1. Domaine Leflaive Puligny-Montrachet 1er cru Les Folatières 2004
2. Domaine Bouchard Père et Fils Puligny-Montrachet 1er cru Les Folatières 2004

Juste pas trouvé le millésime ni l'appellation.

Olivier

Montrose 9/20......... problème de bouteille ??

Apparemment, pas de problème de bouchon ou autre.
Peut être le vin était-il dans un mauvais jour mais en tous cas, tu verras demain que les notes de mes collègues ne sont guère meilleures.

Olivier

Bonjour,

Ravi de voir Cos d'Estournel 1990 se montrer toujours aussi agréable à boire.
C'est l'un des vins rouges qui un jour m'a fait penser que je trouverai du plaisir à suivre ce type de breuvage.

Dire qu'a l'occasion des 15 ans du millésime J.G. Prat qui était régulièrement interviewé à l'occasion de grandes dégustations de son vin et alors que le domaine vivait une période de mise en avant médiatique, estimait qu'il convenait de ne plus trop l'attendre.
Je ne pense effectivement pas qu'il faille en attendre plus, mais quel plaisir à le déguster, à mon humble avis sans avoir à se presser pour profiter pleinement de ses qualités gustatives.

Quant au Montrose 1990 !?!??
La bouteille bue à l'aveugle avec Luc, Anthony, Claude, Thierry et Yves - Jérôme ayant dû s'absenter - il y a déjà 2ans1/2 (trop longtemps lapassionduvin.com/p... ), nous avait fait toucher du doigt comment on pouvait se laisser aller à mettre une note parfaite à un Bordeaux (et pourtant nous étions tous déjà fatigués autour de la table). Nous nous accordions à dire qu'il fallait absolument attendre quelques années pour que ce vin se livre, mais c'était incrachable.

Je suis tout autant interloqué par la pâle prestation du Lynch Bages 1990 (mon 2e chouchou avec Cos dans ce millésime) : mes 2 récentes rencontres ne m'ont pas déçues. Je suis donc surpris de ce résultat médiocre. Ai-je eu de la chance, ou la Belgique a-t-elle subi un incident ?

Lagrange 1990 : en ligne avec l'appréciation. Je l'ai bu 2 fois récemment et à chaque fois il démontrait une belle structure, du fruit et de la fraîcheur. Le bouchon qui s'est affirmé avec le temps lors de la 1ère occasion n'arrivait pas à éteindre les qualités du vin, rendant frustrant de ne pas pouvoir en profiter pleinement. La 2e occasion rendait totalement justice à cette cuvée.
Pour autant, je suis resté sur ma faim en ayant le souvenir d'un vin un peu plus "tendre". Ici il se montrait quelque peu "musclé" et moins à mon goût.
Je n'aurais donc pas noté mieux.

Léoville Barton 1990 comme souvent apprécié, sauf par moi qui suis toujours passé à côté.
Je me souviens de l'avoir proposé à l'aveugle alors que j'étais spécialement venu à Paris pour y organiser la toute 1ère rencontre entre de 30 ou 40 LPViens qui ne s'étaient jamais vus auparavant (depuis les Cercles LPV Paris sont "obligés" de porter des numéros ).
Une sorte de pré-rencontre avec la 15aine de LPViens qui ne pouvaient se rendre à la "vraie" soirée avait vu ce vin sortir en tête haut la main, et moi dubitatif demandant à tous pourquoi ils l'aimaient tant que ça.
Comme quoi la relativité des choses...

Pichon Longueville Comtesse de Lalande 1990 : frère maudit de Léoville Barton dans mon panthéon.
Je n'ai pas, ou du moins je n'avais pas d'a priori envers aucun des 2 domaines. Mais à chaque fois dégusté à l'aveugle sur de nombreux millésimes le résultat fut le même, je boudais. 1990 ne faisant jamais exception.
Enfin 1995, mais ce n'est pas un Comtesse typique, à vaincu le singe indien a quelques reprises. D'autres années on su fissurer la malédiction de temps à autre.
Cependant, tout comme Barton, ce n'est pas un vin que je recherche.
Ce n'est pas une critique de fond, chacun a ses chats noirs.

