Bonjour à tous,
Comme dit récemment, j’ai profité de quelques jours de vacances pour aller faire un coucou aux vignerons partenaires en Piémont car l’année dernière nous n’avions rien pu faire.
Inutile de vous refaire l’historique du déroulement du millésime 2017 puisque vous l’avez 2 posts au-dessus.
Place plutôt aux « exercices » terrain qui ne sont pas la partie la plus horrible du travail
C’est parti – promis je ne rentre pas dans le détail hyper pointu du ressenti mais vous donne les grandes lignes afin que vous puissiez vous projeter et éventuellement avoir envie de découvrir les vins quand ils seront dispo chez nous courant Novembre sur
la boutique
En route au domaine ETTORE GERMANO à SERRALUNGA d’ALBA au travers de magnifiques paysages:
ETTORE GERMANO
Petit tour sur la terrasse en attendant la préparation des bouteilles:
Langhe Nebbiolo 2019
Gourmandise à l’état pur. Vous ouvrez (capsule à vis), versez, dégustez et ainsi de suite…une matière généreuse, avec ce qu’il faut d’acidité et de fraicheur pour donner ce côté sérieux et gourmand à la fois. La cuvée qui va convertir le non-amateur de Nebbiolo.
Barolo « village » 2017
1er Barolo dégusté du séjour. Un nez sur le fruit noir. Une belle robe pourpre et brillante. La bouche se montre moins austère que parfois, bel équilibre entre alcool et acidité. Le jus est fluide et parfaitement digeste. Les tanins sont bien mûrs et non séchards. C’est un bon Barolo d’assemblage qui nous donne déjà un bon pressentiment sur la suite de la dégustation et le passage sur les crus. Aucun déséquilibre qui pourrait nous laisser penser à un millésime solaire et puissant.
Barolo « Prapò » 2017
On monte crescendo. Nez plus porté sur les épices et la réglisse en fond. Matière plus présente, intensité aromatique supérieure mais toujours des tanins de qualité enrobés dans un certain gras du vin qui ne viennent pas rendre la dégustation difficile. L’acidité là aussi bien présente. Un vin qui gagne en complexité et en profondeur.
Barolo « Cerretta » 2017
La cuvée signature du domaine. C’est la cuvée du barolo traditionnel de la zone de Serralunga. Un nez sur les fruits rouges bien mûrs avec une note plus animale. La bouche est pleine, intense et acidulée. La gourmandise n’est pas forcément ce qui est recherché ici mais c’est déjà agréable et les tanins ne se font pas sentir plus que ça étant donné qu’ils sont bien mûrs. Il y a une bonne fraîcheur et le vin reste longtemps en bouche. Demandera évidemment encore 2 ou 3 années pour être plus « posé ». Le vigneron est très confiant sur le potentiel.
Barolo « vignarionda » 2016.
Ouch…grosse cartouche ici. Tous les curseurs sont élevés notamment ceux de l’aromatique et de la finesse lié à un sol calcaire traditionnel mais avec des portions sablonneuses . On a déjà un pot-pourri de roses et pivoine et un toucher de bouche magnifique avec bien sûr quelques tanins à affiner. Il y a tout de même des chevaux sous le capot mais tout est sous contrôle et parfaitement cadré. Ce cru magique est malheureusement très petit et peu de bouteilles de cette cuvée. On note aussi le supplément de fraicheur lié à l’intégration d’une part de vendanges entières.
Barolo Lazzarito Riserva 2015
La cuvée avec les veilles vignes du cru Lazzarito. Profondeur, élégance, tannins fondants et grosse longueur en bouche. Le millésime 2015 nous gratifie d’un vin avec une gourmandise qui n’est pas là toutes les années sur cette cuvée. Laissez-le encore en cave quelques années pour en profiter pleinement car c’est une cuvée dotée d’un grand potentiel de garde. C’est excellent.
