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Dégustation Bordeaux-Chili

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Dégustation Bordeaux-Chili a été créé par Guest

Petite dégustation intéressante tenue le jeudi 26 mai 2005 dans la région de Montréal au Québec. Le thème était Chili- Bordeaux avec une gamme de vins de réputations et de prix assez disparates. C’est ce qui en faisait l’intérêt avec la comparaison de vins du nouveau et de l’ancien monde. Il y avait douze vins, servis de manière aléatoire, à l'aveugle, en trois vagues de quatre, à douze dégustateurs amateurs comme moi. Chacun votait pour ces deux vins préférés de chaque vague et à la fin, chacun votait pour ses trois favoris parmi l’ensemble des vins présentés. Je présente d’abord le classement général, suivi de mon classement personnel.


CLASSEMENT GÉNÉRAL


1. MERLOT, CUVÉE ALEXANDRE, 1997, Vallée de Colchagua, CASA LAPOSTOLLE

2. CABERNET SAUVIGNON, RESERVA DE FAMILLIA, 1999, Vallée de Maipo, DE MARTINO

3. CABERNET SAUVIGNON, CASA REAL, 1998, Vallée de Maipo, SANTA RITA

3. CHÂTEAU SOCIANDO-MALLET, 1998, HAUT-MÉDOC, Cru bourgeois

5. CHÂTEAU LA GAFFELIÈRE, 1996, ST-ÉMILION, Premier grand cru classé

6. SENA, 1999, Vallée de l’Aconcagua, MONDAVI-CHADWICK

7. CHÂTEAU LAGRANGE, 1996, ST-JULIEN, Troisième cru classé

8. CHÂTEAU CITRAN, 1996, HAUT-MÉDOC, Cru bourgeois

9. DON MAXIMIANO FOUNDER’S RESERVE, 1999, Vallée de l’Aconcagua, ERRAZURIZ

10. CABERNET SAUVIGNON, RESERVA DE FAMILLIA, 1996, DE MARTINO

11. CHÂTEAU LABÉGORCE-ZÉDÉ, 1996, MARGAUX, Cru bourgeois

12. PAGODES DE COS, 1999, ST-ESTÈPHE, Second vin

MON CLASSEMENT

1. CABERNET SAUVIGNON, RESERVA DE FAMILLIA, 1999, Vallée de Maipo, DE MARTINO

2. MERLOT, CUVÉE ALEXANDRE, 1997, Vallée de Colchagua, CASA LAPOSTOLLE

3. CABERNET SAUVIGNON, CASA REAL, 1998, Vallée de Maipo, SANTA RITA

4. DON MAXIMIANO FOUNDER’S RESERVE, 1999, Vallée de l’Aconcagua, ERRAZURIZ

5. CHÂTEAU SOCIANDO-MALLET, 1998, HAUT-MÉDOC, Cru bourgeois

6. CHÂTEAU LA GAFFELIÈRE, 1996, ST-ÉMILION, Premier grand cru classé

7. SENA, 1999, Vallée de l’Aconcagua, MONDAVI-CHADWICK

8. CHÂTEAU LAGRANGE, 1996, ST-JULIEN, Troisième cru classé

9. CABERNET SAUVIGNON, RESERVA DE FAMILLIA, 1996, DE MARTINO

10. PAGODES DE COS, 1999, ST-ESTÈPHE, Second vin

11. CHÂTEAU CITRAN, 1996, HAUT-MÉDOC, Cru bourgeois

12. CHÂTEAU LABÉGORCE-ZÉDÉ, 1996, MARGAUX, Cru bourgeois
29 Mai 2005 16:05 #1

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Réponse de Jérôme Pérez sur le sujet Re: Dégustation Bordeaux-Chili

Dans les deux cas, une belle prestation des vins chiliens!
Je garde un excellent souvenir de la cuvée Alexandre merlot de casa Lapostolle, je crois que j'avais goûté le 96. J'avais été frappé par le style très bordelais, justement.
Avez-vous rencontré des styles particuliers, des différences d'approche, de concentration, de goûts,... qui pourraient expliquer le classement?

