Cela me va, Jérôme !
Je détecte le sucre, aussi, par biais cognitif (j'ai déjà expliqué).
Je supporte moins d'autres attitudes ...
Mais vous êtes chez vous, n'est-ce pas ?
Je ne cherche pas à partir mais ne pourrait lutter contre une éventuelle radiation ...
Les contradictions sont inhérentes à une nature humaine viable et font partie intégrante de tout processus d'analyse du vin conscient et sain d'esprit.
Je t'ai pointé les tiennes dans ta description hâtive (et surtout mal contextualisée) du vin israélien ...
Nous nous étions aperçu chez BlG à cette occasion ...
Le plus ennuyeux sur le Layon 97, c'est sa lourdeur.
Je te répète que "empâté" et "sirop" sont des descriptifs à l'évidence gustatifs.
Non ?
Dans la série complexité de la dégustation.
Je lisais le magazine "3 étoiles" ce we (avec Roellinger en couverture).
Un jury teste les Médocs 2004 et attribue un coup de coeur à Las Cases 2004.
C'est un vin qui est passé à la trappe lors du GJE (pas dans les 150 premiers - et je lui avais mis 14/20).
Je pense que Stéphane Derenoncourt a noté cette divergence.
Car, en lien avec des discussions récentes, il ne me parait pas totalement idiot d'accorder un minimum de crédit à un cru comme Las Cases.
Cela ne veut pas dire qu'on le jugera systématiquement grand et bon marché.