoluera guère par la suite.

C'est en bouche que ce vin se révèle avec une ampleur et un équilibre dignes de sa réputation et une longueur assez impressionnante. Bien +

Domaine Macle, Côtes du Jura 2006 "tradition" aka assemblage chardonnay-savagnin sous voile

comme Tinome, j'ai d'abord trouvé le vin un peu sur la réserve par rapport aux bouteilles précédentes. A l'ouverture, le vin semble avoir adopté le profil "classique" avec une espèce de creux un peu fluide qui laisse percer l'acidité un peu tôt entre une belle attaque et la finale très longue (alors que plus jeune, ce 2006 se caractérisait par sa bouche pleine et ronde).
Toutefois, sur une tartiflette le soir et un assortiment de fromages le lendemain (Gruyère 6, 8 et 10 mois , Abondance fermier , Comté Vagne 15 et 24 mois - méga-slurp ) c'est une tuerie ! Dans ces conditions , certes favorables, ce vin a tout d'un petit jaune. La bouche est fondue, il y a de la pomme très mûre mais pas trop (mûre) , des épices, de la noix et surtout un superbe équilibre en bouche.

[size=small]....et toujours pas de bois Phil.... [/size]

....et toujours pas de bois Phil....

A l’heure des Mondiaux d’athlétisme, cette remarque mesquine et perfide ne m’inspire que du Daegu.

[size=small]P.S. : le coup du bois , je sens que je vais me le remorquer un moment... [/size]

CR par quentin (ICNA) le jour de l'ouverture:

Château Chalon Macle 2002
Le nez est sur la noix et un peu d'alcool à bruler (qui part à l'aération)
La bouche est fraiche, on a de la noix, du curry et surtout une belle acidité. C'est très droit mais il y a aussi du volume en bouche, toujours avec ce coté tranchant. Très longue finale sur la noix et les agrumes. J'aurai aimé un peu moins de noix mais j'adore quand même.
Très Bien -

10 Jours plus tard par moi même:

Chose promise: le Château Chalon 2002 regouté ce jour n'a que peu évolué:

Au nez, les notes de noix dominent, auxquelles des notes d'agrumes se sont ajoutées.. L'alcool à bruler est moins présent..
En bouche, la bouche est tranchante, sur une belle acidité, qui allonge le vin. Les notes de noix, de curry et de citron se mélangent. C'est tendu et et la finale est très "classe"..

Très beau vin (pour ceux qui aiment le style)..

Domaine Jean Macle - Château Chalon - 2000

La robe est claire, sur un léger doré.
Son nez frappe par sa fraicheur et sa légèreté guillerette, le vin sent la pomme granny et légèrement la noix fraiche.
La bouche est déliée, fraiche, attaquant sur une rondeur surprenante qu'une belle acidité élance.
L'ensemble produit est d'une indéniable gourmandise, j'en veux pour preuve la rapidité avec laquelle le clavelin se vide.
L'accord sur le comté vieux est véritablement fusionnel !
Très jolie bouteille.

Quelques bouteilles ouvertes ces temps ci du domaine Macle :

Côtes du Jura 2006 : La cuvée "tradition" (assemblage chardonnay/savagnin sous voile) est égale à elle même, c'est une merveille de suavité, d'arômes oxydatifs sans déviance. L'attaque est toute en rondeur sur la pomme mûre et la finale donne sur les fruits secs (pruneaux, raisins) et une pointe de noix en gastro-rétro-olfaction.

[size=x-small](message personnel : toujours pas trace de bois)[/size]

Le Côtes de Jura 2004 rejoint le 2006 au panthéon des CDJ de Macle ; c'est le même en plus fin. Il n'y a pas cette rondeur du 2006, la trame est plus tendue mais l'équilibre est parfait, tout en finesse. D'autres 2004 goûtés m'avaient fait sous-estimer ce millésime, c'est une divine surprise.

Une tuerie sur un plateau de fromages si on a survécu à la précédente. A noter que j'ai rangé pour l'instant les 2005 qui méritent un peu de patience

Le Chateau-Chalon 1996 a déjà commencé à prendre des air de maturité. Je reconnais bien maintenant la trame acide des chateau-chalon avec ce jus acidulé sur le citron et l'orange amère. Le volume en bouche est notable. Une finale épicée et des arômes de bouillon (livèche dirait mon camarade Hervé) complètent le tableau. Même si elle a parfaitement tenu 15 jours en carafe dans la salle à manger, la bouteille paraît un peu évoluée mais il faut dire que c'en est une qui avait pris un petit choc sur le goulot lors d'un rangement et dont le bouchon avait sur le coup laissé filtrer quelques gouttes. A revoir sur la prochaine dans très longtemps.

(Bon, j'ai essayé de convertir une suédoise aux vins oxydatifs j'ai si bien réussi qu'elle est revenue avec son mari )

Parmi les millésimes 2004 à 06 du Côtes du Jura du Macle, j'avais eu chacun un ou deux fois. J'ai toujours préféré la 2004 en raison de la finesse et la clarté que ce vin a tout de suite. Le 2005 semble décousue (? disjointed, en Anglais?), à ce stade, mais j'imagine que cela va résoudre à l'avenir dans un grand vin. Le 2006 semble doux, un peu diffuse. Où il ira? Je ne sais pas. Je viens de recevoir mes bouteilles de 2007 et j'attends de l'essayer bientôt.

Tom,
Le Côtes du Jura 2005 était extraordinaire dans sa toute jeunesse.
Le vin s'est vraisemblablement refermé mais son potentiel est certain !

Oliv

Domaine Jean Macle Côtes du Jura 2007
La robe est assez soutenue.
De la dégustation au domaine, j'ai le souvenir d'un nez marqué par le raisin de Corinthe. La bouteille ouverte ce soir évoque la noisette, certains armagnacs jeunes, l'abricot sec, le miel toutes fleurs, l'amande grillée, le rancio...
En bouche, l'ensemble est équilibré, mais manque réellement d'ampleur pour susciter l'émotion. La longueur est correcte.
Je ne pense pas que ce vin gagne à vieillir indéfiniment.
Au risque de heurter les fidèles du domaine, s'il s'agit d'un produit convenable, le rapport qualité prix plaisir n'est pas exceptionnel, à mon humble avis...

Je ne suis pas du tout de ton avis ; je trouve son côtes du Jura 07 superbe , très pure , tendu , précis , complexe, équilibré et justement pas "grassouillet"du tout . Pour moi ça tiendra un paquet d'années .
J'ai tellement aimé que je suis retourné en chercher au domaine ........... -D

Je ne doute pas que ce vin puisse tenir des années, mais je ne pense pas qu'il puisse s'améliorer grandement. (Je peux me tromper) Il me semble ouvert et à boire dès à présent.
Si l'équilibre me semble réel, (relis mon CR), Je trouve que la bouche manque quelque peu d'intensité, pas de gras. Peut-être est-il possible d'attribuer cette caractéristique au millésime ?
Je n'ai pas trouvé ce vin déplaisant, mais juste un peu "léger".