Jérôme Pérez
29 Mai 2005 16:28 #2

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Réponse de Anthony sur le sujet Re: Dégustation Bordeaux-Chili

J'attends les CR ... les Chiliens etaient-ils plus pres a boire ?

Anthony
29 Mai 2005 16:51 #3

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Réponse de Guest sur le sujet Re: Dégustation Bordeaux-Chili

Salut Anthony et Jérôme,

Comme tu le sais Anthony je contribue aussi au forum Crus & Saveurs au Québec, par l’entremise duquel cette dégustation a été organisée. Je n’ai pas fait de CR de chacun des vins. Je joins un texte qui accompagnait mes résultats sur C&S et qui explique pourquoi. De plus, ce texte contient mes commentaires d’appréciation plus généraux.

Au plan de la dégustation, ce type d’exercice a été pour moi une découverte et je dois avouer que j’ai eu de gros problèmes d’adaptation. Je suis habitué à déguster un ou deux vins à la fois, tranquillement, sans me presser. Ça laisse le temps de bien intégrer les perceptions, de suivre l’évolution du vin, d’ajuster la température du liquide en cours de route et donc, de le goûter sur une plage de températures qui oscille un peu dans le temps. Aussi, ça permet de le goûter avec le verre plus ou moins plein. Ce dernier point semblera peut-être bizarre pour certains, mais pour moi, surtout au niveau de la perception au nez, ça fait souvent une différence.

J’ai donc trouvé que ça allait vite. J’avais des verres trop gros pour ce type d’exercice et avec les faibles quantités servies de chacun, j’ai trouvé que la température des vins devenait très vite trop élevée. L’alcool prenait vite trop de place à mon goût. En fait, je ne peux pas dire que j’ai dégusté ces vins, je les ai plutôt analysés rapidement de manière comparative. Comme ma vitesse d’intégration était lente et que le flot de données entrantes était considérable, je dirais que ce qui me reste, c’est une impression générale. Ce que je veux dire, c’est que je n’aurai pas de souvenirs précis de ces vins, car il y avait trop de choses à la fois qui se passaient pour que ça ait pu laisser une marque claire dans mon esprit. Je me sentais un peu comme à un examen où on se sent pressé par le temps et où on est sûr qu’on ne pourra pas répondre à toutes les questions.

Il y a donc beaucoup de place pour l’amélioration, avec cet exercice, en ce qui me concerne. Ceci dit, ça ne veut toutefois pas dire que j’ai coulé mon examen !!! Ça veut juste dire que j’ai dû trimer dur et que d’une certaine façon, j’aime pas vraiment les examens. Néanmoins, je pense que ce type dégustation est utile pour développer ses facultés de dégustateur. Je dois aussi ajouter, que même si l’aspect technique de la chose m’a un peu rebuté, l’aspect humain relié à tout ça était tellement intéressant, que c’est l’élément primordial qui me donnera le goût de remettre ça. L’échange direct avec les autres est vraiment ce que j’ai le plus apprécié.

Bien entendu, j’ai pris des notes, mais comme je le disais, deux jours plus tard, mon souvenir pour certains vins est tellement diffus que j’ai l’impression de lire les notes de quelqu’un d’autre. Il m’est donc impossible de faire des CR comme j’en ai l’habitude pour ces vins. Je vais simplement donner mon classement personnel suivi de quelques commentaires généraux.

