1855.com publie encore des résultats inquiétants

"Vendredi 30 janvier 2009, 17h13 L'e-vendeur de vin est toujours déficitaire de 2 millions d'euros, pour un chiffre d'affaires de 10 millions. En un an, le titre a perdu 95 % de sa valeur."

La suite sur le Journal du Net

C'est le modèle économique qui doit être revu :
- diffusion de catalogues extrêmement chers
- cocktails fastueux pour plaire à la clientèle
- prix de vente non sécurisés par des prix d'achat permettant des ventes rentables
- coûts de gestion trop élevés.

Tant qu'il n'y a pas une révision du modèle économique de la société, qui a financé ses pertes par des augmentations de capital et ne pourra plus le refaire, il n'y a pas d'issue.

Le web ne permet pas de s'affranchir des régles de gestion d'une entreprise. Les miracles n'existent pas au seul prétexte qu'on est sur internet.
Je souhaite à l'équipe fondatrice de réussir à résoudre cette situation, car personne ne leur fera de cadeau.

elmagnifico écrivait:

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> 1855.com publie encore des résultats inquiétants
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> "Vendredi 30 janvier 2009, 17h13 L'e-vendeur de
> vin est toujours déficitaire de 2 millions
> d'euros, pour un chiffre d'affaires de 10
> millions. En un an, le titre a perdu 95 % de sa
> valeur."
>
> La suite sur le Journal du Net

Le sujet a été mis en perspective grâce à Aragorn !
lapassionduvin.com/p...

Désolé pour la méprise et merci pour le lien

après avoir exprimé il ya qqs temps de cela son admiration pour le fondateur de 1855 ... et ses méthodes? ... FA insiste sic Je souhaite à l'équipe fondatrice de réussir à résoudre cette situation, car personne ne leur fera de cadeau.

notez que le fondateur, accès de pudeur ? , a été remplacé par "l'équipe fondatrice"

comme quoi pour certains, la fin semble justifier les moyens

PS Très Chère Sublime, Merveilleuse ainsi qu'Illustrissime Madame Françoise au Fessier Douze, vous nous annonciez il y a 6 mois de cela de façon pompeuse, que certains acteurs financiers dégageaient des liquidités en vendant des vins prestigieux pour se positionner sur le Cac 40 qui n'allait pas tarder à remonter ...

un Cac à l'époque au-dessus de la barre des 4000 points ... ?

oh ciel vos deniers !

Si ce prurit vous fait du bien, allez y, le web a le mérite de l'impunité.
L'injure est assez spectaculaire, mais ne vous grandit pas.
Quand vous écrivez : "Très Chère Sublime, Merveilleuse ainsi qu'Illustrissime Madame Françoise au Fessier Douze", vous avez bu quoi avant d'écrire ?
J'aurai toujours plaisir à vous lire, quand vous êtes sobre. Car je n'avais pas le souvenir que vous puissiez déraper comme cela.

Sur le fond, au sujet de 1855, ils sont dans une situation grave. Il vaudrait mieux qu'ils s'en sortent pour honorer leurs obligations vis-à-vis de leurs clients. Et leur sort dépend des décisions qu'ils prendront. Le reste est sans intérêt.

Dormez bien, c'est ce que vous ferez de plus intelligent, claudette

si les modérateurs veulent supprimer ces deux messages qui comportent des injures personnelles, je suis d'accord.
Mais c'est leur choix et s'ils ne le font pas, les mots d'oiseaux continueront. Car claudette me fessier, c'est clair
L'avantage du web, comme je l'ai dit, c'est l'impunité.
Bonne nuit.

vous me semblez tout à coup bien susceptible

pas d'injure lojn de là ! plutôt même un compliment, une flatterie pour votre ego puisque je compare vos dons de divination à ceux de votre presque homonyme, la glorieuse et immortelle Françoise Tessier

après réflexion je me demande si, plus que cette inoffensive prose, ce n'est pas le niveau du Cac 40 qui vous a mis de telle humeur

bonne journée à vous

De mémoire, je n'avais pas de vous cette image là.
Il eût été possible de parler de 1855 ou de la crise financière en échangeant des points de vue.
Vous avez choisi l'injure. Il n'y aura donc pas de dialogue.

S'il y avait eu "Tessier", c'était de l'humour, discutable, mais de l'humour.
S'il y a "Fessier", c'est de l'injure, qui n'a rien à voir avec de l'humour.
La tentative de déconsidératon d'autrui ne grandit pas son auteur.
Vous ne sortez pas grandi de cette tentative très nulle de déconsidération.
A vous de savoir si vous aimez vous comporter en ruffian.
Point.

Tessier, c'est Elisabeth, non?

