Délicieux et probablement une merveille dans dix ans.

Mince alors, pas avant ? 
Bon, ben, armons-nous d’un peu de patience. 

Olivier

Pour le graal Olivier, faut être patient avec les vins de Robert. Mais c'est déjà très très bon si on aère bien.

Je l'ai bu ce WE et je confirme les propos de Laurent : délicieux, avec de superbe tannins poudrés, très bon mais un peu de garde peaufinera son aromatique et apportera, j'espère, les arômes d'orange sanguine qui m'avaient émerveillé dans le 2002.
David Chapot.

Domaine Robert Michel - Cornas Cuvée des Côteaux 2006

Sur broquettes d'onglet; épaulé environ 1h.

Le bouchon s'est cassé à l'ouverture. Peut-être une conséquence de mon mode de conservation : depuis 5 ans mes bouteilles sont debout. Sans que je note jusque là de problème particulier.

La robe commence à être nettement évoluée; arômes fins et discrets; pot pourri fruité et floral qui va se complexifier à l'aération.

Bouche d'abord timide et étroite puis peu à peu s'ouvre, prend du volume et finira franchement juteuse. Les tanins sont à peine perceptibles,offrant une petite sensation poudreuse.
C'est frais, léger, aérien, élégant; chaque gorgée est un plaisir, plus esthète que sensuel; souvent changeante, avec parfois des notes lardées, ou orange sanguine nettes.

Le vin peut encore sans doute vieillir plusieurs années, mais là il était parfait dans son équilibre, son harmonie, son style.

Cette bouteille m'a paru plus complexe que la précédente il y a 2 ans.

C'est un réel plaisir de retrouver une belle syrah à 12,5° quand de nos jours on commence à flirter avec les 15° en Rhône Nord.

Olivier

Anniversaires pantagrueliques avec les PACAs




Domaine Robert Michel, Cornas, La Geynale, 2005
Magnum. A l’aveugle.

Oliv
Robe strictement identique au Gangloff, sombre et profonde.
Nez sur la cendre, le bois humide, un côté terreux froid et pas mal de volatile.
Bouche au beau volume en attaque, sur une densité immédiatement perceptible et une acidité assez forte.
Mais débarque alors une charge tannique redoutable qui m'envoie la mâchoire jouer le chariot de Remington à l'autre bout de la table.
De djieu, les gars, prévenez avant de servir des machins pareils ! Y'a pas marqué Jaws d'Aviolo sur la devanture de la maison PDF.
Difficile de dire quand cette masse énorme pourra se fondre. Mais la matière première semble à même d'encaisser les ans pour trouver un point d'harmonie un jour.
Mais pour les petits enfants, peut-être...
A attendre. Longtemps.

Enzo
Passé une réduction vaseuse, les fruits noirs se conjuguent à quelques notes de vendange entière et un côté sanguin marqué. Ça parait monobloc et dense.
Ça se confirme en bouche où le vin se présente puissant, riche, de gros volume mais sans beaucoup de nuances tant le vin est encore jeune et demande soit beaucoup d’aération soit du temps pour quitter l’impression d’austérité de ce millésime.
J’ai perdu le Pdf en face de moi à ce moment-là !
La fin du verre bien aéré montrera plus de finesse sur les épices douces telle que je connais cette cuvée.
Très Bien (+)

Icna
Le nez fait plus sérieux avec des fruits noirs mais est un peu fermé.
En bouche on a de la cendre à fond. C'est plus large que le précédent, assez rond mais la fin montre des tanins secs.
On se dit que c'est vraiment trop jeune et qu'il faut encore lui mettre 10-20 ans dans les dents.

Les 55 ans d'Enzo


Domaine Robert Michel, Cornas, La Geynale, 1995 

 

Aïiiiiiieeeeeeeeeuh !
Ça puire le liège et empêche qu'on ait même envie d'y tremper les lèvres...
La trahison de ses plus fidèles amis est une grande souffrance.
 

Les amis, c'est la vie !


