---

---

Chardonnay 2005 Sbragia limited release
Au nez, le pain grillé issu de la vinification sous bois l’emporte largement sur l’agrume. Nez distingué. Attaque souple, petite sucrosité en milieu de bouche. Finale longue sur la vanille. Vin très bien travaillé, très boisé, mais qui m’a séduit. 16

Merlot 2003 Bancroft Ranch
Rouge rubis brillant, profond, d’un bel effet. Nez fin, épicé, alcooleux mais racé. 1 peu boisé. Attaque souple, tanins très bien fondus, fin de bouche ample sur le café, et le bois. 16

Cabernet Sauvignon 2003 Bancroft Ranch vineyard
Nez un peu effacé, fruits rouges. Bouche ronde, soyeuse, mais manquant d’ampleur. Finale moyenne. On apprécie le côté soyeux de la bouche de ce vin bien fait mais pas exceptionnel. 15

Cabernet Sauvignon 2002 Private Reserve
Ici le nez est fermé, mais d’une très grande classe, gros potentiel. Boisé vanillé et fruits rouges en retrait. La bouche est fameuse : après une attaque souple une très belle amertume prend le relai et va tenir le vin longtemps en finale. Ce vin ne fait pas dans la dentelle, c’est une bête de compétition, un monstre, il a une réserve énorme, à revoir dans plusieurs années. 17

Californie : Chardonnay Napa Valley - Beringer Private Reserve 1994 : moyenne de 15/20

Mais c'était il y a fort longtemps.

Chardonnay 2005 BERINGER

Bouteille bue hier soir au restaurant.
La robe est dorée.
La nez expressif est à dominante pamplemousse rose , puis quelques notes grillées.
L'attaque en bouche surprend par sa rondeur , son fruit intense toujours sur le pamplemousse ,un peu de SR supportables , quelques notes finement boisées et une finale donnant une impression de tanins sur la langue. Longueur moyenne.
Un vin manquant un peu de complexité , d'acidité ( le réchauffement dans le verre lui enlevait progressivement du tonus ) mais bien agréable tout de même par son fruit très mûr........ et son tarif sur table.

Beringer Old Zinfandel 2006

Mes impressions:
Robe: grenat à reflets violets
Nez: essentiellement fruité, surtout du coté des fruits noirs
Bouche: un caractère suave bien affirmé: les tannins sont fondus; cependant, une touche alcoolique qui ressort liée à au taux de 14,5° et qui entraîne un léger déséquilibre. Est-ce le taux d'alcool qui permet d'en faire un vin facile et agréable? Je me pose la question.

Luc

Beringer - Cabernet Sauvignon 2008

Bouteille dégustée à l'aveugle.
Robe pourpre brillante moyennement profonde.
Le nez a une intensité moyenne sur la cerise, la confiture de fraise. On retrouve des arômes végétaux, de la vanille et de la crème pâtissière. Le nez est plat, sans relief et ces arômes de confiture et de crème sont pas vraiment terribles.
En bouche le vin est plutôt léger, légèrement doux (off-dry) avec des tannins peu présents mais verts et agréssifs. On va retrouver ces arômes de confiture de fraise, crème pâtissière. Le vin est court et finit abruptement. Bref c'est vraiment pas terrible et fait pour ceux qui n'aiment pas le vin.

Je n'ai pas du tout réussi à retrouver le cépage. Le seul conseil que je peux recommander est que si vous voyez ce vin, ne le prenez pas.

bertou écrit: Le seul conseil que je peux recommander est que si vous voyez ce vin, ne le prenez pas.

Un peu court et lapidaire comme jugement !
Faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain.

La boutique en ligne de beringer propose 105 références de cabernet sauvignon
Voir ici

Et au prix de certaines, on peut espérer un peu de bon.

J'ai bu, il y a bien longtemps de cela, un vin de ce domaine.
Hélas, je ne pourrai pas planter de CR pour une fois, car je ne me rappelle plus de quel cru il s'agissait, ni du millésime...

