Domaine Les Cailloux - Châteauneuf-du-Pape 2007

Ayant lu des comptes-rendus plutôt élogieux, j'ouvre cette bouteille avec pas mal d'attente, malheureusement elle n'a pas été à la hauteur.
Le nez est sur la cerise, un peu confiturée, un peu kirshée. On a aussi du chocolat, un coté poudré et de l'olive noire.
En bouche les tanins sont fondus, Le vin est bien droit pas aussi  solaire que j'imaginais avec un coté réglisse bien marqué, des épices et un petit côté mentholé. C'est un peu strict et légèrement chaleureux. C'est quand même pas mal puissant et un peu fatigant. 
En tous cas, sur cette bouteille,  ça ne me donne pas envie d'en racheter ou alors faut encore laisser vieillir ce millésime. 

écrit:

Les amis, c'est la vie !

Domaine Les Cailloux, Châteauneuf-du-Pape, 2014

Robe grenat d'une belle profondeur.
Magnifique nez immédiat de plaisir gourmand, sur le cerise et la fraise, de superbes notes d'herbes de Provence, de foin, avec cette touche vendange entière génial qui fait scintiller le tableau.
Bouche absolument délicieuse de suavité sans lourdeur, sur une chair pleine et ronde parfaitement mobilisée par une acidité fraîche et un vrai volume qui lui donne de la tenue et du rythme.
Finale gourmande et pleine de fruit, sur des tanins imperceptibles et sans une once de vapeurs d'alcool.
La générosité faite vin ! Un vrai petit bijou !

Il est trop fort, le Denaire !
Car me faire faire du trapèze à coup de Châteauneuf en plein été, y'avait que lui pour réussir un tel exploit !
 

Déception relative avant hier soir lors d'une soirée avec les z'affreux qui en a compté beaucoup trop (de déceptions !).

Un vin avec du charme aromatique, sur des notes de fraise épicée très Reynaud.
Mais la bouche semblait manquer de fond, un peu creuse, fuyante et chaude sauvée par ses goûts agréables.
A revoir.

Nous sommes reçus par Fabrice Brunel que l'on remercie pour sa disponibilité et son accueil.
Il nous dresse le portrait du domaine :
20 ha de Chateauneuf dispersés sur l’appellation et 40 ha de côtes du Rhône.
Encépagement : Grenache, syrah, mourvèdre pour les rouges, grenache, clairette, roussanne pour les blancs
Récolte assez tôt, extraction pas trop poussée, vinification et élevage en cuves béton sauf la syrah (élevée en fûts de 1 à 2 vins)

Les Rouges

Côtes du Rhône Sommelongue 2020
Vigne sur Rasteau / Plan de Dieu, Vigne de 60 ans en gobelets, irriguée (15 juillet 15 aout), 90% grenache, + syrah ?, vendanges manuelles
Parfum incroyable, notes de rose, bouche ronde, soyeuse, trame acide, petits tannins, très légère astringence, note crayeuse, persistance fraiche et fruitée
EXC

Chateauneuf du Pape Cailloux 2018 (pas de centenaire en 2018 dont les raisins sont dans cette cuvée)
Seulement 50% de grenache sur ce millésime impacté par le mildiou, il n’est pas attendu de très longue garde

Alors si le nez du Sommelongue était impressionnant, là c’est juste extraordinaire, des fruits, des fleurs, de tout 
La bouche est accueillante, souple suave, légèrement solaire mais une fraicheur mentholée tout aussi dingue EXC++

Les blancs

Côtes du Rhône blanc Bécassonne 2020 vignes sur Bédarrides Grenache, Roussanne, Clairette 1/3 de chaque
Joli nez fruité, notes de pêche , sans être tendue ni spécialement acide, la bouche est fraiche, sur les fruit et floral, la finale longue serait un peu chaleureuse , anisée et réglissée mais ça se boit tout seul

Chateauneuf du Pape blanc 2020 Les Cailloux   80% Rousanne vinifié et élevé en cuve
Le nez est moins ouvert, moins spectaculaire mais il y a du fruit, des notes d’abricot sec
La bouche est plus riche, plus grasse, avec un très beau fruit (abricot). Il y a de l’allonge, une longueur +++ sur une amertume salivante, (iodé dit le voisin) , pas tendu non plus mais très frais, finale sur les agrumes (orange) que je qualifierais de chablisienne (parole de pdf septentrionophile)

Merci pour le retour, qui donne envie.
Serai - ce possible de connaître les tarifs?

