Anthony,

pour une version plus "emballée" de la bouteille partagée avec jean-Pierre:

Domaine Gauby - Côtes du Roussillon Vieilles Vignes blanc 2002

Je sais que le style a ses détracteurs, mais là c’est du lourd, et dans le bon sens du terme. Nez très complexe sur le sésame grillé, citron confit, un peu réduit mais très profond, avec un côté sardine à l’huile au citron. Ce vin est riche, il caresse la bouche et s’étire longuement pour s’évanouir en laissant une légère amertume. Il manque un poil de fraicheur (peut être servi un poil trop chaud). Très beau vin et un accord avec le tartare topissime.

Nicolas, ton enthousiasme (mesuré quand même) se rapproche du mien (moins nuancé). Rappel du début d'année:

Gauby Vieilles Vignes 2002 (blanc), vdp des Cotes Catalanes

Robe jaune claire, plus typée d'un Chasselas que d'un blanc du sud de la France.

Au repart, le nez est un peu renferme. Puis il s'ouvre sur une une explosion d’arômes, qui arrivent par vagues successives, tel un tsunami. Se mélangent les notes de fruits a chaire blanche (poire), minérales (silex), et peu typiques de vernis a ongle. Je suis impressionné par la complexité grandissante de ce vin.

La bouche est remarquable. Attaque franche, milieu de bouche pleine, avec une matière phenomenale, portée par une amertume digne des tous grands et une acidité contrôlée mais jouant son rôle de colonne vertébrale et de rafraichisseur. L’équilibre est quasi parfait et la finale ne se termine plus, ramenant sans arrêt des relents fruités intenses.

Un grand vin, une découverte et un coup de cœur !

Cheers, Anthony

Antony écrit: Pas plus emu que cela ?

Il m'avait subjugue voila quelques mois.

Mais si Antony, pour moi c'est un très joli vin et je vais te dire que c'est le meilleur que j'ai jamais bu de cette région mais je n'ai pas tout goûté loin de là.

Il convient de rapprocher ce CR de celui là.... (La Passion du vin)

Gauby Vin de Pays de Fenouillèdes Le Soula 2004 : (14/20) – 26/9/07
Cette cuvée produite par Gauby donne des senteurs juvéniles (un côté bière blanche) et variées : minéral, agrumes, anis, menthe, ananas, fruits blanc. Bouche plutôt dodue, pas vraiment déliée, un poil amère, nerveuse (caractère frétillant), sans lourdeur. A revoir dans quelques années car le vin ne concède pour le moment pas grand-chose.

Gauby Côtes du Roussillon Vieilles Vignes 2004 : (14,5/20) – 26/9/07
L’expression, difficile à décoder, est vraiment très jeune (enfantine), encore fermentaire : on y observe des notes de yaourt au citron, de pomme, de menthe, de réglisse. Bouche à l’état brut, assez grasse et puissante en milieu de bouche, qui rappelle un peu un chardonnay avec son trio agrumes/végétal/minéral. Qualité de fraîcheur, pour le moins, mais à revoir quand le vin se sera posé (finale en l’état banale).

Gauby blanc VV 2004 - bu en Septembre 07 : 13/20 (ouvert et servi vers 12°)
•Robe fluide, paille aux reflets légèrement jaunis, à la limpidité correcte (mais sans plus).
•Le nez semble bloqué sur un profil fermentaire dominant : le yaourt est évident, de même que la levure. Quelques notes citronnées relèvent l’ensemble : mais tout est encore bloqué !
•Frétillement passager en début de bouteille. Bouche encore un peu simple, pas encore bien en place : acidité étonnante, gras sous-jacent mais immédiatement repris par la fraîcheur, presque vive, milieu de bouche qui semble s’ouvrir davantage mais immédiatement repris dans une finale acide, un peu abrupte en l’état, quelque peu sèche. Profil aromatique actuellement sur la pomme, la poire, les fleurs blanches, les agrumes, mais aussi une légère impression végétale, une signature minérale encore dure.

