comment se fait t'il qu'au restaurant j'ai decouvert un primitivo que je ne connaissais pas (le primitivo torcicoda tormaresca) que j'ai trouvé délicieux un peu l'archétype pour moi de ce vin des pouilles, délicieusement corsé, et que en le buvant chez moi j'ai été déçu car je n'ai pas retrouvé le même plaisir.
Tu es tout simplement victime d'un syndrome très classique chez l'amateur en retour de vacances.
On peut le résumer ainsi : l'effet Djellaba, c'est beau là-bas !