Dans ce cas, il n'y a plus d'homonymie du tout... Et pour le moins tiré par les cheveux

François,

Buvez donc du Kiravi et faites le savoir... Ainsi personne ne vous en voudra !

Je ne vois aucune raison de devenir le punching ball de tous ceux qui sont en mal d'amour ou en excès d'alcool.
Ce midi, je viens de boire un Corton Charlemagne Jean François Coche Dury 1996, et je ne vois pas pourquoi je n'en parlerais pas.
Claudius ne m'a jamais donné une image négative, c'est pourquoi cette injure de primate m'a surpris au plus haut point.
Je n'ai aucun problème avec Claudius avec lequel je boirai du vin si l'occasion s'y prête.
Mais je ne laisserai pas se développer l'idée qu'on peut impunément me prendre pour punching ball.
L'intérêt de la grossiéreté de claudius, c'est que c'est tellement gros que ça rate sa cible.
Donc, pas de problème pour moi.

François, j'ai quand même bien ri, quand vous mettiez ce modèle économique en exergue...
Regardons où ils en sont arrivés...comme quoi...

Laurent,
Sur le fond du sujet, on peut toujours parler.
J'imaginais que les prix des vins continueraient de monter, et voilà qu'ils s'effondrent. J'ai donc fait une erreur d'analyse, et ça ne me gêne pas de la commenter.
Beaucoup de gens voyaient le baril à 200 $ et il est passé sous les 50 $. Il y a donc eu des erreurs de jugement.
On peut les aborder calmement entre gens qui discutent.
ça ne me gêne en aucun cas de dire que j'ai pu faire une erreur de diagnostic. Et la discussion peut enrichir l'analyse de chacun.

La question est : est-ce que je peux faire des blagues sur tous les noms ?

Si je fais ça, je change de terrain. Je ne discute plus, je harcèle, j'injurie, je disperse façon puzzle. Et de ça, je n'ai pas envie. A noter que je ne mets ici que des jeux de mots softs, et que je n'en veux pas.
Si c'est comme ça qu'on envisage un forum, je ne suis pas d'accord.
Claudius a manqué au respect minimum que l'on doit à chaque personne. A partir de là, la discussion s'arrête.

Et, pour qu'on se comprenne Laurent, je ne ris pas quand vous dîtes des inepties. Car quelle que soit l'opposition d'idées qui est la nôtre, je considère comme un devoir de vous respecter et de vous traiter en égal. Quand vous riez sur une idée que j'ai émise, vous vous placez en position supérieure à moi. Rien ne m'indique que ce soit la bonne position. Une position égale me paraît la plus polie. Et c'est celle qui crée les meilleurs dialogues.

François il me semble en d'autres temps t'avoir signifié que tes persiflages autour de mon nom de famille relevée de la maternelle... mais apparemment, tu as déjà oublié...

Sachez que le modèle que vous admiriez est tout ce que j'exècre, l'économie mondiale en est là, en partie à cause de gens comme eux, qui ne créent pas de richesse, mais qui profitent d'un marché à la hausse...
En cela je ne me sens ni supérieur, ni inférieur, mais spectateur.

D'un autre côté vous qui aimez donner des leçons, celle-là en est une bonne pour vous.

No comment.

Claudius ne m'a jamais donné une image négative, c'est pourquoi cette injure de primate m'a surpris au plus haut point.
Je n'ai aucun problème avec Claudius avec lequel je boirai du vin si l'occasion s'y prête.
Mais je ne laisserai pas se développer l'idée qu'on peut impunément me prendre pour punching ball.
L'intérêt de la grossiéreté de claudius, c'est que c'est tellement gros que ça rate sa cible.

Mon Très Cher & Illustrissime François,

aucun dessein de ma part de vous prendre pour un punching ball et encore moins de vous insulter
mea culpa pour mon manque de culture de type Paris-Match, je croyais en effet que Mme Tessier s'appelait Françoise,
une pythonisse qui comme vous le faites parfois, s'amuse à faire des prédictions hasardeuses
d'où le jeu de mots, une taquinerie plutôt inoffensive vous en conviendrez, qui n'a pas été compris.

Avouez que votre ego a parfois une fâcheuse tendance à l'exacerbation
on vous préfère lorsque vous laissez échapper un peu d'air comprimé.

Bien à vous

Claudius

Une question me taraude, juste pour le fun.
Etes-vous conscient que vous avez écrit "Fessier" et pas "Tessier" ?

Il se peut qu'à ce moment-là, votre conscience n'allait pas jusqu'à relire l'orthographe, mais écrire Fessier ce n'est pas de l'inculture de type Paris-Match, c'est de l'injure. Si j'ai insisté sur ce que j'ai considéré comme une injure, car m'appeler Madame et inclure Fessier dans mon nom, c'est quand même le summum de l'injure, c'est parce que je considère que le respect d'autrui doit être la règle.

