Château Pierre Bise - Coteaux Du Layon Rochefort 2016

Carafage bordelais 2h avant dégustation.
Robe sombre, jaune paille sombre.
Nez éclatant, pur, essence de coing, abricot, très élégant, mineralité bien présente.
Bouche superbe. Sucre équilibré parfaitement, toujours ce cote abricot sec, légèrement mielleux. Acidité traçante parfaite.

Top !

Antoine,
ce domaine produit de très beaux Layon a des prix trés trés raisonnables !
à encaver sur les beaux millésimes sans aucun souci...

Château Pierre Bise Savennières Roche aux moins 2008

Bouchon parfait. Robe peu évoluée. Nez complexe, à la fois sur les zestes d'agrumes, des notes de fleurs séchées et des notes de miel et d'encaustique.
Bouche à l'acidité apaisée et aux amers bien développés, complexe, et une pointe d'acidité relance la finale.
Par rapport à la bouteille bue le 31 décembre, je lui ai trouvé un peu moins d'énergie.
Excellent accord avec une paella aux fruits de mer.

Julien

Château Pierre Bise - Savennières Clos de Coulaine Blanc 2013

Impressions :

Robe ambrée. Évoquant un vin très vieilli.

Nez :
Nez sur des notes oxydatives, noix vertes. Après une forte agitation, on finit par sentir la pomme granny.

Bouche :
On ressent tout d'abord les arômes sentis au nez. Puis on ressent un creux en milieu de bouche.
La finale est portée par une jolie acidité prenante, aromatique sur les notes oxydatives.
Fin de bouche sur l'alcool, un peu trop chaude...

Vin acheté en grande surface. Stockage défectueux ? En tout cas on a une impression de vin dissocié, trop vieilli. 12/20

Château Pierre Bise - Coteaux Du Layon Beaulieu - Les Rouannieres 2016

Bouteille débouchée 4h avant dégustation. Le vin ne présentait aucune trace d'un manque d'aération comme souvent chez les autres liquoreux bouches en liège.

Le vinolok utilisé serait il a l'origine de cette ouverture évidente ? Je crois que le domaine m'avait donné cette explication pour légitimer l'utilisation de ce bouchage en verre.

Robe déjà or sombre presque évoluée, sûrement due à une part de passerillage.
Nez fabuleux, métallique, presque épicé, beau botrytis, confiture abricot, poire cuite.
La bouche est une grande claque dans la gueule de part l'équilibre parfait qui saute aux papilles.
Le tour de force est d'avoir une liqueur tapissante évidente mais avec une telle tension que l'ensemble paraît d'une digestibilité rare dans un liquoreux de cette concentration. Le degrés naturellement bas de 11% joue un rôle prépondérant à l'équilibre. Ça sera toujours plus digeste que le même vin levuré avec 13% d'alcool.

Un très grand moment pour tout le monde.
Sauvez un vigneron, achetez du Layon !

Château Pierre Bise. Le haut de la garde 2015.

Couleur or soutenu, qui me semble fréquente sur cette cuvée, même dans sa jeunesse.
Nez floral, fumé. Je ne sens pas de fruit.
En bouche non plus, je ne sens pas de fruit. Pourtant, il y a de la matière. Mais je suis toujours sur les fleurs, sauf que je ne risque pas de dire lesquelles...
C'est ample, le jus envahit la bouche, tout en souplesse, l'air de rien, après une attaque qui avait l'air timide.
C'est rond, ça se mâche avec gourmandise et se prolonge sur une finale assez longue qui, pour le coup, renvoie vers un beau chenin bien salivant avec une jolie rétro qui se déguste et qu'on voudrait voir durer encore davantage.
Je me suis vraiment fait plaisir avec cette bouteille.

Château Pierre-Bise. Savennières. Clos de Coulaine. 2015.

Robe or clair.
Nez très aromatique dès l'ouverture, très fruité, poire, pêche blanche.
Bouche également très fruitée, de la poire, de la pêche toujours, mais ma douce décèle aussi de l'abricot et comme elle est plus forte que moi à ce petit jeu, je l'approuve of course. Joli panier de fruits donc. Par ailleurs (ou plutôt simultanément), belle trame acide, de la vivacité qui nous mène vers une finale portée par un amer très discret du plus bel effet.
Je passe ma langue sur les dents pour terminer ma gorgée et c'est bien bon.

À J+1, le vin s'est encore amélioré. Le fruité, bien présent dès l'ouverture, s'exprime davantage.
A priori donc, aucune raison de se précipiter. On a là un vin qui va vieillir en toute sérénité.

