J'ai parfaitement compris ce que tu voulais dire ..... (bbb)
N'empêche que je ne peux être d'accord avec toi car pour moi, le nez même pris isolément est important, certes moins important que les qualités en bouche mais important tout de même. A croire que vous (toi et d'autres) n'êtes jamais tombé sur un vin où vous avez eu du mal à retirer le nez du verre, tellement il est agréable et captivant ?! Evidemment pourque je sois totalement satisfait il faut qu'en bouche le vin soit de bon niveau aussi.
Olif,
Il faut que tu saches que j'ai hésité longuement entre fiente de poule et étron de bûcheron mais j'ai opté pour le moins .... violent. "Toutes ces notes se dissipent en général plus ou moins complètement à l'aération pour révéler un vin d'une fraîcheur incomparable.
Il fût une époque où je me baladais souvent en forêt, je puis t'assurer que la "marque" du bûcheron ne doit être en aucun cas aéré, sous peine de désagréments olfactifs immédiats. Pour la fraicheur tu repasseras aussi !
Mais visiblement nous n'avons pas les mêmes références .... (aaa)
Pour la serpillère, en effet, je reconnais mon erreur mais je suis pardonnable, j'ai un cursus scolaire bien moins éloquent que le tien, ceci expliquant cela. Il ne peut y avoir que des médecins ..... Déjà qu'il y en a beaucoup trop en mon goût sur LPV. (aaa)(aaa)(aaa)
JMM,
Pas de contre exemple fromager s'il te plait, sinon je ressors mes exemples (foireux ?) relatifs au foot ou à la formule 1. Attention !!! (aaa)
Ah!!! que serait une formule 1 sans ce merveilleux bruit d'un moteur hors normes ? Le bruit des F1 c'est le nez du vin, ça créé l'ambiance avant d'y être.
Désolé d'être un peu tard sur la balle, mais j'ai du mal en ce moment...
Merci Luc pour tes précisions concernant la notation Parker (que je connaissais déjà en gros... je parle de la notation(aaa)) et sur l'absence de précisions pour les autres..., et entièrement d'accord avec ton avant-dernier message (l'importance du nez me semblant en effet incontestable, et indissociable de l'appréciation en bouche, dans le cadre de la rétro-olfaction).
D'accord aussi avec les messages de Philippe Barret, d'Olif, et avec l'avant-dernier de Martinez rapportant les propos d'E. Peynaud.
J'ajouterai que pour moi ce ne sont pas souvent les vins les moins immédiatement expressifs au nez qui sont les moins grands. Combien de vins fermés, réduits, etc., ne s'ouvrent-ils pas merveilleusement avec l'aération, alors que d'autres au nez flatteur dès l'ouverture sombrent dans l'"anonymat olfactif" après quelques (dizaines de) minutes. Et en bouche, cela se confirme souvent...
A noter que la question du nez ne se pose pas sur les sodas type Coca, Sprite, Orangina... Un breuvage qui a du nez c'est pour moi déjà la marque d'une certaine "noblesse".