Silène écrit:

Oui, mais cela c'est le problème de toutes les études, sans exception : Qui les finance et qu'est-ce que ces études entendent démontrer ? Car il y a toujours et quoi qu'on en dise, un présupposé...
 

Le problème n'est pas le financeur.
Le problème est la méthodologie, mais il est vrai qu'un financement disons orienté poussera le chercheur à opter pour une méthodo "qui va bien" ( dans le sens voulu ).

Une méthodo robuste envoie un résultat robuste. Il ne se discute pas ou peu.
Une méthodo foireuse envoie un résultat sans importance et immédiatement oubliable ( hélas c'est la méthodo la plus courante ). Résultat qui ne discute pas non plus, car il n'a aucune signification.

Re hélas, les titres putaclic et les articles reprennent souvent la phrase souhaitée au milieu de plusieurs pages, et la méthodo est oubliée.
 

Je vais faire un // amusant avec l'obturateur, j'ai assez largement écume la littérature scientifique sur le sujet.
Pas les trucs vistisphère ou RDO, plus le thèses ( complètes - pas les extraits choisis ) et autres "vrais" articles.
Au final:
- quel que soit le financeur, l'obturateur financé est le "meilleur" ( le liège naturel, le liège technique, la vis, le plastique )
- Tout le monde dit juste, sauf que....tout le monde emploie le protocole qui a l'avance est supposé le servir et oublie d'analyser ce qui le desservira ( c'est évident mais ça va mieux en le disant ). Reste que ce qui est publié est plutôt juste ( pas toujours ...) , avec le point majeur qui est que les résultats sont valables dans le champ opératoire décrit, et seulement dans ce champ....
- Il reste bien sûr les articles venant de sources neutres ou pseudo neutres. A ce moment là, le mensonge par omission est le seul mensonge, ce qui est publié est fort juste avec la même réserve que ce dessus car il y a souvent derrière un financeur non public.