Bonjour , quelqu un connaîtrais les dates du salon de saint pierre en faucigny , mon frère habitant dans le coin j irais bien faire un tour à ce salon .
Merci à vous .

Hélas, les 12 et 13 avril en 2014. A prévoir pour 2015.

Dommage , merçi pour l info à l année prochaine donc .

Bu lors de la dégustation décrite ici

Château Rayas 2002 écrase tout sur son passage par sa complexité, finesse et son élégance!
Robe framboise claire. Nez expressive de fraises écrasées, poivrée et d’épices avec des notes florales.
La bouche est d’une grande élégance, soyeuse tout en dégageant une puissance tranquille qui donne une grande longueur. Magnifique.

Rayas rouge 2000
[size=x-small]Bouteille ouverte une heure avant d’être bue à l’aveugle.[/size]

On pourrait dire que ça sent plutôt très bon et complexe, ça sent surtout fort la fraise et la menthe, avec des notes florales aussi, d’encens et de poivre blanc.
En bouche l’équilibre sonne parfaitement juste, c’est plein mais délié, c’est dense et fin, c’est juteux et velouté, la finale est ultra fraîche. Pas follement long mais tellement évident.
Au nez comme en bouche, ça ferait plutôt jeune que vieux, mais c’est difficile de donner un âge.
C’est déjà fini mais on s’en souviendra.

malochet écrivait:

---

> Bonjour à tous,
>
> Je souhaiterais savoir si, en prenant contact avec
> le domaine (par mail ou téléphone), il est
> possible d'acquérir quelques bouteilles de Rayas
> et ou Fonsalette? Faut-il obligatoirement lui
> rendre visite pour espérer en acheter?
> D'autre part, lorsque les cavistes ont du Rayas
> (blanc et rouge), quelle fourchette de prix
> jugez-vous comme "raisonnable" (avec toutes les
> limites et maladresses que peuvent comporter ce
> "raisonnable"...).
> Merci d'avance!
> Christophe
Je confirme j'ai appelé le domaine et après avoir discuter 5 mn sur qui j'étais, si j'avais déjà gouté des vins du domaine etc etc, j'ai pu commander en envoyant un chèque directement au domaine. La triplette (2003) a été reçue sans pb 3 semaines après. Je pense que si l'on se montre courtois et si on appelle au bon moment ça passe sans pb.
fabrice

Bonjour
Y a t'il une "façon" de faire les vins des différents domaines de mr Reynaud particulière, je veux dire par là, y' a t'il des points communs entre chacune des propriétés (Tours, Pignan, Fonsalette et Rayas?).
Je me doute bien que les terroirs diffèrent mais peut être me direz vous si on retrouve une "patte" Reynaud.
J'ai goûté un VDP Domaine des Tours 2008 qui m'a enchanté, et voudrais poursuivre en montant en gamme lentement.
Que me conseillez vous?
Merci pour vos réponses.
Agnès

Rayas 2000 : bue ce weekend, ouverte 24h à l'avance, sans carafage, servi sur une soupe aux artichauts et un filet de veau sauce armagnac. Au nez, c'est du Rayas tout craché... fraise écrasée, cerise. En même temps, on sent une certaine austérité que j'ai plusieurs fois ressenti sur ce millésime et à Châteauneuf-du-Pape particulièrement. En bouche, ce sont les mêmes arômes avec un peu de mure, de café, de chocolat. Pour un vin un peu austère, c'est quand même sacrément très bon. La bouteille n'a pas fait long feu....

Pierre

Allez enfonçons des portes ouvertes…

Robe "claire", presque "mate". Cela évoque un Bourgogne du style Chambertin de Rousseau. Mais le manque de brillant… ?
Nez… époustouflant, fruité (fraises de tous types !!), épices douces, envoûtant, floral… Bourgogne ? grand ?
Bouche hédoniste, sensuelle, d'un équilibre remarquable, entre vivacité et onctuosité. Large et longue, impossible à recracher… une gourmandise.
Tout y est, pas de creux, pas de manque, rétroalfaction impeccable. Tout se répond.
Pas bourgogne… donc ailleurs !! qui peut faire cela ?
Tilt : couleur "claire", mate, nez sur le fruit, cette présence en bouche…

Rayas 2003… superbe, vin superlatif.

