Le château aurait refusé de récupérer une seule de ces 18000 bt. écrit:

normal c'est l'assurance du transporteur qui va payer la casse, s'ils en récupèrent ça complique quelque peu les choses...

Bonjour

Ouvert sur 2 jours, un Château La Dominique 2009.

Oeil : très sombre et dense dans les pourpres.
Nez : expressif sur les fruits noirs (mûres, myrtilles) relevé sur des notes épicées avec une certaine fraîcheur réglissée ou mentholée.
Bouche : un poil serré. Ample et dense. Les tannins certes présents sont assez fins. Je regrette une petite sécheresse en final même si la finale est fraîche. Attention, il se peut qu'à une température élevée, l'alcool ressorte.

A ré ouvrir dans 4-5 ans.

Cordialement

Sylvain

Bonjour,

J'ai ouvert hier une bouteille du Château La Dominique de 1978, je l'ai trouvé très bonne proche d'un 1erGCCB.
Connaissez vous d'autres excellents millésimes ?

merci

mulard écrivait:

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> Bonjour,
>
> J'ai ouvert hier une bouteille du Château La
> Dominique de 1978, je l'ai trouvé très bonne
> proche d'un 1erGCCB.
> Connaissez vous d'autres excellents millésimes ?
>
> merci

Oui : 1982 et 1989.

et 1995, très belle bouteille!

89 et 90, 95, 2001 2005 et tout ce qui est après. Pour 82 j' émet beaucoup de doutes

gerard écrivait:

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> 89 et 90, 95, 2001 2005 et tout ce qui est après.
> Pour 82 j' émet beaucoup de doutes

"Pour 82 j' émet beaucoup de doutes" ========> tu te fiches de moi ? C'est l'un des plus grands vins que j'ai bus.
Très grande finesse et longueur.
En quoi consistent tes doutes ?
L'as-tu dégusté pour douter ?

Château La Dominique 2007 Saint Emilion

Bu lors de cette soirée lapassionduvin.com/p...

Moi: Robe sombre, on ressent encore l'élevage et des fruits noirs murs, cassis, bouche dense, riche, un poil chaude, l'alcool ressortant un peu, tanins ressentis, jeune. Bien ++

Jérôme: Nez un peu rond, légèrement mûr. Manque peut-être de volume et de longueur. Alcool un peu marqué. Trop jeune.

Yves: Vin encore sombre dans le verre, avec un nez toujours sur un fruite primaire (cassis, mûres). Touche boisée perceptible mais bien intégrée. Bouche assez fine, mais pas maigre. Bel équilibre que je situe plutôt rive droite ; 8/10 d’âge. Bon ça va je me goure pas trop. Ce vin est d’un millésime « moyen », mais il lui faut encore 3-4 ans pour s’affiner encore. Pas mal.

Stéphane

J'émettais des doutes parce que la dernière que j'ai bu était très bonne mais me semblait assez évoluée y a plus de 10ans et je n' imaginait pas que ce vin tiendrai aussi longtemps du fait aussi qu'un 89 bu il y peu me semblait bien a maturité.
Mais je te crois sur parole si tu me dit qu'il est encore parfait.
De plus j'ai bu beaucoup de st emilion 82 plus réputés qui étaient vraiment trop vieux et très moyens (les rendements des 82 étaient élevés)
Le dernier 82 que j'ai bu était un cos d'estournel qui était parfait
Bonne soirée

Saint Domingue 1998 - St Emilion GC

Cuvée parcellaire du château La Dominique. Un cru qui est apparu au moment de la vague des vins de garage et qui a, je crois, disparu depuis.

Belle couleur grenat qui commence à tuiler.
Nez intense, marqué par la prune, le cuir, l'eucalyptus. Bouche pleine, dense et quasi crémeuse. La sensation tannique est encore imposante et témoigne d'un élevage très ambitieux avec un boisé grillé qui gâche un peu le plaisir. C'est bon mais peut être un peu monolithique avec une finale légèrement amère.
Peut être lui faut il 10 ans de plus....

Denis

Oui, oui. Ça a disparu. C'était un bide commercial, et Fayat n'est pas du genre à persister dans ses erreurs.

