En ce qui concerne le grand vefour et guy martin.
manger là bas il y a 7 ans
1 plat sur 2 tres très loin du niveau et des prix annoncé et affiché
un homard a la mangue et une volaille au foie gras d'une simplicité et fadeur déconcertante
A côté de ça des oursins en entrée exceptionnelle
Et le fameux pigeon prince renier d'anthologie
Le style banquette bobo fait un peu attrape touristes ou alors rassure une certaine clientèle en recherche d'une soit disant nostalgie
Niveau banquette bobo le pire que j’ai essayé dans la capitale c’était le train bleu. Ma femme voulait y aller car « j’ai vu le cadre sur les rézossociau et c’est magnifique ».
Horrible expérience. Chaleur étouffante en salle l’été. Tout très cher pour des plats de brasserie exécutés de façon médiocre.
Niveau banquette bobo le pire que j’ai essayé dans la capitale c’était le train bleu. Ma femme voulait y aller car « j’ai vu le cadre sur les rézossociau et c’est magnifique ».
Horrible expérience. Chaleur étouffante en salle l’été. Tout très cher pour des plats de brasserie exécutés de façon médiocre.
On peut s'essuyer les pieds sur les banquettes de velours rouge (pourquoi bobo d'ailleurs?) de ces établissements qui appartiennent à l'histoire de la gastronomie parisienne, je le comprends.
On peut penser que la décoration mériterait d'être revue de fond en comble par un architecte au fait des matériaux contemporains, je l'admets.
On peut estimer que la cuisine de ces restaurants n'est pas ce qu'elle devrait être, surtout au Train Bleu, je le conçois.
On peut trouver que les prix ne sont pas en adéquation avec ce que l'on a dans l'assiette, je l'entends.
Peu m'importe, je ne peux m'empêcher d'avoir les yeux de Chimène pour ces lieux chargés d'histoire qui ont vu passé tant de personnalités et dont les fantômes semblent encore hanter les banquettes. C'est sans doute mon côté boomer.
Je ne suis pas du genre à tirer à boulet rouge sur les « banquettes parisiennes ». Certaines sont très convenables comme chez Flottes avec une carte des vins correcte.
les 2 Magots c’était encore très correct il y a quelques années mais la dernière fois (avant le covid) c’était décevant et très cher. De plus, entendre toute la conversation de la table voisine qui était accolée à la notre était très désagréable. Gageons qu’un effet positif du covid sera d’espacer un peu ces tables dans les brasseries parisiennes.
On aime bien aller dans les lieux chargés d’histoire, ça n’a rien de boomer