ZuZu écrit: Ouvert hier soir avec un royal à l'abricot Château Pierre Bise "Coteaux du Layon Rochefort" 2011.

La robe est or.
Le nez est expressif sur l'abricot confit, la pêche, le coing et le pain d'épices.
La bouche montre un bel équilibre sur les arômes cités avec une acidité qui se développe jusqu'en finale, évoquant de jolis amers sur les agrumes et une pointe de poivre blanc.

Joli vin, à voir ce qu'il donnera dans le temps mais l'équilibre est remarquable...

Pas grand-chose à rajouter ou changer: toujours ce nez (et cette bouche) sur l'abricot, le coing, et cette impression d'équilibre remarquable… L'acidité, la fraîcheur donnent envie de resservir, même après avoir terminé l'exceptionnelle tarte pommes/ vanille/ caramel de Michel Belin, et même après les bouteilles vidées auparavant.
Peut-être la note épicée se fait-elle moins sensible, et un timide début d'évolution semble s'amorcer…
Excellent, et à même de convertir les râleurs qui "n'aiment pas les vins sucrés".
Rapport qualité/ prix inattaquable.

lucas_mir écrit: Ouvert hier soir avec un royal à l'abricot Château Pierre Bise "Coteaux du Layon Rochefort" 2011.

Excellent, et à même de convertir les râleurs qui "n'aiment pas les vins sucrés".
Rapport qualité/ prix inattaquable.

Quoi, il y a des gens qui n'aiment pas les liquoreux ?

Château Pierre Bise - Clos de Coulaine 2015-Savennières

La robe est d'un doré d'intensité moyenne un peu mat.
Le nez est très fruité sur la poire et un peu de pomme.
La bouche est dominée par une belle amertume.
Je retrouve un peu de fruit ( poire) mais je trouve ce vin très végétal sur l'herbe et l'asperge.
Un vin un peu complexe mais que je trouve très plaisant.

Beau vin promis à un beau vieillissement.

Gilles

Bu aujourd'hui un Savennières Clos de Coulaine 2016 de Claude Papin :
Robe : paille clair, brillante
Nez : peau de poire, coing, pamplemousse, pomelos, végétal dans la direction amère.
Bouche : belle attaque, très équilibrée, à la fois ample, saline, avec une fine acidité. La finale est longue (10s), se maintient avec par les amers nobles tanniques, avec une aromatique citronnée, saline. Vin très équilibré.
Conclusion : Très bien. Vin racé, délicieux, très bon actuellement et qui a sans aucun doute de l'avenir. Bien sûr, ce vin n'est pas un grand vin et dans la gamme dégustée en octobre dernier au Salon des Caves particulières à Lyon, le Roche-aux-Moines 2015 à 25€ était naturellement plus racé, plus cristallin, plus long, mais Claude Papin semblait d'accord sur le fait que dans cette année 2016, le Clos de la Coulaine se distinguait peut-être un peu plus que d'habitude. Un Savennières 2016 racé à 16e, moi j'achète.
David Chapot.

Pierre Bise - Le Haut de la Garde 2015 - Anjou

deuxième rencontre pour moi avec cette cuvée sur ce millésime. La première rencontre, il y a presque un an, m'avait laissé un peu sur ma faim, le vin étant assez fermé et difficile à identifier.

La robe est jaune paille, tirant vers l'or.

Le nez est beaucoup plus ouvert sur cette bouteille, sur les fruits blancs (pomme et surtout poire), un peu de floral, et une pointe minérale/fumée.

En bouche, l'attaque est ample, ronde, tapissant le palais, avec pas mal de poire. Le milieu de bouche est un peu plus mince (on reste dans une entrée de gamme pour ce domaine) avant qu'une petite acidité citronnée ne vienne donnée un peu de longueur. C'est bon, mais je serai curieux de goûter cette cuvée sur un millésime plus frais.

En tout cas, un peu de patience aura payé. Le vin offrant bien plus du plaisir maintenant.

C'est certes une entrée de gamme, mais elle vieillit très bien. J'ai fini mes 2009 il y a un an et c'était très bon.
Je crois que chez Pierre-Bise, tout vieillit bien, en tout cas en blanc. Les rouges, je connais moins.

Quand j'évoque une entrée de gamme, ce n'est en aucun cas péjoratif . C'est vraiment le sens premier du terme.

Sur 2015, je l'ai vraiment trouvé à point maintenant. Pas sur, vu la chaleur du millésime, qu'il soit intéressant de le garder 10 ans.