Bilan : J’étais impatient de goûter chez Sergio et bien m’en a pris. Des 2017 qui sans avoir le potentiel de vieillissement des 2016 (et encore…on refait un point dans 10 ans pour juger) montrent des jus frais, équilibrés sans les marqueurs négatifs des années solaires. L’altitude et les terroirs calcaires de Serralunga ont su préserver les vignes des effets nefastes de cette année chaude. De même que le vigneron qui fait très attention à ne pas triturer ces raisins pour éviter au maximum d’avoir des tanins encore plus présents.
GIACOMO FENOCCHIO
Direction Monforte d’Alba pour aller rendre visite à ce très bon et gentil vigneron qu’est
Claudio Fenocchio. Un puriste du Barolo à l’ancienne qui continue à faire de longues macérations. Il m’accueille dans son nouveau chai / salle de dégustation. C’est magnifique.
Mise en bouche :
Langhe Nebbiolo 2019 :
Dans la lignée du Langhe de Germano. Un beau millésime avec un peu de richesse et de gras qui enveloppent bien les petits tanins. Fraîcheur acidulée sur des notes de framboise. Un simple mais bon Langhe. Peut-être un peu plus de profondeur que celui de Germano mais il faudrait les boire côte à côte. Claudio propose d’attaquer ensuite la dégustation des Barolo 2018 –
encore en élevage - et nous reviendrons sur les 2017 pour comparer.
Barolo « Cannubi » 2018
Parcelle avec du sable très fin.
On attaque par le vin qui a toujours la plus grande élégance et finesse. Bien qu’encore en cours d’élevage, on est de suite transporté par ce toucher de bouche magique qui enveloppe la bouche dans un drap de velours. Tout semble déjà tellement en place ! Un vin féminin qui va nous régaler mais qui est malheureusement très contingenté.Clairement l’impression d’un vin qui pourrait être de la galaxie Reynaud.
Barolo « Castellero » 2018
Parcelle avec du sable aussi mais plus grossier.
Le vin montre aussi beaucoup d’élégance mais des tanins plus présents et des notes d’épices douces. Une fois les tanins un peu arrondis, nous devrions avoir un ensemble là aussi plutôt soyeux. Très prometteur.
Barolo « Bussia » 2018
Parcelle argilo-calcaire assez riche en fer.
On monte d’un cran en intensité et en structure. Un vin avec des tanins plus marqués mais pas pointus et non séchards en l’état. Aromatique sur la rose, les épices, la réglisse et de légères notes ferrugineuses. C’est un Barolo plus masculin que les 2 autres mais non dénué d’élégance. Tout est sous contrôle et prometteur pour la version commerciale l’année prochaine. Une bouteille qui rappelle bien le côté traditionnel marqué du producteur et la cuvée qui a le plus gros potentiel de garde.
Mini bilan du millésime 2018 à ce stade : retour à un millésime classique avec des vins qui ne sont pas sur un côté exubérant mais pas non plus ingoûtables en jeunesse. L’acidité est bien présente et les tanins aussi mais ils sont suffisamment mûrs pour être agréables. Il faudra certainement du temps pour que les vins soient dans une phase optimale mais les ingrédients d’un très bon millésime ont l’air d’être ici. Nous aurons toutefois l’occasion d’en rediscuter au printemps prochain.
Place aux 2017 à présent car c’est ce millésime qui arrive d’ici 2 mois.
Barolo « Cannubi » 2017 : SOLD OUT ! Minuscule allocation qu’il sera très dur de partager.
Barolo « Castellero » 2017
Notes florales et épicées. Le vin est digeste et légèrement acidulé. Un vin de demi-corps avec de la gourmandise propre aux millésimes plus chaud. Aucune sensation alcooleuse ou déséquilibre notoire. La dégustation est TRES agréable et les tanins plutôt souples.
Barolo « Villero » 2017 :
Plus de largeur, une bouche assez sphérique avec de petits tanins légèrement accrocheurs encore à ce stade. Une belle fraicheur qui rend ce vin très digeste. Là aussi, pas de sensations alcooleuses qui chauffent. Longueur en bouche interessante. Pourrait donner l’impression d’être déjà prêt mais il y a encore de la place pour avoir un bouquet bien plus complexe.
