A priori, le domaine n'existe plus. Le stock restant est vendu par Karl Erbes à Ürzig.
Oui, je confirme (dernier millésime produit : 1997).
Pour information ce Prälat Spätlese *** 1989 (AP10) est un lot qui avait été vendu à l'époque aux enchères de Trèves.
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Le nez est charmeur, c'est sur le pétrole, le gaz, un peu de miel, le raisin sec, le safran, les épices douces. C'est intense.
La bouche est équilibrée, le sucre commence à bien s'intégrer avec une belle tension/fraîcheur sur les agrumes mais aussi un peu de mangue et de gingembre. Ce n'est pas hyper concentré mais il y a du fond et du dynamisme. La longueur est bonne.
Quentin
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Le nez est assez puissant sur l'abricot, le miel, les épices douces, il y a un côté rôti, concentré.
En bouche le sucré est encore bien là avec côté enveloppant mais contrebalancé par une superbe tension. La finale est salivante et hyper digeste avec du citron et du mentholé. Ça laisse la bouche bien fraîche. C'est super bon.
Quentin
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Le nez est expressif, charmeur sur l'abricot, l'ananas, thé, gingembre, complexe et frais.
La bouche est super bien équilibrée, c'est assez riche avec une acidité millimétrée. C'est gourmand, frais et acidulé avec une belle longueur. Une vrai friandise!
Quentin
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Bouchon très fatigué qui aura donné du fil à retordre à l'Enzo.
Robe dorée aux reflets verts.
Nez délicat, classique, sur la crème au beurre mentholée, le citron vert, des notes minérales.
Bouche sans plus aucun réserve de puissance, tant en sucrosité qu'en acidité, sur un équilibre fragile mais agréable et désaltérant quand on boit le vin pour lui même.
Finale un peu sénile car sans aucune tenue ni allonge mais aux goûts d'agrumes mentholés agréables.
Bien pour lui même mais à ne surtout pas ouvrir sur un dessert sous peine de perdre les derniers atouts de cette bouteille en bout de course.
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