Merci bien d'avance.

Serait - ce possible de connaître les tarifs?

35€ les chateauneuf et 10/12 les Côtes du Rhône
Voir le site du domaine pour plus de précision : 
domaine-andre-brunel...

Domaine Les Cailloux, Châteauneuf-du-Pape rouge 2007

Robe d'un grenat sensiblement évolué aux nuances mordorées.

Nez parfumé sur le cassis, les fruits à noyaux (griotte, pruneau) avec une touche de café et de fines épices. Les arômes se fondent en un magnifique bouquet.

L'attaque balance entre fermeté et douceur puis la matière délivre un beau jus, concentré, aux tannins pas complètement libérés et au fruité noir qui emplit délicieusement la bouche.
La fine acidité permet au fruité de s'étirer jusqu'à une longue finale qui laisse la bouche parfaitement fraîche.
Fond de verre sur le bâton de réglisse.

Un Châteauneuf abouti, excellent actuellement. Sur cette bouteille, j'ai eu le sentiment d'avoir affaire à un archétype de Châteauneuf classique.

L'accord avec un rôti de porc du Ventoux, purée d'ail, cocos tomatés et lard a terriblement bien fonctionné! Le vin, aiguillonné par les goûts marqués du plat, a gagné en profondeur et en allonge au cours du repas.

Jean

Domaine Les Cailloux, Châteauneuf-du-Pape rouge "cuvée centenaire" 2007

90% de vieux grenaches sur une parcelle unique, 10% de Syrah. Pas d'élevage sous bois.

Bouche de grande finesse, tannins bien fondus, même s'il n'ont sans doute jamais été accrocheurs (la dégustation du millésime 19 le confirme), belle aromatique sur le cacao et les fruits rouges comme la cerise burlat. Le vin relance très fort en milieu de bouche avec une belle vivacité, qui amène la finale sur une jolie amertume, plutôt typée orange sanguine.

Sans doute encore un gros potentiel de garde car j'ai eu la sensation que le vin ne se livrait pas complètement, l'aromatique était un peu serrée, le vin pas tout à fait délié.

TB+ en l'état

Antoine

écrit:

Domaine Les Cailloux, Châteauneuf-du-Pape rouge "cuvée centenaire" 2007
90% de vieux grenaches sur une parcelle unique, 10% de Syrah. Pas d'élevage sous bois.
 

Les syrah sont élevées sous bois me semble-t-il.

Domaine Les Cailloux, Châteauneuf-du-Pape blanc 2018

Nez ouvert sur les fruits jaunes (pêche), frais. Attaque en bouche vive et fraiche également, sur la même aromatique portée par une acidité bien présente. Puis le vin s’élargit, gagne en volume et en amertume, et développe des notes d’amandes et un peu de miel, qui étirent la finale, portée également par une sensation saline. Un peu d’alcool malgré tout au réchauffement dans le verre. Belle bouteille très abordable et gourmande actuellement. A noter qu’elle avait été « coravinée » il y a 18 mois pour cause de révision concours rvf (environ 5mL), et que ça n’a absolument pas nuit au vin.
 

Domaine André Brunel, Châteauneuf du Pape, 1998

 

Robe sur un tuilé très clair. 
Nez au bouquet d’évolution intéressant, assez sauvage par une petite pointe d’écurie qui chatouille des senteurs de goudron, de tabac avec encore du fruit, sur les fleurs séchées.
La bouche est plus pure aromatiquement, sur un très bel équilibre matière acidité qui livre un vin énergique et fondu parfaitement à point, sur de beaux goûts classiques et une finale pleine d’allonge et de générosité. 
Très bien. 