Barolo « Bussia » 2017
C’est la cuvée porte-etendard du domaine. Tout le savoir-faire de la maison est ici. Une très belle bouteille avec un jus tonique, acidulé. La bouche est engageante et corpulente. Le côté fleur fanée apporte beaucoup d’élégance jusqu’à ce que les tanins prennent le relais pour dire quelque chose du genre « et ho n’en montre pas trop tout de suite non plus ». Une cuvée taillée pour la garde. Encore un beau spécimen.
Barolo « bussia riserva 90 dì » 2015
Le Barolo comme on le faisait avant à savoir de très longues macérations de 90 jours. Wahou. Incroyable déjà la complexité et les notes de rose, de tabac et de cuir qui se dégagent. Une délicatesse extrême, un jus velouté, des tannins qui se sont déjà un peu patinés avec le temps. Une très grande cuvée pour aujourd’hui mais SURTOUT pour demain. Gros potentiel. Sans exagérer je pense qu’on peut parler d’un grand vin.
Pour le fun : le vin orange «
anima arancio » à base d’Arneis qui font une longue macération. Pas hyper fan du cépage en vinif classique mais là c’est plutôt sympa et ça fait un vin d’apéro à servir un peu frais qui est de circonstance avec ces chaleurs. Si des clients en demandent, je peux en faire ajouter car nous n’en avons pas pris.
au secours, laissez moi soooooortir
Bilan : là aussi , 0 deception sur les 2017. Le domaine a super bien travaillé en sachant s’adapter au climat. Claudio me disait ne pas avoir eu trop de travail car ses vignes se sont bien débrouillées seules. Très peu d’effeuillage pour garder de l’ombre, un peu de vendange en vert pour garder un rendement raisonnable et éviter d’avoir des jus trop concentrés et le tour est joué. Il se rappelle encore du millésime 2014 où il avait galéré avec la pluie incessante…
MASSOLINO
Moscato d’Asti.Superbe robe or brillante. Léger perlant. Beaucoup de fraicheur au nez sur le fruit frais (poire, pêche) et une touche herbacée discrète. En bouche, attaque généreuse, vin large et toujours ces notes fruitées mais jamais écœurantes. Un vin très digeste dont on se resservirait à volonté que ce soit à l’apéro ou sur une tarte aux fruits. A noter la longueur intéressante. Quand on voit les vilains moscato qu'on trouve en grande surface mous et sucraillons au possible...
Barbera d’Alba 2020 :
Jus sur les épices avec de la framboise. Plutôt fluide et gouleyant. Acidité qui tient bien le vin c’est très sympa et s’accommodera avec beaucoup de plat.
Langhe Nebbiolo 2019 :
Si j’avais un doute sur qui avait produit le meilleur Langhe 2019 entre Germano et Fenocchio, là les choses sont claires. Cette cuvée est au-dessus en terme de profondeur, de suavité et d’élégance. On a l’impression que ce vin sort de son registre habituel et voudrait se faire passer pour un baby barolo.Très belle surprise que de le goûter à ce niveau-là.
Barolo « village » 2017 :
le Barolo que le domaine présente comme carte de visite. Assemblage des différentes parcelles du domaine. On attaque fort avec un jus frais sur le coulis de fruits noirs. Légère richesse mais contre-balancée par un bon niveau d’acidité. Les tannins sont mûrs et pas envahissants, juste le petit grip qu’il faut sur le bout de la langue. Un village de très belle facture cette année.
Barolo « Parafada » 2017 :
SOLD OUT, plus d’échantillons à faire goûter. Étant prévoyant et sûrs de la qualité des vins du domaine, nous en avions réservé (alleluiah).
Barolo « Parussi » 2017
Un cru qui produit des vins puissants situé proche des vignes de Cavallotto à Castiglione falletto. Tanins bien présents mais pas séchards. On sent une matière bien mûre sur une aromatique de fruits noirs un poil kirschés, du bois de santal et de tabac. Un barolo qui joue le registre de la puissance et de l’austérité en jeunesse mais qui n’est qu’au début de sa vie quand on connait le potentiel de garde important des vins du domaine.