Domaine Robert Michel, Cornas, La Geynale, 2006



Oliv
Robe violacée très jeune.
Nez pur et appétant, sur l'olive, les fruits des bois, l'aiguille de pin. C'est très précis et tout en élégance.
Bouche juteuse, pleine de fraîcheur, sur une trame acide dans laquelle s'enroule une matière fondue toute en délicatesse.
Aucune rusticité ne dépasse de ce vin, élégant, racé, avec une tenue à la fois douce et sans faiblesse de corps.
Finale sur de délicieux goûts de fruits rouges épicés, aux tannins totalement fondus.
Délicieux vin, parfaitement à point.
Excellent.

Enzo
Nez typique du terroir sur l’encens, les épices douces, ce côté floral et fruits noirs mêlés qui font de ce nez une signature unique et hors norme. J’adore.
La bouche possède des tannins fondus, c’est fabuleux de gourmandise et de digestibilité et conjugué à une fraicheur importante. Servi à mon sens légèrement frais, le vin parait plus mince qu’il n’est en réalité ce qui le contracte un peu mais le plaisir apporté est top jusque dans la finale de longueur correcte.
Ce vin a évolué, il est sur son plateau et finalement les 05 évoluent moins vite que cette bouteille. Superbe.
Très Bien +.
 

Bu ici www.lapassionduvin.c...

Domaine Robert Michel Cornas La Geynale 2005 (c'est pas bicolore Cornas !)
Robe sombre, nez mur et frais, lardé,sanguin, épicé, bouche structurée, tendue par une fine acidité, le vin fait jeune mais c'est moins velouté qu'un Gripa, tanins encore présent, trop jeune, à revoir plus tard.

Stéphane

 Domaine Robert Michel, Cornas, La Geynale, 2006

Nez fumé, poivré, fruits noirs, violette, sanguin, sucre vanillé. C'est complexe, intense, très typé.

L'attaque en bouche est velouté, fruits noirs, sang frais, épices. Une matière délicate avec des tannins pas encore totalement fondu (légèrement poussiéreux). Cela ne gâche pas du tout l'ensemble et c'est très harmonieux. Excellente persistance légèrement métallique et fruits noirs en retro.

Une syrah parfaitement à point. 

Dom

 

Bonjour Dom,

Comment as-tu préparé la bouteille ?
Carafage ou ouverture au débotté ?

Olivier

Bonjour Olivier,

J'ai ouvert et gouté une petite heure avant, pas de carafage. J'ai vais éditer le commentaire, j'ai zappé cette fois ci oups..
Tu penses cela aurais été encore mieux?

Dom

Dom post= écrit: Bonjour Olivier,

J'ai ouvert et gouté une petite heure avant, pas de carafage. J'ai vais éditer le commentaire, j'ai zappé cette fois ci oups..
Tu penses cela aurais été encore mieux?

Dom

Non, pas du tout.
Juste que les quelques quilles que j’ai pu déguster sur 2005 et 2006 avaient nécessité une très longue aération (plusieurs heures).
Mais je constate que l’âge fait son travail et tant mieux !

Olivier

Domaine Robert Michel - Cornas « La Geynale » 2006
Le compte-rendu de l’ami Dom  m’a mis l’eau à la bouche.
Une belle entrecôte de viande maturée a fourni le prétexte pour jouer du tire-bouchon.
Préparation identique, simplement débouché et épaulé.
La robe est évoluée mais encore concentrée.
Un nez d’une belle Syrah mûre sur une déclinaison de fruits noirs (mûres et cerises noires) avec un côté sanguin affirmé et une touche épicée.
C’est en bouche que le vin décolle véritablement avec cette entame suave avec une suite très convaincante.
Un équilibre abouti avec un tanin très légèrement crayeux qui sied parfaitement au plat et une acidité précise qui apporte la fraîcheur et un côté aérien à l’ensemble.
Le vin est très long avec une finale persistante sur les fruits noirs et un dangereux goût de reviens-y ! 
Cette cuvée est désormais à maturité et pour de nombreuses années.
Grand vin, savoureux et gourmand.

