Eh oui! Je sais, du point de vue médical, cela ne veut rien dire...
Du point de vue moral, par contre, je tirerais la conclusion suivante: S'il faut quand même souffrir, autant boire du vin que de l'eau. Au moins, on aura tout de même eu plaisir avant de souffrir!
Pourquoi?
Partirais-tu du principe qu'on ne peut pas avoir de plaisir à boire de l'eau?
Tout est question de soif...
Ici,par contre,dans le plaisir du vin,on comprend bien toute la difficulté de la langue française:c'est bon pour le moral(c'est bon bon...)mais pour la morale?
François Audouze écrivait:
> ça se traite très bien de façon médicamenteuse,
> car il n'y a pas d'effets secondaires.
C'est bien la première fois que je m'interroge sur le sens d'une phrase de François Audouze. Quel est le rapport entre la première et la deuxième partie de la phrase qui justifie cette conjonction de coordination ?
Les gens qui ont de l'argent ne pensent qu'à l'argent qui leur manque. Jacques Brel
J'ose espérer qu'il ne parlait pas de la colchicine, car s'il y a bien un médicament qui a des effets secondaires, c'est celui-là. On dit que la colchicine fait courir avant de faire marcher. Je vous laisse deviner où le malheureux patient doit courir...