1. CABERNET SAUVIGNON, RESERVA, 1999, Vallée de Maipo, DE MARTINO

2. MERLOT, CUVÉE ALEXANDRE, 1997, Vallée de Colchagua, CASA LAPOSTOLLE

3. CABERNET SAUVIGNON, CASA REAL, 1998, Vallée de Maipo, SANTA RITA

4. DON MAXIMIANO FOUNDER’S RESERVE, 1999, Vallée de l’Aconcagua, ERRAZURIZ

5. CHÂTEAU SOCIANDO-MALLET, 1998, HAUT-MÉDOC, Cru bourgeois

6. CHÂTEAU LA GAFFELIÈRE, 1996, ST-ÉMILION, Premier grand cru classé

7. SENA, 1999, Vallée de l’Aconcagua, MONDAVI-CHADWICK

8. CHÂTEAU LAGRANGE, 1996, ST-JULIEN, Troisième cru classé

9. CABERNET SAUVIGNON, RESERVA DE FAMILLIA, 1996, DE MARTINO

10. PAGODES DE COS, 1999, ST-ESTÈPHE, Second vin

11. CHÂTEAU CITRAN, 1996, HAUT-MÉDOC, Cru bourgeois

12. CHÂTEAU LABÉGORCE-ZÉDÉ, 1996, MARGAUX, Cru bourgeois


Pour ce qui est des vins. Bien sûr la première place du Merlot de Casa Lapostolle m’a fait chaud au coeur. C’est un vin dont j’ai beaucoup vanté les mérites sur C&S. C’était aussi le moins coûteux du lot, ce qui cadre avec mon approche privilégiant les RQP. Il était plaisant de goûter un Merlot de 8 ans d’âge qui montrait une si superbe forme. Depuis le temps que je répète que les vins Chiliens peuvent très bien évoluer. Finalement, c’est un vin du Nouveau-Monde qui bénéficie de l’approche Michel Rolland. Que dire de plus?

Le De Martino 1999 a été mon préféré. Le vin le plus persistant de la soirée et possédant un très beau profil de Cab classique. Aucune notes typiquement Chiliennes pouvant déplaire à certains. Parlant de ces notes (eucalyptus, plant de tomate), j’ai été déçu de les retrouvées dans les deux super-vins très chers de la famille Errazuriz. C’est d’ailleurs ce qui les a pénalisés dans mon jugement. Lorsqu’elles sont très subtiles et en mode mineur, comme dans le Casa Real, ce n’est pas un problème. Toutefois, dans le Sena, c’était tellement intense que ça masquait le fruit. Dans le Founder’s Reserve, c’était plus modéré, mais encore trop à mon goût. Heureusement, ces arômes ne suivaient pas vraiment en bouche et celles-ci montraient de très belles qualités, richesse du fruit, bonne longueur et belle texture. Je ne peux pas croire que les Sena 2000 et 2001, qui se sont très bien classés à Berlin contre des premiers GCC, possédaient ces arômes. Ils auraient été trop faciles à identifier vis-à-vis des Bordeaux, surtout de cette classe. Le Casa Real était très bon, surtout pour un vin du millésime 1998. À surveiller donc lors de millésimes plus favorables. J’ai réussi à identifier l’origine de 10 vins sur 12, ne confondant que le De Martino 1996 avec le Lagrange. Était-ce dû au caractère Français du De Martino ou à une démonstration de “classicisme” à la Chilienne de la part du Lagrange?!!! Je l’ignore.

Pour ce qui est des vins Français, je ne connais pas assez les vins de Bordeaux pour m’avancer dans des commentaires. Je laisse ce soin à d’autres et je préfère m’en tenir aux aspects positifs que j’ai retenus.

En conclusion, j’espère que les résultats de cette dégustation contribueront un peu à rehausser le statut des vins rouges Chiliens en général, si besoin était, dans la perception des lecteurs de C&S. Il est évident toutefois qu’aucun de ces vins ne représentait de la quintessence de ce qui existe sur la planète en la matière. Toutefois, il faut se rappeler que les deux premiers sont des vins vendus $30 CAN, environ 19 Euros et $43 CAN, environ 26 Euros. Dans cette optique, ils ne sont sûrement pas loin d'être la quintessence en la matière, dans cette gamme de prix. Je vais d’ailleurs mettre des De Martino, Reserva, 1999 en cave et je serai curieux d’y re-goûter dans 4 ou 5 ans. Ce vin a encore beaucoup d’avenir. Il a d’ailleurs été élu meilleur vin premium du Chili dans sa version 2001 par le “Guide des vins Chiliens”. L’oenologue en chef de la maison, Marcelo Retamal a aussi été nommé vinificateur de l’année au Chili par la même publication. Aurelio Montes, oenologue de la réputée maison du même nom, agit à titre de consultant. En résumé, cette maison Chilienne est en pleine ascension.