Cordialement,
dfried

3ème after
Robe or soutenue.
Nez un peu grillé, bouche puissante, gourmande. J'adore
Grange des Pères blanc 1999

4ème after
Robe ambrée.
Nez de raison sec, bouche tendue, belle acidité.
Beaucastel VV 1997

5eme after
Robe largement brunie.
Nez d'épice, légère volatile.
Bouche très épicée, volatile marquée.
En l'état, ça ne me plaît pas.

Château Musar 1990.

6eme after
Robe dense, nez très concentré , tout comme la bouche.
C'est costaud, le tanin est présent, belle longueur. Très beau !
Charvin 2000

7eme after
Belle densité, nez très flatteur, de fruit très mûr, bouche suave, tanin de soie, très belle longueur. Superbe !
Guigal Côte Rôtie La Landonne 2002.

Vous ne trouvez pas que c'est un peu "gacher" que d'ouvrir des bouteilles comme celles-ci en after ?

Belle série

Julien

koko591 écrivait: " Vous ne trouvez pas que c'est un peu "gacher" que d'ouvrir des bouteilles comme celles-ci en after ? (...) "

Bonjour,

Pas d'inquiétude à avoir. Entre le sanglier rôti et le reste des victuailles gargantuesques il leur faut bien apporter du liant
Et puis certains participants devaient certainement réclamer quelques antidotes gustatifs.

Quoi qu'il en soit, sans nul doute une belle soirée du CDR-LPV Belgique dont les analyses a froid seront instructives.

Cordialement,
dfried

le bingo de la soirée semble être haut batailley 90, un gros rapport Q/P je suppose.

Sinon mettre sociando et haut bailly l'un derrière l'autre (ce qu'on avait fait avec Paca) et je n'ai aucun doute sur la supériorité de haut-bailly. maintenant les effets de séquence ou de bouteille moins brillantes (le côté animal décrit par olivier sur haut-bailly n'engage rien de bon par exemple) ont pu jouer.

Embarqué hier soir dans la rédaction on line du compte rendu, j'ai, honteusement, oublié de vous exposer les conditions de service.
Comme d'habitude, les vins ont été ouverts à l'avance, non carafés, servis dans un ordre aléatoire, par série de 3 vins.

Les CR rédigés représentent mon ressenti.
Il faudra donc attendre au minimum la publication du tableau reprenant les notes globales pour se forger une opinion plus précise sur l'ensemble de la dégustation.
Je pense qu'il y aura certaines divergences entre les dégustateurs.

Sinon, j'en retire, à titre personnel, pas mal de satisfaction puisque je note la moitié des vins au dessus de 14/20, ce qui, dans mon échelle de notation, signifie un vin que j'aurais acheté.
Bien sûr, à la découverte des étiquettes, au moins 2 surprises avec un Montrose 1990 bien en deçà de la réputation de ce vin sur ce millésime et un Lynch-Bages 1990 représentant un vin racoleur (je crois avoir annoncé une p ... qui a mal vieilli ) sans finesse, complètement affadi ...

Personnellement, je n'attendais pas Sociando-Mallet à ce niveau et Haut-Bailly démontre ses belles qualités au vieillissement.
Dommage pour ce dernier que je n'ai pas plus d'anciens millésimes en cave.

Sinon mettre sociando et haut bailly l'un derrière l'autre (ce qu'on avait fait avec Paca) et je n'ai aucun doute sur la supériorité de haut-bailly. maintenant les effets de séquence ou de bouteille moins brillantes (le côté animal décrit par olivier sur haut-bailly n'engage rien de bon par exemple) ont pu jouer.

C'est vrai que le hasard du mélange des échantillons aurait pu mieux faire les choses et je suis certain qu'on aurait eu des notes serrées si ils avaient été goûtés dans la même série.

Pour Haut-Bailly, je te rassure Laurent, la note animale a vite disparu mais lorsque je rédige en direct je note toutes mes impressions.
Le fruité apparaissait et il est très probable que dégusté plus tard, le fruité aurait dominé la palette aromatique. Assurément un très beau vin hier soir !