Bu  ici

CNdP, Domaine André & Lucien Brunel, Les Cailloux 2010
70% grenache - 17% mourvèdre - 10% syrah - 3% cinsault (2019), élevage 18 mois en cuve béton sauf pour les syrah qui passent en fûts de 1 ou 2 vins. Vignes de 50 ans. Terroir de galets roulés. Millésime dont le domaine est très satisfait sur leur site.

Oeil : Le disque permet d'apercevoir un début d'évolution avec un éclaircissement sur le bord qui tend sur le rubis. Larmes relativement fines.

Nez : Le vin a continué à s'ouvrir durant le dîner, initialement la mûre fut l'arôme dominant avant que la cerise et d'autres fruits rouges apportent leur écot. Une note boisée légère et un peu de cuir se sont joint à la fête au moment de se resservir du gibier.

Bouche : La texture presque sirupeuse/sucrailleuse que j'avais perçu avec une grande force dans les Beaucastel de Vinapogée n'est pas aussi évidente, même si la grenache est évidente en bouche. Cette matière repose plus sur la finesse et les arômes majoritairement primaires même si un début d'arômes tertiaires était plus présente au deuxième tour : garrigue, cuir, sang. La finale est assez longue mais stoppée assez nettes par quelques tannins qui ne sont pas encore tout à fait fondus. J'en déduis que le vin était en début de fenêtre d'évolution mais aurait encore eux de nombreuses années devant lui.

Conclusion : TB. Un vin pas tout à fait à point mais bien construit et dont la matière pas trop extraite le rendait bien agréable. A 14,5%, c'est une grenache qui ne tape pas trop. Potentiel pour être excellent voire plus à 16 ans & plus.

Accord : 4/5. Avec le gibier et la réduction de marinade, cela fonctionnait sur la texture et le volant aromatique. La sauce notamment permettait de prendre le relais des tanins en terme d'amertume de caractère.

J'avais gouté un 2016 il y a 2 ans et je l'avais trouvé deja tellement avenant !!

Vous pensez que le 2016 est dorénavant entre x2 phases et que je devrais attendre 5-10 ans pour être bien ??

impatience quand tu nous tiens....
merci pour vos retours

 

Châteauneuf du Pape blanc Les Cailloux – domaine André Brunel - 2019

La robe est dorée, de couleur plutôt soutenue, jaune paille.

Le nez est frais, porté sur les agrumes, les fruits blancs frais comme la pêche et l’abricot, des notes minérales de type pierre à fusil, c’est plutôt aérien ! Notes fumées également.

Le vin est très beau en bouche, avec beaucoup de caractère et d’expression. Bouche ronde, quelques notes lactées/beurrées, charnue, de la tension tout de même. Très belle longueur sur des notes miellées, bel équilibre entre tension et chaleur. Grand caractère ; beaucoup de personnalité.
L’ensemble est un peu austère en dégustation pure, un poil lassant, un verre suffit ; il appelle clairement la table. Belle association avec un saumon fumé, qui ne l’écrase pas du tout, puis avec un chili con carne (sans aucun piment !!).

Le lendemain et le surlendemain le vin est encore meilleur, plus harmonieux, avec de superbes notes miellées en bouche.

Question : que va donner le vin à l’évolution ?!

TB+

Antoine

Châteauneuf du Pape
André Brunel, vigneron du domaine Les Cailloux, est décédé.

 
www.terredevins.com/...