Pour compléter Jérôme, je dirais que les trois premiers vins de mon classement présentaient simplement les plus beaux profils. Qualité des arômes et des saveurs, bonne structure, texture agréable, concentration et persistance de niveau supérieur. Le tout sans notes végétales ou si peu dans le cas du Casa Real. Sociando et La Gaffelière étaient de beaux vins bien équilibrés, mais ils semblaient posséder un peu moins de richesse et d’éclat. Comme je le disais dans mon texte, le Sena et le Founder’s Reserve péchaient par un caractère végétal trop accentué au nez, pour le reste, ils étaient très bien. Les autres vins étaient nettement d’une catégorie inférieure sur tous les plans.
29 Mai 2005 20:06 #4

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Réponse de Jérôme Pérez sur le sujet Re: Dégustation Bordeaux-Chili

merci beaucoup pour ces explications ausi limpides que précises.

Jérôme Pérez
30 Mai 2005 07:57 #5

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Réponse de Guest sur le sujet Re: Dégustation Bordeaux-Chili

Claude Vaillancout,

Bravo pour cette synthèse.

Goûté récemment à l'aveugle 2 vins plutôt convaincants (cf post associés) :
Almaviva 2001
Cheval des Andes 2001

Un jugement intermédiaire, en particulier :
belles qualités, sans atteindre les sommets parfois lus dans la presse (voire sur les sites dédiés à ces vins)
niveau supérieur à ce que certains annoncent, décriant des vins factices, creux, pâles copies de leurs cousins bordelais.

qq archives un peu anciennes :

Casa Lapostolle "Cuvée Alexandre" Chardonnay 1996 : Fév 2000
Note moyenne : 14,5 - prix : 84 F
• Robe jaune citron fluo.
• Nez très grillé et lactique, boisé beurré "international" bien réussi mais qui laisse peu de place au fruit (ananas).
• Bouche concentrée, boisée, flatteuse et pas trop pâteuse. Elle manque de minéralité. Une finale agréable sur des notes de banane mûre.

Casa Lapostolle "Cuvée Alexandre" Merlot 1996 : fév 2000
Note moyenne : 14 - prix : 96 F
• Robe intense presque noire.
• Nez sur le cassis et l'eucalyptus. Des notes liégeuses corrompent malheureusement son expression.
• Bouche présentant une belle matière suave. Les notes liégeuses sont atténuées.

Casa Lapostolle Clos Apalta 97 : Fév 2000
Note moyenne : 15,5 vers 16 - prix : 180F
• Maison liée à Grand-Marnier. Tout comme Almaviva, elle constitue une cuvée ambitieuse. Michel Rolland participe à son élaboration.
• Cabernet-sauvignon + merlot + carmenere (proche du cabernet-franc).
• Robe impressionnante, noire d'encre avec une frange violacée, à la fois visqueuse et pleine de vivacité.

1er groupe :
• 1er nez flatteur de café grillé et de fumée, puis émergent un fruité de myrtille écrasée et des notes plus exotiques (goudron, menthol, poivre). Encore assez monolithique aromatiquement, mais l'équilibre bois/fruit semble cohérent.
• Bouche très riche, luxueusement (lourdement) boisée, matière énergique et assez vive en attaque. La finale s'alourdit et semble s'enliser quelque peu dans son sucre résiduel et de lourdes notes de fruits à l'eau de vie et de noix de coco grillée.