Indiscutablement, le vin doit patienter sagement.

Le Soula blanc 2004 - bu en Septembre 07 : 14/20 (ouvert et carafé juste avant le service, vers 12°)
•Robe paille, claire, brillante, limpide, assez fluide.
•Le nez est saisissant de fraîcheur et de jeunesse, bâti autour de notes florales et fruités (fleurs blanches, pêche), avec à peine quelques notes beurrées et toastées. L’expression générale est encore un peu simple, pas tout à fait en place.
•En bouche, on ressent tout d’abord un léger frétillement, se dissipant tranquillement à l’aération (carafage nécessaire). La matière prend alors un léger gras, une rondeur aimable, mais sans excés : l’acidité est en effet bien présente, ce qui éloigne le vin de toute conotation solaire, voire sudiste. En l’état, il est par contre encore marqué de notes fermentaires et levurées affirmées, ce qui n’empêche tout de même pas de deviner son profil aromatique : citron, orange, noisette, un peu de bonbon anglais, miel, plus une caractéristique minérale sous jacente (coquille d’huître). Finale fraiche, relevée d’une délicate amertume.

Bref, il y a bien de la matière, une belle structure, mais le vin est encore dans sa chrysalide : le vieillissement, nécessaire, devrait lui assurer une expression plus posée, plus complète.

Le Soula blanc 2003 - bu en Septembre 07 : 16/20 (ouvert 2 heures avant et servi vers 12°)
•Robe paille, assez claire, fluide, se troublant légèrement sur le fond de la bouteille.
•Le premier nez est très marqué par des arômes de noisette, de beurre, de brioche, avec quelques évocations florales. A l’aération, le vin affirme davantage sa maturité par une expression fruitée plus riche, mûre, sur des notes de pêche blanche, de pomme, d’abricot. Assez charmeur.
•En début de dégustation, la présence de CO² assez marquée peut étonner : personnellement, j’apprécie la touche « aérienne » que confère cette caractéristique. A noter qu’à l’aération, sa présence disparaît pour devenir totalement absente en fin de bouteille. Pour le reste, ce vin est marqué par sa fraîcheur : il trahit difficilement ses origines, plus encore son millésime ! Le début de dégustation confirme les impressions du nez, à savoir un vin marqué d’un certain gras, beurré, sur la noisette, quelques notes lactiques. La trame est serrée, le corps dense. Puis le fruit s’affirme davantage, dans un style précis. Belle finale.

Domaine Gauby, Vieilles Vignes Blanc 2002
On retrouve un superbe nez de grand champagne. En bouche c’est plus fin et moins résineux que le 2004, et la longueur est toujours sur une tendance très Champagne. Moins puissant que le 2004, il reste un peu en dessous malgré sa jolie finesse, et reste toutefois un grand blanc de la région.

Domaine Gauby, Vieilles Vignes blanc 2004
Nez champenois qui tourne rapidement aux fins calvados à l’agitation.
En bouche un gras résineux s’équilibre superbement avec une fraicheur un peu salée et minérale.
La longueur est sur les mêmes notes de résine, de champagne, et dure avec caractère.
Un des grands blancs du Languedoc à n’en pas douter ; un amateur de Bourgogne pourra lui reprocher un manque d’acidité et de tension ; mais c’est tout de même un vin remarquable, et ce millésime est grand.

Calcinaires 2006 blanc

J'ai voulu déguster ce Calcinaires 06 sur lequel David Schildknecht (je me demande comment on prononce son nom dans le sud ) du Wine Advocate a flashé, le notant à 92, soit meilleur vin blanc du Roussillon avec le Gauby VV 04 (noté également 92).

Le nez est ouvert, aromatique et frais. Je lui trouve une petite pointe muscatée sympathique, mais pas forcément aristocratique, comme disait l'autre;).

Très belle bouche, serrée, précise et tonique, associant gras et fraîcheur, rondeur et tension, fruits blancs et agrumes. Longue finale que viennent signer des notes de silex.

