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Ce négociant ne semble pas avoir de rubrique. Je passe souvent devant leur jolie demeure en allant Meursault depuis Auxey, mais ne m'y suis jamais arrêté.
Par curiosité j'ai toutefois goûté un vieux flacon.

Maison Ropiteau - Côte de Nuits Village 1984

Ce vin issu d'un millésime peu réputé a tout de même vieilli plutôt correctement, grâce a sa structure typique de la côte de nuit, et ma foi nous a donné du plaisir malgré ses notes de déclin (fraise des bois, dépot important). Il a du être bien fait pour un 84, mais il était temps de le boire.

Dautre part, voici un ancien message d'Anthony contenu dans un vieux sujet :
'' Bu un verre de Meursault 2001 de Ropiteau Freres.
J'ai énormement apprécie sa fraicheur et cette déclinaison du cépage qui fait la part belle a la buvabilité et au gout, tout en restant fidèle a ses origines. Le boise y est bien intégré, conférant de jolies notes beurres sans entrer dans la gamme de l'exotique et de l'opulence. J'ai personnellement beaucoup aimé.

Cheers, Anthony''

la maison a change de mains trop de fois ces dernières années et de vinificateur

il deviens difficile de savoir .Aujourd'hui c'est le groupe boisset(boisset, jaffelin, honore lavigne, compagnie des vin d'autrefois, ropiteau , domaine de la vougeraie....) qui possède cette maison et je n'ai pas encore gouté de vins d'exeption comme avant les années 1970 surtout en blancs

vive la mondialisation !!

Maison Ropiteau Frères - Morgon 1978
(assez bon niveau, 5 € enchères)

Bouteille ouverte en octobre 2009
Bouchon : moyen, totalement imbibé.

Robe : framboise, un peu opaque, légère pelure d'oignon en bord de disque.
Nez : agréable, sur les fruits rouges, mais aussi sous-bois et truffe.
Bouche : attaque nette et ample sur une belle matière, qui offre un joli fruit, mûr et assez gourmand, bordé de légères notes fumées.

Très bon vin, que l'on a d'autant plus de plaisir à déguster que c'est évidemment un peu aléatoire d'ouvrir un gamay de plus de 30 ans, mais cette bouteille démontre qu'un beaujolais peut remarquablement vieillir.
Ça me remet en mémoire un bourgogne passetoutgrain (c'est-à-dire pinot + gamay) de 1925 ouvert au printemps dernier, en l'honneur de ma mère née cette année-là, et qui était remarquable de finesse.

16/20

Jean-Pierre

Ropiteau Freres Meursault villages 2007 :

Bu en accompagnement d'un bar roti.
Belle robe jaune pâle,
Nez assez expressif qui exprime un coté floral mais aussi un coté grillé,
En bouche, c'est assez gras, avec des arômes de fleurs, herbe mouillée, tilleul mais aussi un coté beurré, noisette.
C'est un vin assez facile à boire, avec une finale plutôt courte qui s'effondre un peu d'un seul coup. Pas de persistance aromatique, dommage.

Bonjour à tous,
Ropiteau Frères Volnay "Clos des Chênes" 1926
Voici mes impressions concernant un vieux flacon que j'ai acquis chez un de mes amis connaisseurs. (pour info 40€ sur un certain site d'enchères, donc un gros risque...)
Très beau niveau (+/- 5-6cm), étiquette un peu sale mais impec, capsule et bouchon nickels.
Robe : Marron foncé, une matière colorante franchement étonnante pour un pinot noir de 83 ans ! Belle brillance.
Nez : Premier nez de chocolat noir très puissant. Une fois pris 1-2° et un peu aéré, il a présenté un superbe nez de caramel, d'épices et de fruits noirs compotés.
Bouche : La première impression qui me vient à l'esprit est de l'étonnement car ce papy a conservé pas mal de tanins (fins) et d'acidité et de fraicheur. Les fruits compotés se confirment en bouche, de même que les épices, mais avec un côté tertiaire de sous-bois, champignon que j'avais moins au nez.
Le vin présente une belle longueur pour son âge !
Assurément un superbe moment passé en sa compagnie en cette fin d'année 2009.
Heureusement que mon ami possède encore un de ces beaux flacons et qu'il veut bien me le céder (à un prix encore plus raisonnable)... Sans quoi, le plaisir aurait été atténué par un brin de frustration ! ;-)

Ropiteau - Corton Charlemagne 2011

Bu samedi dernier sur l'entrée d'un dîner chez des amis, avant le Château Margaux, qui accompagnait le plat (cf le C.R).

Alors, autant le Margaux qui a suivi s'est révélé somptueux, autant ce vin fut un désappointement. Servi sur une poêlée de Saint-Jacques :
Nez muet.
En bouche le vin est très peu loquace, on reconnaît le chardonnay, mais la matière est maigre; le vin n'est pas déséquilibré, il est juste... comment dire... Faiblard.
Pas d'excès d'acidité, pas de mollesse non plus, juste un vin au niveau d'un bon générique/village moyen. Et on n'a pas le sentiment qu'il soit fermé et qu'il offre de belles promesses.

Ne connaissant pas Ropiteau, quelques recherches m'ont appris que la maison Ropiteau appartient maintenant à un groupe de négoce; j'ai le sentiment que c'est devenu une simple marque.

En tous cas, ce vin, même extrêmement jeune pour être déjà bu (et là je n'y suis pour rien), n'offre aucune des promesses que l'on serait en droit d'attendre d'un Corton Charlemagne. Moyen (tout juste ) parce que je n'aime pas dire médiocre (pour l'appellation).

Cordialement,

Jean.

J'avais récupérer un lot de Maison Ropiteau - Saint-Aubin 1er Cru (sans lieu dit), 2009.
Excellents pour les plats en sauce.

Timo

Maison Ropiteau - Chablis 1er Cru Vaillon 2014

Bu via un Coravin sur dix jours.

Le nez restera d’une certaine élégance, sur l’herbe fraiche, un coté beurré, et un peu de fruits jaunes
Première période : joli attaque sur les fruits jaunes, herbe et citron, mais milieu finale et longueur qui présente uniquement un squelette minéral et eau de roche, sans matière ni arômes
Seconde phase avec un peu plus d’expression aromatique en milieu de bouche
Dernière phase uniquement sur le zeste de citron et la minéralité, monolithique.

Conclusion : un joli nez, mais pour un premier cru et le tarif qui va avec on en attend un plus. Les autres bouteilles attendront.

Maison Ropiteau - Meursault 2014

Acheté il y a quelques années pour un tarif plutôt intéressant pour l'appellation.

Joli nez expressif, fruits jaunes, beurré, pain grillé.
Bouche un peu en dessous, bel équilibre, manque un peu de tout pour en faire un grand vin. Pas très complexe, mais des arômes précis et fins, bel équilibre sur la tension.
Bon vin, mais RQP on attend un peu mieux.
Reste une bouteille pour dans quelques années.
Bien


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Maison Ropiteau, Morey-Saint-Denis, 1961

Betterave au nez, betterave en bouche, betterave partout et en puissance !

A part pour des nostalgiques d'entrées de cantine, rien à sauver (et pourtant j'aime la betterave)

Marc
 

J'aurais bien voulu voir la tronche du Président Galinsky si tu lui avais servi ce vin...

C'était la syncope directe pour le président ! 

Marc