Château La Dominique, Saint Emilion grand cru, 2001

Bouchon comme neuf, juste taché sur le miroir.
Robe avec une certaine évolution, quand la brique commence à se mêler au bordeaux.
Nez entre deux âges, où le boisé s'est fondu mais où les notes tertiaires qui commencent à poindre ne prennent pas le pas sur un fruit bien mûr enrobé de senteurs d'ovomaltine et de fumée.
Bouche très agréable, pas encore tout à fait fondue mais à l'équilibre réussi entre une matière juteuse bien mûre, une acidité agréable et de beaux tanins gras et francs. L'ensemble produit est sans dureté, d'une vraie lisibilité et sur une voie d'évolution qui mènera à un très joli vin.
Finale franche et fraîche, d'une douceur très confortable.

Joli vin, à l'avenir grand ouvert.

Bonsoir
Ce Château La Dominique 2005 était le vin choisi par notre hôte pour accompagner des tournedos de taureau aussi tendres que mes bourrelets au sortir de l'hiver.
Non carafé mais ouvert 6h avant le repas; très joli nez de fruits un peu confits, à l'alcool; mes naseaux de bovidés croient reconnaître quelque chose comme de la paille chauffée (ou légèrement fumée), mais je vois bien que ça ne fait pas consensus. Des notes tertiaires aussi, et de champignons ressortent. On ne s'en lasse pas.
La bouche est belle aussi (pas comme mes bourrelets), Quelques tanins histoire de dire que la jeunesse est presque éternelle et qu'il aura encore de la conversation dans quelques années, une aimable mâche, et une longueur tout à fait convenable pour nos palais de néophytes, nous font passer un très bon moment.
Là encore, très bel accord avec la pièce de taureau.
Ce vin nous a semblé déjà prêt et débute sûrement son petit chemin sur le grand plateau de la maturité.

Agnès, loin est la sagesse mais sur le chemin la nourriture tu trouveras

Château La Dominique Cuvée Saint Domingue 1998
couleur profonde, opaque. On rentre la tête dans les épaules et on se place avec les poings en garde haute, on boxe chez les poids lourds ! Pourtant le nez et gorgé de fruits rouges et de petites baies compotées et acidulées. J’attendais un vin plus massif, celui-là est certes puissant mais très voluptueux, solide d’accord mais aussi plein d’agilité, le Mohamed Ali du vignoble, je pense sud, Muntada 2005 ? Perdu. Deuxième round, un pinot noir moderne, là encore je suis dans les cordes, c’est une sélection parcellaire de pur merlot du Château la Dominique à Saint Emilion en grand cru classé, Saint Domingue 1998. Très beau Merlot concentré et tout en finesse sur un millésime d’anthologie.

Château La Dominique, Saint Emilion grand cru, 2010

Épaulé 2h, servi sur du foie gras.

Nez plein et profond, dominance de fruits noirs, zan, tabac froid. Pas mal du tout.
Bouche de la même veine, avec une fraicheur mentholée en plus, mais la matière est encore un peu compressée (c'est évidemment bu 5 ans trop tôt), l'acidité finale trop prononcée : il y a beaucoup dans cette bouteille, mais ce n'est pas encore totalement en place. Du potentiel.

Bien + en l'état, à attendre au moins 3/4 ans.

Cordialement,

Seb

Château La Dominique 2010

Bu la même bouteille chez un ami la semaine dernière, mon CR reprend les mêmes éléments que ci dessus : bouche et nez mentholés, un peu de cèdre, fruits noirs, touches d'élevage perceptibles. Il y' a de la matière, une acidité que je trouve un peu trop poussée. Persistance plus que correcte, il a emballé les amis amateurs de vins mais peu connaisseurs, pas moi qui trouve ce vin sans défaut (à part le léger déséquilibre lié à l'acidité) mais sans grand caractère. C'est certes encore bien jeune pour prononcer un jugement définitif.

Bien en l'état, à attendre.

Cordialement,

Seb

Château La Dominique Grand Cru Classé 2009 - Saint-Émilion
Robe grenat très foncé.
Nez sur le poivron mûr, le zan, la mûre et la cerise noire.
La bouche met en exergue une matière mûre déséquilibrée par le manque d'acidité et la perception d'une sensation de chaleur.
Cette perception chaleureuse reste présente tout du long et prend le pas sur le reste...température de service trop chaude ?