Superbe vin et excellent rapport qualité-prix ! Shildknecht ne s'est pas trompé sur cette bouteille, ni sur les vins de Gauby, plebiscités.

Yves Zermatten

Vin de Pays des Coteaux des Fenouillèdes Domaine Gauby Le Soula 2001 : 13,5/20 – 22/1/08
Comme dans le cas du Roc d’Anglade 2006, le nez est particulièrement grillé. Notes complémentaires de pomme verte, d’amande. Bouche brute de fonderie, qui ne semble pas vouloir vieillir, d’une nervosité déconcertante, le mors de l’acidité me semblant exagéré (ce qui gêne moins mes 2 partenaires de dégustation - DS14,5/15 - MS15). « Ces raisons sont trop verts et bons pour les goujats … ». On a pu penser à un Chardonnay de Tissot.
Evocation aussi de la manière qu'à Rémy Pédréno de récolter ses raisins en légère sous-maturité.

En phase avec le commentaire de Philippe Barret ...

« Ces raisons sont trop verts et bons pour les goujats … ». On a pu penser à un Chardonnay de Tissot.

Voilà deux phrases qui, mises bout à bout, devraient faire plaisir à certains...

Luc

Luc,

Je souligne que le bouchon était impeccable ...
Relis aussi le propos de Philippe Barret.

Vu ton acuité :
--> J'ai trouvé ce Soula 2001 mordant et je fais l'hypothèse d'une sous-maturité des baies.
--> Soula 2004 et VV 2004 (blancs) ne nous ont pas trop causé récemment, à Philippe Ricard et à moi-même (des vins mal dégrossis)

Sinon, je te renvoie à la dégustation IVV des vins de Tissot et leurs notes grillées (avec un correct Chardonnay 2005).
Je reconnais que ma phrase est un peu en zeugme.
Encore plus si on la sort de l'ensemble du texte associé ... (et du contexte précis de cette dégustation).

Ben oui, Gauby semble ne pas vendanger trop mûr (c'est un euphémisme), il paraît que c'est à la mode dans le milieu des biobos...

Luc

Luc,

J'ai eu l'occasion de discuter longuement de cela avec Rémy Pédréno, qui (tu le sais peut-être) s'inspire pas mal de Gauby et de Vaillé (qui a lui des fûts de chez Coche - d'où les notes transitivement grillées ? ).

Je pense que Rémy faisait des vins plus sensuels avant (Roc d'Anglade).
Ses 2006 et 2007 (difficiles à juger) sont issus de raisins ramassés volontairement très tôt (est-ce un pari risqué sur ses nouveaux terroirs, et avec de nouveaux cépages - augmentation du carignan) ?).
Le 2002 blanc bu récemment (IVV Chenin) est très usé (le 2004 s'en est mieux tiré).

Jamet, lui, nous a expliqué son aversion pour la sous-maturité (mais il travaille dans une autre région et utilise les vertus drainantes de la rafle).

Bon, Rémy n'est pas dans le Priorat, en effet, où la surmaturité est souvent lourdement manifeste.
Il faut en mettre plein la vue (rien à voir avec un grenache de Rayas) ...

Philippe Barret a décrit bien plus haut un changement de style pour Gauby.

J'ai commandé quelques bouteilles de Gauby "nouveau style" en primeur, je suis curieux de les déguster en comparaison avec les vins de Bizeul qui sont, eux, parfaitement mûrs. J'ai un peu de mal à comprendre, avec tous mes a priori de cartésien indéfectible, comment on pourrait faire un grand vin avec un raisin qui n'est pas mûr, mais ne vendons pas la peau de l'ours...

Luc

sous-mûr, vs sur-mûr ... (la ligne de démarcation n'est psas simple).

Rémy croque les baies dans la vigne et effectue son choix précoce.

Tout dépend du type de cépage, du sol (du terroir, pour les plus chanceux ?), de la région dans laquelle il est produit, de la vinif qui suit (bref, encore un écheveau complexe qu'un vigneron de talent met certainement au minimum une décennie à valider).