2ème groupe :
• Nez profond et déjà assez complexe : mûre, cassis, réglisse, violette, café, tabac, épices. Un côté VDN.
• Bouche massive, fermée, sanguine, tonitruante, opulente, un brin chaleureuse. Un côté soyeux, opulent de merlot bien mûr.
30 Mai 2005 10:49 #6

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Réponse de Anthony sur le sujet Re: Dégustation Bordeaux-Chili

Claude, merci pour ce grand CR. Je persiste a penser que les Chiliens se goutaient mieux que les Bordelais en cette periode, surtout les 97/98/99 qui sont pour la plupart a maturite.

Ceci n'enleve nullement le merite qu'ils ont et ayant 4 vins de 4 regions differentes dans le top 5, cela me conforte dans mon idee que la recherche du terroir est sur le bon chemin.

J'ai une bouteille de ce soit-disant fabualeux 2001 Reserva de Familia de De Martino. Quand la boire est un mystere ?! A te lire, il faudrait que je la garde jusqu'en 2010 ...

Anthony
01 Jui 2005 10:02 #7

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Réponse de Guest sur le sujet Re: Dégustation Bordeaux-Chili

Salut Anthony,

Quatre des six Bordeaux étaient des 1996. À ce que je sache, il s’agit d’un bon millésime pour le Bordelais. Le Sociando était un 1998 c’est vrai, mais on parle quand même d’un domaine que plusieurs classent au niveau d’un deuxième cru. Ce n’est pas rien et à ce compte, le Casa Real provenait aussi de 1998, un des pires millésimes depuis longtemps au Chili. Le De Martino 1999 était vraiment très bon. Le plus Bordelais des membres de notre “jury”, l’a classé comme le meilleur vin chilien du groupe et le voyait à maturité dans huit ans. Je partage son opinion sur ce point. Une chose est sûre, ce vin n’est pas à son apogée. Alors, si le 2001 que tu possèdes est tiré d’un moule semblable, il est vrai qu’il mérite au moins dix années de garde pour être à son mieux. Pour moi cela n’a rien d’étonnant, parce que parmi tous les Cabernet Sauvignons chiliens de type Reserva que j’ai goûtés jusqu’à maintenant, ceux de De Martino (Prima ou maintenant Legado) sont ceux qui cadraient le plus avec le profil d’un vin de garde. J’imagine donc que c’est d’autant plus vrai pour leur meilleur vin. Je vais acheter une bouteille de Reserva de Familla 1999 bientôt et l’ouvrir pour me faire une meilleur idée et voir si je dois en profiter pour en mettre plusieurs en cave. Parce qu’à environ 26 euros, si la qualité se confirme, il s’agit vraiment d’une aubaine vis-à-vis les Almaviva, Sena, Montes M et Clos Apalta. Je ferai un CR détaillé dès que j’y aurai goûté.

Claude
02 Jui 2005 01:13 #8

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Réponse de Anthony sur le sujet Re: Dégustation Bordeaux-Chili

Salut Claude, le Reserva de Familia 1999 de De Martino qui m'a reellement marque, c'est son Carmenere. Le meilleur en mono-cepage bu a ce jour.
Je vais voir si je trouve un Cabernet du meme millesime pour ajouter a mon horizontale 1999.

En ce qui concerne les crus bordelais de votre degustation, je n'insinuais pas que les millesimes aient ete mediocres; seulement que les vins sont encore fermes pour la plupart. 96 est un millesime tannique et qui ne donne encore que peu de plaisir a ce stade (meme s'il y a des exceptions).

Au plaisir de te lire.

Anthony
02 Jui 2005 04:34 #9

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Réponse de Anthony sur le sujet Re: Dégustation Bordeaux-Chili

Private message: Claude, y-a-t'il un numero de fax auquel je puisse t'envoyer un article paru dans Vinum sur le terroir chilien ?

Anthony
02 Jui 2005 09:53 #10

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