Ce post pour dire néanmoins que j'ai le souvenir d'avoir vraiment apprécié!

A priori, ce devait être le 2003 Beringer Private Reserve Cabernet Sauvignon.

Eric.

Attention !!!
Ne me faîtes pas dire ce que je n'ai pas dit. Je n'ai parlé uniquement de Beringer - Cabernet Sauvignon 2008 et uniquement de ce vin. Ce vin est le plus simple de la gamme, ce n'est ni un Founder's Estate, ni un Stone Cellars qui sont aussi des vins de base de ce géant vinicole. Je n'ai jamais parlé des autres cuvées. Comment voulez-vous que je critique les autres vins sans les avoir goûtés ?
Bien entendu vu le prix de certaines des autres cuvées, je suppose que certains vins sont excellents.

PS : Ce vin n'est pas recensé sur le site internet du groupe.

Coïncidence, hier je viens de commander à un caviste un Private Reserve 2005. Juste pour ceux qui ne connaissent pas ce fameux domaine californien :

Beringer c’est le plus ancien domaine de la Napa Valley encore en activité. Il travaille sur plus 800 hectares sur Napa Valley et sur plus de 240 sur Knight Valley, d’ailleurs Bertrand il serait intéressant que tu nous dises si c’est leur cabernet sauvignon de la Napa ou de la Knight que tu as bu. Le point fort de ce domaine historique c’est leur Cabernet Sauvignon Private Reserve issu des 102 hectares d’origine du domaine acquis en 1875 par Jacob Beringer. La production de cette cuvée est de l’ordre de 120.000 bouteilles par millésime (ce n’est pas peu) mais malgré ce volume assez important elle est considéré comme une valeur sure du marché.

Att.

Fabien

Difficile de connaître la provenance car il est indiqué sur l'étiquette uniquement Californian wine. Cela ne nous arrange pas beaucoup.
Une fois la bouteille découverte je pensais à un vin issu de Central Valley vu la piètre qualité. Cette région représente pas loin des 3/4 de la production californienne quand même. Et la grande majorité est étiquetée sous Californian wine.
Rien du tout sur l'étiquette comme je l'ai précisé. Seul Beringer, Cabernet Sauvignon 2008. Et sur la contre-étiquette un peu de bla-bla sur le producteur et au fond Californian wine.
Cette bouteille coûte environ 13 € en Norvège. Il doit être autour de 4 à 5 € en UE. Sinon, le prix ex-cellar doit tourner autour de 2€ environ.

Le problème est que la bouteille a été jetée et qu'il me faudrait commander cette bouteille pour voir à nouveau l'étiquette. Et j'avoue que je n'ai pas du tout envie de le faire.

"Coïncidence, hier je viens de commander à un caviste un Private Reserve 2005"

Si c'est bien le cru que j'avais bu, et que le 2005 vaut au moins le 2003 en qualité, je m'en lèche les babines.
Et je t'envie, Fabien

Eric.

Bertrand, j’imagine que la cuvée (elle s’appelle peut être California Line) que tu as bue est issue du négoce et qu’effectivement on est dans un niveau peu élevé de qualité issu de la central valley.

Eric, je t’inviterais bien á la boire avec moi, mais tu résides un peu loin de chez moi. La Private Reserve est tout de même considéré comme l’un des grands vins de Californie par la plupart des critiques. Pour la petite histoire la Private Reserve 2005 est marquée par le retour dans l’assemblage de la parcelle « Bancroft Ranch » qui est le cœur de cette cuvée. Cette parcelle avait été replantée dans le milieu des années 90.

Att.

Fabien.