Et je ne parle même pas du changement climatique.
Du constat souvent fait chez IVV : les vins sont de plus en plus lourds et on rêve de fraîcheur.

Jamet produit des vins plus sensuels que ceux de Chave.
J'imagine que ses syrahs sont récoltées plus mûres que celle de Chave (mais il est vrai que l'on n'est pas tout à fait à la même latitude).
Les 2 styles sont magistraux.

J'ai écouté attentivement Jamet nous expliqué que la réserve austère n'était selon lui absolument pas synonyme de plaisir et de garde.

Ah oui, j'oubliais : Rémy, c'est du chenin (comme Fontcaude Trelans) et Tissot, c'est encore autre chose ...

Dégustation d'anthologie hier soir au caveau Grains Nobles en compagnie de Lionel Gauby qui du haut de ses 24 ans tout mouillés m'a donné une superbe leçon d'humilité et d'écoute de la nature.

au menu, Calcinaires, Soula, Muntada, Vieilles Vignes, Coume Gineste, le tout en rouge et en blanc, sur plusieurs millésimes.
Dont une magnifique verticale 2000->2006 des Coume.

Des vins émouvants, en finesse, tendus, d'une superbe minéralité. Comment imaginer jusque là qu'en Roussillon, terre aride aux températures caniculaires, on arrive à faire des vins autant en tension, sur l'élégance ?

la Muntada 2003, tout en fraîcheur et en délicatesse, transcende le millésime. Les Coume Gineste sont absolument magnifiques, la plus belle expression de grenache gris que j'aie bu.
Une approche du respect total du terroir liée à une écoute de la nature conduit ce domaine à adopter des pratiques un peu à l'encontre de la mode : extractions maîtrisées, recherche d'une maturité optimale sans excès, vins sur la délicatesse et sur l'expression du terroir plutot que des bombes boisées que le secteur n'a que trop montré.

Alors moi je dis : bravo MM. Gauby.

Une des plus belles dégustations qu'il m'ait été donné de faire. Honnêtement.

tchoule

tchoule,

Ton avis plus précis sur Soula blanc 2001 STP ? (en lien avec les posts précédents)

Soula blanc 2001 n'était pas au menu de la dégustation (c'est pour ça que le titre de mon msg était Domaines Gauby" et non "Domaines Gauby le Soula Blanc 2001")

au menu : Liste des vins dégustés :

Les Calcinaires blanc 2006
Vieilles Vignes blanc 2006
Domaine de Soula blanc 2006
Domaine de Soula rouge 2006
Calcinaires rouge 2006
Vieilles Vignes rouge 2005
La Muntada 2003

Coume Gineste 2000
Coume Gineste 2002
Coume Gineste 2003
Coume Gineste 2005
Coume Gineste 2006

Les Soula étaient les vins les plus flatteurs, blancs comme rouge. Les "Domaines" en revanche (= tout le reste) sont plus minéraux, plus tendus, avec une acidité plus marquée. A mon avis, ils sont encore plus repréentatifs du style Gauby.
Lionel Gauby avoue un goût prononcé pour les vins "d'avant" = rayas, rougeard etc... avec une âme, de l'authenticité et une absence de maquillage qui permet au vin de défier le temps.

Pour faire un focus sur Soula 2006 : vin assez vif, très jeune, déjà flatteur, arômes de pêche blanche, de fleurs, pointe de miel, belle amertume en bouche, très long. Un élevage (pas de bois neuf) qui donne de la profondeur.

à noter les élevages sur Muntada et Coume qui peuvent atteindre 27 mois fréquemment. Bois neuf proscrit au domaine.

tchoule

Côtes du Roussillon Villages Gauby VV 2004 : 12,5/20 - 25/3/08
Calcaires sédimentaires et schistes
- Carignan 40 % Vignes de 125 ans
- Grenache noir 35 % Vignes de 55 ans
- Mourvèdre 15 % Vignes de 25 ans
- Syrah 20 % Vignes de 20 ans
Nez curieux exprimant le caoutchouc (évocation de carignan ?), la fraise épicée, la noix de coco, la pomme blette, les fleurs. Acescence élevée.
Bouche un peu éthérée (peu protégée ?), avec pas mal de volatile, certes relativement fraîche mais au prix d'un caractère vert de sous-maturité qui paraît presque limite. Du coup, le vin est acide et peu plaisant.