Olivier

Pour ma part, je trouve que cette variabilité si importante d'une dégustation à l'autre pour un même vin a tout de même quelque chose d'un peu décourageant.

Il faut enfin saluer la qualité des afters proposé par Luc.
Ce coquin de Luc nous a gratifié d'une étude in situ de 2 grands climats interprétés par 2 domaines avec le 1er cru Puligny-Motrachet Folatières sur le millésime 2004.
Pour info, la bouteille du domaine Leflaive avait été carafée 5 heures avant dégustation et malgré cette aération, elle ne s'est jamais départie de ce côté grillé qui, hier soir, m'a particulièrement gêné tant il dominait toute la dégustation tant au nez qu'à la bouche.
J'espère que le vin évoluera favorablement.
Par contre celui du domaine Bouchard Père et Fils était tout simplement somptueux et impossible de citer le millésime 2004. Chapeau bas !

Confirmation, si besoin en était, de la qualité des vins de Grange des Pères dont nous avons eu le privilège de goûter hier soir le blanc. Merci Luc.
Ca doit être ma troisième rencontre avec un blanc du domaine et je suis toujours aussi séduit.
Beaucastel dans un registre différent et la comparaison côte à côte avec le Grange des Pères lui a été fatale mais cela reste un beau vin de table !

Dans les rouges, je n'ai pas du tout accroché au Château Musar 1990 dominé par la volatile dont j'accepte habituellement le côté rafraichissant mais ici, ce fut too much !
Par contre, je n'ai pas pu mieux situer le Charvin 2000 que dans le Rhône Sud. A mon sens un vin qui en a encore sous la pédale et qu'il ne faut pas se presser de boire.

Et comme les premières arrivent à tout âge, merci Luc pour ce privilège et cet honneur de nous avoir permis de toucher des lèvres et du nez cette Côte Rôtie La Landonne 2002 de Guigal.
Un grand vin dans un petit millésime mais quelle énergie et quelle maturité du tanin. Equilibre magistral, vin d'esthète et de gourmandise.
Merci m'sieur !

Enfin (Luc était branché 1990 ) j'ai oublié de vous conter la dernière bouteille pour la route.
Rieussec 1990 superbe d'équilibre, nez enivrant, corps fin, long aux arômes entêtants, finale superbe de fraîcheur.
Un vin qui clôturait dignement cette merveilleuse soirée.

Merci Luc pour ces beaux moments !

Olivier

Pour ma part, je trouve que cette variabilité si importante d'une dégustation à l'autre pour un même vin a tout de même quelque chose d'un peu décourageant.

Michel,

Si tu évoques Montrose 1990, je ne serais pas d'un grand secours car je ne l'ai pas encavé et la bouteille d'hier doit être mon seul exemplaire dégusté.
Mais Luc a confirmé que dans d'autres circonstances, elle avait quasi touché au sublime.

Mais je comprends le découragement.

Olivier

Olivier,

il y a Montrose mais également Lynch-Bages...Ce sont tout de même des quilles renommées !

Pour Haut-Bailly, je te rassure Laurent, la note animale a vite disparu mais lorsque je rédige en direct je note toutes mes impressions.
Le fruité apparaissait et il est très probable que dégusté plus tard, le fruité aurait dominé la palette aromatique. Assurément un très beau vin hier soir !

merci pour ces précisions olivier qui donne des pistes plus intéressante qu'une simple note.

Exact !
Et sur ce vin, j'avais 3 bouteilles (celle d'hier soir était la dernière).
Le vin, sur les deux premiers exemplaires s'est toujours montré en force et en rondeur, note d'élevage prononcée ... etc.
Trop fardé, il a fané.

Olivier

Je rejoins le découragement qu'on peut ressentir: on économise un an pour s'acheter Montrose 1990, et on tombe sur une bouteille digne de rejoindre la sauce du sanglier...
Est-il possible d'avoir des infos sur les niveaux des bouteilles?
Le Montrose 1990 bu il y a quelques mois était magnifique.
Par contre, Barton 1990 était nettement moins à son avantage...
Sur des vins de 22 ans, difficile de ne pas avoir de différences notables à la dégustation.
Mais encore une fois, sur des vins pour la plupart hors de prix, le prestige des stars du Bordelais se prend encore une belle claque (et quand on y ajoute la dégustation de Laurent avec Poyferré 86 et les autres...).
Finalement, sauf pour quelques exceptions, on a l'impression que le vrai plaisir s'est manifesté pour les vins de l'after...

