(:DPas de soucis je comprend ce que c'est Thierry!

Par contre j'ai 2 quilles d'ampodium 2009 et impossible d'avoir des infos sur la garde si certains en ont trouvé je suis preneur?

Merci d'avance

Bonsoir, Edouard.

Merci pour ta compréhension

Bien cordialement,
Thierry Debaisieux

J'ai l'infos venant du vigneron pour un ampodium 2009, ouverture 2015 /2025 max

Domaine René Rostaing (A. Dervieux-Thaize) - Côte-Rôtie La Viallière 1995
Robe peu évoluée avec quelques reflets orangés sur le disque.
Nez un peu fermé au début qui se présente sur du cuir, fruit noir.
Avec l’aération, il s'ouvre comme un fleur et dévoile de la mûre noire, humus, viande, bacon, fines notes de poivre, fruits secs, cacao et une pointe de violette. Le vin s'affine de plus en plus et les arômes se laissent s'apprivoiser. Il y a à la fois un côté monolithique dans le cœur et des fines notes (poivre, violette, bacon) qui tournent autour.
En bouche le vin est assez puissant, assez riche avec un fruit mûr en attaque. L'acidité le rehausse et les tannins prennent place. Ils sont enrobés dans la matière, très fins et polis. Sensation de fluidité. Très belle finale nette et fraîche d'une très bonne longueur.
Très bien +.

L'accord sur les filets de Tétras Lyre /risotto aux giroles avec sa sauce réduite au vin et myrtille était lui exceptionnel.

Les Lézardes 2007 Domaine René Rostaing

Hier, une petite envie de découvrir cette bouteille. Que dire sinon que c'est un vin magnifique. Simple et magnifique. Les arômes sont complexes malgré tout, poivré,fruit noir, dense mais léger... c'est vraiment un vin exemplaire et d'une buvabilité irréprochable, l'archétype de ce que je recherche. ±80/100.

Ouverte hier matin pour le soir. Je pensais faire un infanticide mais non. Couleur grenat clair, arômes de violettes à profusion, pointe de framboise : nez superbe et typique, bouche veloutée en rapport. Très bon équilibre du vin, sans sensation de lourdeur ou d'alcool. Seule la finale "retenue" et les tanins signalent que le vin n'est pas encore à son optimum.

Si le début de la bouteille a servi une côte à l'os, le vin nous a époustouflé sur des ganaches : je ne pensais pas que l'accord fonctionnerait mieux avec le chocolat. D'ailleurs, la bouteille s'est vidée ainsi, imperceptiblement.

François

Rostaing, Côte Rôtie Côte Blonde 2009

C'est trop tôt mais j'ai voulu essayer.

La couleur est très foncée, plutôt grenat aux reflets violines. Le nez est puissant, très cassis. Un peu de senteurs provençales et de poivre blanc. Peu de notes d'élevage.

En bouche, une première impression sur la puissance. Le vin parait ample, large aux saveurs très fruitées, encore sur le cassis, le fruit noir. Finale sur des tannins un peu serrés.
Servi un peu froid au départ, la chaleur ambiante va ouvrir et arrondir progressivement le vin. La finale devient moelleuse mais manque de peps faute à une acidité trop peu présente.

A l'aveugle (ce qui n'était pas le cas) je ne serais pas parti sur une Côte Rotie, j'aurais certainement mis un billet plus au sud. Je n'ai pas trouvé la touche de vendange entière, peut être à cause du millésime.

Une bonne bouteille incontestablement, qui saute une classe en comparaison à Ampodium bue il ya quelques mois et qui m'avait un peu déçu. 16/20.

Je n'ai pas trouvé la touche de vendange entière, peut être à cause du millésime.

il faudra attendre le vieillissement pour ça, comme tous les millésimes solaires.

un petit clin d'oeil: j'ai rencontré ce soir chez Daniel quelqu'un qui était fidèle lecteur de LPV, qui avait une grosse connaissance de nombre de vignerons et une belle aptitude à analyser le vin.
Il m'a dit avoir un peu forcé la porte de Rostaing pour obtenir quelques flacons et adorer les vins qui lui ont été cédés

