je confirme que ce n'est pas un "8" à qui il manquerait un morceau, c'est bien un "6" sans aucun équivoque
et oui idealwine est censé au moins faire confiance au vendeur, ils vendent un produit et sont censés être garants du "fournisseur, fût il particulier
le problème encore une fois n'est pas la valeur pécuniaire du flacon (même si 88 est en général un poil plus cher) mais le style de vin que j'ai trouvé dans le flacon, 86 et 88 sont diamétralement différents
je suis client chez IDW depuis novembre 2003, croyez vous réellement que j'ai un quelconque intérêt à faire du "bashing" ? non juste une question simple : cela est il déja arrivé à quelqu'un ?
en tout cas je leur ferai un retour
PS : pour les étiquettes c'est comme pour les vins, tu trouves de tout...
Bonjour les enquêreurs,
De passage le week-end dernier chez un caviste bayonnais, je traîne devant la vitrine des "étiquettes" (Egon Muller, Beaucastel...) et relève qu'il n'y a plus de vins de Mr Reynaud.
Nous échangeons sur la rareté des vins allemands justement (1 Wittman, 1 Molitor et un TBA d'Egon Muller, ça fait peu...), et je demande s'ils sont toujours allocataires des Tours et Rayas.
Le vendeur m'explique ques les bouteilles sont en vieillissement, c'est à dire non offertes à la vente pour que d'opportunistes acheteurs pas aussi fidèles que moi (quoi que j'ai bien entamé la phase décroissante) n'y aient pas accès et que seuls les clients réguliers puissent les acquérir.
Ah, chouette!
Et là, le salarié m'informe que le prix du Rayas 2010, par exemple, est calqué sur la côte IDW.
1001€.
Je pense que la fidélité n'est pas une valeur marchande sur ce coup là. Et ce n'est pas plus mal.
Agnès, naïve
Les utilisateur(s) suivant ont remercié: Ilroulegalet
'Je confirme que ce n'est pas un "8" à qui il manquerait un morceau, c'est bien un "6" sans aucun équivoque,'
et oui idealwine est censé au moins faire confiance au vendeur, ils vendent un produit et sont censés être garants du "fournisseur, fût il particulier.
le problème encore une fois n'est pas la valeur pécuniaire du flacon (même si 88 est en général un poil plus cher) mais le style de vin que j'ai trouvé dans le flacon, 86 et 88 sont diamétralement différents.'
Et sont-ils davantage censés faire confiance à un amateur qui se dit capable de distinguer au palais un 86 d'un 88.....faut pas pousser le bouchon trop loin non plus.
Laisser à penser qu'un vendeur aurait collé une étiquette 88 sur une bouteille 86...... faut arrêter là !
Les utilisateur(s) suivant ont remercié: matlebat, Frisette
1988 est tout de même bien spécifique : il y a une acidité qu'il n'y a pas dans les autres millésimes. C'est sûrement pour cela que c'est mon préféré en Sauternes (en Champagne, c'est quelque chose aussi !).
Benoit Hardy post=1208336 userid=8866 S’il n’y a pas de vente, alors il n’y a pas de transaction, dès lors difficile de l’intégrer dans une quelconque cotation. Ça signifie juste que le désir du vendeur ne s’est pas réalisé et qu’il reste avec sa quille sur les bras. C’est un peu comme le marché automobile de l’occasion. Quand le vendeur devra réellement vendre alors il se soumettra au prix du marché et transaction il y aura.
Pour répondre, dans le bon fil, à Benoit (et Michel).
La différence entre l'immobilier, les voitures d'occasion et les vins, c'est que la vente pour ces derniers est assez rarement une obligation (à l'inverse des premiers) mais plutôt une vente "d'opportunité".
Dans le cas de l'immobilier, le (bon) professionnel essaiera de convaincre le vendeur que sans proposition de son bien au prix du marché, il ne se vendra pas.
Et je ne suis vraiment pas certain que ça soit la démarche actuelle d'IDW, même si in fine, il faudra bien qu'ils y viennent...
Pour aller dans le sens du sentiment baissier, les indices Idealwine fin juillet 2023 révèlent une baisse de 5% sur la Bourgogne, 2% sur Bordeaux et 0,2% sur le Rhône.