Oui, pourquoi pas une femme ministre des sports tant qu'on y ait !
C'est sûr! Yade baffes qui se perdent:)

Je rejoins complètement Jean-Bernard sur l'indulgence, surtout lorsque c'est fait avec sincérité et modestie.

Jean-François: "Il n'est pas question de féminisme ou autre mais juste comme le faisait remarquer Gweno que la personne qui commande le vin est la personne qui doit le gouter ; ce n'est pas toujours retenu par les serveurs / sommeliers quand c'est une dame qui commande le vin. "

oui tout à fait... mais comment le rappeler au sommelier? sans être pédant, sans que madame passe pour une chieuse...? Pour qu'à l'avenir il ne reproduise pas ce genre de cliché (d'automatisme?) sexiste? Ma réponse: si les deux parties font preuve d'un minimum d'intelligence on y arrive très bien.

Cordialement

PS: je viens de lire ton précédent post nous sommes d'accord

hadrien écrivait:

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> Laisser son épouse choisir le vin et en plus le
> goûter, mais où va-t-on ? 65 ans que les femmes
> ont le droit de vote et voilà le résultat !

Ok pour que les sommeliers fassent spontanément goûter le vin aux femmes, mais alors qu'ils leur présentent aussi spontanément l'addition ><

je pense que les femmes qui prennent mal (légitimement) le fait d'être snobé au moment de goûter le vin, le sont tout autant au moment de l'addition... mais peut être l'une d'entre elles voudra répondre ici

J'ai souvenir d'un dîner ou je ne comprenais pas les multiples tergiversation de mon invitée au moment du choix. Je n'ai sus que longtemps plus tard que sa carte ne comportait pas les prix...
Cela peut être très gênant pour une femme qui du coup n'à aucune visibilité.

Gautier

Ou alors très plaisant de choisir uniquement en fonction de ses goûts et non plus d'un budget (homme ou femme d'ailleurs). J'aimerais bien un jour être invité au restaurant et pouvoir choisir un vin sur la base d'une carte n'affichant pas les prix. Autre alternative, être suffisamment riche pour ne plus se poser de question.

Zeff60 écrivait:

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> Tout comme (et c'est HS), dans les restaurants qui
> présentent des menus sans les prix sauf pour la
> personne qui invite, lors de diners en tête à tête
> avec ma femme, c'est systématiquement moi qui ait
> le menu avec les prix... c'est embarrassant
> lorsque ma femme m'invite pour mon anniversaire !

==>Pour le moment, à chaque fois que j’ai précisé que c’était moi qui invite, mon Astre n’avait pas les prix

Jean-Bernard écrivait:

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> je pense que les femmes qui prennent mal
> (légitimement) le fait d'être snobé au moment de
> goûter le vin, le sont tout autant au moment de
> l'addition... mais peut être l'une d'entre elles
> voudra répondre ici

==> Idem, le serveur m’a toujours communiqué la note lorsque c’est bien spécifié.
Sinon, les règles sont claires entre mon mari et moi, nous partageons 50/50 le reste du temps.
Maintenant je pense que certains hommes se sentiraient déshonoré de ne pas avoir l’addition sous prétexte qu’ils auraient une image négative de type « il se fait entretenir par sa femme » !

SISA,
Cela dépend du contexte, des moyens, et des relations que l'on entretient.
Je sais que quand certains amis m'invitent (sans que cela soit forcement les plus aisés) je ne me sens nullement limité. Pour d'autre j'essaye de m'aligner sur leurs choix (difficile quand les prix ne sont pas précisés).

Gautier

A propos de "que choisir quand on n'a pas les prix", j'ai horreur des plats qui ne sont pas à la carte, qui sont les plus chers, et que le chef vient proposer à l'ensemble de la table.
ça commence par un maître d'hôtel qui vient balader sous le nez des convives un immense bocal plein de truffes. ça embaume, ça donne envie,
Puis deux minutes après le chef vient et dit : "aujourd'hui, j'ai deux ou trois choses en plus de la carte. Il y a ceci, cela, et j'ai de magnifiques truffes que je peux vous préparer en brouillade ou sous croûte; Qu'en pensez-vous ?".