Salut,

J'ai ouvert cet été une bouteille de Côte-Rôtie "Côte Bonde" 2004. et je n'ai pas été déçu...
Belle couleur sombre et profonde.
Nez intense et opulent de fumé, de fruits noirs, d'épices (muscade) et de viande... superbe
Bouche puissante et parfaitement équilibré avec du jus.
Belle Longueur.
17/20
Malgrés le niveau millésime (moyen), le talent de ce grand vigneron a fait la difference.
Au cours de ce dîner, d'autres belles bouteilles ont été bues (dominique Laurent NST 1cru 1996, Clos de Lambray 1999, Barbaresco Cerreto 1978, Corton Renarde Michel Gaunoux 1998) et la Côte Blonde est passé devant tous les autres... Dominique Laurent au même niveau).
A +
Benoît

Certes René Rostaing est un vigneron qui travaille très bien, mais ce qui peut faire la différence c'est également un terroire d'exception!

Côte-Rotie "La Landonne" 2000 - René Rostaing

Ouverte pour mon anniversaire en compagnie de Léovile Barton 1988, Jacquesson "Ay Vauzelle Terme" 2002 et un porto Niepoort "vintage 2000". Rostaing est avec Gangloff et Gérin, un de mes vignerons préféré en Côte-Rotie. Le niveau est parfait, le bouchon imbibé sur 0,5cm. Le nez est sur les fruits noirs, du cassis bien mûr, c'est vraiment intense. En bouche le vin prend une tout autre dimension, sur le cassis, le lardon fumé. On est plus sur le registre aérien, ciselé, avec un peu de puissance quand même mais pas ce que j'attendais au final, ce qui me fait dire que ce vin a passé son apogée. La bouche est parfaitement équilibrée mais ce manque de puissance me dérange un peu. Peut-être l'effet millésime...Ce vin a aussi été servi un peu trop frais je pense.

Pour info, le Léoville-Barton 1988 l'a surclassé.

Bref, cela reste une bonne Côte-Rotie néanmoins.

15,5/20

Rostaing Côte-Rotie Côte Blonde 1995

Une grande bouteille qui aura montré une très grande variété et complexité aromatique au cours de la journée.

Je l'ai ouverte à midi, pour l'épauler. Au nez le vin est d'abord serré, fumé, sur le lard, le bacon. En bouche, le fruit (cassis) est déjà présent, pas très intense mais d'une grande profondeur. Le vin se montre assez sec et très persistent.

Le soir on constate que l'aération douce a fait du bien au vin. Le vin est d'un beau fruité au nez et en bouche, entre les fruits noirs et le sirop de violette mais toujours accompagné de touches fumées minérales et de notes poivrées. Chaque gorgée est différente sur le plan aromatique ! Si l'acidité et les tannins sont bien intégrés, le vin se montre néanmoins ferme et tendu, finalement encore assez jeune. La profondeur du fruit et la persistence sont exceptionnelles.

Un grand vin qui me rappelle beaucoup les vins du Barolo par son intensité aromatique et sa fermeté.

Ralf

Rostaing Côte-Rôtie 2007

[size=x-small]désolé d'accaparer la rubrique mais j'ai quand même laissé passer presque de deux semaines [/size]

Après la grandeur et la maturité de la Côte Blonde 1995, un "petit jeune", la cuvée classique "pre-Ampodium" en 2007, peu commentée ici (à part dans la grande dégustation belge des 2007 ).

Le nez est très beau, avec des fleurs, des fruits rouges, le trait vert de la vendange entière, quelques notes poivrées et fumées - on pourrait prendre le vin pour un beau Bourgogne, de chez Chanson, par exemple.
En bouche le vin se montre encore un peu jeune ; fruité (petits fruits rouges acidulés - entre Bourgogne et Pignan) mais encore plutôt tendu et serré en dégustation pure (mais sur une viande rouge, cela devrait aller). Belle longueur et persistance. TB.

Ralf

MAJ: le lendemain (1/3 de la bouteille) le vin se montre plus épais, moins vif, plus marqué par les fruits noirs et le poivre - plus typé. En tout cas, je n'ai pas de crainte pour le vieillissement.