Domaine Les Cailloux, Châteauneuf-du-Pape rouge 2005

Le nez est moyennement expressif sur la cerise, un peu kirshé, du café et du sous-bois.
La bouche attaque en douceur, c'est assez velouté. Puis on a une belle fraicheur avec un joli jus mais c'est un peu monolithique sur la cerise kirshée. La finale est assez longue mais avec des tanins un peu secs. C'est un vieux chateauneuf plutôt classique, bien fait mais qui ne se démarque pas et qui manque un peu de dynamisme et de complexité. 

 Domaine Les Cailloux - Châteauneuf-du-Pape 2010

Robe pourpre sombre, encore jeune.
Le nez est bien épicé, laurier, poivré, garrigue; des fruits rouges, fraise, cerise, kirsch, petite note de chocolat noir qui apporte la gourmandise.
La bouche est pleine, charnue, superbes tanins enrobés, grosse matière mais bien équilibrée; épicé, réglisse, poivré, fruits rouges, cerise, chocolat noir; grande longueur et pas de note chaleureuse. Grand vin, grand millésime.

Note: 16,5/20. Garde: à revoir dans 2 à 3 ans.

Merci Alain, très intéressant CR. Je n'osais pas toucher à mes 2010 car sur la dernière bouteille goûtée (il y a plus ou moins deux ans) le vin m'était apparu encore très massif, carré, et relativement fermé au plan aromatique. On sentait une sacrée matière et un gros potentiel, mais qui avait besoin de se fondre et de s'assagir. Heureux de voir que cela évolue positivement.

Mathieu

Bonjour Mathieu,

La première bouteille dégustée en 2018 m'avait moyennement emballée, beaucoup trop jeune.
Celle-ci, était bien plus accessible mais le vin a un gros potentiel de vieillissement, donc pas de précipitation.

 

Châteauneuf-du-Pape
Domaine André Brunel, l’élégance sudiste par la fraîcheur.

www.terredevins.com/...

Domaine Les Cailloux - Châteauneuf-du-Pape 2007 (rouge)
Je pourrais faire un copié collé du compte-rendu de la  bouteille  dégustée il y a un peu plus d’un an.
Superbe robe avec peu de reflets d’évolution.
Grand nez typé de Châteauneuf-du-Pape avec ses accents de fruits mûrs, l’orange sanguine poudré de quelques touches d’épices.
En bouche, c’est toujours ce vin charnu et suave avec une fraîcheur étonnante eu égard au millésime.
On croque dans ce panier de fruits bien mûrs mâtinés de quelques épices.
Grande finale pleine de fraîcheur et de saveurs.
Un superbe Châteauneuf-du-Pape, classique, qui grandit avec l’âge et gagne en harmonie !

Note : 17/20.
Garde : on peut le boire sur les cinq prochaines années … sans crainte.

Olivier

Chateauneuf-du-pape rouge 2001 -  Les Cailloux (André Brunel)

Un grand classique de chateauneuf sur un grand millésime. Le résultat est à la hauteur. Un millésime qui s'est toujours bien goûté.
Encore jeune, il impressionne par ses arômes sans excès de maturité et sa bouche veloutée. Équilibre magistral. Ça se boit tout seul.
Excellent.

Châteauneuf-du-Pape
Le domaine André Brunel inaugure son chai de vinification.

www.terredevins.com/...
 

Bu ici

Chateauneuf du Pape domaine André Brunel “Les Cailloux” cuvée Centenaire 1990

Ce vin avait la lourde tâche de passer après le Chambertin 1999 Rousseau. Je l’ai choisi car des avis que j’ai pu lire sur internet, cette cuvée était qualifiée de “grenache bourguignonne”.

Nez sur la framboise écrasée. Seule la garrigue en arrière plan nous éloigne de la Bourgogne.

La bouche est magnifique de pureté et de délicatesse. Le jus est doux, avec cette framboise aussi dominante qu’éclatante, saupoudrée par des arômes de thym et de lavande. Le jus déroule tranquillement, des arômes de cuir et de sucre roux naissent, mais toujours de façon éthérée. Encore une fois, sans le coté tout en finesse des herbes provençales, on irait droit sur Vosne, avec pourquoi pas un beau Romanée Saint Vivant? Le vin travaille plus sur la largeur alors que le Chambertin est profond, mais le Chateauneuf est tout aussi noble, une vraie force tranquille. Grande finale féminine, un mélange exquis de figue, de fleurs et de lavande qui s’étirent dans une longueur majestueuse.

