Sympathique accueil de M. Georges Puig à Vinisud.
Georges 2006: beaucoup de fruit, déjà des notes d'évolution et des arômes secondaires.
Georges 2007: plus épicé que le 2006, belle fraicheur.
Des vins du Roussillon au rapport Q/P remarquable (et remarqué par Perrin dans Le Point 2009).
Vin doux 2005: sucre bien intégré, plaisant, liqueur de cassis et de mûre.
Vin doux 1993: excellent, large palette aromatique, de la persistance et de la classe (rancio).
Vin doux 1975: mon année de naissance
et c'est la claque, des notes tertiaires, de noix, c'est complexe, interminable en bouche.
Avec du roquefort ou une boule de glace vanille naturelle, M. Puig me dit que c'est à se damner.
Une dégustation qui (avec celle de Pouderoux) m'a réconcilié avec les vins doux naturels.
Je pensais que ce n'était pas trop mon truc (trop sucré, trop écoeurant etc...) et en fait quand c'est bien fait, c'est tout simplement énorme.