La remontée de cette rubrique me permet de signaler que j'ai servi samedi dernier:
La Landonne et Côte Blonde 2000 de Rostaing.
Ce n'est pas la première fois que je sers face à face ces deux cuvées.
Une nouvelle fois, elle ont enchanté mes invités: deux bouteilles remarquables pour ce millésime qui n'est pas un des plus grands en Côte-Rôtie.
La Landonne charmait par son élégance un peu stricte et sa belle finale.
La Côte Blonde était plus séduisante avec des notes de fruits qui s'imposaient au nez comme en bouche.

Est ce que quelqu'un connait les tarifs de chez ROSTAING et peut me dire si des Cotes Blonde 2004 à 68€ ca vaut le coup, sachant que je ne suis pas dans l'obligation de prendre Ampodium pour avoir les Cotes Blonde à ce prix ?

Alex,

Même sans avoir les tarifs de Rostaing, ça me semble être un très bon prix pour cette bouteille !
Même s'il faut prendre Ampodium, c'est pas si terrible comme obligation, ça doit pouvoir se boire facilement ...

Si ça peut t'aider Alex, j'ai payé mes 2007 au domaine 48 €. et comme 2004 est inferieur (selon moi) a 2007 en rhone nord je ne mettrais pas 68 € ds la 2004.

amicalement

Seb.

seb39 écrivait:

---

> Si ça peut t'aider Alex, j'ai payé mes 2007 au
> domaine 48 €. et comme 2004 est inferieur (selon
> moi) a 2007 en rhone nord je ne mettrais pas 68 €
> ds la 2004.
>
> amicalement
>
> Seb.

48€ la " Cote Blonde" au domaine ??? T'es sur de toi là ??
A ce prix la, je t'en prends deux douzaines...

Alex,

Même s'il faut prendre Ampodium, c'est pas si terrible comme obligation, ça doit pouvoir se boire facilement ...

Guillaume,

C'est clair, y a pire comme punition mais ca me dérange un peut de devoir prendre des vins pour lesquels je n'étais pas venu à la base...

Alex,

Certes, mais si l'on veut pouvoir faire plaisir à tout le monde, il faut répartir au mieux les ventes !
Quand on va au domaine MACLE par exemple, si tu veux 3 château-châlon, tu dois prendre 3 côtes du jura ... je ne connais pas de clients qui s'en plaignent ...

Sympa pour le caviste... et il les fait à combien les Ampodium-cuvée de base?
Est-ce que la différence de prix entre les deux cuvées est justifié proportionnellement à l'augmentation de l'émotion perçue en dégustant la bouteille?
A méditer....

oulababa écrivait:

---

> Sympa pour le caviste... et il les fait à combien
> les Ampodium-cuvée de base?
> Est-ce que la différence de prix entre les deux
> cuvées est justifié proportionnellement à
> l'augmentation de l'émotion perçue en dégustant la
> bouteille?
> A méditer....

Il n'y a pas cette cuvée en 2004, donc pas de tarif correspondant.

Alex,

cuvée qui n'avait pas de nom en 2004 d'ailleurs.

Après une petite nuit de sommeil, me voilà fin prêt (même si ma mémoire me fait défaut et que j'ai dû oublier un vin du début de la dégustation) .

Puech noble rouge 2009 : si si, c'est bien un Languedoc. Mais aucune sensation d'alcool, on ne sent pas l'élevage, une belle matière, des fruits rouges. On sent la syrah du sud mais le vin garde sa fraicheur et de la finesse. Simple et bon. Et comme c'est un vin de René Rostaing, et bien la finale est porté par la minéralité. Une sorte de fil conducteur chez lui.

Ampodium 2009 : une côte rôtie, avec ses arômes caractéristiques de fruits noirs compotés, de poivre blanc. Un beau vin, avec un beau toucher de tannins, une belle finale, mais je ne sais pas, j'ai du mal avec les 2009, en rhône nord comme en bourgogne. C'est très bon certes, c'est gourmand, on croque le fruit, l'équilibre est là, mais j'ai plus de difficulté à ressentir le terroir. Cela étant, je fais la fine bouche...

Cuvée des Terroirs 2008 : Et bien, c'est comme qui dirait la même chose, mais en différent. Le millésime est moins solaire et ça change tout. Plus de finesse, un meilleur équilibre, une minéralité plus présente. Des arômes floraux que je n'ai pas ressenti sur le 2009. A oublier quelques années car le vin semble un peu fermé...