Grand Chateauneuf, grand vin tout simplement, qui est à la fois dense et aérien.

Domaine André Brunel - Châteauneuf du Pape Les Cailloux 2012

CR à J+1.
Robe rouge carmin, soutenue, légère évolution.
Le nez comme la bouche sont assez discrets et ne s'expriment pas clairement.
Un nez épicé, poivré, une touche de réglisse, des fruits rouges discrets d'ou ressort la cerise, petite note d'herbes aromatiques.
On retrouve en bouche la réglisse dans les épices, une légère amertume, de la prune, de la cerise, de la figue. La matière est là mais parait en retrait, des petits tanins mûrs mais présents, une pointe chaleureuse sur une fin de bouche moyenne.
Je pense que le vin est dans une mauvaise phase et qu'il faut l'attendre.

Note : 16/20 (en raison du potentiel). Garde : à revoir dans 2 à 3 ans.

Domaine André Brunel - Châteauneuf du Pape Les Cailloux 2016
Nez : infusion de fruits rouges/rose/épices, léger guarrique.braucoup de finesse et d'élégance
Fleurs fanées/séchées 
Bouche : attaque d'une immense suavité, fin, aérien, et avec beaucoup de profondeur. Ça coule en bouche avec une évidence folle. 
Le vin est d'une élégance infinie, immense longueur et un équilibre superbe.
Tout est parfaitement a sa place

Magnifique vin, coup de coeur absolu
18/20

Bu à cette occasion en foire aux vins

Domaine André Brunel Châteauneuf-du-Pape Les Cailloux 2021
La robe est rubis. Le nez est discret sur de légers arômes de quetsches en cours de fermentation, et heureusement que le nez est très discret sur ces arômes désagréables.
En bouche, ce vin est formidable: il dégage de la pleinitude et est doté d'un parfait équilibre.
Excellent, en espérant qu'à l'aération (je n'ai pas eu le temps de l'opérer) des arômes plus nobles se développeront, tellement l'enveloppe est merveilleuse. 
Coup de coeur si le nez se met à l'avenant de la bouche.

Luc

Les No-Raw chez Legui


Domaine Les Cailloux, Châteauneuf-du-Pape, 2010



Oliv
Robe profonde à peine éclaircie sur le disque.
Nez épicé, sur la grenade, des notes un peu fruit rouges un peu surmurs, gastriques et épicées.
Bouche encore très jeune, trop, sur une densité carrée d'une grande intensité, avec une bonne trame acide.
Goûts de fruits noirs épicés entre deux âges.
Finale puissante, concentrée, sur des tanins encore à fondre
A attendre encore longtemps pour détendre cet ensemble encore massif en l'état.

JL75
Robe rouge sombre.
Nez sur les fruits noirs et les épices.
Bouche ultra puissante, le vin est concentré, on sent l'alcool et les tanins sont bien agressifs.
A revoir dans 10 ans si ça se calme un peu.

Denaire
Le nez porte sur les fruits rouges très mûrs (fraise, figue), les épices douces, un trait de vert, mais aussi un alcool sensible. La bouche est massive, dense, aux tanins bien présents, encore anguleux. Un vin énorme, brut de décoffrage, c’est trop pour l’instant. A voir si tout cela peut s’affiner avec une longue garde. Sur la base des quelques vieux Cailloux bus, on a envie d’y croire. Et en même temps ce millésime a toujours été comme ça, carré et un peu rustique. Bon. Qui vivra verra.

Pop
Nez sur les fruits rouges, en bouche l’alcool domine, les tannins sont assez asséchants et donnent un vin trop alcooleux.
Bien -