Note : 18/20.
Garde : on le boit ou on patiente (sans crainte).

Olivier 

A la noce chez les d'Aviolo

Domaine Robert Michel, Cornas, La Geynale, 2002

 

Robe profonde avec de l'évolution, sur un bordeaux légèrement marronné.
Superbe nez élégant, attirant, sur la tapenade, la figue, de splendides notes fumées, entre l'âtre froid et l'encens.
Bouche délicieusement équilibrée, déliée et juteuse, sur une trame acide qui porte une belle matière.
Finale aux tanins totalement intégrés, pétrie de buvabilité, sur une myriade de goûts épicés.
Le vin fétiche d'Enzo !
Miaaaaaaam !

Hello Oliv

J’aime beaucoup ces vins également, longévité phénoménale ! J’ai ouvert des 89 l’année dernière, magnifiques et on a le sentiment qu’ils en ont encore sous la pédale ! 

bises
Thien

tht écrit:

Hello Oliv

J’aime beaucoup ces vins également, longévité phénoménale ! J’ai ouvert des 89 l’année dernière, magnifiques et on a le sentiment qu’ils en ont encore sous la pédale ! 

bises
Thien

La geynale 89 est encore très jeune en effet.

Laurent, tu le sais mieux que moi mais 89 et surtout 91 sont de grands millésimes de garde, ce n'est pas le cas du 2002!! Heureuse époque où l'on trouvait pour quelques figues des vins de ce vigneron au Monop à la Croix Rousse à Lyon en bas d'où habitait mon beauf, sniff sniff...

Je n’ai plus de 89 mais encore des 91, année de notre mariage et une des quelques régions où c’était un très beau millésime ! Je n’ai pas pris de Beaujolais, j’aime pas le gamay. J’aurais peut-être dû quand même pour la longue garde, ça pinote  …

Thien

La Geynale est un terroir grandiose au même titre que les Reynards (dont il est tout proche). Clape 1989 et 1991 sont des merveilles avec encore du potentiel, je ne vois pas pourquoi il n'en serait pas de même avec les vins de Robert Michel qui étaient aussi purs.
Le problème de Cornas, c'est qu'il n'y a pas tant que producteurs que ça qui sont sur les très beaux terroirs (Geynale, Reynards, Côte, Chaillots...); et qu'on trouve un certain nombre de parcellaires sur des terroirs de seconde catégorie, faute de mieux dans la cave.
David Chapot.

HERBEY 99 écrit:

Laurent, tu le sais mieux que moi mais 89 et surtout 91 sont de grands millésimes de garde, ce n'est pas le cas du 2002!! Heureuse époque où l'on trouvait pour quelques figues des vins de ce vigneron au Monop à la Croix Rousse à Lyon en bas d'où habitait mon beauf, sniff sniff...

même 90 chez Robert, c'était grand, avec 91, surement supérieur à 89.

tht écrit:

Je n’ai plus de 89 mais encore des 91, année de notre mariage et une des quelques régions où c’était un très beau millésime ! Je n’ai pas pris de Beaujolais, j’aime pas le gamay. J’aurais peut-être dû quand même pour la longue garde, ça pinote  …

Thien

moi c'est l'inverse, plus de 91, mais bu de nombreuses fois, quel vin qui doit encore être en pleine forme.
pour les bojo, dommage, ça vieillit aussi bien que les grande syrah, chez les bons producteurs bien sûr.

