Dans la serie des lieux de reve pour havanophile, cette splendide toute petite civette situee dans le lobby du Westin Tokyo et ouverte 7 jours / 7 de 11h a 22h (20h le dimanche).
Le magasin s'appelle le
"Cigar Club".
Il est petit, mais dispose de tout >
1 salon humidor ou reposent a une temperature et un taux d'humidite exemplaires (je n'ai jamais vu aussi bien jusqu'a present hors conditions naturelles) a peu pres tout ce qui est disponible sur le marche (EL compris). Les vitoles sont magnifiques, parfaitement classees et atteignables. On peut acheter a la piece ou des boites (et les stocks sont consequents, meme en Sublimes special Claudius
).
On peut passer 15 minutes dans la piece sans que la vendeuse ne perde son sourire ni ne s'impatiente, meme si on n'achete rien (cela change des civettes habituelles).
Juste attenant, simplement separare par une porte vitree electrique, un petit salon avec 6 fauteuils club.
Le long du mur oppose une bibliotheque comprend des magazines dedies librement consultables, et toute une serie d'accessoires (briquets, coupes/cigares, etc...) la encore dans une offre plutot large.
L'hotesse aux petits soins prepare les cigares et les verres avec une efficacite nippone derriere son bar en acajou situe au fond de la piece de degustation. La liste des alcools, digestifs (sutout whiskies et cognacs, mais aussi liqueurs, etc. ...), ou des softs est tres etoffee. Et si jamais il n'y a pas de quoi preparer le cocktail de vos reves, qu'a cela ne tienne puisque la boutique est situee au coeur d'un hotel. Un coup de telephone et le specialiste du bar panoramique du palace apportera ce qu'il faut.
A noter une aeration parfaite, par magie la fumee s'evacue tres vite (et je vous rassure pas de ventilateur dans la figure pour autant). On profite donc pleinement du confort de ce petit espace si bien agence.
Les prix des vitoles sont raisonnables, mais pas transcendants (c'est mieux en Suisse) et de toute facon la politesse veut que l'hotesse d'accueil (charmante)accepte avec le sourire et des courbettes que vous veniez fumer vos propres cigares.
Le bonheur tient parfois a peu de choses
dfried
PS : s'il fallait trouver un defaut, disons que comme beaucoup de Japonais la vendeuse a un peu de mal avec les langues etrangeres.