Sur fûts, avec mélange "à l'oeil".

Ampodium 2011 : étonnant. Le vin n'a pas terminé son élevage mais il semble quasi prêt. Tout est déjà en place, sans avoir besoin de collage ni de rien du tout. Cela promet. Pas de sensation alcooleuse Tout ce qui peut caractériser une côte rôtie est perceptible : le cassis, la mûre compotée, le poivre, des tanins que j'ai du mal à décrire car il y a de la matière, beaucoup de tannins, mais voila, le vin est d'un équilibre... A priori, la mise en bouteille pourrait intervenir plus tôt que d'habitude.

La Landonne 2011 : Idem, avec une structure plus imposante, une minéralité plus marquée et qui porte la longueur en finale, avec une sensation métallique et des fruits noirs. Et la finale, elle dure... elle dure (comme disait la pub quand j'étais jeune).

La Blonde 2011 : Si je dis "idem, en version plus", ça serait court... mais ce serait juste. Les vins ne sont pas maquillés et le terroir ressort parfaitement sur ce millésime. Toujours la même minéralité, encore une matière importante, mais qui se ressent moins car ce sont des "micro-tannins" (copyright ). Il y a une sorte de légèreté dans ce vin : on sent plus de matière que dans la Landonne, mais plus fine, avec un équilibre encore plus abouti tout en étant naturel. Je ne sais pas si sur d'autres millésimes les tannins sont aussi fins à ce stade, mais quand même.

Pour résumer, je dirais que 2011 s'annonce comme un beau millésime sur Ampuis, avec du soleil mais pas trop, le terroir peut s'afficher sans être occulter par les fruits trop mûrs. La minéralité porte le vin, sans être agressive, équilibrant les vins (le vin semble déjà en place alors qu'il lui resterait en théorie autour de 6-7 mois de vieillissement supplémentaire pour la CR). Un remake de 1999/2000 que ces 2010/2011 ?

La Landonne 2000 : à l'aveugle... enfin, surtout le millésime car bon, étant dans un domaine, on peut se douter qu'il s'agit d'un de leurs vins. La matière importante élimine la côte rôtie et les Lézardes. La sensation métallique en finale et les tannins fermes font plus penser à la Landonne qu'à la Blonde. Reste que parfois, l'effet millésime peut influencer sur ces paramètres et là, le vin est assez suave, tout en légèreté, comme la Blonde justement. Comme quoi le vieillissement est vraiment profitable à ces vins.

A l'ouverture de la bouteille, au vu de la poussière recouvrant le flacon, je suis assez surpris par le fait que la syrah ne dégage pas d'odeur animale.
Au nez, on est sur les fougères et les épices, mais bien vite, avec l'aération, les fruits noirs apparaissent. En bouche, on trouve les arômes de chaque groupe qui jouent alternativement leur partition, avec en musique de fond la minéralité apportant la fraicheur et portant la finale très longtemps. D'ailleurs, plusieurs minutes après, le goût de métal restait seul dans ma bouche. Un vin encore bien jeune, se révélant à l'aération, comme s'il n'avait pas totalement terminé sa période de fermure. D'un côté les arômes tertiaires qui pointent leur nez, les secondaires qui auraient bien voulu occuper le terrain seul et les arômes primaires qui font de la résistance ! Je comprends Thierry et les autres qui apprécient ce vin. Très intéressant.

C'est ma bouteille du WE (même si la CR 1999 de Jamet présentait également un très grand plaisir gustatif). Reste que je ne sais pas, je dois être bon prince et favoriser celui qui a eu le millésime le moins facile (c'est de la discrimination positive ). Non, en fait, à l'ouverture, le Jamet aurait peut être remporté le match, mais là, il était ouvert depuis suffisamment de temps pour que le petit jeu des arômes à l'ouverture de la bouteille soit plus discret. Je n'en ai d'ailleurs pas tout à fait le même souvenir que Nilgiri, passé le matin. Après, il faut reconnaitre que pour un vin de 13 ans qui a subit un "carafage ménagé" sur plus de 24 H... il était magnifique. Après, qui peut dire s'il était meilleur la veille que le lendemain, si l'aération lui a profité ou non ?