Barolo «Margheria » 2017
Le cru qui exprime le classicisme des barolo de la maison et une image de ce qui caractérise un Barolo de SerraLunga. Au nez et en bouche, on retrouve encore des notes de tabac mais aussi un panier d’épices et d’humus. Une certaine complexité est déjà présente et le temps fera le reste pour assagir les tanins (qui sont là encore d’une présence tout à fait raisonnable).
Barolo « Vigna Rionda » riserva 2015
Attention, chaud devant. Grosse cylindrée. Il y a des watts sous le capot pour ce cru qui est le plus puissant du domaine. Si je m’arrêtais là aucun intérêt à vouloir découvrir ce vin n’est-ce pas ? mais si j’ajoute que ce cru promet garde exceptionnelle, complexité inouïe au vieillissement et des tanins racés, on admet plus volontiers qu’il faut avoir un exemplaire de cette énorme quille en cave et l’enterrer pour les 25 prochaines années. De toute façon, peu importe le millésime, ce terroir ne produit que des Barolo exceptionnels.
Bilan : très belle gamme du producteur, avec un niveau moyen élevé. 2 bouteilles coups de coeur avec le langhe nebbiolo 19 et le "simple" barolo 17 qui est délicieux. De quoi boire en attendant les grandes soeurs. Confirmation encore cette année que le domaine sait s'adapter pour nous proposer de très bons vins.
Azienda vitivinicola RIZZI
Moscato d'Asti 2020
Simplement délicieux. Le domaine nous propose chaque année des Moscato frais, charnus et très fruités sans jamais verser dans la lourdeur. Un beau rapport Qualité / prix.
Langhe Nebbiolo 2019:
dans la lignée du Massolino. Un vin juteux, avec de la richesse mais sachant rester bien équilibré et gourmand. Très très belle entrée en matière.
Barbaresco cru “Rizzi” 2018
Sol Argilo-calcaire avec veines sablonneuses.
La colline qui abrite le cru Rizzi est vaste et de geologie un peu differente par endroit. On retrouve donc ce savant mélange dans cette cuvée qui fait son charme unique. Un Barbaresco élégant, avec beaucoup de finesse et des tanins souples. A noter la longue finale nerveuse.
Barbaresco cru “Nervo” 2018
Sol constitué de marnes blanches et de sable.
Le plus élégant de la gamme, un vin aux accents presque féminins. Notes florales douces (violette), une pincée d’épices et un trait de réglisse. Les tanins sont bien mûrs et se laissent deviner sans jamais prendre le dessus. La texture est soyeuse, l’alcool ne se fait pas sentir et l’acidité est bien présente. La finale est douce et longue. Une vraie caresse ce vin.
Barbaresco cru “Pajore” 2018
Sol marno-calcaire assez pauvre exposé plein sud.
Un cru qui développe des vins puissants mais très expressif sur le poivre noir, le clou de girofle, les fruits rouges. La bouche est pleine et l’attaque franche. Les tanins se font bien présents mais ne sont pas massifs, au contraire ils sont assez soyeux. Pas de sensation de chaleur en fin de bouche. L’acidité tient bien le vin et lui permet de mettre en avant autre chose que sa puissance. C’est un Barbaresco qui demandera du temps pour s’apprécier pleinement mais qui a également une belle aptitude à la garde. Le cru Pajoré est reconnu pour faire partie des meilleurs de l’appellation.
Barbaresco Boito riserva 2016
Vignes situées dans la meilleure partie du cru RIZZI là où il y a une double exposition et des sols profonds et argileux.
Ce vin développe des tanins de grande qualité et propose une charpente robuste capable de défier le temps (30 ou 40 ans ne lui fait pas peur si les conditions de conservation sont adéquates). La bouche est puissante en jeunesse mais jamais vulgaire. Austère, il n’est jamais facile à déguster si jeune mais la combinaison matière, tanins racés et acidité savent nous rassurer quant au potentiel d’évolution de ce bébé. Grand vin en devenir.
