La robe est d'un jaune doré très brillant avec une belle viscosité. Le nez est sublime de fruits confits, de coing et d'abricot. En bouche c'est un récital, ça glisse tout seul et explose en même temps. L'attaque est vive, la bouche est douce et le tout est soutenu par une superbe acidité. On retrouve l'abricot et le coing, avec des notes miellées. Le vin s'attarde en bouche comme s'il ne voulait pas me quitter. Miam, slurp, wouawh.
Etant un afficionado des liquoreux, je ne peux que m'extasier devant ce vin. On sent un sucre résiduel important, mais aucune lourdeur. Une vraie gourmandise que j'ai pu apprécier avec ma femme sur trois jours. Je pense qu'avec quelques années de plus, la complexité aidant, le vin pourra procurer des moments magiques à ceux qui le dégusteront.
Un vin qui se boit merveilleusement bien tout seul.
Bu le soir du 31 une bouteille de Larme de Décembre 2007. La bouteille a été finie hier soir.
La robe du vin est jaune dorée, légèrement ambrée. Le nez est puissant, sur le coing, l'abricot avec une légère note safranée. La bouche est liquoreuse à souhait, avec une acidité bienvenue qui permet un bel équilibre. On retrouve le coing et l'abricot, mais aussi de la vanille et du miel. Très longue finale.
Une très belle bouteille liquoreuse à déguster un soir au coin du feu.
Bu ce weekend une bouteille de Larme de Décembre 2007 de Thierry Constantin.
La robe du vin est magnifique, d'un or limpide tirant sur l'ambré, la viscosité est superbe. Le nez est intense, sur l'abricot confit et un léger volatile à l'agitation. On pourrait reprocher au vin son manque de complexité, mais il est encore très jeune. La bouche est dense, avec une superbe liqueur. Elle est d'une sapidité impressionnante, avec de l'abricot sec. Une belle acidité vient balancer le sucre résiduel important. La finale est d'une grande longueur.
Bu hier soir une bouteille de Larme de Décembre 2006 de Thierry Constantin.
Le vin se présente sous un aspect jaune doré et légèrement ambré. Le nez, d'intensité forte, est sur les fruits exotiques et une pointe de miel. La bouche est très liquoreuse, mais l'acidité vient apporter un bel équilibre. Un des convives trouvera un peu trop de sucre résiduel pour lui ; cela ne l'empêchat pas de reprendre un verre . On reste sur les fruits exotiques et le vin s'attarde de longues secondes en bouche.
Claudius
Nez assez typique sur le ventre de lièvre fin.
Beau fruit en bouche, ce n'est heureusement pas du tout le style hyper-boisé / fruit XXL ...
élégant, fuselé, tout en allonge et + sur la finesse que sur la force brute, avec une belle concentration de goûts et de saveurs, prêt à boire
belle Syrah
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