Beringer Private Reserve Cabernet Sauvignon 2005 Napa Valley 14,5%

A l’ouverture le nez est plutôt discret, mais rapidement à l’aération, le nez se déploie avec pureté et équilibre entre le fruit, le cèdre, le tabac, et la vanille, ensuite après plusieurs heures un coté eucalyptus se développe, ce qui fait un peu perdre le coté élégant et retenue du nez. La bouche quant à elle, est concentrée, structurée par des beaux tanins, avec une finale puissante et persistance. C’est vraiment superbe en bouche, et je suis impressionné par une magnifique sensation de puissance, d’équilibre et de noblesse. Malgré les aromes d’eucalyptus que j’apprécie modérément et la jeunesse, ça été une très, mais vraiment très belle bouteille, un vin qui devrait avec le temps développer plus de complexité et arriver à un très haut en plaisir.

Att.

Fabien.

Beringer Sauvignon 2010
Mes impressions :
Robe : jaune pâle
Nez : très floral
Bouche : une belle matière liée à un très bel équilibre de haut niveau, que ce soit pour les niveaux d’acidité ou d’alcool. L’attaque est vive et l’évolution est dans la même lignée. Un vin avec beaucoup de tension. Pas mal du tout.

Prix actuel grande distribution : EUR 10,95

Luc

Beringer Napa Valley pinot noir 2006

trouvé pour 17.99$ sur Broadway à Warehouse et Spirits.

Pourquoi ne pas essayer un peu de production `locale' ? Quand je dis locale, je veux juste dire qu'on reste sur le même continent. Parce que sur l'I80 ça nous fait tout de même près de 3000 miles, je vous laisse convertir en unités métriques et surtout imaginer le rayon viticole que cela signifie depuis où vous habitez.

Robe profonde, disque rouge/brun. Le nez est puissant, sur la prune, le cassis, la mine de crayon, fumé. Difficile de retrouver le même cépage qu'en Bourgogne. En même temps, je ne trouve pas vraiment de boisé gênant, et me demande d'où vient ce sentiment de puissance (maturité, extraction?) La bouche est fraîche et un peu alcooleuse, ce qui arrive à faire passer les tannins. Ca passe ou ça casse, ce soir ça passe, mais je suis bon public

O.

Beringer Sauvignon blanc Founder’s Estate 2010

Mes impressions :
Robe : jaune pâle
Nez : un nez floral et marqué par le raisin, le pamplemousse, la noix de muscade avec un coté secondairement beurré et boisé.
Bouche : attaque vive, l’évolution est dans la même lignée.
Un vin simple, à la structure droite et sans faiblesse.

Luc

Beringer Chardonnay 2012

Mes impressions:
Robe: jaune citron
Nez: intensité moyenne ; un nez simple composé d’agrumes (citron) et d’ananas.
Bouche : l’attaque est ronde, l’évolution et la fin de bouche sont continues. La bouche est tout en harmonie, avec un très bon équilibre.
Très bien.
Prix grande distribution: EUR 13,75

Luc

USA
Mark Beringer rentre au bercail !

www.thedrinksbusines...

Beringer cabernet sauvignon 2012

Mes impressions:
Robe: grenat d'intensité moyenne
Nez: cassis,buis, légèrement fumé
Bouche: un vin tout en rondeur, à la structure très souple, si souple même qu'elle en confine presque au maigre.Un aspect velouté malgré tout. Finale moyenne
Bien +

Prix grande distribution actuel: EUR 13,75

Luc

Beringer Bancroft Ranch vineyard - Cabernet Sauvignon 1997

Des vins américains je n'en n'ai, à vrai dire, pas bu plus de 10 dans ma vie d'amateur. La faute, probablement, à un a priori défavorable : bois, vanille, sucrosité : le triptique infernal, quoi.
Eh bien quel ne fut pas ma surprise, hier midi, en découvrant ce que contenait cette bouteille absolument bling-bling, fausse toscane dorée à l'or fin.

Pour y a voir du vin, il y en avait. Et du bon, même !
Le premier nez a révélé une essence de mûre, légèrement épicée, presque rhodanienne dans son expression.
En bouche, le vin s'est fait large, dense, solide, mais sans jamais verser dans la facilité ni même la vulgarité. Une belle bouche bien fruitée, avec un soupçon d'épices, de bois noble type cèdre.
A un moment, j'ai même pensé qu'à l'aveugle, j'aurais pu dire "Brunello".
Partageant cette idée avec mon père, ce dernier a conclut la comparaison par un définitif : "Mouais... Il en est quand même loin"...