Et il ya toujours un ou une "taré(e)" pour dire : "ah, moi, ça me plairait bien", immédiatement suivi(e) par les autres.
Et là, il faut que je revende une île dans le Pacifique pour payer l'addition.

A propos de l'argument de la formation permanente que chacun de nous devrait financer pour que le sommelier garde la pertinence de ses conseils en goûtant chaque vin ouvert, je signale que les sommeliers reçoivent systématiquement les vins des domaines par leurs agents, et ça s'accompagne d'une dégustation avant commande.
Or dans ces commandes, il n'y a pas que des primeurs. Donc le sommelier n'est pas "tout nu" s'il ne boit pas les vins de ses clients.

C'est clair qu'il n'y a rien de pire qu'une vente faite sans que le prix ait été préalablement convenu.
Comme le dépannage minute du plombier qui se termine par une gentille facture de 200 euros...
Benji

Et que dire des suggestions d’apéritifs. Il n’y a pas très longtemps dans un restaurant, une fois installé, la personne chargée de l’accueil proposait systématiquement et de manière insistante 3 champagnes dont un Laurent Perrier Grand Siècle, ceci avant même d'avoir présenté la carte. Ceux qui ont choisi cette cuvée sans rien y connaître étaient reconnaissables au moment de payer l’addition, ils étaient un peu livides et estomaqués du prix demandé pour la coupe.

François Audouze écrivait:

---

> A propos de l'argument de la formation permanente
> que chacun de nous devrait financer pour que le
> sommelier garde la pertinence de ses conseils en
> goûtant chaque vin ouvert, je signale que les
> sommeliers reçoivent systématiquement les vins des
> domaines par leurs agents, et ça s'accompagne
> d'une dégustation avant commande.
> Or dans ces commandes, il n'y a pas que des
> primeurs. Donc le sommelier n'est pas "tout nu"
> s'il ne boit pas les vins de ses clients.

::::
françois je prends souvent plaisirs a vous lire mes parfois il m'arrive de me demander si nous vivons bien sur la même planète.
le sommelier, c'est vrai, reçoit des échantillons pour rentrer de nouvelles refs mais sûrement pas pour les grands et c'est bien de cela que je parle.Exception faite: visite au château rencontre avec le producteur ect
Donc non les sommeliers ne reçoivent pas systématiquement les vins, et surtout pas les grands.
ET même si il le faisait entre le moment ou il achète la caisse de 12 et le moment ou il vend la dernière 2,3,5,8 ans après, il y a eu une évolution qu'il faut suivre.
non lalou bize n'envoie pas un richebourg 82 tous les ans au sommelier qui l'a sur carte pour savoir ou il en est, ni la cave de saint mont d'ailleurs.
bien dommage

calis écrivait:

---

> le sommelier, c'est vrai, reçoit des échantillons
> pour rentrer de nouvelles refs mais surement pas
> pour les grands et c'est bien de cela que je
> parle.Exception faite: visite au château rencontre
> avec le producteur ect

J'ajouterai le problème d'une carte de plusieurs centaines de références, voire plus.

Homme ou femme peu importe .
L'important c'est que ce soit celui qui perçoit le mieux les défauts , comme le "bouchon" , qui goûte

J'ai remarqué que j'ai malheureusement un seuil de perception au gout de bouchon trop haut . C'est à dire que je ne le sens pas tout de suite et je n'ose pas refuser la bouteille . Or le gout de bouchon s'accentue et devient de plus en plus net mais après !!!

Ce fut le cas dernièrement avec un regretté Clos Ste Hune 1992:(

Dans le cas de mes parents, quand ils sont à deux, c'est mon père qui goûte tout les vins sauf liquoreux et rosé où là c'est ma mère car c'est ce qu'elle préfére.

Pour ce qui est de l'addition, c'est ma mère qui paye tout car mon père ne gère pas les comptes et ne retient même pas le numéro de sa CB.

Salutations
Julien

Restauration
Au restaurant, le vin est (encore) une question d'homme.

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