Marc,
je suis un grand fan des moelleux de Pierre-Bise depuis le millésime 1995, c'est un rapport qualité prix sans égal,je me régale de mes 98,99,2001,...
Sur les rouges je suis un peu plus réservé...
Sachant que je ne n'est pas fait de dégustations récemment, si certains ont dégustés les rouges, leurs avis seraient intéressants.

Les moëlleux sont délicieux et restent payables, je suis d'accord avec toi. Les secs me plaisent beaucoup aussi, dans une gamme tarifaire tout en douceur...
Quant aux rouges, je les ai goûtés il y a peu sur un salon mais je n'ai pas été conquis. Je n'ai pas noté le nom des cuvées.
C'est probablement une histoire de goût ou de ressenti à l'instant T, mais je me suis demandé en les goûtant si le fait de passer après les blancs secs ne les desservait pas. Ils m'ont paru durs, tanniques à l'excès. Peut-être qu'en passant avant, ils se seraient montrés plus séduisants. Je n'ai pas osé en parler au vigneron.
Quoiqu'il en soit, les rouges du domaine sont peu commentés sur le forum.

Marc,
Je partage ton avis que les derniers rouges que j'ai eu l'occasion de déguster...
On va donc en rester avec les excellents blancs !

Salut,
pour ma part, je trouve que le Haut de la Garde gagne à être bu sur le fruit tout de même. Ce qu'il faut vraiment garder, ce sont les Savennières et les Layon, effectivement toujours de très bons rapports Q/P.
Quand aux rouges, j'ai visité plusieurs fois le domaine à intervalles plus ou moins sur les 15 dernières années et je trouve que les vins sont plus souples qu'avant, en gros depuis que les fils de Claude Papin sont à la manoeuvre . Ce sont des vins assez tanniques voire même austères dans leur longue jeunesse.
Je trouve qu'ils montrent bien que le schiste rend les cabernets francs plus durs que le tuffeau ou les graviers plus à l'est. D'ailleurs, le cépage rouge de l'Anjou 'noir' c'est davantage le grolleau, qui résiste mieux aux périodes de sécheresse.
Bien sûr, des vignerons réussissent très bien ces rouges mais j'ai le sentiment que c'est en vinifiant davantage sous forme d'infusion...
A suivre.
Julien

C'est toujours un plaisir de rendre visite à Claude Papin et sa femme lors du salon Vinidôme.
Pas d'achats des ou veaux millésimes car j'ai une belle commande à récupérer mais hors de question de ne pas goûter.

Dans l'ensemble, j'ai découvert les blancs secs.
Une belle tension et une maturité optimale qui se ressent à travers cette sensation pulpeuses presque tannique, que je ressent aussi sur les liquoreux. Un côté salivant et traçant avzc des types différents en fonction des cuvées mais une belle gamme de secs dans l'ensemble.
Clos le Grand beaupreau 2016 et Roche aux Moines 2016 etant bien entendu à attendre pour dévoiler leurs meilleurs aspects.

On passe aux douceurs.

Le Rochefort 2017 me plaît, mais il est pour moi un cran en dessous du 2016 pour lequel j'avais eu un flash. Ce 2017 est plus facile, un peu moins minéral, mais sans être lourd bien sûr.

L'Anclaie 2014 est un gros cran au-dessus.
Une couleur plus sombre, un nez superbe, éclatant, abricot sec et légères notes oxydatives qui allongent l'ensemble. La bouche est au diapason, vivace et grasse à la fois, déjà très joli à boire.

Les Rouannieres 2017 se dévoile plus ferme, et austère que l'Anclaie, sur un caractère beaucoup plus crayeux et minéral. Un vin prometteur mais clairement sur la réserve.

Le Quarts de Chaume 2016 rejoint un peu l'Anclaie sur le caractère légèrement oxydatif du nez, il y a également une belle fraicheur. De mémoire, la bouche est bien équilibrée mais je reste sur l'Anclaie qui m'a fait forte impression.

Puisque les commentaires sur les rouges de Claude Papin sont rares , j'ouvre ce soir un Anjou Les Rouannières 2015 du domaine Pierre-Bise (payé dans les 12-13€)
Robe : dense, noire avec des soupçons de transparence, brillante.
Nez : groseille, cassis, cerise, agrémenté de cendre froide, de pierre; les fruits noirs et rouges reviennent en finale.
Bouche : à la fois veloutée et pierreuse, notes de bois sec, avec des tannins mûrs mais fermes qui rafraichissent le vin; longueur qui se fait attendre, mais bouche de caractère. Je n'ai aucune nuance variétale de cabernet (poivron), aucune note de vert.
Conclusion : Bien+++ J'aime ce vin (abordable) car il possède de la matière et un caractère "pierreux"/minéral marqué aussi fort que dans le blanc.
David Chapot.