Une jolie bouteille, parfaite à l'ouverture mais qui, une heure plus tard, commençait à présenter des tanins un peu secs. Quoi qu'il en soit, elle m'a plu et c'est le principal.

Beringer Founder’s Estate Zinfandel 2015

Mes impressions :

Robe : grenat.
Nez : des arômes fumés prédominants, suivis d’arômes de groseille, framboise et des arômes levurés.
Bouche : un vin à la structure ronde, sans la moindre sensation tannique. La finale est moyenne, mais dérape vers un versant quelque peu alcooleux.

Assez bien.

Prix actuel grande distribution : EUR 14,50

Luc

Beringer Vineyards - Founder's Estate - Cabernet Sauvignon 2015



Robe sur un grenat moyen au disque légèrement pourpre.
Nez sur du fruits noirs assez intense, suivi de notes de cendre froide, d'épices rouges, de poivre noir avec une fine touche "oaked".
En bouche le vin se présente sur une attaque fine avec des tannins veloutés, mais ou le jus ne se dépare pas d'une certaine sucrosité dû a un élevage typé californien ! Milieu de bouche agréable, gras, avec une jolie matière évidente.
Sapidité sur le fruits rouges et noirs légèrement perturbée par l'élevage qui reprend du poil au réchauffement.
Curieusement l'élevage se ressent plus en bouche qu'au nez
Dommage, la matière est vraiment belle, s'il n'y avait pas ce coté sucré ....
A noter qu'avec un rafraichissement sérieux (12°) cette sensation s'atténue

PS :Le lendemain le fond de bouteille conservée dehors restait globalement sur un registre assez identique, avec toutefois l'élevage qui a viré sur des notes de caramel assez typique.

Beringer Chardonnay Founder’s Estate 2015

Mes impressions:
La robe est jaune pâle à reflets verts. Le nez est d’intensité moyenne et célèbre des arômes de pomme, de mirabelle avec un boisé atténué. La bouche montre une belle amplitude et persistance, avec de surcroît un bon équilibre, même si le vin est dénué de complexité.

Prix actuel grande distribution: EUR 5,95

Luc

Bu lors de cette soirée.

Beringer Vineyards – Napa Valley Private Reserve Cabernet Sauvignon 1996
Nous voici entrés dans le monde des vins tertiaires. Nez de bonne intensité, brouillon quand même sur du bouillon de bœuf, humus, champignon, clairement automnal. Il y a des fruits noirs secs, tabac aussi. Joli côté mentholé qui donne du volume.
La bouche est beaucoup plus intéressante que le nez avec de la fraîcheur, une bonne fermeté où les tanins sont polis et soyeux. Je trouve plus de précision dans l’aromatique avec plus de fruit et moins de bouillon. On reste sur une dominante tertiaire. Il y a une certaine vitalité, de l’allonge et une grosse concentration. Le boisé est bien là, mais reste sous la matière. On reste sur un style plutôt puissant, mais ce n’est pas dénué de finesse. Excellente longueur.
Excellent.

Bu lors de cette soirée.

Beringer Vineyards – Napa Valley Private Reserve Cabernet Sauvignon 1991
Une fois de plus, le nez est bien évolué, mais il y a un côté légèrement oxydé sur la noisette séchée, fruits secs qui dominent un peu trop. C’est diffus même si de bonne intensité.
La bouche est plutôt puissante et ferme avec une bonne fraîcheur et un beau grain de tanin. Le boisé est marqué et couvre un peu trop le fruit. Du coup, le vin finit séchant.
Le vin est mieux à l’aération avec plus de nuances et un côté mentholé. Je trouve du coup, le boisé moins marqué et le vin est moins asséchant.
Sur la fin, le côté oxydatif prend le dessus et le vin se meurt.
À son optimum, c’était un bon vin.