De retour chez moi, ouverture d'une Lézarde 2010 pour fêter le retour sans encombre à la maison : une vraie côte rotie... Je ne connais pas la cuvée depuis longtemps, mais celle là, miam. Un équilibre digne d'une CR, les arômes de fruits noirs, les épices, la minéralité. Tout y est, avec certes un peu moins de matière. Mérite de vieillir. Me fait un peu penser la cuvée Fructus Voluptuas qui a certes des tannins plus "velours", mais il ne faut pas perdre de vue les tarifs.

François

Bocanegra écrivait:

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> Côte-Rotie "La Landonne" 2000 - René Rostaing
>
> Ouverte pour mon anniversaire en compagnie de
> Léovile Barton 1988, Jacquesson "Ay Vauzelle
> Terme" 2002 et un porto Niepoort "vintage 2000".
> Rostaing est avec Gangloff et Gérin, un de mes
> vignerons préféré en Côte-Rotie. Le niveau est
> parfait, le bouchon imbibé sur 0,5cm. Le nez est
> sur les fruits noirs, du cassis bien mûr, c'est
> vraiment intense. En bouche le vin prend une tout
> autre dimension, sur le cassis, le lardon fumé. On
> est plus sur le registre aérien, ciselé, avec un
> peu de puissance quand même mais pas ce que
> j'attendais au final, ce qui me fait dire que ce
> vin a passé son apogée. La bouche est parfaitement
> équilibrée mais ce manque de puissance me dérange
> un peu. Peut-être l'effet millésime...Ce vin a
> aussi été servi un peu trop frais je pense.
>
> Pour info, le Léoville-Barton 1988 l'a surclassé.
>
> Bref, cela reste une bonne Côte-Rotie néanmoins.
>
> 15,5/20

Bu à nouveau cette même bouteille pour les fêtes de Noël. Je ne ferais pas de nouveau commentaire car les notes que j'ai pris cette fois ressemblaient de très près aux dernières que j'avais laissé sur ce même vin. Un vin très "léger", très fin. Peut-être que c'est le style du domaine après tout. Il me reste des Ampodium 2009, des Landonne 2009 et des Côte Blonde 2010. J'ouvrirai une Ampodium 2009 bientôt pour me faire une véritable idée.

Anthony.

Bonjour,

Visite de la cave mercredi apres midi:

Tres bon acceuil de Mr Rostaing!

Cr très simple comme pour mes CR chez guigal du matin, comme chez Guigal,les vins sont servis a température de cave donc un peu frais pour les rouges.

Les sainzelles 2011 est très fruité, c'est très bon!
Comme chez Guigal, le Condrieu du même millésime est plus fermé et moins agréable a boire dans l'immédiat
Ampodium 2008, Mr Rostaing ne nous indique pas le millésime que je devine a la dégustation, ce n'est quand même pas mauvais pour un millésime si difficile.
Ampodium 2009, on est certes un cran au dessus du 2008 mais c'est moins abordable actuellement que ce dernier;
La landonne 2009: Grand vin même si bu bien trop jeune! D'apres Mr Rostaing on est 4 crans au dessus d'Ampodium (pour un prix de moins du double) et est a boire dans 5/7 ans minimum.
La landonne 2005: commence a bien se boire, mon préféré!
Nous n'avons pas eu la chance de goûté la blonde mais en même temps je n'ai pas demandé.
J'ai pris quelques sainzelles, Ampodium et Landonne 2010.

Cordialement,
Lucas

Ampodium 2008, Mr Rostaing ne nous indique pas le millésime que je devine a la dégustation, ce n'est quand même pas mauvais pour un millésime si difficile.

cette cuvée ne se nommait pas ainsi en 08, c'etait la "cuvée des terroirs", en effet, landonne et cote blonde n'ayant pas été sorti.

"cette cuvée ne se nommait pas ainsi en 08, c'etait la "cuvée des terroirs", en effet, landonne et cote blonde n'ayant pas été sorti "

Pour votre info, suite à la demande d'un de ses importateurs outre-atlantique, René Rostaing a fini par sortir des Landonne 08....Introuvable sur le marché européen !

R.R a même sorti un CR classique en n'incorporant ni la Landonne ni la Cote Blonde !

merci de cette info. mais la dénomination ampodium, c'est à compter du 09