Pour Montrose 90 c'est connu qu'il y a des lots défectueux et je ne mettrais jamais le prix actuel sur cette bouteille.
Pour St Pierre 90 que j'ai bu deux fois, il me reste encore une bouteille, cela doit être un défaut de bouteille car je l'ai trouvé toujours très bon.
Pour Calon ségur, Haut-Bailly et Lagrange je rejoins vos commentaires dans l'ensemble. Pour ce dernier j'ai bu une bouteille exceptionnelle il y a quelques années mais qui provenait du château.
Sur ce millésime, pour ce que j'ai bu, mon trio c'est Poyférré, Las Cases, et Monbrison. Pour Monbrison les meilleurs bouteilles venaient toujours du château.

jmw

Merci de cet interessant compte -rendu de dégustation.

Comme certains, je n'ai pas reconnu certaines bouteilles que j'ai moi-même en cave ..mais n'étant pas présent, je me garde de tout commentaire.

Certaines deceptions ne m'etonnent guère (Calon Ségur, Pichon Lalande notamment). D'autres m'interpellent plus par contre. Les bouteilles ont elles été achetées dès l'origine ou au fil du temps ?

YR

Les bouteilles ont elles été achetées dès l'origine ou au fil du temps ?

YR,

En ce qui concerne mes apports - Léoville-Barton, Lynch-Bages et Sociando-Mallet - les bouteilles ont été achetées dès leur sortie sur le marché.
Je pense que c'est le cas pour les autres apports dont Montrose.
Luc pourra le confirmer puisque c'est lui qui l'a offert ainsi qu'une majorité des vins de la dégustation de ce jour-là.

Olivier

Le tableau des notes de l'ensemble des dégustateurs va être publié incessamment ... sous peu mais néanmoins, voici le podium de la première à la cinquième place :

1. Château Cos d'Estournel
2. Château Sociando-Mallet
3. Pavillon Rouge du Château Margaux
4. Château Haut-Batailley
5. 3 ex æquo : Château Figeac, Château Léoville-Barton et Château Lagrange

Bonne journée,

Olivier

Merci Olivier de nous avoir fait part de tes impressions d'une manière aussi rapide que précise.
Pour ma part, je sors de cette dégustation avec un sentiment mitigé, avec tout de même de la déception sur pas mal de bouteilles, sans doute parce que j'en attendais plus que la plupart des autres participants qui sont un peu fâchés avec Bordeaux.
Toutes les bouteilles ont été ouvertes vers 13h, la dégustation débutant après 20h. Pas de carafage et service dans un ordre aléatoire comme rappelé par Olivier.
La plupart des bouteilles provenant de ma cave sont des achats de longue date et font partie de mes premiers achats au début de ma passion, a l'exception de Montrose, acheté il y a quelques années à un confrère et pour lequel je n'avais a a priori pas de craintes particulières quant à sa bonne conservation, et Cos d'Estournel, au sujet duquel je suis certain d'une parfaite conservation depuis la sortie, vue que c'est un cadeau que m'a offert Thierry Debaisieux, dont la qualité de la cave est légendaire. Un grand merci à lui pour cette magnifique bouteille qui a survolé les débats.
Je reviendrai un peu plus tard sur les vins qui m'ont le plus marqué, il faut que je remette la main sur mes notes...

Luc

1. Château Sociando-Mallet
2. Château Trimoulet (Saint Emilion GC)
3. Château Calon-Ségur
4. Château Larruau (Cru Bourgeois à Margaux)
5. Château Haut-Bailly
6. Château Pichon Longueville Comtesse de Lalande
7. Pavillon Rouge du Château Margaux
8. Château Cadet-Piola (Saint-Emilion GC)
9. Château Lafon--Rochet
10. Château Cos d'Estournel
11. Château Saint-Pierre
12. Château Montrose
13. Château Figeac
14. Château Pontet-Canet
15. Château Canon (Canon Fronsac)
16. Château Haut-Batailley
17. Château Léoville-Barton
18. Château Lynch-Bages
19. Château Lagrange
20. Château Cantenac Brown

YR,

Après les précisions apportées par Luc, Benoît (le 3ème fournisseur) me confirme que les vins ont été achetés dès leur sortie.