Ce n'est pas de l'ego enflé, c'est la demande de la juste considération que l'on doit à tout être humain. Nous ne sommes pas des primates, donc nous considérons les autres.

Il y a une fâcheuse tendance pour certains qui me considèrent comme leur défouloir. Je croyais que vous échapperiez à cette tendance triviale. Vous m'avez déçu.
Alors, vouliez vous écrire Fessier ou Tessier ?
Fessier, c'est injurieux, Tessier, c'est seulement nul.

François Audouze écrivait:

---

... je disperse façon puzzle.

Cher François,

Il est dommage que vous n'en ayez point envie, car j'apprécie quand vous citez les enfants du bon dieu et les canards sauvages...

Patrick,

Calimero n'est pas un canard sauvage, c'est juste un petit poussin

F Audouze écrit: je considère comme un devoir de vous respecter et de vous traiter en égal

Il est là le pb, c'est du forçage. On sent l'effort, c'est pire que tout.

Il ne manquait plus que Jérôme !
Jérôme,
Je suppose bien sûr que si je mettais Fessier dans votre nom, vous trouveriez ça normal. Merci de le confirmer.

En matière de forçage, je constate que vous vous forcez à être désagréable, alors que vous êtes très sympathique et que j'ai pour vous beaucoup d'estime, sans me forcer.

J'avoue que le fait de respecter mes contemporains, d'être aimable et poli, me permet de vivre heureux. Et sur le plan du bonheur, je n'ai pas besoin de me forcer.

Et, d'une certaine façon, votre désir d'être à tout moment désagréable commence à me paraître sympathique, car quelqu'un qui fait autant d'effort pour être grincheux, ça ne peut pas laisser indifférent. Il y a un certain esthétisme dans cette opiniâtreté.
Continuez Jérôme, car ça peut devenir une forme d'art.

En tout cas, retenez une chose, pour qu'on ne se trompe pas de combat: j'ai pour vous estime, respect et sympathie, sans me forcer.

Votre constante bougonnerie, c'est du détail.

Sur le modèle économique de vente à découvert de 1855 ce qui ne peut pas marcher c'est le conflit d'interet obligatoire entre les interets de 1855 et ceux de ces clients.Les interets en sont pas alignés.Ca fonctionne à front renversé.

Soit on dit à ses clients achetez tout se suite pour sécuriser l'accès physique et le prix car les cours monter et alors il est inepte et sucidaire de vendre à découvert pour 1855
Soit on spécule ouvertement chez 1855 sur la baisse des cours et alors il est inepte pour le client d'acheter.

Bref il n'y pas de jeu gagnant/ gagnant.C'est meme plutot l'inverse.

Ceci dit moi j'apprécie les joutes oratoires sur ce site entre gens au talent épistolaire, ces propos cauteleux, ces petites querelles pichrocholines qui durent car les torts ne sont pas que d'un seul coté.
Je suggère que les belligérants s'assoient calmement autour d'un chateau Tirecul la gravière et continuent à deviser pour notre édification sur le modèle économique de 1855.

Tirecul la Gravière et Elizabeth Fessier, il y a de quoi faire de jolies contrepéteries

P.S. pour Jérôme, je ne me force pas pour trouver ces querelles dérisoires. D'où cette remarque.
Respecter les autres est-il si difficile ?

Patrick Bottcher écrivait:

---

> François Audouze écrivait:
>

---

>

---

> ... je disperse façon puzzle.
>
> Cher François,
>
> Il est dommage que vous n'en ayez point envie, car
> j'apprécie quand vous citez les enfants du bon
> dieu et les canards sauvages...

humm il s'agit des tontons flingueurs plutôt Patrick! ça se prête pas mal à ces échanges!

Damned... encore cet alzheimer... et toujours ces confusions...

Dansons la capucine....

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>...c'est la demande de la juste considération que l'on doit à tout être humain.
> Nous ne sommes pas des primates, donc nous
> considérons les autres.

Juste comme ça en passant, l'espèce humaine fait partie de l'ordre des primates.
Sachez que nos plus proches cousins Chimpanzés et Bonobos (surtout eux d'ailleurs)
ont des techniques de résolution des conflits très novatrices. Voir ici .
D'ailleurs leur technique à l'escrime est particulièrement redoutable. ()

+
PP.

Mon estime pour Jérôme Pérez ne va pas jusqu'à désirer une relation façon bonobo.
La politesse me suffirait.
C'est peut-être demander beaucoup ?

(c'est à la lecture de ce genre de discussion que je me sens être un imbécile )