Un avis très différent de celui de Alain Winemega, assurément !
Il faudra revoir plus attentivement cette évolution de style (en partie évoquée chez Rémy Pédréno au Roc d'Anglade).

rappel 1 :
Côtes du Roussillon Villages Domaine Gauby VV 2003 : 12,5/20 - 26/6/07
Nez curieux, dans un registre lascif : fruits confiturés, insolite rhubarbe. Bouche vraiment peu charmante, manquant clairement de maturité (en 2003 ?), bancale (acidité et alcool mal intégrés). Grosse déception.

rappel 2 : BlG
Tiens! pour moi ça a été le dernier Gauby fréquentable (Gauby Vieilles Vignes 2000, réveillon Saint-Sylvestre 2005/2006) il était rond, plein et sans boisé préjudiciable ... depuis (les millésimes plus récents) c'est vert, maigrichon, étrange, et la dernière tirant sur la limpidité de Prieuré Roch!!!

surprenant ton avis. j'ai eu l'occasion de la déguster en parallèle de la muntada 04 l'année dernière et c'était une très belle bouteille avec beaucoup de fraicheur, nette et bien meilleure que la muntada encore trop marquée par son élevage. peut-être un problème de bouteille?

enzo,

L'avis unanime de 12 dégustateurs (tu sais, les gammes ...).
Je penche plutôt pour un pb de style.
En écho avec ces doutes sur le 2003.

J'ai reparcouru l'ensemble de la rubrique Gauby ...
Ony trouve des éléments de réflexion intéressants !

oui sur 2003 que le vin soit déséquilibré ça ne m'étonne pas (encore que pas mur ça l'est plus) mais 2004 ça l'est. curieusement VV 2000, je le trouve déséquilibré (phase?)! bref je ne rentre pas dans l'avis unanime...

VV 2000, je le trouve déséquilibré (phase?)

Déséquilibré (trop d'alcool), lors d'une dégustation en mars 2002 ...

ahhh un même avis alors!

Oui, Laurent, celui d'Olif en 2003 (si j'ai bien lu les archives de LPV).

Philippe Ricard a déjà prévu de nous faire regoûter ce Gauby VV 2004 ...

Un vin pari, risqué, d'une certaine manière ...

je lirai cela avec attention.

Soula blanc 2006 :

Se passe rien... ou pas grand chose. Lourd, pataut, alcooleux, court, zéro...

Laisse un peu vieillir

J'ai acheté du blanc 1999 de chez JM Alquier qui était ininteressant au début et sur les conseils d'un ami je l'ai gardé.
A part une bouteille qui était oxydée, nous avons été très surpris par l'amplitude et la longueur pris par ce vin en # 5 ans

Soula blanc 2004, sur des gambas aux épices.

Robe or clair, nez puissant et précis sur le pamplemousse, en bouche des écorces d'agrumes et une grande tension, un vin minéral doté d'une longueur assez impressionnante. Belle bouteille.

Dégusté ce jour, Soula blanc 2001 et Muntada 2002.

Avis mitigé, c'est le moins que je puisse dire...
Soula c'est pas mal, un peu perlant mais le gaz disparait assez vite, on se retrouve ensuite avec un vin dans un style un peu bourguignon, mais d'un niveau de qualité équivalent à ce qu'on trouve pour deux fois moins cher en Bourgogne.
Quant à Muntada 2002, pour l'apprécier, il faut assurément aimer l'acidité... Je n'en dirai pas plus, je ne dois pas l'avoir compris...

Luc

Bonjour,

Est-ce que quelqu’un connais l’encépagement exact du « vieilles vignes » 2000 en rouge ?

Merci,
Cordialement,
JU