Olivier

Je trouve que ma cotation est assez haute!
Bordeaux n’est pas ma région favorite mais je dois dire quand même que quand le vin arrive à se sublimer c’est quand même pas mal !
À un certain moment, je crois qu'il faut quand même différencier son goût à la qualité intrinsèque du vin!
Maintenant, ais-je la patience d’attendre 20 ans pour éventuellement être déçu sur une bouteille?

Cependant, et j’aimerais les avis des expert.
Quand je regroupe mes notes sur des bouteilles bordelaises, j’en retire quand même que le millésime qui ressort gagnant systématiquement c’est 1989 en tous cas en rive gauche ! Ex :Haut-Bailly, Barton, Las cases, sociando…)

Un tout grand merci encore à Luc pour son accueil et sa générosité, et à Olivier, notre scribe d'un soir, pour la publication en instantané de son ressenti sur les vins dégustés.

N'étant pas a priori complètement réceptif aux vins de Bordeaux, je me suis imposé, avec toute la difficulté que cela comporte, le maximum d'objectivité possible, tout au long de la dégustation.
Mais il reste que j'en ressors très perplexe...

Compte tenu du programme annoncé et de la réputation du millésime, je m'attendais à quelques émotions fortes, quelques vins dont la très haute qualité m'apparaîtrait comme une évidence, et me permettrait d'enfin comprendre ce qui fait la réputation d'un vin de Bordeaux... L'émotion générée par la dégustation d'un grand vin produit par un château reconnu dans un grand millésime et abordé à maturité...
Mais, hélas, ce ne fut pas le cas...

Cos d'Estournel est pour moi un très beau vin, incontestablement, et indépendamment de mes goûts personnels... Mais ce fut le seul !
Pavillon Rouge de Château Margaux et Sociando-Mallet sont deux beaux vins, mais un net ton en-dessous tout de même...

Et tout le reste me laisse dans un état de profonde perplexité...
Sans même avoir égard au prix des bouteilles, facteur qui augmenterait encore ma perplexité...

Bref je m'attendais vraiment à recevoir enfin les clés qui me permettrait d'appréhender la qualité des vins du Bordelais, la renommée de la région, et j'espérais secrètement déguster enfin quelques grands Bordeaux dont la qualité indiscutable m'apparaîtrait comme une évidence, et transcenderait mes goûts personnels...
Excepté Cos d'Estournel, ce ne fut pas le cas, loin de là... Compte tenu de la réputation des vins dégustés dans ce millésime, je suis vraiment surpris de mon ressenti durant cette dégustation, qui finalement m'aura encore un peu plus éloigné de Bordeaux et de ses vins...

Quand je pense au plaisir intense ressenti juste après en dégustant la Landonne 2002 de Guigal, je me dis qu'il y a définitivement quelque chose qui m'échappe dans tout ça...

bravo et merci

très intéressant et plutôt inquiétant ... mais les résultats du CDR LPV Belgique sont souvent déroutants ... pourquoi ?

Luc as-tu re-goûté les bt le lendemain et as-tu noté une évolution, en particulier sur les vins décevants ?

à noter que sur 20 bt, 2 (10%) sont bouchonnées et que si l'on impute les causes de la déception sur Montrose et Lynch Bages (2 vins merveilleux!) au bouchon, ce qui est plus que probable,
on arrive à un déchet de 20% ... cela en devient franchement ridicule !

Luc as-tu re-goûté les bt le lendemain et as-tu noté une évolution, en particulier sur les vins décevants ?

Heu, non, le lendemain, je n'étais pas vraiment en état, après une petite trentaine de bouteille dégustées, seulement 4 heures de sommeil et une journée de travail... Je crois que je suis trop vieux pour ces conneries...

Luc

Luc,

tu devrais prendre congé le lendemain quand tu sais que tu vas avoir une telle soirée...

jlj