David Chapot écrit:

La Geynale est un terroir grandiose au même titre que les Reynards (dont il est tout proche). Clape 1989 et 1991 sont des merveilles avec encore du potentiel, je ne vois pas pourquoi il n'en serait pas de même avec les vins de Robert Michel qui étaient aussi purs.
Le problème de Cornas, c'est qu'il n'y a pas tant que producteurs que ça qui sont sur les très beaux terroirs (Geynale, Reynards, Côte, Chaillots...); et qu'on trouve un certain nombre de parcellaires sur des terroirs de seconde catégorie, faute de mieux dans la cave.
David Chapot.

avec le réchauffement climatique, je crois au contraire qu'il y a pleins de grands terroirs en devenir sur le plateau. A suivre...

enzo daviolo écrit:

David Chapot écrit:

La Geynale est un terroir grandiose au même titre que les Reynards (dont il est tout proche). Clape 1989 et 1991 sont des merveilles avec encore du potentiel, je ne vois pas pourquoi il n'en serait pas de même avec les vins de Robert Michel qui étaient aussi purs.
Le problème de Cornas, c'est qu'il n'y a pas tant que producteurs que ça qui sont sur les très beaux terroirs (Geynale, Reynards, Côte, Chaillots...); et qu'on trouve un certain nombre de parcellaires sur des terroirs de seconde catégorie, faute de mieux dans la cave.
David Chapot.

avec le réchauffement climatique, je crois au contraire qu'il y a pleins de grands terroirs en devenir sur le plateau. A suivre...
 

Ta remarque est très pertinente/intéressante Laurent. Comment les grands terroirs historiques (souvent les plus chauds avant le réchauffement climatique) vont-ils se comporter face aux terroirs plus frais (en altitude ou moins orientés vers le Sud)? On va avoir l'occasion de voir d'ici les 20/30 prochaines années (enfin j'espère )
David.

Bu lors de  cette soirée.

Robert Michel – Cornas La Geynale 2006
Nez moyennement intense, net. Il faut aller le chercher. C’est un peu évolué avec du cuir, tapenade, des fruits secs. Il y a des notes de poivre, viande séchée, fourrure. Touche balsamique. C’est l’inverse du vin démonstratif, mais il y a des très belles choses et on passe du temps dessus, car le vin est changeant.
La bouche est moyennement puissante, fraîche, peu extraite. L’attaque est franche et puis une grosse structure tannique s’impose. Ce n’est pas dur et la matière suit. Le fruit est bien présent et je trouve l’aromatique plus expressive qu’au nez. Il y a un côté salin et salivant aussi. En finale, il y a un côté réglissé qui apporte de la fraîcheur. La longueur est très bonne.
Excellent.
J’aime beaucoup ce vin franc et plein de caractère.

Cornas Domaine Robert Michel « La Geynale » 2005



Commentaire 2 jours après ouverture
Nez très complexe et ouvert d’encens, d’orange sanguine, de fruits noirs, d’agrumes.
La bouche est une merveille de douceur tactile, de plénitude dans un volume encore conséquent. La densité du vin reste une caractéristique entière mais sa gourmandise, son ressort et sa longueur en bouche sont remarquables. Ça finit sur une complexité aussi importante qu’au nez sur l’encens et les fruits noirs.  Fond de verre balsamique. Absolument délicieux et en pleine forme à maturité. A l’ouverture et malgré 8h00 d’épaulage, le tactile était un peu plus ferme, il faut surtout lui apporter beaucoup d’air pour en profiter pleinement. Excellent.

Domaine Robert Michel – Cornas – La Geynale – 2006
 

Bue avec  LPV Grand Centre

Bouteille épaulée pendant trois bonnes heures puis carafée pendant deux heures supplémentaires.

Jean-Loup
La robe sombre paraît à peine évoluée, avec juste quelques reflets tuilés sur le bord du disque.
Très intense et profond, le nez exhale des fruits noirs francs, complétés par une touche lardée et une autre plus chaleureuse de cacao.
La bouche est charpentée et concentrée, elle se déroule avec force, mais une force tranquille et sereine, selon un profil plus long que large. Les tanins fournis et encore vigoureux n’en sont pas moins polissés par le temps et n’induisent aucune aspérité sur le toucher de taffetas. La grande acidité, jusque là au service de la tenue du vin, ressort parfaitement dans la finale de bonne allonge.
Très Bien ++ / Excellent pour ce vin qui n’a pas dit son dernier mot.