En face sans aucunement démériter, et même jouant dans "presque" le même registre de grandeur, Haut-Brion 2003 (comme quoi les 2003 bordelais tiennent bien la route, Montrose, Baron, Latour, Margaux, Mouton, Barton, le prouvent) équilibré, long, jeune et sans lourdeur, et Beaune "Vigne de l'enfant Jésus" 2003 de Bouchard, pris pour un grand cru de la côte de Nuits (vers Chambolle ou Morey). Remarquable de sensualité, et de fraîcheur (comme quoi des 2003 bourguignons peuvent être impeccables).

Il y a des fois où les vins sont magiques… 

Hervé

comme quoi avec le temps,la canicule a du bon.ce millesime decrié va tres bien veillir .plein de cr le confirme dans toutes les regions.

Pignan 2008

Bouteille ouverte le matin pour le soir grâce au judicieux conseil de Laurent
Température de service degré

La robe est très bourguignonne amarante avec des reflets dorés
Le nez est complexe la fraise écrasée bien sur mais beaucoup plus le poivre blanc la mandarine un note fumée difficile d'en oter le nez
L'attaque en bouche est puissante ample ronde un poil trop jeune pour mon pdf
La finale est enlevée très vive sur les agrumes provocant un afflux de salive dans la bouche
Ouf
C'est monstrueux et pourtant un peu jeune encore à mon gout

2001 Château Rayas Châteauneuf-du-Pape Pignan Reserve

Bouteille ouverte 3h avant le repas et épaulée 1h avant.
Robe rouge clair,Nez sur le cuir et la fraise, bouche avec des arômes de coulis de framboise, de cerise, de cuir et de viande. Tanins fondus, bouche souple mais finale longue.
Un très bon vin.

Gregory

Bu au cours d'une soirée ici :

Chateauneuf du Pape Pignan 2006
[size=x-small]Bu à l'aveugle.[/size]
Très joli nez élégant, sudiste et reynaud's touch sur les herbes aromatiques, les épices douces, les fruits secs et une touche florale.
La bouche est dès l'attaque aérienne, glycérinée, gourmande aux tannins imperceptibles. C'est ensuite suave, chaleureux, très grenache, d'un charme irrésistible avec une finale persistante très sudiste qui chauffera un peu les palais peu habitués. Très bon. Très Bien (+).

Château Rayas 2004

Tomy
Robe très claire (ressemble à un pinot), nez de grenache, très fraise écrasée, beaucoup d'épices, rose. Bouche très fine, pas très tannique, pas une grosse matière mais très fruitée, surtout de la fraise écrasée, très fraîche, encore très jeune pour 2004.
La bouche fait vin de soif pour moi, mais la finale a quand même une très bonne longueur.
Très bon vin, mais pas exceptionnel pour moi. TB.

Julien
Un nez d'abord assez floral, puis de fruits rouges confits, une légère sucrosité, quelques épices, de l'orange, de l'eucalyptus. Malgré la maturité le nez reste d'une superbe fraicheur et d'une grande complexité. Franchement un très beau nez!
La bouche est tout en finesse à la limite d'être de demi-corps, longue et très fraiche avec des tanins là encore d'une grande finesse, c'est tendu et gourmand, juteux dans une finale savoureuse.
C'est un excellent vin que Château Rayas 2004, qui m'a bien plus plu que le 1999. A réserver toutefois sur des plats pas trop puissants.

C'est un excellent vin que Château Rayas 2004, qui m'a bien plus plu que le 1999

Julien,

D'après mes souvenirs, je suis d'accord avec toi.
En 1999, j'ai préféré les deux belles cuvées d'H. Bonneau.

