Pour accorder des coquilles Saint-Jacques et un homard montagnard, euh! pardon, Montois, il fallait bien un vin de (petite) montagne, celle de Corton, par exemple!

A défaut d'un Charlemagne 87 de Bonneau du Martray, que je n'ai pas réussi à trouver dans l'enchevêtrement de bouteilles qui constitue ma cave, je me suis rabattu sur un Corton blanc 2000, une originalité du domaine Maillard Père et fils, qui possède des vignes de chardonnay en appellation Corton.

Un vin déjà plutôt accessible, d'une grande pureté, qui fit merveille sur le prince des mers servi le plus simplement du monde.

Et pour cloturer le tout, petite promenade digestive sur un sommet du Jura de Suisse voisine. 1610 mètres de dénivellé en à peine 24 heures, de Saint-Jean-de-Monts au mont Suchet, en passant par la montagne de Corton, j'en ai encore les oreilles qui bourdonnent (de plaisir!).

Il y a des jours comme ça, où on ne fait que tutoyer les sommets!

Olif