Florian
Celui- là, je l'ai bien aimé.
Rapidement la syrah est identifiée, mais dans un style racé, presque austère avec ces notes de tabac et de ronce.
J'aime bien le touché de bouche, on y retrouve un fond de violette, pour moi c'est assez classe, mais dans un registre sérieux.
Je pars en Côte Rôtie, chez Jamet. Evidemment, c'est un vin de gastronomie, et il est impératif d'avoir une belle viande à ces côtés: ça tombe bien, le goulash de boeuf et gnochis est un excellent sparring-partner.

Cédric
Nez fruité, mur, cendré avec des notes de chocolat noir et une touche végétale.
La bouche est mûre, intense, charpentée, tannique avec un léger trait vert.
Je suis un peu perdu entre bordeaux et Rhône Nord....arfff à la vue de l'étiquette, je m'en veux de pas y avoir pensé car une syrah qui ”cabernote” à mes sens, c'est en général des marqueurs qui me renvoient à ce domaine. C'est beau, propre, très bien fait, je prend du plaisir mais pour les mêmes raisons de goût personnel que le clos rougeard, je suis moins dithyrambique que mes camarades.
Très Bien + 

Henri
De mémoire, je ne pense pas avoir bu beaucoup de Cornas. L’image d’un vin fermé, austère du moins ses premières années.
Là, 17 ans ont passé et je trouve un vin, certes masculin et viril, mais plutôt racé. Une superbe Syrah avec des notes de tabac, de chocolat et de violette.
Mon jugement du coup se trouve largement modifié.

Jean-Loup

 

LPV Grenoble déguste les millésimes en "6"! par Oberlin


Domaine Robert Michel, Cornas, La Geynale 2006
Robe plus claire. Nez mutique, à priori, il était plus avenant à l'ouverture. En bouche le vin est strict et austère, avec encore quelques tanins qui traînent. La bouche est un peu plus expressive avec le lardé/fumé des syrah évoluées, mais ca reste trop discret. J'aime ce genre de profil mais le vin ne s'exprime vraiment pas assez pour prendre du plaisir.
Déception
 

Cornas Domaine Robert Michel « La Geynale » 1999
Commentaire le lendemain de l’ouverture
Toujours un moment unique pour moi d’ouvrir une Geynale. Encore plus explosive que la veille où elle goûtait déjà très bien, le nez propose un mélange d’encens, d’épices douces et de fruits noirs macérées typiques de cette cuvée, si fringante encore. L’aération dans le verre développe des notes de boite à cigare, beaucoup de profondeur. Superbe.
La bouche est d’une suavité tactile de taffetas, encore juteuse, ample, elle associe son grand équilibre aux tannins fondus à une belle énergie et douceur glissante au palais. Le miracle de l’attente des vins de garde opère pleinement avec ce 99 qui s’allonge sur la finale sur les épices douces. Quel plaisir! Magnifique. Excellent.
 

Bu ici :  Le Petit Verdot - Page 5 - La Passion du Vin - Results from #120

Domaine Robert Michel, Cornas La Geynale 1991 (ou 1990)



Leteckel : Robe très jeune, sans la moindre évolution, ce qui parait incroyable.
Nez hypra sexy sur la garigue, le fumé, les épices, avec également un côté sanguin et du fruit bordel !!!
Bouche super gourmande, avec des tannins fondus. Du velours qui glisse sur le palais.
J'adore ! 

Jean-Paul B. : L'étiquette du Cornas est la démonstration qu'à Bougival, il ne faut JAMAIS mettre deux millésimes d'un même vin dans le même casier 
Bref, 90 ou 91, c'est en tout cas très très bon, avec un nez de syrah mature et une bouche de velours.
Ultra-gourmand.

Tht : Ces vins sont magnifiques après un vieillissement approprié

 Jean-Paul B. : L'étiquette du Cornas est la démonstration qu'à Bougival, il ne faut JAMAIS mettre deux millésimes d'un même vin dans le même casier 

 

Si, on peut... mais faut juste pas oublier de mettre du plasto EGALEMENT sur la collerette "millésime" !!

Cordialement,

Hervé