C'est un excellent vin que Château Rayas 2004, qui m'a bien plus plu que le 1999. A réserver toutefois sur des plats pas trop puissants.

y a quand même de la marge, ça reste un chateauneuf suffisamment glycérinée pour soutenir des plats relevés.

C'est pourtant ce que j'ai ressenti sur cette bouteille Laurent.
Sur celle là un plat trop puissant aurait écrasé le vin à mon sens.

Julien

Julien,

Il ne faut vraiment pas se fier aux caracteristiques atypiques de rayas (robe claire, pas de tanins proeminants) pour juger rayas en situation accord met-vin. Mon experience est a l'inverse, rayas ca tient extremement bien la route meme sur des plats releves ! Souvenir emu d'un 2003 face a un tagine d'agneau, un veritable mariage d'amour...

Ba je fais comment alors pour juger?

La quand je parle de l'accord met-vin, ce n'est pas pas rapport à la couleur du vin mais bien de sa structure de bouche
Après je ne dis pas non plus qu'il ne faut que manger de la viande blanche avec , mais une viande rouge pas trop puissante.

Et puis c'est assez subjectif tout ça.

Julien

Je suis (forcément) du même avis que JB.

pignan 2005

Ouvert sans préparation.

Le nez est expressif, un peu animal avec de la fraise écrasé, des fruits rouges mûrs.
La bouche est puissante, assez massive mais avec un toucher soyeux. On retrouve la fraise bien mûre, un peu de fruits noirs et du poivre. C'est élégant mais avec une assez grosse matière ce qui fait penser qu'il en est encore au début de sa vie. Il y a une belle complexité, un très bel équilibre et une bonne longueur. Il y a la patte Reynaud mais ça garde un aspect Chateauneuf du Pape classique avec un joli coté sudiste, qui envoie.
C'est clairement trop jeune mais c'est déjà super bon.

Bu ici

Château Rayas, Châteauneuf du Pape, 2002



Robe œil de perdrix, digne d'un pinot des années 70.
Le nez est généreux, complexe, sur des notes épicées, de fleurs séchées qui ne cesseront d'évoluer avec l'aération vers plus de fruit, la fraise puis la compote de fraise.
La bouche propose un équilibre redoutable de gourmandise fait de finesse apparente, sur un volume suave qui semble délicat mais qui parvient à dérouler une trame sans faiblesse à la présence tactile et aux goûts francs et complexes remarquables.
Les tanins sont d'une absolue douceur et si n'était une petite rondeur roulant sur la langue (et la présence de l'étiquette devant les yeux ) qui peut ramener plus au sud, peu de doute que je serais parti sur quelques qualificatifs vosniens avec risques de superlatifs.
L'équilibre en bouche est remarquablement porté et ouvre une finale sexy et pulpeuse d'une gourmandise redoutable.
Délicieux !

Château Rayas - Châteauneuf du Pape - 2004

Bouteille ouverte la veille et carafée 2h, bue à 15° degrés environ.

Je précise d'emblée que j'ai bu cette bouteille au restaurant et que j'ai souhaité profiter de l'instant plutôt que de prendre note des sensations perçues.
Il s'agit donc ici d'un compte-rendu sommaire basé sur des souvenirs.

Le nez est bien ouvert et présente absolument tout ce que j'aime dans Rayas : fraise des bois, herbes méditerranéennes, épices et écorce d'orange.
C'est très complexe et envoûtant. Du pur plaisir.
La bouche est un modèle d'équilibre et l'ensemble est bâti sur des tanins caressants, d'une très grande finesse.
L'aromatique reprend les sensations perçues au nez apportant à la fois beaucoup de gourmandise et de charme.
Très longue finale sur fond d'orange.

Excellent.

Au jeu des comparaisons, j'ai trouvé le 2004 bien plus à mon goût que le 2001 bu en septembre 2013 et qui affichait un profil plus sudiste, avec également moins de finesse et d'élégance.
Contrairement au 2001 qu'il convient encore de laisser vieillir quelque peu, le 2004 me semble prêt à boire, bien que rien ne presse, évidemment.