Bilan
2018 est un millésime très prometteur, plus classique que 2017 d’un point de vue météo mais avec des vins proposant un poil plus de richesse tout en sachant rester frais et surtout avec une belle trame acide. A noter les tanins bien mûrs également qui permettent de pouvoir les déguster sans appréhension sur une période de jeunesse si on le souhaite. Sur cette dégustation, mes 2 coups de coeur sont le langhe nebbiolo 19 ainsi que le Barbaresco "nervo" 2018 superbe de finesse
DIEGO MORRA
installons nous !
Verduno Pelaverga 2020
Comme vous le savez peut être, ce vin est mon petit bonbon, ma madeleine de Proust dès qu'il y a un rayon de soleil.
Il est une top alternative aux rosés, se marie avec des poissons, se sert à l'apéro...enfin bref il peut passer partout.
La caractéristique de ce vin ce sont ses notes de poivre blanc moulu qui vous sautent au nez et en bouche. Le vin est fluide et glisse tout seul. Un pousse-au-crime
.
Barbera d’Alba 2020 (fraîchement embouteillée)
Pas de Barbera sur 2019. Donc après les très bons 2018, on passe direct en 2020. L’échantillon goûté vient tout juste d’être mis en bouteille et le vin a besoin de poser. En l’état, on a de la framboise, quelques épices, et un joli jus frais et vif où l’acidité est encore un poil haute. A regoûter un peu plus tard mais ça semble être une Barbera moins exubérante et riche que parfois. Toujours intéressant de déguster en échantillon.
Barolo Zinzasco 2017
De tous les Barolo goûtés en 2017, celui-ci est clairement le plus fin en terme de matière de la gamme (et oui, avec un beau terroir et une gestion intelligente de la vigne, on peut faire des vins fins même en année chaude). Comment ne pas le mettre en pirate dans une soirée Côte de Nuits ? Beaucoup vont se faire piéger. L’aromatique est encore timide à ce stade avec des notes florales et quelques épices douces mais nul doute que tout cela va se complexifier d’ici une paire d’années.
Barolo Monvigliero 2017
On monte d’un cran par rapport à l’autre Barolo (Monvigliero oblige !). La matière est toujours fine, joli toucher de bouche délicat, quelques tanins bien mûrs. La rose fanée est plus présente et les épices gagnent en intensité ainsi que quelques notes d’agrumes je trouve. Tout est fluide et bien séquencée. Une très jolie bouteille pour les 10 prochaines années.
En résumé, je suis très content d’avoir pu retrouver les vignerons et avoir pu déguster les Barolo avec quelques mois de bouteilles. J’ai obtenu la confirmation que le millésime 2017 est très intéressant et qu’il ne faudrait pas passer à côté en le snobant sous prétexte de quelques critiques qui ont été faites sur des vins qui n’étaient pas prêts du tout il y a encore 8 mois. Je suis heureux de constater que la critique se met à jour et publie ici et là des correctifs ou décerne finalement de bonne notes à certains vins et ce n’est pas fini.
Pour l’anecdote : Enrico de chez Rizzi me confiait que les gens commençaient, avec 1 an de retard, à découvrir les 2017 sur Barbaresco avec grand plaisir et beaucoup regrette de ne plus pouvoir en acheter faute de stock suffisant.
Merci de m’avoir lu jusque-là et j’espère que cela vous donné une bonne quantité d’information qui sauront orienter vos choix futurs et améliorer votre connaissance des vins de la zone.
Pour rappel, nous recevrons l’essentiel des Barolo 17 et Barbaresco 2018 (Rizzi,
Ca’Nova
) début Novembre - Les
Sottimano
sont partis du domaine et arriveront d’ici 3 ou 4 jours en cave.
Nous songeons à mettre en place un système de précommande sur certaines des cuvées. Nous verrons ça le mois prochain et j’aurais certainement l’occasion de communiquer à nouveau sur le sujet via une newsletter.
Excellente journée et bonne reprise à tous les Aoutiens qui retrouvent le chemin du travail.
Olivier
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