Château Pierre Bise Coteaux du Layon Beaulieu Les Rouannières 2014

Robe jaune or.
Nez puissant, sur le coing, l'abricot confit, la pêche jaune.
En bouche, la liqueur est tout juste équilibrée par une fine acidité. Les arômes sont semblables au nez. Bonne longueur.
J'ai l'impression que le vin a beaucoup à dire mais qu'il faudra lui laisser le temps pour que la complexité se développe et que l'équilibre s'améliore encore.

Julien

Bu lors des 65 ans de Peterka

Domaine Pierre Bise, Coteaux du Layon Beaulieu, L'Anclaie, 1994



Oliv
Robe cuivrée aux reflets vert fluo.
Nez classique, un peu linéaire, sur l'abricot, des notes de safran mais aussi de moins élégantes senteurs iodées.
Bouche sur une liqueur riche, un peu massive malgré la présence d'une bonne acidité.
Gouts à l'ancienne, avec toujours cette pointe iodée qui manque de netteté.
Finale puissante, à la sucrosité un peu collante malgré la présence d'une certaine amertume.
Un bon vin mais sur un côté trop classique qui ne m'émeut pas vraiment.

Peterka
Bouquet puissamment rôti sur les fruits confits (figue, orange amère, abricot), les fruits secs, la résine, le miel sauvage, mais aussi, plus curieusement, écorce de chêne et viande rôtie.
La bouche est d’une fraîcheur remarquable, miellée et fruitée, salivante ce qui rend la liqueur digeste et soutient la richesse et la densité du vin. Evidemment, cela passe en force et cela n’a pas l’élan et la délicatesse de l’eiswein servi en parallèle. Très grande persistance sur les fruits confits.
Très bel accord sur le shropshire

Bu à cette occasion
Château Pierre Bise Les Rayelles 1995 - Coteaux du Layon
Robe dorée tirant vers l'ambré.
Nez rôti sur le coing et l'orange amer.
Bouche à la liqueur explosive propulsée par une acidité rafraichissante qui allège une matière mûre complexifiées par des notes d'évolution sur la cire et les agrumes confits.

Dégustée ICI



Château Pierre Bise - Coteaux du layon Beaulieu - L’Anclaie 2015

Bouteille ouverte un poil tard mais sur les derniers millésimes, je trouve que Pierre Bise sont agréable avec un aération plus légère. La robe est déjà or, le vin est gras. Au nez, une pureté typique du domaine, le coing, l'exotisme très net et une minéralité calcaire très belle

Bu avec la bande à Yvette

Château Pierre Bise, Savennières Roche aux Moines, 2015



Oliv
Robe jaune paille.
Nez mince et peu causant, sur quelques notes de pomme et florales mais rien de bien causant.
Bouche structurée sans faiblesse mais trop peu causante pour apporter du plaisir.
Finale serrée et quasi muette, manquant de charme en l'état.
A revoir.

Nol
Nez qui fait bien mûr, légèrement épicé, sur des notes de coing et de poire avec un tout petit peu de caramel. L’attaque en bouche est assez fraîche et salivante, mais la suite n’est pas très expressive : le vin semble un peu fermé, avec une finale un peu dure et chaude. Un vin qui semble encore très jeune et sur la réserve. B

Gibus
Jaune doré.
Arômes discrets de type fruit jaune. Attaque ronde mais tendue, plutôt sur le fruit avec une très légère note d'oxydation. Bonne longueur.

Domaine Pierre-Bise - Sur Spilite 2005 - Anjou-villages

Vin rouge sombre.
Le nez est de belle intensité sur la réglisse et les fruits noirs.
La bouche est charnue sur le fruit,la réglisse et un peu de goudron.

Vin agréable.

Gilles

Château Perre Bise - Le Haut de la Garde 1996 - Anjou blanc

Belle robe vieil or.
Le nez est intense, rustique sur le coing.
La bouche reste sur ce coing.
C'est intense voire lourd.

Vin correct.

Gilles

Château Pierre Bise - Roche aux Moines 2000 - Savennières

Belle robe dorée.
Le nez est complètement fermé.
La bouche est grasse et montre des notes oxydatives.
La présence de sucres résiduels l'empêchent d'être tendu.

Cela reste un vin correct.

Gilles

LPV Nice 52 - Loire en blanc, Beaujolais en rouge par Joël

Château Pierre-Bise - Savennières-Roche-aux-Moines 2015
Robe claire.
Nez discret.
La bouche est bien tendue, belle acidité, agrumes et abricot, légères notes pâtissières, du volume.
Un poil lourd mais sympa