Manu

je partage totalement cet avis et cette comparaison.

Château Rayas - Châteauneuf du Pape - 2006
Bu dimanche dernier, première rencontre avec le millésime.
ouvert deux heures avant.
beaucoup de finesse, toujours plus fin avec le temps.
Envahit le verre et le nez, sur des notes complexes de garrigue, de fourrure, de prune et de fraise.
La bouche et longue et soyeuse, c'est diablement bon et efficace.

Gaël

Bu Ici

Château Rayas - 2004

Robe orangée, légèrement trouble.
Légère volatile au nez, notes de garrigue, de thym.
En bouche, un vin d'une pureté! C'est élégant, équilibré, presque classieux. Superbe longueur.
Pointe chaleureuse en finale qui vient rebalancer le tout pour en faire un grand vin.
Excellent

Bue ici

Château Rayas - 2004

Robe tuilée un peu trouble.
Au nez, ça chante le sud !
On sent la garrigue, le thym et la sauge.
En bouche, le vin glisse avec une étonnante facilité.
C’est un nectar, la partition est équilibrée.
Le vinificateur semble se jouer de nous avec un grenache sans rugosité.
Tout est sous contrôle pour nous livrer un excellent vin.

Bu pendant une superbe semaine en Bretagne

Château Rayas, Châteauneuf du Pape, 1995



Oliv
Robe assez sombre, sur le bordeaux éclairci sur le disque.
Nez masculin, droit, classe et d'une certaine austérité, sur les fruits noirs (mûre) et de puissantes notes d'épices douces.
L'attaque en bouche est à la fois dense, puissante et d'une grande suavité, sur une matière charnue qui laisse une impression de douceur et de profondeur, sans déficit de fraîcheur.
L'aromatique reste assez concentrée, très épicée mais manquant un tout petit peu d'évidence.
La finale s'ouvre sur une belle présence tactile due à de très beaux tanins et à une belle acidité.
Du fond de verre vide émanent de superbes notes de fraises épicées.
Très bon vin à qui il n'a manqué ce soir là qu'un petit quelque chose de gourmandise pour être grand.

Totolouga
Le nez n'est pas aussi typique les Rayas que j'ai pu gouter jusqu'à présent, moins de fraise. Fruits noirs et épices comme d'autres Chateauneuf Du Pape plus classiques.
En bouche, la puissance est considérable (surtout lors de l'ouverture, j'ai même eu un peu peur qu'il ne soit pas prêt....) mais l'ensemble reste fin, du velours encore dans la bouche. La finale est longue avec un présence de fraise cuite, très beau. L'évolution entre l'ouverture le midi et le soir a été impressionnante. J'aurais sans doute du écouter Emmanuel Reynaud qui m'avait dit d'ouvrir 3 ou 4 jours à l'avance, je n'ai pas osé....je l'ai ouverte seulement 12 heures avant. Excellent

Ouverte au cours d'une soirée, cette bouteille de Châteauneuf du Pape - Pignan 2003 : Une superbe robe rouge claire aux rebords légèrement orangés - Nez floral, Iris, fumé, tabacs, fraises, encens, épices douces - En bouche c'est une explosion de fruits confits et d'épices. Loin d'être symptomatique que millésime, on retrouve une belle fraîcheur et une douce acidité rafraîchissante. Très belle longueur. La bouteille ne fait pas un pli et se trouve vidée assez rapidement. TRES BIEN+

Eric

bonjour a tous

dégusté pour la premiere fois en mai dernier

mon premier rayas rouge 2004

cédric je reviens vers toi pour te poser la question suivante

ta bouteille presentait elle, quelques traces de dépots?

moi , rien , aucune trace

je dois dire que j ai été vraiment étonné , je me demand meme si je ne l ai pas ouvert trop tot ?

je recois debut septembre en rouge , un 2003, un 2005, et un pignan 2005

mon dieu ,quelle galère pour denicher ces precieux flacons ,
mais c est tellement bon !