Il y a déjà à dire concernant l'intolérance à la caséine du lait.
Il semblerait que le lait provenant de vaches possédant dans leur patrimoine génétique la bêta-caséine A2 soit plus facile à digérer que la bêta-caséine A1.
Désormais grâce aux tests génomiques, nous pouvons connaitre le patrimoine génétique des taureaux et ainsi privilégier ( si on le souhaite) les taureaux A2/A2 qui transmettront forcément le gêne favorable à leur descendance.
En France, les éleveurs ne bénéficient d'aucune bonification de prix si leur lait est plus riche en A2 mais aux Etats-Unis et au Canada je crois savoir qu'il y a une filière dédiée avec du lait clairement identifié pour le consommateur.
J'ai bien du mal à croire que ce puisse être d'éventuelles traces de caséines de lait qui fassent qu'un vin rende malade.
Il y a beaucoup de vins qui rendent malade tout simplement parce qu'ils sont mauvais et qu'il est préférable que les consommateurs n'aient jamais vu la tête des raisins ni tout ce qui a pu être ajouté dedans.
Sylvain qui plonge tête baissée quand on critique le lait
Sylvain
Les utilisateur(s) suivant ont remercié: jd-krasaki
Peur du lait dans le vin blanc, peur du blé dans le rouge et cette phrase : "je bois sans problème du cidre brut, j'en conclus donc que je n'ai pas de réactions aux sulfites !"
Tout ça pour un nouveau membre inscrit pour le 1er avril, j'ai cru à un poisson d'avril normand
Si j'ose un parallèle avec les arômes du vin, cela prouve qu'on croit trouver quand on sait ce qu'on cherche