Château La Dominique Grand Cru Classé 2019 - Saint-Émilion

Ouvert 2h avant.
Nez élégant, intense, épicés, tabac, chocolat, (poivron rouge?)
La bouche est robuste en aromatique mais la trame est fine. Chocolat noir, tabac. Trèèès long finale ou le matière se termine et gagne en densité. L'élevage se fait bien ressentir mais sans écharde.
Des petits airs Médocain.

Magnifique avec un boeuf stroganoff de haute couture (noir de baltique) 
Pas facile non plus de rester objectif avec 'son propre' chateau 

Dom

 

c'est éponymement bon alors 

Château La Dominique 2009

Bouteille dégusté sans aucun préparation particulière.
La robe est pourpre sombre avec le bord tuilé/cuivré.
Le nez d’abord un peu fermé (pas d’aération préalable), exprime au bout de quelques instants des arômes de fruits noirs (mûres, myrtilles), d’épices douces et de tabac.
Le toucher de bouche est voluptueux. L’attaque est souple, c’est rond, les tanins plutôt fins mais une petite sensation de lourdeur se dégage gorgée après gorgée. Un jus peut-être encore trop mur ? Chaleur (dégustation à midi) ?. Belle longueur.
Techniquement bien fait, mais il manque un petit quelque chose à mon gout pour apprécier cette belle bouteille.

Château La Dominique 1989

Bu à l'aveugle.

Nez très évolué, fumé, figue confite.

Bouche déliée, fine, d'aromatique complexe avec de la tomate séchée, de la cerise, des notes lactées, un côté viande séchée ; veloutée, suave mais finit un peu court et manque un poil d'acidité pour relever cet ensemble pastel. J'ai beaucoup aimé malgré ce bémol.

TB+

Edit : 48h après, le vin est plus dynamique ; en revanche l'aromatique tertiaire est plus entêtante, notamment des notes de sous-bois et tomate séchées un peu monolithiques. TB seulement.

Antoine

La Terrasse Rouge organisent un événement gastronomique exceptionnel

C'est vrai pour y être aller le lieu est très cool! Et on y mange bien, même sans un casting d'étoiles 

Château La Dominique - Saint-Emilion grand cru 2000

Bouteille achetée il y a un an aux enchères dans un lot de différents St Emilion grands crus dont ce Magdelaine 2011 .

Niveau impeccable.
Ouvert 3h avant. Petite péripétie avec le bouchon qui est très mou et qui se casse au dernier tiers qui reste collé au goulot. Il faut le retirer par petits bouts. Un bilame aurait sûrement bien marché mais je ne suis pas assez expérimenté dans son maniement.
Paradoxalement, le bouchon est très peu imprégné (<5mm).
 

 

Belle couleur rouge épaisse mais bien tuilée.
Le 1°nez est moyennement intense, impression brûlée, restant de fruits noirs cuits, léger café, nuances complexes de sous-bois assez fraîches.
En agitant, c'est plus intense et jeune, cerise noire et prune macérées, fond minéral, brûlé puis café grillé.
La bouche est très fondue, d'une structure évoluée mais vaillante et fine, un peu "à l'ancienne" comme je ne l'attendais pas. C'est délicat bien qu'un peu d'astringence se ressent du début à la fin. Les arômes sont automnaux, dans un sous-bois où la nuance végétale est bien là, une finale légèrement brûlée et une persistance réglissée. Peu à peu, le fruit réapparaît avec une impression florale, le zan est présent sur la fin.
Le parcours en bouche est très agréable à mon goût, ancien style avec cette accroche en bouche et la note végétale. Il est globalement plus évolué que ce que j'aurais pensé. Je pense l'avoir cueilli à point.

Sa palette d'arômes délicats s'atténue un peu en mangeant.

Il y a quand-même une forme de plénitude dans ce vin. J'insiste sur ce style un peu révolu car j'ai eu l'impression sur deux bouteilles plus récentes (un 2011 et un 2012) que les vins de la propriété étaient devenus plus concentrés et puissants. Plus modernes, on dira, mais aussi plus impersonnels et moins touchants. Il faudrait les revoir dans dix ans, comme disait Patrick.

Patrice